ECO SAVOIE MONT BLANC | Actualités économiques en Savoie Mont Blanc | Groupe Ecomedia

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ECO Savoie Mont Blanc ? Ce sont les actus économiques de Haute-Savoie et de Savoie.

À propos

ECO Savoie Mont Blanc ? Ce sont les actus économiques de Haute-Savoie et de Savoie.

Site web
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Secteur
Édition de journaux
Taille de l’entreprise
11-50 employés
Siège social
CRAN-GEVRIER
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
1869
Domaines
média, presse, actualités économiques, Haute-Savoie et Savoie

Lieux

Employés chez ECO SAVOIE MONT BLANC | Actualités économiques en Savoie Mont Blanc | Groupe Ecomedia

Nouvelles

  • #Suppressions de postes chez Bayer et Groupe Rossignol Les temps sont durs. Le groupe chimique et pharmaceutique allemand Bayer a annoncé, en octobre, 400 suppressions de postes en France à mi-2025. Son centre de R&D de #Gaillard (74), spécialisé dans les topiques-galéniques et dans les #vitamines, est touché. « Un coup de tonnerre pour les salariés, qui ne s’y attendaient pas », déclare une représentante syndicale CFDT de Bayer. Vingt salariés "tout désignés" se retrouvent sur la sellette sur les 94 recensés dans l’entreprise, soit 20 % de l’effectif. « L’activité “vitamines et santé digestive” sera délocalisée à Morristown, aux États-Unis, où le marché est plus gros et plus facile qu’en Europe », explique la syndicaliste, invoquant la raison donnée par le groupe. L'élue syndicale pointe « des mesures de reclassement qui ne sont pas à la hauteur de ce qu’un groupe comme Bayer devrait proposer ». Des #négociations sont en cours. Par ailleurs, mais toujours en Haute‑Savoie, le groupe Rossignol a fait savoir aux représentants du personnel de Dynastar sur le site de #Sallanches « qu’il arrêtait la production des #skis junior injectés, très concurrencés (baisse des volumes de 45 % sur cinq ans), pour se concentrer sur les skis à valeur ajoutée milieu et haut de gamme ». Neuf #emplois (un encadrant et huit opérateurs) seront supprimés. Les #syndicats se disent inquiets, après le dernier plan social qui avait vu le #licenciement de 61 salariés fin 2020.

  • #LesÉtincelles en #redressement judiciaire Whitegold Hospitality créé par Guerlain Chicherit, qui détient le groupe hôtelier Les Étincelles, a été placé en redressement judiciaire le 5 novembre 2024 par le tribunal de commerce de Chambéry (tout comme sa holding de tête Desavoie Real Estate en RJ depuis le 12 novembre). Selon Pappers.fr, la SAS, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 3 M€ à fin septembre 2023, affiche 2,2 M€ de pertes. La #dette cumulée s’établit à 5,5 M€. L’entreprise est en cessation des paiements depuis le 16 octobre. Les éventuels #repreneurs ont jusqu’au 16 décembre pour déposer une offre auprès de l'#administrateur judiciaire.

  • #Arlysère : la préemption comme arme de densification foncière. La loi “climat et résilience” pour la réduction des gaz à effet de serre impose aux acteurs du territoire, et a fortiori aux collectivités, une maîtrise drastique du foncier. De son côté, la Communauté d'agglomération Arlysère met tout en œuvre pour garder la maîtrise de son tissu urbain et agricole. La loi impose, d’ici 2050, la « zéro artificialisation nette » du #foncier. Cette échéance rend fébriles les territoires, et la rareté du foncier se fait sentir. À cela s’ajoutent, pour les territoires de Savoie, des contraintes au-dessus de celles des hommes : inondabilité, risques naturels (avalanches, éboulements…), zones protégées… Autant d’obstacles à une urbanisation maîtrisée. Mais Franck Lombard, président d’Arlysère, refuse de céder au fatalisme : « Depuis une vingtaine d’années, nous nous battons avec les services de l’État qui nous ont imposé la crue millénaire. À ce jour, il nous reste entre dix et quinze hectares de foncier constructible. Nous avons pris la décision, il y a plusieurs années déjà, de préempter tous les terrains et bâtiments qui sont mis en vente. Cette politique agressive est indispensable pour notre avenir. » Défendre l’intérêt général Jeudi 5 décembre, à Albertville, un “afterwork” était consacré par Arlysère à sa politique de reconquête du foncier disponible, en lien avec l’agence économique Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises (Arae). Une soixantaine d’entreprises ont pris part à cette rencontre, intéressées de savoir comment anticiper l’obligation de réduire de moitié la consommation foncière à horizon 2030 pour atteindre l’absence totale en 2050 imposée par la loi “#Zan” (zéro artificialisation nette). « La première des choses que nous faisons, c’est de demander des dérogations aux différents ministres en ce qui concerne la crue millénaire, notamment au Premier ministre Michel Barnier, mais malheureusement, il n’est déjà plus là », déplorait Franck Lombard, qui martelait, en outre : « Sur le secteur de Gilly-sur-Isère, à proximité de l’aérodrome, il était prévu une centaine d’hectares d’extension. Aujourd’hui, tout cela passe à la poubelle malgré les demandes de dérogation. Cela signifie qu’en termes de développement, nous n’avons pratiquement plus aucun terrain. » Aussi, Arlysère scrute le moindre mouvement sur le foncier bâti, se portant acquéreur en usant d’une arme de densification massive : le droit de préemption. « Si nous ne préemptions pas, que ce soit pour l’habitat, l’agriculture ou l’industrie – sujette à d’importants mouvements actuellement –, nous irions à l’encontre de... Lire la suite sur : https://lnkd.in/d_GVWTrt

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  • Marie Bochet : « Il y a de beaux messages de paix à transmettre par le #sport » Marie Bochet, 30 ans, 9 #médailles aux #JeuxParalympiques, vient de raccrocher les #skis. Dans le #Beaufortain, la “ Reine des neiges” se lance dans un nouveau marathon, avec la sortie d’un livre et d’un film documentaire, entre autres engagements personnels. Mardi 10 décembre au soir, environ 200 personnes ont convergé vers le Dôme Cinéma d’Albertville pour assister, en présence de l’intéressée, à l’avant-­première du documentaire Fais chanter la neige, qui retrace les moments clés de la dernière saison de Marie Bochet en Coupe du monde de ski. C’est donc une jeune retraitée, aussi inusable que ses neuf médailles remportées aux Jeux paralympiques (dont huit en #or), qui prépare sa reconversion. Son palmarès affiche aussi 22 titres de championne du monde et 107 victoires en Coupe du monde. Et pourtant, la “Reine des neiges” a bien raccroché les skis… Et ses premiers pas hors compétition laissent présager d’autres victoires dans des disciplines encore inexplorées. Déjà, son livre autobiographique, Mon petit doigt m’a dit, coécrit avec Yves Perret, vient de paraître en novembre, aux Editions les Passionnés de bouquins, à Lyon. « Ce n’est pas peu de chose de le voir aujourd’hui en librairie et entre les mains d’autres personnes », s’émeut Marie Bochet. Si la championne cultive sa fibre sportive, elle n’en oublie pas de mettre sa notoriété au service de grandes… et plus modestes causes, comme devenir marraine de l’association “Pour que Lana gravisse la montagne”, à Notre-Dame-de-Belleville. Dans le Beaufortain, toujours, où les pistes de ski l’ont vu gagner en assurance et se forger un nom à la force de son bras valide, l’habituée des podiums se soucie des athlètes qui fréquentent son ancienne salle de préparation physique. Avec la biathlète albertvilloise Julia SIMON, six fois championne du monde, elles ont œuvré ensemble pour réunir des fonds destinés à remettre en état cet espace de musculation réservé aux sportifs licenciés du... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dupAD24A

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  • Crèmerie #Dubouloz : le savoir-faire en héritage. Le #fromager affineur annécien, connu pour ses produits de qualité, investit dans de nouveaux locaux et caves à Poisy (74), pour pérenniser son entreprise. Chez les Dubouloz, on est crémier fromager et affineur de père en fils depuis trois générations. Créée en 1950, la société voit le jour dans la maison familiale à Annecy, près de la place des Romains. C’est dans les sous-sols de celle-ci que Jean Dubouloz creuse sa première cave en 1960, pour pouvoir conserver les fromages qu’il achète chez les producteurs. En 2024, son petit-fils Marc, qui a repris l’entreprise en 2018, décide de “changer de crémerie” et de s’installer à Poisy début janvier. Il y fait l’acquisition de 450 m2 de locaux neufs répartis sur deux niveaux, dont une partie semi-enterrée réservée aux caves. « La maison familiale était trop exiguë et nécessitait une remise aux normes », explique Marc Dubouloz, qui a investi 1,2 M€ (matériel compris) pour pérenniser l’entreprise et faciliter l’accès aux fournisseurs. La CREMERIE DES MARCHES affiche un chiffre d’affaires de 1,9 M€ en 2024 et emploie 11 salariés. Si, à l’origine, l’entreprise vendait uniquement sur les marchés – d’Annecy à Seyssel ; mais aujourd’hui seulement à Annecy et alentour –, elle a, depuis, ouvert un premier magasin à Poisy en 2011, puis un second à Annecy-le-Vieux il y a trois ans, pour développer une nouvelle clientèle et d’autres services. « Aujourd’hui, le gros de notre chiffre d’affaires, soit 1,2 million d’euros, est généré par les magasins, mais les marchés représentent toujours un tiers de nos ventes », se félicite Marc Dubouloz, qui les arpente du mardi au samedi à bord de sa remorque, et ne donnerait sa place pour rien au monde. Lire la suite sur : https://lnkd.in/dqAyVMUn

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  • #Logement #social : Haute-Savoie HABITAT lance un cri d’#alerte. Alors que le logement social est en pleine #crise, impacté par celle plus globale du logement, le bailleur haut‑savoyard veut trouver des solutions pour produire plus. La demande de logements sociaux explose partout en France en 2024 : 2,6 millions de ménages attendent un HLM, soit +7,5 % sur un an, indique l’Agence nationale de contrôle du logement social. En cause : la hausse des prix de l’immobilier, la pénurie d’offres locatives, le durcissement des conditions d’octroi de prêt, la baisse du pouvoir d’achat et l’effondrement du marché du neuf. Cette crise du logement sans précédent impacte le parc social. Et quand on sait que 70 % des ménages sont aujourd’hui éligibles, et que 182 000 logements n’ont pas été construits en France depuis 2021, le monde HLM s’alarme. La production en chute En Haute-Savoie, la situation est tout aussi catastrophique, dans un département aux frontières de la Suisse, où le coût de la vie est élevé. Ainsi, 37 000 demandes ont été enregistrées fin 2024, en hausse de 12 %. S’y ajoute un effondrement du taux de libération, autour de 5 % alors qu’il est de 7 à 8 % habituellement, ce qui limite l’offre de logements. Premier bailleur social du département, Haute-Savoie Habitat (HSH) lance un cri d’alerte. Chiffres à l’appui : 181 logements ont été mis en chantier en 2024, après le coup d’arrêt de 2022 dû à la flambée des coûts de la construction. C’est un peu plus qu’en 2023 (145), mais beaucoup moins qu’en 2019, avant crise. Quant aux logements livrés en locatif, leur nombre s’élève à 412, en baisse de 17 % sur un an. S’agissant des programmes financés, 271 logements l’ont été en 2024… contre 500 en moyenne par an habituellement, avec un point bas en 2023 (164). « Conséquence de la crise multisectorielle que nous vivons : les promoteurs peinent à sortir les opérations ! Résultat : 22 % seulement de notre programmation est en Vefa [vente en l’état futur d’achèvement, NDLR], contre 65 % les années précédentes », réagit Pierre-Yves ANTRAS, directeur général de Haute-Savoie Habitat. Lire la suite sur : https://lnkd.in/daUpkwar

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  • À l’occasion de ses 40 ans, #Arva-Nic Impex SAS vise la sobriété. Basé à #Annecy, le fabricant et distributeur de produits #outdoor Nic Impex, spécialisé dans les détecteurs de victimes d’avalanche (Arva), célèbre quarante ans d’innovations. L’opportunité pour la PME de se réinventer et d’investir dans des bureaux flambant neufs. Fondée en 1984 à Meythet, la petite entreprise familiale Nic Impex a su trouver sa voie et assurer sa pérennité. Dès ses débuts, elle se lance dans la distribution d’articles de sport comme les cache-oreilles et les peaux de phoque et codéveloppe les premiers détecteurs de victimes d’avalanche (DVA) pour les professionnels, dont le premier Arva 4000. « Mon père avait créé cette entreprise pour ma mère, athlète de haut niveau », rappelle Patrick Giraudon, le PDG. « À l’époque, ces marchés étaient ultraconfidentiels. Elle réalisait 99 % de son chiffre d’affaires l’hiver (1,8 M€), avec sept salariés. » Diversification et internationalisation Lorsqu’il reprend les rênes de l’entreprise, en 2000, celle-ci frise le dépôt de bilan. Après quelques années difficiles, le jeune dirigeant fait le choix de se diversifier et de s’internationaliser. Fin 2006, il rachète la société aixoise Cedam, distributeur des skis de randonnée Trab, des fixations Fritschi et des bâtons Komperdell. Dans la foulée, il internalise la R & D et la fabrication des appareils de recherche des victimes d’avalanche et crée la marque Arva. Et, en 2014, il ouvre une filiale aux États-Unis, près de Salt Lake City (Utah). Deux ans plus tard, les premiers airbags font leur apparition sur le marché. L’entreprise se restructure, avec d’un côté, Nic Impex, distributeur de produits outdoor, et de l’autre Arva, spécialiste de la sécurité en montagne. D’autres marques étoffent son portefeuille… Quinze, à ce jour (Sea to Summit, Jetboil, Hydrapak…), dédiées au camping et au trekking, et dont elle assure la distribution exclusive en France et en Italie. « Dans le but de pallier les mauvais hivers et d’équilibrer nos recettes hiver-été », dit Patrick Giraudon... Lire la suite sur : https://lnkd.in/d4GJn-2x

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  • Coco Locaux : la #cuisine dans tous ses états. Devenue #cuisinière pâtissière par passion (elle l’avait décidé très jeune en confectionnant des gâteaux à la maison), Corinne Blanchet se découvre une véritable vocation en effectuant ses études au CFA DE GROISY, dont elle ressort diplômée d’un double CAP de cuisine (avec une mention complémentaire de dessert à l’assiette) et de pâtissier-glacier-confiseur-chocolatier. Elle y acquiert toutes les techniques. « Je voulais avoir une formation complète », explique l’entrepreneuse. C’est après avoir accouché de son deuxième enfant, et travaillé dans plusieurs établissements, qu’elle décide de se mettre à son compte, à 38 ans « pour avoir une vie de famille plus équilibrée », dit-elle. Elle emprunte pour acheter un container maritime de 13 m2 (à Yaute Box) dans la zone artisanale de #VilleLaGrand, dans lequel elle aménage sa cuisine professionnelle, et lance Coco Locaux en mars 2024. Son credo : cuisiner des plats à emporter, avec un seul menu proposé chaque jour de la semaine. S’y ajoute une activité traiteur pour les réceptions (mariages, séminaires, anniversaires…) Et la mayonnaise prend. Actuellement, elle concocte environ 30 repas par jour pour les salariés des entreprises et les personnes âgées alentours. Des menus goûteux aux portions généreuses et au bon rapport qualité prix. « Je n’utilise que des produits frais de saison et locaux parce que le goût et la qualité sont importants », souligne Corinne, qui travaille en circuit court. Et, en cette fin d’année, les commandes affluent. « Pour Noël, je propose également à mes clients (une cinquantaine en portefeuille) des bûches de Noël et un foie gras de canard… uniquement du fait maison ! », sourit la fondatrice de Coco Locaux, seule aux fourneaux. Si Corinne confie ne pas pouvoir vivre de son activité pour l’instant, elle espère... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dfrkt6zc

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  • #Industrie : nouvelle jeunesse pour la centenaire Reboul SAS. La meilleure entrée de notre TOP 500 2024 (361e) n’a rien d’une nouvelle entreprise : plus que centenaire, sous l’égide d’Aptar, elle renoue avec un niveau d’activité inédit depuis 2008. Chez Reboul, le label Entreprise du patrimoine vivant (#EPV) est fièrement exhibé dans le hall d’accueil. L’entreprise est riche de plus d’un siècle d’histoire : elle a célébré son centenaire en 2021. Mais sans nostalgie : un coup d’oeil rapide autour des vitrines où trônent les productions d’hier et d’aujourd’hui rappelle que nous sommes dans une usine moderne (inaugurée en décembre 2014), tournée vers l’avenir plutôt que vers le passé : dans EPV, le “E” de “entreprise” précède bien le “P” de “patrimoine”. « Passionné d’industrie », Bruno Foulogne, directeur du site depuis 5 ans, n’ignore rien de l’histoire prestigieuse de #Reboul. Et ne cache pas sa satisfaction de voir l’entreprise intégrer le “Top 500” grâce à une spectaculaire croissance : 7,1 M€ en 2021, 11,9 M€ en 2022 et… 20,5 en 2023 ! Le chiffre d’affaires 2024 n’est pas encore dévoilé mais « nous continuons de grandir », assure le dirigeant. Comment s’explique ce quasi- triplement du chiffre d’affaires en trois exercices ? D’abord « par le savoir-faire, reconnu par la profession et par toutes les parties prenantes », répond Bruno Foulogne ; et par l’implication des équipes « qui adorent le produit et ont envie de redonner à Reboul toutes ses lettres de noblesse. » Mais Reboul récolte aussi les fruits du plan stratégique lancé par le directeur à son arrivée, malgré la crise sanitaire qui a fait plonger l’activité au plus bas : « quand tout le monde porte un masque, personne n’achète plus de rouge à lèvres (la spécialité de Reboul – NDLR) … » Il a donc fallu gérer concomitamment une phase de décroissance, tout en planifiant la reprise. « Le groupe Aptar (actionnaire depuis le printemps 2018 – NDLR) a validé cette approche et m’a soutenu », remercie Bruno Foulogne. « Nous avions une faiblesse », déroule-t-il ensuite : « une seule ligne de produits et trois clients. Nous avons alors travaillé à la fois sur la transformation nécessaire – maîtriser les coûts, l’innovation produit et... Lire la suite sur : https://lnkd.in/d7fbCc2u

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  • #Savoie : NUMERISAT lance son démonstrateur #5G privé. Fournisseur de solutions très haut débit, le Savoyard Numérisat développe un démonstrateur 5G privé à Savoie Technolac. Depuis sa création en 2016, Numérisat fournit des connexions internet très haut débit aux professionnels et particuliers dans les zones où les solutions classiques fonctionnent mal. « Déployées au niveau mondial avec une forte présence en France et au Benelux, nos offres de connexion 4G et 5G, satellite ou fibre optique, sont complétées par des solutions dédiées aux nouveaux usages de l’#internet. Elles répondent aux besoins de bon nombre de professionnels (agriculteurs, commerçants, saisonniers, événementiel…) et collectivités », détaille Patrick ROUSSET, son directeur général et cofondateur avec Didier Flaender, président. Sécurité et débit très élevés C’est dans ses locaux de Savoie Technolac que la société savoyarde développe un démonstrateur 5G privé. « Cette sorte de bulle couvrant le technopôle présente la particularité d’offrir un niveau de sécurité très élevé (elle n’est pas accessible via les cartes Sim classiques) et un débit puissant, avec des temps de latence extrêmement faibles », ajoute Patrick Rousset. Lancé en partenariat avec les sociétés Firecell et SES, ce réseau qui peut être facilement déployé est le premier à associer technologies 5G classiques et satellitaires. Il permet de nombreux usages allant de l’IOT (internet des objets), aux services “très large bande”. Des applicatifs permettent par exemple de vérifier le port du casque sur un chantier via la vidéosurveillance, ou de produire un jumeau numérique afin de visualiser les places disponibles sur un parking... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dpTQH376

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