« 𝙇𝙚 𝘾𝙈𝘼 𝙥𝙚𝙧𝙢𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙜𝙖𝙧𝙙𝙚𝙧 𝙪𝙣𝙚 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙𝙚 𝙛𝙡𝙚𝙭𝙞𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́ 𝙩𝙤𝙪𝙩 𝙚𝙣 𝙨’𝙞𝙣𝙨𝙩𝙖𝙡𝙡𝙖𝙣𝙩 » Dr Francesco Magliozzi, médecin généraliste titulaire au CMA de Bichat 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂 𝗹𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗳 𝗱𝘂 𝗖𝗠𝗔 ? Je l’ai découvert quand j’étais interne aux urgences pédiatriques à Neuilly. J’ai eu l’occasion de réadresser des enfants au CMA et j’ai pu me rendre compte de la pertinence de ce dispositif. Une de mes co-internes, qui y faisait des remplacements, m’a expliqué le principe et j’ai été emballé ! À la fin de mon internat, en octobre 2023, je ne voulais pas m’installer en cabinet classique comme je ne pouvais pas m’engager dans un projet à long terme à Paris. 𝗤𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝗱𝗲́ 𝗮̀ 𝗼𝗽𝘁𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝘂𝗹𝗲 ? J’aime l’idée du soin non programmé, du travail en lien avec les Urgences, et le CMA permet de garder une grande flexibilité tout en s’installant. Je me suis donc renseigné pour connaître les besoins et on m’a parlé du projet d’ouverture à Bichat. Le site m’a intéressé, j’y travaille depuis janvier 2024. C’est une formule idéale pour se lancer, très flexible, et avec beaucoup moins d’administratif que dans un cabinet classique. 𝗤𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝘁𝗶𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗲𝗻𝘁 ? Il y a beaucoup de patients très précaires (AME, CMU) qui vont aux Urgences car ils ne savent pas vers qui se tourner, d’où un taux de réadressage très important, supérieur à 50%. Il est beaucoup plus rare que j’adresse un patient aux Urgences : moins d’un par jour, en moyenne. 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿𝗶𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘀 𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲𝘀 𝗵𝗼𝘀𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀 ? Nous avons pas mal échangé à mon arrivée, la plupart des personnels hospitaliers ne connaissant pas le principe du CMA. C’est très positif, globalement, et le SAU est très content de notre présence. 𝘔𝘦𝘳𝘤𝘪 𝘢𝘶 𝘋𝘳 𝘍𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴𝘤𝘰 𝘔𝘢𝘨𝘭𝘪𝘰𝘻𝘻𝘪 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘵𝘦́𝘮𝘰𝘪𝘨𝘯𝘢𝘨𝘦. #SantéPublique #PermanenceDesSoins #Hôpital #urgences #SoinsNonProgrammés AP-HP, Assistance Publique - Hôpitaux de Paris Grégory Vial Casalino Enrique dominique maier Fabienne OSTERMEYER
Post de Centre médical d'appui (CMA)
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👉 Est-ce qu’on se dit merci, et quand❓ ➡️ Le remerciement lors d’une prise en charge en urgence vitale a plusieurs vertus : ✅ Il permet de montrer que vous avez perçu l’engagement de votre équipe ✅ Il envoie le signal que la qualité des soins dépend de tous (jeunes comme vieux, nouveaux comme anciens, paramédicaux comme médecins) ✅ Il permet de laisser s’abaisser le niveau de pression, d’échanger et de repérer éventuellement ceux qui ont le plus souffert de la prise en charge ✅ Il vous donne l'occasion de revenir sur les éléments marquants de la prise en charge. 💡 Alors quand ? Je vous donne ma façon de faire : ➡️ Parfois pendant la prise en charge, quand on a un petit « temps mort » pour faire un point de situation. Cela rassure et re-mobilise l’équipe ! ➡️ Sinon, pendant le débriefing... après la fin de la réanimation ou quand le patient est au bloc opératoire ou quand on l’a déposé à l’hôpital en SMUR avec l’équipe des pompiers (à l’arrière du VSAV) tous ensemble, etc. 👉 Et vous, quand prenez-vous le temps de dire merci pendant la prise en charge d’une urgence vitale ? J’attends vos commentaires 😉 Contactez EMERGENSIM #simulation #insitu #facteurhumain #communication MARTIN Frédéric Fédération hospitalière de France (FHF) Société Francophone de Pédagogie Innovante en Santé Jean-Christophe CEJKA EHESP - École des hautes études en santé publique Lecomte Francois AP-HP, Assistance Publique - Hôpitaux de Paris Fédération Nationale des Infirmiers de Réanimation-FNIR Eloïse SEBASTIANI LIBRE BEA Group ANJMIR - Association Nationale des Jeunes Médecins Intensivistes et Réanimateurs SRLF - Société de Réanimation de Langue Française Facteurs Humains en Santé Laerdal Medical ANFH Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) Fisher & Paykel Healthcare Société Française de Néonatalogie - SFN SNARF Syndicat national des anesthésistes-réanimateurs de France CFAR - Collège Français des Anesthésistes-Réanimateurs Maxime Gautier MAX by MEDAE 📱💻🩺🏥 SafeTeam Academy
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[Clin d’œil #22] : le petit ➕ de ceux qui font le CHU ! 🧑⚕️ La découverte des hospitaliers du CHU continue avec le 22e témoignage de notre série "Clin d'œil". ⬇⬇ Portrait #22 : Docteur François Morin, Médecin Urgentiste au CHU d'Angers 🏥 Cette semaine, c'est le Dr Morin qui nous confie "le petit +" essentiel à son quotidien. Pour lui, c'est la polyvalence 🧰 qui fait toute la différence. " La polyvalence est selon moi fondamentale dans l’exercice quotidien de mon métier. En tant que médecin urgentiste, mon exercice est partagé entre le pré hospitalier au SAMU/SMUR et le service des urgences adultes. La réponse aux appels d’urgence au SAMU nécessite une précision dans la caractérisation de l’urgence, parfois vitale. Dans une même journée, nous alternons de nombreuses missions : régulation, médicalisation de patients graves, transfert médicalisé de patients sévères entre unités de soins. Le domaine des Situations Sanitaires Exceptionnelles (SSE), qui m'est cher, requiert aussi une grande organisation. Être prêt à faire face à n'importe quelle situation, y réagir de manière proportionnée et déployer nos ressources matérielles et humaines est possible grâce à notre travail de conception et d'anticipation, mais aussi grâce à nos exercices fréquents. Côté service des urgences adultes, il faut être à l'aise aussi bien avec les urgences non vitales que vitales afin d'apporter des soins personnalisés et rapides. Cela nécessite d’être systématique et de connaître les filières de soin, afin que chaque patient soit pris en charge dans le bon service, par les meilleurs spécialistes et dans les meilleurs délais. Relever ces enjeux nécessite une démarche d’amélioration continue. Ainsi, je cherche toujours à me former et intégrer les dernières données de la science dans ma pratique, et les échanges riches avec mes collègues hospitaliers permettent de trouver les meilleures solutions pour l'optimisation des prises en charge. Participer à la formation des internes, étudiants en médecine ou de DU, et paramédicaux, m’apparaît également fondamental, je m’implique donc dans chacun de ces enseignements. La transmission de mes connaissances, de mon expérience et de ma passion pour ce métier est essentielle. Évidemment, tout cela est réalisable au quotidien grâce à l’esprit d’équipe voir familial de l’ensemble des personnels du Département de Médecine d’Urgence. Face à la détresse humaine, cette solidarité est un véritable fil rouge de notre exercice. Dès mon plus jeune âge, je rêvais d’être urgentiste. Je suis donc extrêmement fier d’exercer aujourd’hui ce « métier passion ». Merci à tous ceux qui entretiennent cette passion au quotidien. " 👨⚕️🚨🚑 ** Rdv la semaine prochaine pour découvrir la suite de notre série "Clin d’œil : le petit + de ceux qui font le CHU !" Cécile JAGLIN Marie Caron Camille Baranger Kelly Huyghe Adeline ROINARD Léa Guérineau 📸 Catherine Jouannet Ramon MAITA LAMAS Estelle Gombaud Alizée Fiquet Audrey Capitaine
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🥼Chronique d’une journée à l’hôpital (Épisode 1) C’est une première : une formation qualifiante en droit médical avec des journées d’immersion au sein de différents hôpitaux de l’AP-HP. L'objectif ? Comprendre au plus près les enjeux auxquels font face les établissements publics de santé et la manière avec laquelle ils appréhendent les plaintes des patients. La première journée s’est déroulée au sein de l’historique hôpital Lariboisière-Fernand Widal. Nous avons été accueillis par le directeur adjoint et le cadre supérieur de santé, qui ont dressé un panorama complet des spécificités de cet établissement emblématique, situé entre Gare du Nord, La Chapelle et Barbès. Un lieu où la médecine de guerre s'apprend, et où la psychiatrie et l’addictologie tiennent une place importante pour répondre aux besoins des patients les plus précaires. Après cette introduction, nous nous sommes rendus dans différents services (urgences, orthopédie, cardiologie et bloc opératoire). 💡 Chaque visite a été enrichie par la rencontre de soignants - dont la cheffe du service des urgences- avec qui nous avons eu des échanges passionnants. Nous avons appris que les urgences de Lariboisière accueillent 250 patients par jour en moyenne. Dans cet environnement à flux tendu, les soignants évaluent, orientent, et soignent à un rythme soutenu, malgré des moyens qui peinent à suivre la croissance constante du flux de patients et la gravité des pathologies. Ce contexte met en lumière la fragilité d’un système reposant sur les épaules de soignants dévoués mais fatigués, qui exercent en sous-effectif, souvent au détriment de leur santé personnelle et de leur famille. De plus, cette immersion m’a rappelée qu’en matière de responsabilité médicale, les dommages causés aux patients sont rarement une question de faute individuelle isolée. Au contraire, ils révèlent bien souvent des chaînes de dysfonctionnements liés au manque de moyens. Par ailleurs, le déficit de communication y est pour beaucoup dans la judiciarisation des affaires, alors que le dialogue peut être une force puissante pour apaiser des situations, y compris celles humainement et juridiquement complexes. 🤓 En tant qu'avocats spécialisés, nous pouvons notamment : • Encourager le plus souvent possible le dialogue entre patients et soignants/ établissements de santé pour favoriser la résolution amiable des litiges • S’efforcer de prendre le recul nécessaire pour analyser chaque dossier avec objectivité • Faire preuve de rigueur juridique, au service de la justice, pour que les responsabilités soient le plus justement identifiées • Tenir compte des conditions réelles de prise en charge des patients, tout comme des contraintes humaines, structurelles, administratives et financières de l’hôpital. 🙏 Merci à l’EFB et à l’hôpital Lariboisière pour cette journée riche d’enseignements ! #Droitmedical #Formationprofessionnelle #ImmersionHôpital #APHP
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Intéressant pour toutes les urgences .. Évaluation et orientation dès l’accueil avec création de filières et de parcours de soin bien identifiés pour le patient .. c’est là le job pour désengorger et améliorer la qualité de soins aux urgences..
[Question d'ici, solution d'ailleurs] Comment organiser la réorientation à l'entrée des urgences ? C'est la question que s'est posée l'Anap en partenariat avec la DGOS et 9 établissements de 3 départements français lors d'une journée d'étude sur le sujet. La clôture des travaux nous a transporté au Québec, où Céline Pinard et Corinne Thériault, infirmières au CHU Sainte-Justine et Magalie Martineau, experte Anap ont présenté les trajectoires de soins et de services mises en place aux urgences pédiatriques de cet hôpital de Montréal (cf. schéma du Ministère de la santé et des services sociaux du Québec). Dans les éléments clés du dispositif : ☎ Une régulation téléphonique en capacité de prendre des rendez-vous pour les patients dans des centres de soins primaires sur des plages réservées à cet effet. 📄 Une échelle de triage adoptée dans tout le Canada et adaptée à la pédiatrie et reposant sur des protocoles médicaux précis. 👩⚕️ Un rôle central des infirmiers dans le diagnostic : - avec la fonction d'infirmier "quick look" qui évalue et oriente les patients en quelques minutes à leur arrivée. L'inscription administrative n'est faite qu'après cette évaluation (qui aboutit dans environ 5% des cas à une prise de rendez-vous sur l'une des plages réservées des centres de soins primaires). - avec une évaluation clinique par une infirmière d'accueil et d'orientation et une responsabilité infirmière forte sur les patients pendant toute la période d'attente précédent la consultation médicale. 🏥 Si le patient n'est pas réorienté, il est fléché sur des parcours de prise en charge adapté en fonction de la gravité de son état de santé, ce qui permet de décanter les temps d'attente. Merci à nos collègues québécoises pour cet échange passionnant qui ouvre les horizons et enrichit les travaux des acteurs du système de santé français. Stéphane PARDOUX Valentin Simon Claire Wintenberger Corinne VARGAS Emeline Flinois --- Je suis Emilie, la responsable de la #veilleinternationale de l'Anap 🌍 Suivez-moi pour découvrir des #bonnespratiques et #innovations dans le champ de la #santé et #médicosocial.
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[Question d'ici, solution d'ailleurs] Comment organiser la réorientation à l'entrée des urgences ? C'est la question que s'est posée l'Anap en partenariat avec la DGOS et 9 établissements de 3 départements français lors d'une journée d'étude sur le sujet. La clôture des travaux nous a transporté au Québec, où Céline Pinard et Corinne Thériault, infirmières au CHU Sainte-Justine et Magalie Martineau, experte Anap ont présenté les trajectoires de soins et de services mises en place aux urgences pédiatriques de cet hôpital de Montréal (cf. schéma du Ministère de la santé et des services sociaux du Québec). Dans les éléments clés du dispositif : ☎ Une régulation téléphonique en capacité de prendre des rendez-vous pour les patients dans des centres de soins primaires sur des plages réservées à cet effet. 📄 Une échelle de triage adoptée dans tout le Canada et adaptée à la pédiatrie et reposant sur des protocoles médicaux précis. 👩⚕️ Un rôle central des infirmiers dans le diagnostic : - avec la fonction d'infirmier "quick look" qui évalue et oriente les patients en quelques minutes à leur arrivée. L'inscription administrative n'est faite qu'après cette évaluation (qui aboutit dans environ 5% des cas à une prise de rendez-vous sur l'une des plages réservées des centres de soins primaires). - avec une évaluation clinique par une infirmière d'accueil et d'orientation et une responsabilité infirmière forte sur les patients pendant toute la période d'attente précédent la consultation médicale. 🏥 Si le patient n'est pas réorienté, il est fléché sur des parcours de prise en charge adapté en fonction de la gravité de son état de santé, ce qui permet de décanter les temps d'attente. Merci à nos collègues québécoises pour cet échange passionnant qui ouvre les horizons et enrichit les travaux des acteurs du système de santé français. Stéphane PARDOUX Valentin Simon Claire Wintenberger Corinne VARGAS Emeline Flinois --- Je suis Emilie, la responsable de la #veilleinternationale de l'Anap 🌍 Suivez-moi pour découvrir des #bonnespratiques et #innovations dans le champ de la #santé et #médicosocial.
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Un bel exemple d’organisation : redonner du temps médical et soignant en confiant les tâches administratives et la gestion des contacts a une équipe de secrétaires. Gérer les flux pour fluidifier : une vraie amélioration du service rendu et in fine, de la qualité des soins.
Médecin Urgentiste - Chef du Pôle Urgences du CHU de Bordeaux - Bureau Politique d'Horizons - Conseiller départemental de la Charente - ancien député et Rapporteur Général de la commission des Affaires sociales
Nouveauté aux Urgences du CHU de Bordeaux : le secrétariat de flux ! Le 4 novembre dernier, nous n’avons pas uniquement accueilli nos nouveaux docteurs juniors et nos nouveaux internes. C’était aussi le premier jour de Chloé, Sarah, Valérie, Vanessa, Virginie et… du secrétariat de flux. Des secrétaires au sein du service, à Pellegrin comme à Saint-André, en proximité immédiate des patients et des soignants, sur le flux 7 jours sur 7, pour permettre aux soignants de se consacrer davantage aux patients grâce à leur soutien administratif, pour améliorer le lien avec la ville, améliorer la prise en charge aux urgences comme en post-urgences. Un projet majeur pour le pôle Urgences se concrétise aujourd’hui après plus d’un an de travail. Merci à la direction générale du CHU, à Matthieu GIRIER, pour leur soutien et un merci particulier à Valentine M'Bueno-Martinville qui a porté ce projet avec enthousiasme et énergie. Il y aura un avant et un après. Vincent-Nicolas DELPECH Alexis THOMAS Nicolas Tachon Yann Bubien Thomas Poulenc Angélique Fresard Sylvain COULIOU Rachel BOU
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🚨 NOUVELLE FORMATION 🚨 – Gestion de l’urgence vitale en établissement 👉 Dans toute situation de détresse vitale, les premières minutes sont critiques et impactent fortement l’évolution de l’état du patient. Critère impératif de certification de la HAS, la prise en charge de l’urgence vitale demande une intervention rapide et efficace, et une procédure et des gestes à appliquer rarement effectués. 🎓 Cette formation, réalisée en partenariat avec le Cesim Santé (CEntre de Simulation en santé) de Brest a été co-construite avec deux experts de référence en réanimation : Pr Erwan L'Her, chef de service Médecine intensive et Réanimation au CHU de Brest et Directeur du Cesim et Dr Charles Cerf, chef de service Réanimation polyvalente à l’Hopital Foch de Suresnes. 🔍 A travers une approche innovante alternant simulation (cas concrets de détresse cardiaque, respiratoire et neurologique), débriefing et cours théoriques, cette formation rappelle aux médecins des procédures simples et claires de diagnostic clinique, d’alerte et de prise en charge médicale dans l’attente de l’équipe spécialisée. Pour vous inscrire à la formation 👇 #formation #hopital #medecin #urgence #elearning #simulation Mélanie Portmann Hugo Maurice Jeanne Bertin Cédric de Villoutreys Marie Royole-Degieux
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Dans un contexte compliqué, éparpillé et un système certainement pas prêt à l’écoute… Agir, Écrire, Informer, est-ce encore bien utile? Seul, probablement pas! Même si j’ai toujours pensé qu’un seul être peut tout changer! Alors libre, comme un électron. Voici : Les services d’urgences au cœur d’un système qui perd son âme… Les services d’urgences, qu’ils soient publics ou privés, jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé et de la sécurité des populations. Environ 22 à 23 millions de patients ont consulté aux urgences en 2023. 4 à 5 millions dans les urgences privés et 17 à 18 millions dans les services publics. Les médecins Urgentistes, aux formations identiques, provenant des mêmes stages et universités, peuvent choisir encore, selon leurs volontés, de travailler dans l’une ou l’autre type établissements. Cliniques privées ou hôpitaux publics, ils seront alors salariés dans le public. Ils auront un statut libéral dans le privé. Les urgences, dans les 2 cas, accueillent sans distinction de revenu ou de statut social. L’accueil se fait aussi selon les moyens mis à disposition dans l’établissement. Ces derniers ne disposant pas chacun de tout l’arsenal des spécialités médicales ou des moyens techniques, pour ne prendre que la Pediatrie ou la psychiatrie en exemples. Les urgences privées complètent souvent ce système à deux jambes, en offrant des services spécialisés et parfois plus rapides grâce à des ressources supplémentaires. Cela peut être le cas aussi de certaines urgences du public qui disposent de moyens nécessaires plus larges notamment, comme des services de réanimation. De même dans le privé il existe des accueils d’urgences extrêmes comme en cardiovasculaire. Les urgences privées peuvent aussi soulager la pression sur les hôpitaux publics en traitant des cas moins graves ou en fournissant des soins et des explorations plus rapides à disposition. La complémentarité des deux est essentielle. Ils assurent l’équité, l’universalité de l’accès aux soins, flexibilité et innovation. Ensemble, elles forment un réseau robuste qui s’adapte aux besoins divers de la population, garantissant que chaque individu reçoive l’attention nécessaire en temps de crise ou même de pénurie médicale parfois. C’est cette synergie qui renforce le système de santé dans son ensemble, au service de la population. Pour la pérennité de ce système vertueux que connaît la France depuis des décennies, il est indispensable désormais qu’il soit soutenu sans faille par les instances et les tutelles de la santé. Ce n’est pas toujours le cas, et des guerres d’Ego et de clochers, impliquent notamment les partisans du tout public et ceux qui défendent une médecine libérale et cela depuis des années. La situation est devenue à l’heure actuelle critique, avec un désintérêt financier, social et de reconnaissance pour les libéraux de la part des tutelles. Du moins c’est ce qui est perçu par la majorité des médecins Urgentistes libéraux.
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Rapport CRC Occitanie 11 oct 2024. centre hospitalier Ariège Couseran. La CRC fait le constat d’un CH avec une sous activité importante (115 accouchements en 2023) devant conduire à la mise en place d’une direction commune et un projet de fusion hospitalière avec un autre établissement public de santé. La CRC souligne la nécessité d’un nouveau modèle hospitalier avec une stratégie et un pilotage à relancer ( les contrats de pole et projets de pôle sont échus depuis mars 2021). Un rapport très intéressant à l’heure des restructurations hospitalières et de la volonté d’une offre de soins équilibrée.
OCR2024-32.pdf
ccomptes.fr
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🚨 80% des médecins n'ont pas de médecin traitant. Afin d'éviter les écueils de l'auto-diagnostic, de l'automédication ou du conseil rapide «entre 2 portes » qui peuvent retarder une prise en charge, la campagne "Dis Doc t'as ton Doc ?" rappelle l'importance d'avoir et de voir régulièrement un médecin traitant, acteur objectif incontournable pour s'occuper de soi. SNARF Syndicat national des anesthésistes-réanimateurs de France Fédération Nationale des Infirmiers de Réanimation-FNIR Ministère de la Santé Haute Autorité de Santé SNIA - Syndicat National des Infirmiers Anesthésistes InterSyndicale Nationale des Internes (ISNI) CFAR - Collège Français des Anesthésistes-Réanimateurs Fédération hospitalière de France (FHF) ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France What's up Doc SNPHAR Elargi AJAR France - Association des Jeunes Anesthésistes-Réanimateurs de France 🇨🇵 Syndicat National Jeunes AR #anesthesie #reanimation #prévention
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