Mon Univers perpétuel
Ce texte commence ainsi :
« Avant qu’il n’y ait rien, il y avait tout, sous une autre forme, dans une autre dimension, à une toute autre température. Le temps était là, prêt à bondir. » LM
Quatre postulats :
Le Big Bang n’est pas un coup de canon, mais une explosion multidirectionnelle, pour autant, l’Univers n’est pas obligatoirement rond ou ovoïde,
Nous (notre galaxie la voie lactée) ne sommes pas au centre de l’Univers,
La lumière que nous percevons grâce à nos satellites, nous arrive ou nous a précédé
L’univers est très froid, proche du zéro absolu (-273.15°C)
PROLÉGOMÈNES
La condition universelle, ou l’état de l’univers primordial
L’homme moderne s’est lancé ces derniers siècles deux défis majeurs, la conquête de l’espace, et la conquête de l’espèce. Ces deux pans des sciences fondamentales ne sont pas si éloignés l’un de l’autre. J’ai acquis la conviction, à force de lectures de réflexions et d’observations, que quand mère nature détient une solution, elle la multiplie à l’infini.
Même si les scientifiques quantiques maintiennent que les forces qui prévalent à l‘échelle macroscopique, ne sont pas systématiquement à l’action au niveau subatomique, j’ai la faiblesse de croire, que l’infiniment petit, porte en lui l’héritage, mécanique, physique et chimique d’un univers primordial, une sorte d’ADN universel, dont les origines restent encore à découvrir.
Très humblement, je souhaite proposer ma lecture du temps d’avant notre singularité, jusqu’à la prochaine. Comme la communauté des physiciens et philosophes des sciences, je pense également que le temps n’existe pas et qu’il est, originellement, la différence de vitesse de déplacement entre deux éléments dans un référentiel commun (déplacement linéaire et mouvement cinétique). Le temps est l’une des dimensions de l’espace.
Tel le passe-muraille, je voudrais poser un regard neutre, non dogmatique et candide sur « mon univers » d’avant le mur de Planck. Quelle part de vérité ou d’exactitude scientifique y a-t-il dans mes propos, je ne suis pas en mesure d’y répondre, car je ne suis ni Dieu, ni ses détracteurs.
Si vous êtes strictement attachés à tout ce qui est communément admis (sans réelle démonstration pour la plupart des principes), alors passez votre route, ces quelques lignes vont vous mettre la rate au court bouillon. En revanche, si vous considérez que dans toute idée, un minimum structurée, il y a une part de vérité, alors ce texte va vous donner quelques os à rogner.
Enfin, ne considérez pas cette modeste contribution comme une prétention scientifique mais comme une flânerie poétique. Voyez plutôt dans ces quelques lignes, un chemin, une route vers un possible passé en perpétuel renouvellement. Le discours n’est pas d’une orthodoxie scientifique absolue et c’est justement parce que je n’ai de compte à rendre à personne et aucune aura professionnelle à défendre, que je me sens libre d’écrire ces quelques mots. Ils ne font de mal à personne (du moins je l’espère) et permettent de me soulager d’un poids et d’apporter ma réponse à deux mots angoissants : Pourquoi et Comment ?
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