GRAVITATION AUTOUR D’UN MYSTERE
Source Internet - Image non identifiable

GRAVITATION AUTOUR D’UN MYSTERE

Dans un texte écrit en 2018 et publié sur les réseaux sociaux « Mon Univers perpétuel[1] », j’exposais humblement ma vision de l’univers avant le Big Bang. Errements, intuition, ou foutaises, considérez cela comme il vous plaira, mais j’essaie dans ce texte d’une dizaine de pages de répondre à quelques questions que je me posais enfant.

Sans plus d’ambition scientifique ou de rigueur universitaire sur le sujet, je me suis demandé, ce qui aujourd’hui, agitait encore la communauté scientifique autour du modèle standard. Mes nombreuses lectures de ces 10 dernières années m’ont permis de comprendre que la gravitation et le photon étaient encore des énigmes pour les physiciens, pourtant convaincus par les découvertes confirmant les prédictions « einsteiniennes ».

Alors, avec tout autant de bonne humeur, je vous propose une balade dans les méandres de mes interrogations et la légèreté des réponses que je tente d’y apporter.

Le modèle standard prédit l’existence de 4 forces disposant chacune de son boson[2]: la force forte est véhiculée par le gluon, la force électromagnétique par le photon, tandis que les bosons W (+ et -) et Z sont responsables de la force faible. Le même modèle standard soutient également l’existence d’un « graviton », boson de jauge de la gravitation, le problème est que personne n’a encore réussi à le faire émerger du néant.

Pour comprendre la proposition qui est la mienne dans ce texte, il faut avoir parcouru la publication que j’évoque en introduction. L’un des aspects importants de ce texte, est que je considère que l’univers primordial est toujours présent, à de très grandes distances de toute matière. Qu’il est constitué d’ondes primitives, également présentes dans la matière visible, dans laquelle elles sont encapsulées. Que les ondes de l’U.P. sont les formes totipotentes de la matière et qu’elles exercent sur la matière desquelles elle a émergé, une attraction à 360°. Ceci étant rappelé nous avons sur terre, une expression permanente et quotidienne d’un des effets de l’attraction : les marées.

Elles sont le résultat de l’attraction exercée par la lune sur les éléments liquides de notre bonne vieille terre. La gravitation lunaire fait se créer un bourrelet à la surface de la terre qui se traduit par les mouvements de marée. L’attraction terrestre fait quant à elle, se maintenir la lune sur son orbite, à bonne distance de la planète bleue.

-         Pourquoi et comment ces deux forces cohabitent-elles ?

-         Pourquoi la lune, satellite immobile, suit le déplacement cosmique de la terre, mais ne s’écrase par sur elle ?

On peut déjà en déduire, que le champ gravitationnel de la terre est adapté à la masse lunaire, une sorte de distance « boucles d’or » bien connue des cosmologues. Ce champ gravitationnel est suffisamment fort et suffisamment distant, pour maintenir la lune à bonne distance.

Un rapide rappel sur la masse des deux astres :

-         La terre 5.972 * 10 exp 24 kg

-         La lune 7.36 * 10 exp 22 kg

Dans ma tentative de compréhension de ce jeu de duettiste spatial, je postule que l’U.P. exerce, lui aussi, une attraction sur toute forme de matière présente dans l’univers visible. Cette force compenserait la gravitation terrestre, on se retrouve ainsi avec 3 champs de force.

Si tel est le cas et que l’U.P. exerce cette force pour maintenir la matière en suspension dans le vide cosmique (voir également la supraconductivité de l’univers dans mon texte de 2018), c’est que la gravitation n’est pas liée à la masse, mais aux ondes primitives dont l’U.P. est constitué et qui se trouvent encapsulées dans toute matière. A la différence des champs gravitationnels exercés par les astres et qui sont angulaires du fait de la rotondité de la terre et de la lune, le champ gravitationnel de l’U.P. est à 360°, il est enveloppant.

Dès lors, point de graviton, de boson de jauge pour expliquer la gravitation et les ondes gravitationnelles, elles seraient le produit des forces exerçées, d’un côté par la matière visible et de l’autre par l’U.P.

Si on élimine l’attraction des autres planètes du système solaire, mais qu’on y ajoute l’attraction du soleil qui maintient la terre sur son orbite ovoïde, on pourrait en déduire la force d’attraction de l’U.P. sur la terre.

La gravitation terrestre répond à une double réalité, la masse des deux éléments qui interagissent et la distance qui les sépare.

On pourrait ensuite comparer ce résultat avec celui obtenu sur les autres astres dépourvus de satellites, puis avec ceux qui en sont dotés.

On accorde également à la gravitation, la rotation des astres. Les nuages de gaz, poussières et matières expulsées par les premiers effondrements de soleils à travers l’univers premier, ont été les constituants des amas des protoplanètes et, à terme, des astres, dont notre terre. Cette valse cosmique est à la fois le produit de l’émission de ces éléments qui leur a donné leur moment cinétique et de l’effondrement agrégatif de ces éléments du fait de l’attirance des atomes entre eux. Les forces à l’œuvre dans la constitution des premières briques de toute planète ou soleil dans l’univers seraient le résultat de la gravitation. Mais comment, ces millions ou milliards de tonnes de matières, tournoyant tels les wagons d’un grand huit, dépourvues de noyau, du moins au début, ont-elles pu se réunir et former ces embryons d’astres, qui aujourd’hui encore, peuplent notre univers visible. Ces anneaux centrifugés se déplaçaient eux-mêmes à de très grandes vitesses dans l’univers premier, il est donc tentant, d’attribuer à la gravitation, l’explication des premiers amalgames de matières, des accrétions primitives, mais était-elle vraiment à l’œuvre ? Pourquoi les anneaux, les satellites de saturne ne se sont-ils pas effondrés ? (Masse de saturne : 5.683 * 10 exp 26, soit 95 fois plus grosse que la terre ; rayon de 60 268 km soit 10 fois celui de la terre). Saturne n’est-elle pas assez massive ? Les anneaux, les lunes, les planètes qui auréolent saturne se trouvent à des distances de 7000 à 72 000 km de son équateur. Notre lune se trouve quant à elle à 385 000 km environ de l’équateur terrestre. Avec près de 100 fois la masse de la terre, pourquoi et comment saturne fait-elle pour conserver tout ce petit monde à bonne distance ? La gravitation ne devrait-elle pas tout précipiter sur la surface de la deuxième plus grosse planète du système solaire ?

La loi de la gravitation est une loi universelle qui doit pouvoir s’appliquer à tout objet cosmique de même nature. Il doit en exister une également pour les trous noirs, les naines blanches et autres objets typiques de l’univers visible.

 Poussons encore plus loin ce raisonnement, si j’étais un être techniquement plus avancé que moi, j’utiliserais pour me déplacer dans l’espace, la force gravitationnelle de l’U.P. et dans l’atmosphère, celle de la terre. En cas de fuite à grande vitesse, je rebasculerais sur la force gravitationnelle de l’U.P. pour m’extraire du lieu où je veux, ni être vu, ni être pourchassé. De la science-fiction ? Peut-être ! Mais observez la vitesse de déplacement de la terre, de notre système solaire et de notre galaxie, respectivement :

-         100 000 km/h

-         850 000 km/h

-         2.3 millions de km/h

Pour des objets aussi massifs c’est pas mal ! Alors imaginez ce qu’il serait possible de faire avec un véhicule spatial de seulement quelques milliers de tonnes.

Plus besoin d’énergie de propulsion, on utilise la « traction gravitationnelle » de l'univers primordial, qui, en théorie, pourrait déplacer ce véhicule jusqu’à la vitesse de la lumière…


[1] Retrouvez ce texte à la suite de celui-ci

[2] Un boson est une particule de spin entier

Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire

Autres pages consultées

Explorer les sujets