Post de Chrystèle Bazin

Lisez ce post pour découvrir l'une des nombreuses œuvres ❤️❤️❤️ de Bam Graffeur et son utilité auprès des enfants hospitalisés. N'hésitez surtout pas à commenter et republier son post pour qu'il soit diffusé en France pour faire connaître sa belle inititiative. Allez sur son profil pour découvrir ses œuvres diffusées dans ses posts.

SolYmusées c'est : - faciliter l’accès du plus grand nombre à l’offre culturelle muséale du territoire ; - déployer de nouvelles approches en adaptant l’accueil, l’offre de médiation et/ou l’espace muséal ; - développer une démarche d’accès au soins et au mieux-être par la culture en proposant d’expérimenter les “Prescriptions muséales” (=dispositif permettant à un soignant ou à un travailleur social d’offrir une visite de musée dans le cadre d’un accompagnement thérapeutique ou social). 👏👏👏

La transition écologique exige de créer de nouveaux concepts culturels, sociaux, et de renouer avec une forme de spiritualité ancestrale centrée autour des contes. L'avénement de la modernité dans les années 70 à vu la culture automobile se démocratiser, portée par les films Hollywoodiens et français. Le succés des films de cascades en voitures, porté en France par Jean-Paul Belmondo, les James Bond américain et autres Missions Impossibles ont permis de s'extasier face à la technicité, la dangerosité des cascades, le tout sur fond de musique rétro et la volupté des courbes des voitures de l'époque. Chacun peut certe s'identifier au héros du film, grand fantasme du gentilhomme aventureux porté par l'individualisme, attirance des femmes modernes, qui sauve le monde des conséquences direct du modèle de réussite économique promut par le film. Mais parrallélement à cela, nous avons perdu une richesse spirituelle héritée des ancêtre:Noël est devenu une parodie de la chrétienneté par le consumérisme au milieu des bagnoles et d'absence de neige, les contes de Grims ont perdu de leur mystère et de morale, de leurs saveurs, conséquence du vide spirituel qui se dévelloppe autour de la surabondance, du matérialisme, de l'esprit de compétition. La transition de la culture automobile, vers la culture street-art nécéssite de retourner à ces valeurs. En recréant de la poésie et de l'originalité en lieu et place des routes et bâtiments modernes qui ont émergés durant la guerre froide. La végétalisation peut aider à recréer de l'intimité et de la chaleur humaine en diminuant l'impact mental des fenêtres qui s'étendent comme de multiples yeux inconnus sur la vie citadine. Mais les street-artistes ont un rôle majeur à jouer, en tenant compte de la perte de spontanéîté de la mentalité des adultes par rapports aux enfants pour la participation à leur spectacle. En prévoyant des passages qui y intègrent tout ou partie des spectateurs à travers des mises en scènes chorégraphiques plus ou moins sophistiquées, des scènétes de théatres, de la percussion musical, et ouvert aussi aux propositions des spectateurs. C'est la flexibilité du spectacle de l'artiste qui donne à la vie urbaine sa valeur socio-culturelle. Rester actif ! C'est le maître mot de la transition écologique qui induit une baisse des activités économiques. En créant de la participation, des formations, du contact, et sortir de l'état passif de spectateur comme on a l'habitude de l'être dans tout type d'évenements culturels, assis ou debout, les street-artistes s'érigent en acteur majeur du contact entre les gens, du dévelloppement personnel, et du dynamisme culturel local. Des initiatives que l'on souhaitent banales, reconnues à la hauteurs de la plu-value socio-culturelle qu'elle apporte qui correspond au besoin des gens de sortir la tête de leurs écrans et à la volonté de créer pour les générations à venir, un environnement qui est adapté aux enjeux écologiques et qui élève la qualité de vie.

Un nouvel outil pour favoriser l’accessibilité! ✨

Depuis 20 ans, la mise en conformité des établissements touristiques à la réglementation "PMR" est difficile car très coûteuse. Les associations de tourisme social ont vu en même temps cette réglementation s'appliquer de façon plutôt ferme et la disparition des aides et subventions pour ces travaux dispendieux. Ces efforts ne sont pas valorisés à leur dimension, même s'ils sont quelquefois partiels ou incomplets sur l'ensemble des handicaps. L'ensemble des associations TERNELIA font ainsi de lourds investissements pour accueillir tous les publics. Le tourisme social (TSS) offre ainsi des hébergements accessibles (et sécurisés) bien au-delà de certaines offres pourtant bien plus aidées fiscalement.

6️⃣ panneaux d'expositions avec des portraits et des voix. 6️⃣ affiches qui décrivent un engagement d'acteurs si différents, que le projet qu'ils défendent n'en est que plus fort: rompre l'isolement des #séniors dans un quartier QPV en future réhabilitation ! 🟠Il fallait de la couleur pour attirer l'œil, destiné à mener vers l'écoute. 🟡Il fallait se décaler des clichés photos, et laisser libre court à l'imaginaire pour proposer des portraits illustrés (😉Rozenn Chalons). La curiosité attisée, le QR code dirige vers l'entretien. 🔵Des verbatim pour susciter l'émotion, et ça y est, la mise en scène est prête. Nous avions envie de la partager avec vous, cette exposition "𝗕𝗶𝗲𝗻 𝘃𝗶𝗲𝗶𝗹𝗹𝗶𝗿 𝗮̀ 𝗧𝗵𝗼𝘂𝗮𝗿𝘀: 𝗾𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗵𝗮𝗯𝗶𝘁𝗮𝘁 𝗲𝘁 𝗹𝗶𝗲𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗳𝗮𝗰̧𝗼𝗻𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 !" Elle restera ancrée dans la démarche d'Aller vers les Séniors de Domofrance , de la journée du 11 juin, inscrite dans la semaine départementale de la lutte contre l'isolement des aînés. Une petite pierre posée, ajoutée à toutes les autres belles initiatives ! Alors : 7️⃣images qui défilent 1️⃣3️⃣ illustrations pour 1️⃣4️⃣ QR codes, il faut bien tout ça, pour révéler ces discours engageants ! #solidarité #intergenerationnel Francois Apouey Faits de Coeur's 33 Claire Bréant BORIS CALLEN zouina Lamairia Anne Casseron Berbuto Service Civique Solidarité Seniors Jean-Philippe Auger Josiane Desguers Vanessa Fontagnères KAREVI I Entreprise de l’ESS agréée ESUS Benjamin Mondon Chloé Rouger Sophie Cornette Caroline Ghienne

Un nouvel épisode passionnant ! 

𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐧𝐧é𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭𝐬 👀 Lors de son lancement, é𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 s'était donné pour mission d'être un mag qui décortique les phénomènes culturels de notre société, à l'échelle d'un territoire : Sainté 💚 - 𝐼𝑚𝑚𝑒𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 - aime-t-on dire... Près d'un an et 4 numéros plus tard, son équipe est contente. Elle est tour à tour allée jeter un œil du côté de l'habitat participatif qui ouvre de nouvelles perspectives de mieux être ensemble ; des réseaux sociaux qui nous rendent zinzins, parfois sans que l'on s'en aperçoive ; du modèle des scènes de musiques actuelles, si importantes pour les artistes, mais peu souvent reconnues à leur juste valeur... Elle a aussi gratté du côté des métiers-passions et de ses implications ; de l'expression de la solidarité stéphanoise ; de l'histoire humaine que représentait la vie des mineurs de fond ; des différentes pratiques de la photographie. Et elle compte bien aller éplucher encore quelques sujets, pour encore quelques numéros 💪 En attendant, l'équipe est contente car, comme elle le souhaitait fort, elle est parvenue à inscrire la ligne éditoriale d'é𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 sur un temps long. Nous en sommes persuadés, pour s'informer bien, il faut prendre son temps. Et nous en sommes encore plus persuadés, pour informer bien, les médias doivent eux aussi, accepter de donner le temps à leurs journalistes de travailler, de réfléchir, d'interroger, de lire, de réinterroger, de vérifier, de composer, d'écrire. Bien sûr, nous ne revendiquons pas d'avoir la solution. Mais nous espérons avoir réussi à amener, à notre tout petit niveau, un tout petit quelque chose dans la ou les discussions... Et si tel est le cas, alors, nous espérons encore plus fort, pouvoir continuer. Pour lire é𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 dans sa version numérique, ou pour tous.tes celle.ux qui ont manqué le début, c'est par ici : www.epoque-mag.fr

[Ekhos] [Recommandation] [Libertédecréation]   🔎 📖 👉 Le numéro de Telerama de cette semaine titré « 𝑳𝙚𝒔 𝒄𝙚𝒏𝙨𝒆𝙪𝒓𝙨 𝙚𝒏𝙩𝒓𝙚𝒏𝙩 𝙚𝒏 𝒔𝙘𝒆̀𝙣𝒆 » nous interpelle : « 𝐷𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟𝑡𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑢𝑙𝑒́𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑑𝑖𝑡𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑣𝑎𝑛𝑑𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑠… 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑢𝑥, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑑’𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑚𝑒̀𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝑏𝑎𝑛 𝑑’𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑑’œ𝑢𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐴 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 ? »   🚨 Ce sujet est en lien direct avec nos préoccupations du moment. C’est même un enjeu majeur :   📢 Caroline Verdu, vice-présidente du pôle Théâtre de Ekhoscènes s’est exprimée lors du dernier Festival d'Avignon et lors de la conférence de rentrée des théâtres privés à Paris, sur une nouvelle forme de censure qui se développe sur les territoires de la part de programmateurs guidés par leurs élus locaux qui préfèrent éviter de proposer les spectacles portant sur des sujets qu’ils imaginent heurter une partie de leurs administrés. « 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑎𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒̀𝑠, 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑟𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑒𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑝𝑒𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑢𝑠𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝑂𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑟𝑎𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑡𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑙𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒́𝑒….𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑖 ? 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 ? 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ ? 𝑑𝑢 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑚𝑒 ? 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑜𝑚𝑜𝑠𝑒𝑥𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ ? 𝑑𝑒 𝑙’𝑖𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛 ? 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒 ? 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 ! 𝑈𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑝𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡… 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑏𝑒̂𝑡𝑖𝑓𝑖𝑎𝑛𝑡, 𝑚𝑒́𝑝𝑟𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑡𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠. »  La force du spectacle vivant, c’est son éclectisme, sa diversité, son ouverture. La liberté de création n’a jamais été et ne sera jamais négociable. Vigilance et mobilisation contre ces dérives.    🖌️ Couverture dessinée par Pénélope Bagieu 💫 #ekhoscenes #spectaclevivant #libertedexpression #censure #Télérama