Bona fidé

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Services de relations publiques et communication

Paris, Île-de-France 3 907 abonnés

L'agence du point de vue d'avance.

À propos

Bona fidé, c’est une affirmation de l’importance de la sincérité dans le discours que portent plus que jamais les parties prenantes dans le débat public. Bona fidé, c’est assumer une vision positive d’un métier qui est souvent décrié, les affaires publiques et la communication n’ayant pas toujours bonne presse. Désormais organisée en trois pôles – Identités et stratégies, Influence et débat public, Idées et contenus – l’agence couvre l’ensemble des besoins de ses clients en communication institutionnelle, affaires publiques et relations presse.

Site web
https://bonafide.paris/
Secteur
Services de relations publiques et communication
Taille de l’entreprise
11-50 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Partenariat
Fondée en
2021
Domaines
Influence, Relations publiques, Relations presse, Média-training, Communication de crise, Positionnement, Plateforme de marque, Communication institutionnelle, Etudes et Partenariats

Lieux

Employés chez Bona fidé

Nouvelles

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    🎄 Les 10 essais à glisser sous le sapin selon Bona fidé 🎄 Les fêtes de fin d'année approchent à grands pas, et si vous êtes encore en quête d'inspiration pour vos cadeaux, pas de panique ! Chez Bona fidé, nous avons concocté une sélection d'essais qui sauront nourrir les esprits curieux 📚✨ 🎁 Voici notre top 10 des essais à (s’)offrir pour Noël : 1️⃣ La France à 20h du collectif « Les choses de la vie » Mathieu Souquière Raphaël LLorca Thierry Keller Axel Salmon Tristan Guerra Jean-Daniel Lévy Emmanuel Durand : Une mosaïque de récits saisissants de ce que font les Français à 20h (un ado dans sa chambre, un top manager en team building, une soirée à l’EHPAD). Une plongée aussi fascinante que documentée dans notre société en transformation. 2️⃣ La société du matching de Melchior Simioni et Philippe Steiner : Pour trouver un travail, un partenaire, une formation… nos vies personnelles et professionnelles sont aujourd’hui facilitées par les algorithmes de « matching ». Avec quelles conséquences ? Les deux sociologues brossent le portrait d’une société de plus en plus « singulariste ». 3️⃣ Penser sans entraves de Guénaëlle Gault et David Medioni : Un appel à sortir des concepts devenus des totems « l’archipel », « l’individualisme » ou la « décivilisation » qui nous enferment dans une vision plus décliniste de la société qu’il n’y parait. 4️⃣ Qui fait l’opinion. Crises démocratiques et nouveaux médias d’Antoine Bristielle : Une réflexion actuelle sur l’influence des médias dans nos démocraties fragilisées, examinant le rôle des nouveaux canaux d'information dans la formation de l'opinion publique. 5️⃣ Les barons du gaullisme de Pierre Manenti : Un éclairage historique sur les figures majeures du gaullisme et leur héritage, offrant une perspective approfondie et inédite de ces hommes qui ont dirigé la vie politique de la droite de 1947 à 1995. 6️⃣ Une brève histoire de l’égalité en bande dessinée de Sébastien Vassant et Stephen Desberg : L’adaptation sous format BD du best seller de Thomas Piketty 7️⃣ Les ressorts cachés du vote RN de Luc Rouban : Une enquête édifiante sur les dynamiques sociopolitiques derrière l’adhésion au Rassemblement National. 8️⃣ Nos lieux communs. Une géographie du monde contemporain de Michel Bussi, Martine Drozdz et Fabrice Argounès : Un atlas savant et ludique qui offre à travers ses 100 entrées, une géographie originale et contemporaine de nos décors partagés : la cour de récréation, le magasin de bricolage, l’ehpad ou l’agence immobilière. 9️⃣ Les institutions invisibles de Pierre Rosanvallon : Le sociologue se met au chevet du lien social pour comprendre ce qui cloche dans la crise démocratique que nous vivons. 🔟 Abécédaire de la réconciliation de Bona Fidé : Un ouvrage collectif pour penser la société de demain, proposer des voies et des voix originales pour ouvrir de nouvelles conversations et construire un avenir commun. Et vous, quel essai comptez-vous glisser sous le sapin cette année ? 🎄📖

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    ❔Renoncer ou agir❔ Face à l’urgence climatique, quel nouveau cap pour la transition énergétique ❓❓ C’est pour répondre à cette (délicate) question que nous avons accompagné ISALT sur l’organisation de cette nouvelle édition des Débats d’ISALT, à l’Hôtel de l’Industrie. Experts, chefs d’entreprise, investisseurs… se sont retrouvés pour en débattre devant une salle comble. Après une introduction d’Eric Lombard, DG du Groupe Caisse des Dépôts, les échanges ont permis d’aborder des questions essentielles : ✅ Quelle place pour la diplomatie climatique face à la nouvelle donne géopolitique ? Avec Emmanuel Bonne, conseiller diplomatique du Président de la République. ✅ Comment rendre cette transition désirable et combattre les renoncements ? Avec les économistes Patrick Artus et Anna Creti, et Renaud Dumora, président du FSP. ✅ Quelles innovation (et quels acteurs) pour y faire face ? Avec Xavier Barbaro, PDG de Neoen, Mathilde Grivet, cofondatrice de Jimmy, Sylvie Jéhanno, PDG de Dalkia et Christophe Périllat , DG de Valeo Les échanges se sont terminés sur une note positive et encourageante avec l’intervention de Laurence Tubiana, économiste et diplomate, architecte de l’Accord de Paris, présidente de la Fondation européenne pour le climat et membre du Haut Conseil pour le climat. Bravo à toute l’équipe d’ISALT mobilisée, cette année encore, pour faire de cet événement une réussite ! Nicolas Dubourg Patricia Salomon Jean-Hervé Lorenzi Daniel Rayot

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    🤝 L’Association Communication publique tenait vendredi dernier ses entretiens annuels dédiés à la question de la réconciliation. Dans un dialogue d’ouverture animé par Robert ZARADER, Marylise Leon, secrétaire générale de la CFDT, a donné son point de vue sur le sujet : 👉 « Le politique a besoin des corps intermédiaires. Nous sommes le bon capteur de ce qui se passe dans la société. Aucun premier ministre ne pourra faire sans. » 👉 « Chacun doit pouvoir trouver sa place dans les solutions proposées. C’est à cette condition que nous pourrons réconcilier les Français avec la promesse politique. » 👉 « La communication publique doit miser sur l’intelligence collective et ne jamais céder à la tentation du slogan permanent pour ne pas appauvrir le message. Les Français n’attendent pas la confrontation systématique. » Une introduction qui a permis de lancer un travail en ateliers ultra riche. Pour tout suivre : rdv sur Association Communication publique !

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    Peintre, psychanalyste, père des études projectives appliquées à la communication politique, spin doctor au service des présidents François Mitterrand et Jacques Chirac et en duo avec le « sorcier de l’Élysée » Jacques PILHAN 🧙♂️… Jean Luc Aubert est venu transmettre ce que les communicants de moins de 20 ans ne peuvent pas connaître !   L’occasion de revenir aux fondamentaux dans une période embrumée, notamment pour les communicants, avec trois enseignements qui nous ont marqué 💡 :   Créativité & intuition – La communication politique est une affaire d’intuition, ensuite confirmée ou non par des études projectives 🔍 (les focus groupes ou « qualis »). Celles-ci permettent de construire des positionnements symboliques, qui doivent être déployés au bon endroit, au moment juste et avec le bon émetteur.   Opération Greta GARBO 💃 – dans les années 1980, Jean-Luc Aubert et Jacques Pilhan s’inspirent de la notion du désir en psychanalyse pour conceptualiser la rareté de la parole présidentielle. À l’image de l’actrice iconique Greta GARBO qui organise ses propres apparitions et disparitions pour créer l’événement, les deux spin doctors pensent l’« écriture médiatique » en concevant des séquences médiatiques.   Le réel est dans l’écran – dans leur toute première étude projective (ou focus groupe), Jacques Pilhan et Jean-Luc Aubert constatent que les représentations de la population se construisent dans ce qu’ils regardent à la télévision 📺 – dit autrement, c’est dans le poste de télévision que la réalité se façonnait ! Si le média de rassemblement que représentait la TV a en partie disparu et que les enjeux médiatiques se sont complexifiés, la construction des représentations à travers les médias, réseaux sociaux, films ou séries est toujours d’actualité !   Entre 1000 et 1 anecdotes il a laissé quelques « forces de l’esprit » à l’agence !

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    📊 C’est bientôt la fin d’année et notre Institut a sélectionné rien que pour vous un top 6 (très subjectif) des chiffres issus de nos enquêtes (très sérieuses) d’opinion en 2024. Il y en a pour tous les goûts et vous pouvez retrouver les résultats complets de nos sondages directement sur notre site internet 📲 https://www.bonafide.paris 1️⃣ Il paraît que ça rend aimable. La carotte est le légume n° 1 des Français, les Espagnols préfèrent les haricots, les Italiens raffolent des salades, les Allemands et les Néerlandais le brocoli. Pour les fruits les avis sont plus consensuels avec la pomme en tête en France, en Allemagne et en Italie tandis qu’Espagnols et Néerlandais citent plus souvent la banane. (4000 personnes interrogées en France, Allemagne, Pays-Bas, Espagne et en Italie, 800 dans chaque pays. Échantillons nationaux représentatifs, questionnaires auto-administrés on line, quotas régionaux) 2️⃣ L’église au milieu du village. 95 % des maires de France n’ont pas les moyens d’entretenir et de préserver le patrimoine bâti de leur commune comme ils le souhaiteraient. (Échantillon représentatif des Maires de France, 753 personnes interrogées, quotas région, taille de la commune)) 3️⃣ IA pas de quoi s’inquiéter. 70 % des étudiants et jeunes diplômés du secteur musique/audiovisuel/spectacle vivant voient dans le développement de l’Intelligence Artificielle une opportunité plutôt qu’une menace. (Consultation des étudiants et alumni d’écoles du secteur, recrutés sur fichiers. Questionnaire auto-administré en ligne) 4️⃣ Papier fait de la résistance. Les trois-quarts des habitants d’une grande ville d’Ile-de-France s’opposent à la suppression de la version papier de leur journal municipal (10 % seraient d’accord pour ne conserver que la version numérique et 15 % n’ont pas d’avis). Ce journal est d’ailleurs la première source d’informations sur l’actualité de la ville (75 % de citations), loin devant les réseaux sociaux (45 %), le bouche-à-oreille (35 %) et les affiches (30 %). (Étude de lectorat, questionnaire on line [QR Code dans journal municipal et affiches] et questionnaire papier à disposition dans salles d’attentes des lieux publics municipaux) 5️⃣ Back to the future. Un Français sur deux a l’impression de vivre dans un pays « en régression » (un quart dans un pays « en progrès », un quart « ni l’un ni l’autre »). (Échantillon national représentatif de 1000 Français 18 ans et + (quotas sexe, âge, csp, région). 6️⃣Glasnost. 83 % des salariés seraient favorables à la « transparence totale des salaires, qui seraient rendus publics dans toutes les entreprises, pour tous les salariés et tous les dirigeants ». (800 personnes interrogés, constituant un échantillon représentatif des salariés français (quotas sexe, âge, csp, région, taille de l’entreprise, temps plein / temps partiel). Rendez-vous en 2025 pour continuer d’osculter l’opinion des Français et (d’essayer) de comprendre les transformations de la société ! 🩺

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    💡 Quand la démocratie politique est en crise, la démocratie économique innove et propose des pistes de réconciliation. ✒️ Une tribune de Youssef Achour sur la base de notre enquête pour Up Coop en septembre dernier. Grâce aux travaux de notre Institut, nous sommes heureux de participer au débat public. À lire dans La Tribune !

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    Président de la coopérative UpCoop et du groupe Up. Président de la CRESS IDF

    À l’heure où la démocratie politique connaît tant de turbulences, la démocratie économique doit être à la hauteur des enjeux ! Je vous invite à retrouver ma contribution dans les colonnes de La Tribune sur la fin d’un tabou français : la transparence des salaires.    83 % des salariés français sont favorables à « une transparence totale des salaires, dans toutes les entreprises, pour tous les salariés et tous les dirigeants » (Institut Bona fidé septembre 2024)  La transparence salariale sera bientôt une obligation, et si l’opinion est à ce point en avance sur la législation c’est que nous avons l’occasion de rendre enfin effective l’égalité de rémunérations notamment entre les genres. La transparence salariale, c’est aussi remettre du dialogue, de la considération et de la justice dans la culture managériale, c’est une étape supplémentaire dans le long chemin de la démocratisation des entreprises. Pour Up Coop qui fête ses 60 ans cette année, la démocratie économique est une expérience quotidienne. Dans notre gouvernance, une personne = une voix et notre grille de salaire se situe en toute transparence dans un écart de 1 à 12.    L’actualité ne cesse de nous le rappeler, nous n’avons jamais autant eu besoin de transparence, de coopération, et la société civile a quelques idées pour y arriver ⬇️

    Transparence des salaires : en finir avec un tabou français !

    Transparence des salaires : en finir avec un tabou français !

    latribune.fr

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    🎀 Bona fidé est fière d'avoir accompagné le nouveau Groupe Lockroy (ex Groupe ABCIS) pour inaugurer la première charpente d'Europe en aciers réemployés multi-sources.   Cette charpente est le fruit d’une démarche innovante conduite par Lockroy à la demande de l'industriel français SOMEFLU - Corrosion resistant centrifugal pumps. Elle a été réalisée à partir d’aciers provenant de différents chantiers, certains sont emblématiques comme ceux de la Samaritaine à Paris et de la Tour Trinity à La Défense.    🏭🌱 Ce projet ouvre la voie à une construction plus durable des usines françaises, alors que la construction reste le secteur le plus générateur de déchets.   📣 Catherine Borg Capra, directrice de la filière industrielle de Bpifrance, était l’invitée d’honneur de cette journée.

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    Directrice générale adjointe

    Le jour de la marmotte. 🥎 Toute l'équipe est de nouveau mobilisée pour décrypter l'actualité politique du moment et les conséquences d'une motion de censure (plongée dans la Constitution, les notes du SGG, les règlements du Parlement...). C'est le retour de notre Gazette quotidienne (si vous voulez vous abonner, contactez moi !). #onestsurlaballe 🤯 Pour le reste, une sensation d'écœurement, de gâchis. Une forme d'inconséquence qui éloigne évidemment les gens de la vie politique mais qui a aussi un impact très direct sur les acteurs économiques. Pour en accompagner de nombreux depuis 4 ans, je me rends compte du décrochage entre l'agenda politique et l'agenda d'une entreprise. Personne n'y comprend rien : les médias parlent d'une mesure adoptée en 1ère lecture d'un PLF comme définitivement acquise alors qu'il n'en est rien, suscitant espoir ou inquiétude sans raison ; l'adoption de la motion ouvre le champ à plein de scenarios (et il faut avoir un doctorat en droit constit' pour tout comprendre), empêchant les entreprises de se projeter en 2025 ; les changements fréquents de ministres obligent les acteurs éco/associatifs à représenter sans arrêt leurs problématiques etc. Comment expliquer à une entreprise qui attend la publication (depuis 5 ans) d'un décret primordial pour son activité qu'elle va devoir encore patienter ; qu'elle va devoir encore rencontrer de nouveaux interlocuteurs pour refaire de la pédagogie sur son sujet ? 💸 C'est dans ces moments que l'on se rend compte de l'importance de construire un vrai récit. Tout au long des débats budgétaires, le Gouvernement s'est pris des leçons de morale de rigueur budgétaire de la part de parlementaires déposant des amendements qui creusent toujours plus la dépense publique. C'est à se demander s'il ne faudrait pas mettre en place une forme de "bilan budgétaire du parlementaire", à la façon du bilan carbone. Parce qu'expliquer à longueur de journée que le pays n'est pas tenu et déposer depuis 5 ans (parfois 10 ans, 20 ans) des amendements qui aggravent le déficit, c'est parfois cocasse ! En parallèle, les positions tranchées de certains décideurs politiques - notamment sur le sujet de la taxation (il y a un espace entre tout taxer et rien taxer, me semble-t-il) sont parfois apparues déconnectées du moment. Mais, au fond, qui sait vraiment ce qu'il y a dans ce budget de la sécurité sociale qui a pourtant provoqué la chute de Michel Barnier (faites le test autour de vous) ? C'est ça qui est terrible : c'est difficile, de part et d'autre, d'avoir un récit clair, et donc de construire - à terme - un socle commun d'idées. 🗞️ Bref, nous on repart à notre Gazette et on se prépare à la production de l'énième trombinoscope du Gouvernement ! Il est vrai que, dans ce climat, on n'a certainement jamais eu autant besoin de spécialistes des affaires publiques pour décrypter ce qu'il se passe...

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    📝 Souvenez-vous, le 10 juin, les équipes #affairespubliques vous proposaient un dispositif exceptionnel de suivi des élections législatives à venir ! Puis, elles vous proposaient un dispositif exceptionnel – qui a finalement duré 51 jours – pour la nomination du Premier ministre. Elles avaient même suivi la passation entre Gabriel ATTAL et Michel BARNIER en plein séminaire à Toulon… 😅   🆕🗞️6 mois après son lancement, il est déjà temps de ressortir notre fameuse Gazette quotidienne pour tout comprendre sur les conséquences d’une motion de censure et décrypter les prises de position de chaque camp politique jusqu’à la nomination d’un nouveau chef/d’une nouvelle cheffe du Gouvernement.   📢 Intéressé(e) ? Vous pouvez directement écrire à Léa Roussarie, notre directrice générale adjointe en charge de l’influence, pour recevoir la Gazette Bona fidé : lroussarie@bonafide.paris   À bientôt ! Jean Roubinet François-Xavier Vaslin Marie-Astrid Jardé Emma Raiga-Clemenceau Jeanne Roverc’h Jean de Hillerin Elie Bittar Camille GARNIER Jade Soullard Leo Mustafovic

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    Lisez ici ce que vous ne lirez pas ailleurs ! Tous les mois, nous décryptons les tendances qui reflètent le changement et les mouvements inattendus de société. Au programme du mois de novembre : 1️⃣ De l’entreprise-providence à l’entreprise-prudence ? 2️⃣ Le jeu de société : du je au nous 3️⃣ Culture Club avec Les institutions invisibles de Pierre Rosanvallon 4️⃣ L'interview de Magali PAYEN 🌻, fondatrice du mouvement On Est Prêt & IMAGINE 2050 6️⃣ Les idées anti prêt-à-penser®: la conversation, « une forme de résistance » au populisme ? 7️⃣ L'œil du Docteur Jequier, entreprises : de l’engagement à la neutralité ?

    Les Signaux Forts du mois de novembre !

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