Post de Annelise Stern

Pourquoi est-ce plus difficile de rentrer dans une galerie d’art que dans un musée ? 🤔 Je suis en retard dans mes posts lors du challenge #JeRamenMaFraise créé par RamenTaFraise et Nina Ramen 🍓 et pour cause, j’ai consacré mon weekend à la visite d’expositions. C’est un peu le cœur de mon métier ; ces visites me permettent de me tenir au courant des tendances, d’alimenter mes recherches, et de vous proposer le meilleur contenu. Pour cela, j’adopte toujours mon regard de spectatrice, de consommatrice, et de jeune collectionneuse. Mais avant de pouvoir faire tout ça, j’étais très timide, et rentrer en galerie me faisait peur : c’est pourquoi j’ai envie de vous partager 5 conseils que j’aurais aimé avoir avant de me rendre en galerie : 1.     Trouvez les occasions 🥂 En France, on a la chance d’avoir un réseau des galeries assez riche et que l’on trouve facilement en ligne. Le Comité Professionnel des Galeries d'Art (CPGA) et le réseau Adele - réseau art contemporain recensent beaucoup de galeries membres dans les métropoles parisiennes et lyonnaises. A vous de trouver les vernissages, les déjeuners, rencontres qui vous intéressent comme Paris Gallery Weekend. 2.     Venez comme vous êtes 🕺 Votre manière de vous habiller ne doit pas déterminer la façon dont on vous reçoit en galerie. De la même manière, vous n’avez pas besoin de connaître tous les codes (quand est-ce qu’on en finira avec ça ?) pour vous sentir légitimes d’apprécier une exposition, d’en parler, et d’acheter de l’art. 3.     Discutez avec le.la galeriste 🗣️ Super, vous avez passé le pas de la porte et vous vous sentez plus à l’aise. Mais vous avez des questions : quel est le parcours de l’artiste ? Quels sont les matériaux utilisés ? Osez ! Le.la galeriste est là pour vous répondre: iel doit accueillir son public, le guider dans un parcours de vente, et défendre ses artistes, peu importe si vous achetez ou non ! 1.     Demandez la liste des prix 📜 Cette liste peut être à l’origine de bonnes surprises ! Pour vous donner un ordre d’idées, les galeries ont souvent des gammes de multiples (prints, estampes, dessins) dont les prix d’entrée peuvent varier entre 25 et 500€. Bien entendu, un prix plus bas ne signifie pas une mauvaise qualité de l’œuvre. Le prix d’une œuvre varie en fonction de ses matériaux, de la renommée de l’artiste, parfois de certains frais de production ou de la taille de l’œuvre… 2.     Gardez contact ! 📧 Si vous avez acheté une œuvre, le.la galeriste vous ajoutera automatiquement à sa liste de clients. Si vous n’avez pas acheté, vous pouvez demander à joindre la liste de communication. Garder contact vous permettra de vous tenir au courant des évènements de la galerie. Je suis Violette, et j'ai créé OSTRA, un média en ligne. A travers l'étude de l’art aborigène, je vulgarise le fonctionnement du marché de l’art pour des jeunes collectionneurs qui souhaitent acheter plus éthiquement. Rejoins-nous sur Instagram et TikTok : ostra.aboriginal.

#BD #manga #comics #marché C’est vendredi, c’est donc #TourDeMarché, et cette semaine on va profiter de l’ouverture de l’événement « La BD à tous les étages » au Centre Pompidou pour s’intéresser à la place de la bande dessinée dans les musées. C’est parti ! Ah, il est loin le temps où, en 2008, on saluait comme historique le don d’une planche originale de Tintin (la p.12 de « L’Affaire Tournesol ») par Fanny Rodwell au Centre Pompidou, marquant la première fois qu’une œuvre de bande dessinée entrait dans ses collections permanentes (petite bizarrerie, la date figurant sur la notule descriptive dans le catalogue en ligne [https://lnkd.in/eknpQZHb] indique 2006, contrairement aux coupures de presse, comme ici [https://lnkd.in/e9iwshcZ]). Le musée avait d’ailleurs été un peu embêté de ce cadeau, ne sachant trop où le mettre, pour finalement l’exposer (temporairement) dans le « Container Zéro » de Jean-Pierre Raynaud, installation créée par l’artiste pour les dix ans du Centre. Cet article de La Croix [https://lnkd.in/eAVtgpN9] indique d’ailleurs que c’est encore à ce jour la seule planche que possède le musée, mais que ce dernier semble désormais déterminé à élargir sa collection. Il faut reconnaître que la bande dessinée est un objet difficile à classer dans les catégories artistiques — portant la trace de la main de son créateur, tout en étant destinée à une large diffusion, succès et valeur artistique étant souvent considérés comme antinomiques. La suite, à lire sur du9:

agnès b. ouvre les portes de la Galerie du Jour Agnès b. en 1984. Son objectif ? Offrir un espace aux jeunes talents, souvent ignorés par les galeries traditionnelles. Alors que la majorité des galeristes misaient sur les artistes établis, Agnès b. décide de faire le pari du street art et des cultures urbaines. Elle rencontre des figures comme JonOne ou Keith Haring, et fait un choix radical. Plutôt que de se perdre dans des milliers d’artistes, elle mise tout sur une poignée de créateurs novateurs. Des expos, du soutien financier, des collaborations inédites. Résultat ? En moins d’une décennie, des artistes comme JonOne deviennent des icônes internationales, et Agnès b. est reconnue comme une des premières à avoir misé sur cette forme d’art, aujourd’hui incontournable. Dans l’art, miser sur des talents émergents et leur donner les bons outils peut propulser des mouvements entiers. Alors que nous célébrons les 150 ans d'impressionnisme, un mouvement qui a bouleversé l'histoire de l'art par son audace et sa rupture avec les conventions, comment imaginez-vous que l'audace artistique d'aujourd'hui puisse donner naissance aux mouvements de demain ? 🎬 Alexandre HOPARE réalisant sa fresque monumentale pour les 150 ans d’impressionnisme. 📍Ville d'Argenteuil ••• Je suis Cristela de Oliveira, Coach d’artistes • Manager artistique • * Vente d’œuvres d’art Accompagnement personnalisé sur 1, 3 ou 6 mois * Quête de sens * Stratégie de développement * De la vision à l'exécution

Mon métier est en voie de disparition. Je suis galeriste et en 2024, le business model de la galerie traditionnelle s'effondre, tandis qu'une série de nouveaux corps de métiers - agents d'artistes, arts managers, plateformes de vente en ligne... - grignotent (voir dévorent) une partie de notre terrain de jeu. ✅ En réalité, mon métier ne disparait pas, il évolue, mais il est bien vrai que ceux qui n'évolueront pas, disparaitront. J'ai envie de m'arracher les cheveux lorsque j'explique que la galerie n'a pas de lieu fixe permanent ouvert 5 jours par semaine au public avec pignon sur rue et que la conclusion de certaines personnes est que "ah donc tu n'as pas encore de galerie." J'ai une galerie d'art, mais je suis suffisamment lucide pour savoir qu'à notre époque, cette profession doit se réinventer pour survivre, et cela demande de l’agilité, du courage, et une remise en question constante. Face aux coûts exorbitants des emplacements fixes, aux mutations dans la consommation culturelle, et à l’émergence du digital, j’ai fait le choix d’une galerie qui se déplace, s’adapte, investit des lieux éphémères et s’allie à des événements. Ce n’est pas un modèle ‘au rabais’ comme certains pourraient le penser, mais au contraire, un modèle qui correspond à une vision de l’art plus contemporaine, plus nomade, et surtout plus résiliente. Car le rôle du galeriste aujourd’hui dépasse largement la simple gestion d’un espace. La galerie d'art de demain n'est plus un commerce physique, mais avant tout une marque. Mon rôle est de connecter les artistes aux collectionneurs, de vendre leurs oeuvres, de créer des expériences inoubliables, de défendre leur travail auprès des institutions ou encore de les accompagner sur des collaborations avec des marques. La galerie devient un acteur culturel multifonction, là pour défendre des œuvres, mais aussi pour trouver de nouvelles façons de les valoriser. Je ne suis pas en train de ‘manquer’ quelque chose parce que je ne suis pas derrière une vitrine en permanence. Je fais le pari que l’art peut toucher davantage de monde en s’échappant des murs traditionnels et en allant là où sont les potentiels clients. Mon métier n’est pas en train de mourir ; il s’adapte, il se redéfinit. Et je suis prête à prendre ce virage pour que les artistes continuent de trouver des écrins à leur hauteur, où qu’ils soient. -------------------- Je suis Annelise Stern, fondatrice de la ART GIRLS GALERIE. Galeriste * Curatrice * Critique d'art * Conférencière 📍 Mes domaines de prédilection : le female gaze, l'art et la tech. 📍 Ma mission : écrire l'histoire de l'art pour les petites filles de demain. * Achat d'oeuvres d'art / gestion de collection * Curation / conception d'expositions * Consulting web3 * Panels / conférences * Rédaction de textes d'artistes Contactez moi par email : annelise@artgirls.store

Je suis galeriste et je suis étonnée qu’on pense aujourd’hui qu’une galerie c’est juste un lieu qui organise des expositions et vend des œuvres. Ce modèle de galerie n’est plus le seul. Si je ne fonctionne qu’en ouvrant un lieu et en vendant des œuvres à des collectionneurs, les calculs ne sont pas bons. 40% des galeries d’art fonctionnent à perte et c’est simple : je n’ai pas les moyens de fonctionner à perte. Alors on fait une multitude de choses à la galerie, parfois spontanément, parfois à la demande d’un client. Voici un exemple de nos derniers mois d’activité : 1️⃣ Les dépôts de dossiers pour des acquisitions en institutions 2️⃣ L’inscription de nos artistes à des prix, bourses, grandes expositions, commandes institutionnelles 3️⃣ Les clients privés (b2b ou b2c) qui demandent des conceptions sur mesure pour leurs divers projets 4️⃣ Les demandes d’accompagnement pour des ventes sur le second marché 5️⃣ La commande de textes 6️⃣ Les commandes d’exposition pour des entreprises tierces 7️⃣ Du consulting / lobbying pour des clients b2b J’ai une règle d’or à la galerie : on ne dit jamais non à un contrat (sauf si le budget est ridicule, bien entendu). Et si jamais on n’a pas la compétence en interne, on embauchera ou on collaborera avec une autre structure. Tant mieux si nos clients nous font perpétuellement sortir de notre zone de confort 🤝 __________________________________________ Si vous me découvrez avec ce post, je m’appelle Annelise et je suis la fondatrice de la ART GIRLS GALERIE. Je suis une galeriste, curatrice, critique d’art et conférencière spécialisée sur la représentation du female gaze dans l’art contemporain et l’art numérique. Pour en savoir plus : https://lnkd.in/dFj-miAB 📨 Pour toute question relatives aux oeuvres envoyez moi un mail : annelise@artgirls.store 📨 Si vous souhaitez rejoindre la galerie en tant qu'artiste contactez Sarah : sarah@artgirls.store

Vous croyez que l'art est réservé à une élite ? Détrompez-vous ! Les galeries commerciales démocratisent l'art pour vous mais à quel prix ? Ces galeries, souvent situées dans des lieux à fort passage, proposent une variété d'œuvres d'art. Peintures, sculptures, lithographies, reproductions, il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Leur objectif ? Rendre l'art accessible à tous. Que vous soyez un touriste à la recherche d'un souvenir, un amateur d'art occasionnel, un nouveau collectionneur ou une entreprise, vous y trouverez votre bonheur. Leur méthode de fonctionnement est simple. Elles offrent une large gamme de produits, représentant à la fois des artistes contemporains émergents et des artistes plus établis. Leur stratégie de vente est basée sur la vente directe et le conseil, avec des services de paiement échelonné pour rendre l'art plus accessible financièrement. Leur positionnement sur le marché est clair. Elles se concentrent sur le volume de ventes plutôt que sur la vente de quelques pièces à très haut prix. Elles choisissent des emplacements à forte affluence pour maximiser la visibilité et les ventes, et organisent régulièrement des événements et des expositions pour attirer les clients. Je connais des artistes qui travaillent avec ce type de galeries. Pour les artistes, collaborer avec ces galeries est un choix stratégique de développement commercial. C'est un moyen de sortir de la précarité, de bénéficier d'une certaine visibilité et de gagner de l'argent. Cependant, ce choix peut parfois porter préjudice à leur santé, produire toujours plus et à leur carrière à long terme. En se concentrant sur la production de masse, certains artistes peuvent trouver difficile de se repositionner plus tard pour entrer dans les grandes galeries contemporaines prestigieuses. C’est un choix. Les galeries commerciales jouent un rôle distinct dans le marché de l'art. Elles rendent l'achat d'œuvres d'art plus accessible et moins intimidant. Elles répondent à un besoin, démocratiser l'art, soutenir les artistes et permettre à un plus grand nombre de personnes de posséder des œuvres artistiques. Quel type de galerie préférez-vous : celle qui rend l’art accessible à tous ou celle qui privilégie l’exclusivité et la rareté ? 📸 Un magnifique collage inspiré des œuvres de Hopare à Lisbonne, une touche artistique à l’environnement urbain prise en photo par Alexandre HOPARE *** ♼ Repartagez pour aider d'autres amis artistes *** Je suis Cristela, Coach d’artistes, Agent artistique et Curatrice d’art passionnée, spécialisée dans : ▪️ Vente d'œuvres artistiques ▪️ Consulting : ton plan d'action en 1h ▪️ Coachings individuels : 1, 3 ou 6 mois On se connecte ?

 Les galeries d’art, le nouvel ennemi public numéro 1 ? Les galeries d'art, qui ont pour mission de mettre en avant les créations artistiques, sont souvent perçues comme réservées à un groupe restreint de personnes, ce qui crée un sentiment d'exclusivité, et renforce l’image élitiste de l’art. Cette impression conduit de nombreuses personnes à se sentir en dehors du coup, non légitime comme si elles n'avaient pas leur place dans ce monde artistique. De plus, l'ambiance instaurée dans les galeries ne facilite pas les échanges et les rencontres.  🤝 Il est pour moi, important de rendre l'art accessible à un public plus varié, pour que tout le monde puisse en profiter s'ils le souhaitent. Et ainsi, de réintéresser les nouvelles générations à l’art en général. L'art devrait être quelque chose de démocratique, où tout le monde peut participer et s'exprimer. Il doit retrouver sa fonction première, ce pour quoi il est indispensable pour la société. 🌍 Certaines galeries proposent d’ores et déjà des expériences innovantes, basées sur l’échange et la rencontre. Tel que la galerie Fred Allard à Nice. On retrouve également des galeries extérieures telles que la galerie Tata, ou encore la Galerie Blanc à Montréal. Et toi es-tu déjà rentré dans une galerie d’art ? 👀  

Faire des affaires aux art fairs ? Oui, mais seulement si vous maîtrisez les codes. Pour vous aider, j'ai créé en 5 points le petit guide pratique du collectionneur avisé : 1️⃣ Recevez les previews bien avant l’événement : ✅️ Avant un show, les galeries envoient à leurs collectionneurs favoris des catalogues avec les œuvres qui seront exposées. Cela leur donne un avantage considérable. 2️⃣ Être invité aux pré-ouvertures : ✅️ Les foires d’art ont deux visages : - Les VIP days, où une poignée de privilégiés ont accès aux œuvres en avant-première. - Les jours d’ouverture générale, où 100 % des œuvres « d’intérêt » ont déjà trouvé preneur. 3️⃣ Faites un maximum de rencontres : ✅️ Cela implique de serrer beaucoup de mains, de vous présenter, d’échanger et de recommencer. Cette semaine, les trois foires principales — Art Basel, Untitled et NADA — comptent à elles seules 604 galeries. Il est crucial que les galeristes et leurs directeurs.trices se souviennent de vous, de vos goûts et de vos intentions. 4️⃣ Être dans les petits papiers des galeristes et suivre les tendances : ✅️ Plus vous êtes proche des acteurs du marché, plus vous accédez à des informations précieuses : quel artiste est représenté par quelle galerie, quelles œuvres entreront dans des collections muséales, etc. 5️⃣ Connaître son budget et être prêt à agir : ✅️ Le marché va vite. Si vous visez un artiste en pleine ascension, ne tardez pas : d’autres collectionneurs sont déjà sur le coup. ______ Facile, non ? Pour moi, oui ! Je fais ça depuis plus de 12 ans. Vous êtes patron(ne) d'entreprise ou particulier et vous souhaitez démarrer une collection ? Vous manquez de temps, d’énergie ou de connaissances ? J’ai créé "art for collector" pour accompagner les amateurs d’art contemporain en quête de simplicité, d’authenticité et de bons investissements. Suivez-moi pour découvrir régulièrement les coulisses de ce milieu passionnant. → www.linkedin.com/in/bbft → artforcollector.com

Quand les racines influencent les projets de vie.   Quand j’ai quitté la Fondation de France en 2022, J’avais un projet en tête : Monter un centre d’art chez moi, À la campagne. L’objectif : faire venir l’art contemporain dans des territoires qui en sont isolés. Pourquoi un centre d’art ? 🎨 • Pour donner aux habitants la possibilité de découvrir des œuvres d’artistes contemporains qui viennent du monde entier. • Pour donner l’occasion aux artistes locaux de se doter d’un lieu pour créer des expériences artistiques hors du commun. Pourquoi à la campagne ? 🌳 • Ce sont mes racines, Sancerre, Cosne-sur-Loire, là où j’ai grandi. • C’est un territoire riche de saveurs, de Pouilly-Fumé, de Sancerre, de crottin de Chavignol… et d’activités nature en bords de Loire. Pendant mon MBA Marché International de l’Art, J’ai travaillé à Paris, Dubaï, LA, Pour des galeries, des centres d’art, des associations artistiques. Mais j’avais toujours en tête de créer ce centre d’art à Sancerre. Pendant mes études, je créé l'agence Galaxy Poussière pour développer l'art au sein des territoires et auprès de publics empêchés. Un an après, Je monte le concept d’Art & Culture Week de La Purple Gallery avec Emeline Baschiera.  L’objectif : • Organiser des expositions partout en France et à l’international pour permettre aux artistes de dévoiler leur art, • Et dévoiler l’art auprès de tous les publics. Une semaine dédiée à tous les arts : 💜 arts plastiques, 💜 photographie, 💜 littérature, 💜 céramique, 💜 musique, mais également, à 💜 l’art de la vigne. Je n’imaginais pas ces semaines d’expositions sans faire rejoindre l’art et l’œnologie. J’ai donc créé les Dégustations Arty, Un moment où l’on déguste plusieurs cuvées au milieu des œuvres d’art. Le vin est un art à part entière. Il permet de faire voyager ses papilles tout comme la contemplation d’une œuvre permet de faire voyager son âme. Alors si vous avez envie de voyager à votre tour, rendez-vous dans 5 jours 🔥 📅 Du 2 au 7 avril 2024 🕚 11h-19h sans interruption 📍 24 bis rue Saint Roch, 75001 Paris

Une politique d'acquisition dynamique. La constitution d'une collection d'art requiert une stratégie d'acquisition réfléchie et méthodique, articulée autour de plusieurs axes fondamentaux. Au cœur de cette démarche, la fidélité à la thématique de la collection s'impose comme un principe directeur, garantissant une cohérence géographique et thématique des œuvres rassemblées. Par ailleurs, l'enrichissement de la collection par l'introduction d'artistes jusqu'alors non représentés s'avère essentiel, offrant une diversité et une profondeur accrues à l'ensemble. La qualité intrinsèque de chaque œuvre constitue un critère de sélection impératif, assurant que seules les pièces de la plus haute valeur esthétique et historique soient intégrées. Enfin, l'intérêt spécifique du sujet traité par chaque tableau, par sa capacité à enrichir la collection d'un point de vue thématique ou narratif, demeure un facteur déterminant. Ce faisant, chaque acquisition s'inscrit dans une vision à long terme, visant à composer une collection à la fois riche, diversifiée et parfaitement cohérente. Cette collection témoigne d'une passion indéfectible pour l'art sous toutes ses formes. Notre démarche d'acquisition, empreinte de rigueur et d'ouverture, s'articule autour de plusieurs axes stratégiques, marquant ainsi la singularité de notre approche. www.collectioncourtois.com