[Budget] Perspectives budgétaires des écoles d'#ingénieurs : notre vice-présidente Dominique (DERRAY) BAILLARGEAT (3iL Ingénieurs) était au micro de News Tank éducation et recherche TV. 👉 Subventions de l'État, financement de l'apprentissage, droits d'inscription : à l'heure de la baisse des dépenses publiques, tour d'horizon des différents leviers budgétaires possibles et des positionnements défendus par la CDEFI. 📽️ Interview à visionner sur https://lnkd.in/eSuMahGM
Post de CDEFI - Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs
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2e volet sur les écoles d'ingénieurs et la mise en place du nouveau décret financier et de ses trois critères de "soutenabilité financière" https://lnkd.in/es9Afbsz
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#ESR #budget #coupes_budgetaires Cette tribune qui redit bien des choses : https://lnkd.in/e_pE8Fgx -propositions de financement à la performance restent toutefois à méditer pour ne pas répéter les erreurs commises lors de la mise en place de la tarification à l'activité (T2A) dans les hôpitaux publics français. -propositions que les établissements développent leurs ressources propres pour limiter leur dépendance à l'État : une augmentation raisonnée des frais d'inscription des étudiants français et étrangers, le développement de la formation pour adultes et de l'alternance, la création de nouvelles fondations universitaires, la valorisation du patrimoine immobilier -Cette transformation du financement des universités est inspirée des principes du New Public Management. Fondé sur les pratiques du secteur privé, il s'est développé en France depuis la loi organique relative aux lois de finance de 2001. Ces propositions de financement à la performance restent toutefois à méditer pour ne pas répéter les erreurs commises lors de la mise en place de la tarification à l'activité (T2A) dans les hôpitaux publics français. France Universités Sgen-CFDT
Les universités françaises dans la tourmente budgétaire
latribune.fr
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N'oublions pas les économies sur de la formation professionnelle et de l’apprentissage. Créée en 2019, par la loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018, pour la liberté de choisir son avenir professionnel, France compétences est l’unique instance de gouvernance nationale de la formation professionnelle et de l’apprentissage. Elle a pour mission d’assurer le financement, la régulation et l’amélioration du système de la formation professionnelle et de l’apprentissage.
Les présidents d’universités inquiets face l’austérité budgétaire annoncée par Bruno Le Maire
liberation.fr
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Dans de nombreuses universités en France, on s'inquiète de l'aggravation des déficits budgétaires amplifiée par le budget de l'enseignement supérieur pour 2025. A Reims, par exemple, où il faut désormais trouver 6 millions d'euros manquants : on a déjà listé un ensemble de solutions dont la baisse des investissements, le non-remplacement des départs à la retraite ou la diminution du nombre de thèses financées. "Une baisse de 20% de la dotation doctorale permettant à des étudiants de réaliser leurs thèses sur trois ans, où une économie de 720 000 euros est espérée dans trois ans". Sans oublier "une réorganisation des groupes d'enseignement pour limiter le nombre d'heures". Décidément, les années Macron resteront des années noires pour les universités. https://lnkd.in/eBNBX534
"Il manque six millions d'euros pour boucler le budget" : l'université de Reims alerte sur son fonctionnement pour 2025
france3-regions.francetvinfo.fr
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Budget 2025 : la présidente de l’UBS monte au créneau « Mais quelle université, l’État veut-il pour la nation ? ». L’Université ne peut pas être une variable d’ajustement du budget de l’État. La question budgétaire traverse aujourd’hui toutes les organisations publiques. Le problème est que l’État prend des mesures budgétaires unilatérales, court-termistes, sans gestion prévisionnelle. La semaine dernière, les présidentes et présidents d’universités ont ainsi alerté le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, de la situation financière intenable des universités, conséquence de mesures nationales décidées par l’État, non financées et imposées aux universités, comme à l’UBS. Elles constituent une charge supplémentaire, de près de 2,2 M€, qu’on nous demande de trouver en urgence, alors que le budget de l’université pour 2025 est déjà bouclé. Comment piloter financièrement nos universités avec des annonces qui tombent ainsi ? Le budget de l’université ne peut pas être une variable d’ajustement. L’État demande aux opérateurs publics de compenser son absence de gestion budgétaire. Le modèle actuel a fait son temps, il devient urgent d’imaginer un nouveau modèle efficient, soutenable et durable. L’investissement en France est inférieur à celui des grandes puissances éducatives Qui forme des médecins, juristes, ingénieurs, responsables de commerce international, data-scientifiques, biologistes, enseignants, qui participe aux innovations en santé, dans les matériaux de construction ? etc…C’est bien l’université qui délivre des diplômes nationaux mondialement reconnus et évalués. L’Université, avec la formation et la recherche n’est pas un coût, mais un investissement pour la Nation. Nos entreprises, nos organisations ont besoin de nos étudiants pour relever les défis majeurs posés à nos sociétés. Évitons de déclasser l’université et ses diplômes : la dépense publique pour l’enseignement public à l’université est de 11 190 € par étudiant, alors qu’en Allemagne, elle est de 15 à 17 000 €. La recherche universitaire souffre d’un sous-financement chronique. L’État doit donc agir pour prendre des mesures en faveur de la jeunesse. Malgré les contraintes, l’UBS continue d’investir ! Avec 108,5 millions d’euros de retombées économiques annuelles pour le territoire, l’UBS est un opérateur de premier rang pour le Morbihan. Nous avons beaucoup investi, près de 10 M€ ces dix dernières années pour offrir à nos étudiants des campus modernes et des équipements de qualité. Le ministère classe aussi l'Université Bretagne Sud, comme la 2ème université en France pour l'emploi salarié de ses diplômés en master. Preuve que le modèle de l’UBS, université de proximité, à taille humaine en lien avec les acteurs sociaux-économique, ça fonctionne. Mais pour combien de temps encore, si le Ministère renonce à soutenir et à accompagner ses universités ? À l’UBS, nous ne ferons aucune concession sur la qualité de notre enseignement et notre recherche.
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1 euro investi dans l’université génère 4 euros de richesse sur ses territoires. Affaiblir l’université, c’est réduire la force d’attractivité qui découlait de sa politique d’investissement ambitieuse et impacter négativement le tissu économique régional. La conséquence directe de tout cela, c’est la réduction des missions assurées par un opérateur public au plus près des citoyennes et citoyens de nos territoires. Des campagnes d’emplois de fonctionnaires très réduites allant vers la suppression de postes permanents à terme, sans remplacement par des contractuels; La diminution en conséquence de la charge d’enseignement (réduction de l’offre de formation ainsi que de nos capacités d’accueil, Si les choix du gouvernement sont confirmés, ces mesures s’étaleront sur plusieurs années et produiront un effet décalé dans le temps. Il est donc probable que nous serons à nouveau amenée à réduire une nouvelle fois le programme d’investissement de l’établissement courant 2025. Autant de travaux qui ne seront pas réalisés pour l’entretien minimal des bâtiments, l’amélioration des conditions de travail et d’étude, la transition écologique. Nous avons des fonds disponibles dans nos fonds de roulement et nos trésoreries ». C’est exact en apparence les l’Université ces fonds sont intégralement gagés : ils sont constitués par des avances de financement de projets pour lesquels les dépenses sont à venir ou par des engagements pour de l’investissement immobilier ou des équipements. Combien d’entreprises de nos territoires peuvent défiscaliser à hauteur de 100 M€ de dépense de recherche ? Associé à une simplification des dossiers de demande de CIR, cette mesure donnerait un nouvel élan à l’innovation dans les petites et moyennes entreprises et permettrait en même temps de financer l’arrêt de la saignée des universités publiques et des organismes de recherche. Il est encore possible de choisir une voie plus équitable au bénéfice de nos territoires. Le gouvernement aurait pu encore faire d’autres choix, comme par exemple suivre les recommandations de la Cour des comptes qui propose de modifier le mécanisme du Crédit d’impôt recherche (CIR) : Actuellement : 30 % de crédit d’impôt est octroyé à hauteur de 100 M€ de dépenses de recherche, et 5 % de crédit d’impôt au-delà ; Préconisation dite « ambitieuse » de la Cour des comptes de 2022[3] : 42 % d’accompagnement à hauteur de 20 M€, conduisant à une économie de 1,75 milliard d’euros. https://lnkd.in/ez3W2M84
"Il manque six millions d'euros pour boucler le budget" : l'université de Reims alerte sur son fonctionnement pour 2025
france3-regions.francetvinfo.fr
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https://lnkd.in/eqtHtRi8 1 euro investi dans l’université génère 4 euros de richesse sur ses territoires. Affaiblir l’université, c’est réduire la force d’attractivité qui découlait de sa politique d’investissement ambitieuse et impacter négativement le tissu économique régional. La conséquence directe de tout cela, c’est la réduction des missions assurées par un opérateur public au plus près des citoyennes et citoyens de nos territoires. Des campagnes d’emplois de fonctionnaires très réduites allant vers la suppression de postes permanents à terme, sans remplacement par des contractuels; La diminution en conséquence de la charge d’enseignement (réduction de l’offre de formation ainsi que de nos capacités d’accueil, Si les choix du gouvernement sont confirmés, ces mesures s’étaleront sur plusieurs années et produiront un effet décalé dans le temps. Il est donc probable que nous serons à nouveau amenée à réduire une nouvelle fois le programme d’investissement de l’établissement courant 2025. Autant de travaux qui ne seront pas réalisés pour l’entretien minimal des bâtiments, l’amélioration des conditions de travail et d’étude, la transition écologique. Nous avons des fonds disponibles dans nos fonds de roulement et nos trésoreries ». C’est exact en apparence les l’Université ces fonds sont intégralement gagés : ils sont constitués par des avances de financement de projets pour lesquels les dépenses sont à venir ou par des engagements pour de l’investissement immobilier ou des équipements. Combien d’entreprises de nos territoires peuvent défiscaliser à hauteur de 100 M€ de dépense de recherche ? Associé à une simplification des dossiers de demande de CIR, cette mesure donnerait un nouvel élan à l’innovation dans les petites et moyennes entreprises et permettrait en même temps de financer l’arrêt de la saignée des universités publiques et des organismes de recherche. Il est encore possible de choisir une voie plus équitable au bénéfice de nos territoires. Le gouvernement aurait pu encore faire d’autres choix, comme par exemple suivre les recommandations de la Cour des comptes qui propose de modifier le mécanisme du Crédit d’impôt recherche (CIR) : Actuellement : 30 % de crédit d’impôt est octroyé à hauteur de 100 M€ de dépenses de recherche, et 5 % de crédit d’impôt au-delà ; Préconisation dite « ambitieuse » de la Cour des comptes de 2022[3] : 42 % d’accompagnement à hauteur de 20 M€, conduisant à une économie de 1,75 milliard d’euros.
Budget 2025 : la présidente de l’UBS monte au créneau « Mais quelle université, l’État veut-il pour la nation ? ». L’Université ne peut pas être une variable d’ajustement du budget de l’État. La question budgétaire traverse aujourd’hui toutes les organisations publiques. Le problème est que l’État prend des mesures budgétaires unilatérales, court-termistes, sans gestion prévisionnelle. La semaine dernière, les présidentes et présidents d’universités ont ainsi alerté le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, de la situation financière intenable des universités, conséquence de mesures nationales décidées par l’État, non financées et imposées aux universités, comme à l’UBS. Elles constituent une charge supplémentaire, de près de 2,2 M€, qu’on nous demande de trouver en urgence, alors que le budget de l’université pour 2025 est déjà bouclé. Comment piloter financièrement nos universités avec des annonces qui tombent ainsi ? Le budget de l’université ne peut pas être une variable d’ajustement. L’État demande aux opérateurs publics de compenser son absence de gestion budgétaire. Le modèle actuel a fait son temps, il devient urgent d’imaginer un nouveau modèle efficient, soutenable et durable. L’investissement en France est inférieur à celui des grandes puissances éducatives Qui forme des médecins, juristes, ingénieurs, responsables de commerce international, data-scientifiques, biologistes, enseignants, qui participe aux innovations en santé, dans les matériaux de construction ? etc…C’est bien l’université qui délivre des diplômes nationaux mondialement reconnus et évalués. L’Université, avec la formation et la recherche n’est pas un coût, mais un investissement pour la Nation. Nos entreprises, nos organisations ont besoin de nos étudiants pour relever les défis majeurs posés à nos sociétés. Évitons de déclasser l’université et ses diplômes : la dépense publique pour l’enseignement public à l’université est de 11 190 € par étudiant, alors qu’en Allemagne, elle est de 15 à 17 000 €. La recherche universitaire souffre d’un sous-financement chronique. L’État doit donc agir pour prendre des mesures en faveur de la jeunesse. Malgré les contraintes, l’UBS continue d’investir ! Avec 108,5 millions d’euros de retombées économiques annuelles pour le territoire, l’UBS est un opérateur de premier rang pour le Morbihan. Nous avons beaucoup investi, près de 10 M€ ces dix dernières années pour offrir à nos étudiants des campus modernes et des équipements de qualité. Le ministère classe aussi l'Université Bretagne Sud, comme la 2ème université en France pour l'emploi salarié de ses diplômés en master. Preuve que le modèle de l’UBS, université de proximité, à taille humaine en lien avec les acteurs sociaux-économique, ça fonctionne. Mais pour combien de temps encore, si le Ministère renonce à soutenir et à accompagner ses universités ? À l’UBS, nous ne ferons aucune concession sur la qualité de notre enseignement et notre recherche.
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👍Soutenir l’université est un réel choix de société : celui de donner une chance d’émancipation à une large part de sa jeunesse mais aussi d’offrir des possibilités concrètes de reconversions professionnelles aux moins jeunes (choses si importante dans un monde du travail qui demande à ce que ce soient les personnes qui s’adaptent et non l’inverse 😔…) ! Au delà l’Université est un lieu de réflexion, de création de savoirs, de coopérations et d’innovations… dès lors comment ne pas investir ici quand on est à la tête d’un état ? 🤷🏻♀️ Quel modèle de société veut-on quand on sacrifie tout ça ? 😳🤔🤨
Budget 2025 : la présidente de l’UBS monte au créneau « Mais quelle université, l’État veut-il pour la nation ? ». L’Université ne peut pas être une variable d’ajustement du budget de l’État. La question budgétaire traverse aujourd’hui toutes les organisations publiques. Le problème est que l’État prend des mesures budgétaires unilatérales, court-termistes, sans gestion prévisionnelle. La semaine dernière, les présidentes et présidents d’universités ont ainsi alerté le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, de la situation financière intenable des universités, conséquence de mesures nationales décidées par l’État, non financées et imposées aux universités, comme à l’UBS. Elles constituent une charge supplémentaire, de près de 2,2 M€, qu’on nous demande de trouver en urgence, alors que le budget de l’université pour 2025 est déjà bouclé. Comment piloter financièrement nos universités avec des annonces qui tombent ainsi ? Le budget de l’université ne peut pas être une variable d’ajustement. L’État demande aux opérateurs publics de compenser son absence de gestion budgétaire. Le modèle actuel a fait son temps, il devient urgent d’imaginer un nouveau modèle efficient, soutenable et durable. L’investissement en France est inférieur à celui des grandes puissances éducatives Qui forme des médecins, juristes, ingénieurs, responsables de commerce international, data-scientifiques, biologistes, enseignants, qui participe aux innovations en santé, dans les matériaux de construction ? etc…C’est bien l’université qui délivre des diplômes nationaux mondialement reconnus et évalués. L’Université, avec la formation et la recherche n’est pas un coût, mais un investissement pour la Nation. Nos entreprises, nos organisations ont besoin de nos étudiants pour relever les défis majeurs posés à nos sociétés. Évitons de déclasser l’université et ses diplômes : la dépense publique pour l’enseignement public à l’université est de 11 190 € par étudiant, alors qu’en Allemagne, elle est de 15 à 17 000 €. La recherche universitaire souffre d’un sous-financement chronique. L’État doit donc agir pour prendre des mesures en faveur de la jeunesse. Malgré les contraintes, l’UBS continue d’investir ! Avec 108,5 millions d’euros de retombées économiques annuelles pour le territoire, l’UBS est un opérateur de premier rang pour le Morbihan. Nous avons beaucoup investi, près de 10 M€ ces dix dernières années pour offrir à nos étudiants des campus modernes et des équipements de qualité. Le ministère classe aussi l'Université Bretagne Sud, comme la 2ème université en France pour l'emploi salarié de ses diplômés en master. Preuve que le modèle de l’UBS, université de proximité, à taille humaine en lien avec les acteurs sociaux-économique, ça fonctionne. Mais pour combien de temps encore, si le Ministère renonce à soutenir et à accompagner ses universités ? À l’UBS, nous ne ferons aucune concession sur la qualité de notre enseignement et notre recherche.
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La seule réponse du ministère se résume à renvoyer l’ensemble des universités à leur trésorerie cumulée (2,5Md€ à l’échelle du pays) dont on sait pertinemment que ce n’est pas de l’argent qui dort. En effet, la majeure partie de la trésorerie d’un établissement étant gagée sur des opérations ciblées et contractualisées, elle ne peut donc être réorientée sur des dépenses courantes telles que les factures d’électricité, les salaires des personnels des universités et encore moins les pensions. En l’absence de réponse concrète devant cette nouvelle marche infranchissable de dépenses non compensées, les universités ont décidé, à l’issue de l’assemblée générale de France Universités du 26 novembre, de déclarer la journée du 3 décembre journée de mobilisation « universités en danger ». https://lnkd.in/epBqgZxd
20251202_Mobilisation_budget.pdf
franceuniversites.fr
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Les #Universités françaises traversent une période critique, et voici pourquoi vous devriez vous en préoccuper : 𝟭. 𝗨𝗻𝗲 𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 ↳ Le 3 décembre 2024 marque un tournant pour l'enseignement supérieur 𝟮. 𝗗𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱'𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗲́𝗽𝘂𝗶𝘀𝗲́𝘀 ↳ Face à un projet de loi de finances inadapté 𝟯. 𝗗𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗼𝘀𝗲́𝗲𝘀 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗮𝗶𝗱𝗲 ↳ Salaires, énergie : les coûts s'accumulent 𝟰. 𝗨𝗻𝗲 𝘁𝗿𝗲́𝘀𝗼𝗿𝗲𝗿𝗶𝗲 𝗱𝗲́𝗷𝗮̀ 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲́𝗲 ↳ L'argent disponible est déjà alloué aux projets en cours 𝟱. 𝗗𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝗽𝗲𝗿𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗻𝗲́𝘃𝗶𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 ↳ Moins d'admissions, services réduits, recrutements gelés France Universités tire la sonnette d'alarme auprès du Cabinet du Premier ministre. Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cette situation qui menace l'avenir de notre jeunesse et de notre pays. C'est pourquoi je soutiens pleinement la mobilisation des universités françaises, et j'appelle à un soutien fort de la part du gouvernement pour garantir l'avenir de notre système éducatif 🦾 #Éducation #Université #EnseignementSupérieur #Mobilisation #PLF2025 #AvenirDeLaJeunesse #FranceUniversités
PLF 2025 : vers une mobilisation inédite des universités en danger | France Universités
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