Post de Cortès CONSULTING

https://lnkd.in/eNeYJDAg ... "Bien que le deuil soit un sujet difficile à aborder en milieu professionnel, il a un impact immense sur les salariés, le bien-être et la productivité. Rares sont les individus à être formés pour y faire face. En dehors des quelques jours de congés légaux accordés en cas de décès d’un proche, il n’y a souvent pas grand-chose de plus. Or, il est essentiel de mieux accompagner le deuil. Les salariés ne peuvent pas compartimenter leurs vies personnelle et professionnelle, mais cela ne signifie pas qu’ils sont incapables ou indésirables au travail lorsqu’ils sont vulnérables ! Développer l’empathie au bureau et accepter les individus dans leur intégralité, épreuves incluses, c’est une manière de grandir pour l’entreprise aussi…"🙌🙏✨

1 actif sur 2 a déjà vécu un deuil et 1 manager sur 3 a été confronté à cette situation au sein de son équipe. Les arrêts de travail pour deuil durent en moyenne 34 jours/an (Crédoc). La perte d'un proche impacte non seulement l'individu, qui peut être en souffrance ou s'immerger dans le travail pour fuir, mais aussi l'ensemble du collectif. Pour Julia Néel Biz, cofondatrice et CEO de teale, la première plateforme de santé mentale à destination des collaborateurs et des organisations, qui a elle-même perdu un proche d’une façon brutale il y a six ans : "En ce domaine, où aucun deuil ne ressemble à un autre, beaucoup reste à faire en entreprise pour accompagner les personnes endeuillées bien sûr, mais aussi pour former ou sensibiliser collaborateurs et managers à accueillir le deuil de l’autre. Il est intéressant de noter que les situations où il semble impossible d’agir sont aussi révélatrices d’une culture interne où règnent la peur de “l’incontrôlable”, la difficulté à accepter les émotions (la tristesse en particulier) et un manque tout à la fois de management et de (re)connaissance". Accompagner les personnes en deuil, favoriser ainsi leur santé mentale et l'expression de leur vécu conduit in fine à un engagement accru des collaborateurs, qui se sentent soutenus et en confiance envers leur employeur. Echanges inspirants avec Muriel Jasor pour Les Echos sur un sujet encore tabou.  #Deuil #entreprise #BienÊtreAuTravail #Leadership #santementale Sophie Artonne - Freelance RP ☀️Geoffroy Verzat Nicolas Merlaud Delphine Hang-Golden

La semaine dernière, j'ai coanimé une action de sensibilisation auprès d'une centaine de managers de la Collectivité Européenne d'Alsace afin qu'ils puissent mieux comprendre et accompagner leurs collaborateurs en situation de deuil. sandrine stoeffler est intervenue aussi pour présenter les actions proposées en interne par les professionnels de l'action sociale de son service pour les épauler face aux situations de deuil rencontrées dans le cadre de l'exercice de leurs missions. 🤔 Pourquoi accompagner le deuil dans la vie professionnelle est déterminant ? 🤔 Le deuil au travail de quoi parle-t-on ? 🤔 Comment gérer le deuil des collaborateurs et que cela n’empiète pas sur l’organisation du travail et le climat social ? 🤔 Quel est le rôle du manager face au deuil ? Comment les soutenir et éviter les maladresses face au deuil d’un collaborateur ? Autant de questions qui ont été abordées. Ce fut l'occasion d'entendre des témoignages de leur vécu en tant que manager : suicide d'un collaborateur, décès liée à la maladie d'un responsable, décès de personnes accompagnées par des accueillants familiaux. Le deuil est universel et tous sont/seront confrontés dans l'exercice de leur mission. Quelques retours suite à l'intervention 😃 Sujet abordé très pertinent, merci . Interventions très qualitatives Merci beaucoup pour cette présentation riche en enseignement Merci pour votre intervention éclairante Merci pour cette présentation très constructive  Merci beaucoup pour ce temps d'échange et la place donnée à ce sujet qui nous concerne tous. Je me réjouis que cela a été éclairant pour eux et que cela puisse leur apporter une aide dans leur accompagnement face au deuil.  Merci Magali Harre pour votre confiance. Avis au DRH, direction, managers, vous souhaitez mettre en place des actions pour mieux se préparer face au deuil vécu par vos collaborateurs ( décès, maladie, handicap) et les accompagner au mieux pour leur bien être au travail et celui de l'équipe. Vous souhaitez limiter les répercussions négatives que cela engendre sur le travail réalisé et le climat social. N'hésitez pas à venir vers moi en mp pour en échanger. ANDRH Centre Alsace ANDRH Alsace Strasbourg Thierry Potier Franck Keiffer Stéphanie FALK Nicolas KHODJA Valérie Coutret Cyriaque Scharff Pascal DRENERI Yannick Garbin Magali MEYER Magali Becker Delphine FRANK Sebastien Marck Eric CHANCY Christophe MOSSERAnne SCHWABAnne HAUMESSER ✨Christian VOLTZ Thierry WauquierThierry Busnel Nadège HORNBECKLaurent GruberLaurent QuinetThomas HassonVirginie MaryBarbara LehmbeckerNicole Colonna de lecaCéline WEISSBRAUN Marilyne PELIZZONI ROYER Myriam Voilliot Sébastien J-BORG Sandra Jessel Clotilde Vilquin Céline Ricou JACQUOT AudreyGaëlle HENCHES François HUSS #QVT #RSE #impactsocial #dialoguesocial

Salariés en deuil, Muriel Jasor, Les Echos Un actif sur deux a vécu un deuil et un manager sur trois s'est retrouvé confronté à cette situation au sein de son équipe, d'après le Crédoc. Or le temps du deuil et le temps de l'entreprise ne font pas toujours bon ménage. Perte d'un conjoint, d'un enfant, d'un parent, d'un membre de la famille ou d'un solidaire cercle amical… Un deuil change profondément la personne qui le vit et cela a un impact sur le collectif de travail au sein duquel elle s'insère. Pousser l'accompagnement plus loin La personne endeuillée s'absente de son travail ou bien est présente mais sans énergie et en souffrance. Elle peut aussi temporairement bénéficier d'un emploi du temps aménagé ou, au contraire, dans un réflexe de protection, reprendre très vite le travail pour s'y noyer. En moyenne annuelle, les arrêts de travail pour deuil durent 34 jours, selon le Crédoc. Dans tous les cas de figure, il revient à l'employeur de reconnaître le deuil sans évitement ni jugement. « Sachant, par exemple, que 85 % des aidants sont de futurs endeuillés, certaines organisations pourraient pousser leur accompagnement plus loin, dans un objectif de préservation de la santé mentale comme physique puisque la perte d'un être cher peut conduire certains à consommer davantage d'alcool, de tabac et de médicaments », relève Marie Tournigand, déléguée générale de l'association Empreintes, qui milite pour une meilleure prise en charge du deuil par les entreprises et leur propose des formations en ce sens. « Trop souvent, les entreprises réagissent d'une façon empirique (50 % et 58 % n'ont rien prévu en cas de décès d'un collaborateur ou d'une personne proche d'un collaborateur, selon une étude Crédoc-Empreintes-CSNAF, NDLR). Formation ad hoc, écoute attentive (y compris des signaux faibles comme une irritabilité inhabituelle), référent « care »… Les managers et dirigeants doivent aussi aiguiser leur intelligence émotionnelle et jouent leur rôle en tendant la main. Si une endeuillée les y autorise, c'est à eux qu'il revient, par exemple, d'informer les collègues pour éviter toute maladresse, à son retour, alors qu'elle vit un deuil périnatal. Renforcer le lien de proximité. Collaborateurs, managers, dirigeants, tous peuvent se former et apprendre à composer avec l'émotion d'une personne endeuillée. L'important étant surtout de lui permettre de prendre soin de sa santé mentale. La vie se poursuit mais, souvent, le deuil laisse une cicatrice indélébile. Les entreprises capables de le comprendre et de faire évoluer leur culture interne en exprimant de l'attention et de la bienveillance renforcent leur lien de proximité avec leurs salariés. Elles exercent ainsi une forme de RSE (responsabilité sociale d'entreprise) qui tait son nom dont elles sont d'autant plus récompensées, à terme, que l'engagement des collaborateurs peut être décuplé. La raison ? Ils savent, preuve à l'appui, qu'ils peuvent compter sur leur employeur. Muriel Jasor

La semaine dernière, Marine Le Doré, notre fondatrice a coanimé une action de sensibilisation auprès d'une centaine de managers de la Collectivité Européenne d'Alsace afin qu'ils puissent mieux comprendre et accompagner leurs collaborateurs en situation de deuil. sandrine stoeffler est intervenue aussi pour présenter les actions proposées en interne par les professionnels de l'action sociale de son service pour les épauler face aux situations de deuil rencontrées dans le cadre de l'exercice de leurs missions. 🤔 Pourquoi accompagner le deuil dans la vie professionnelle est déterminant ? 🤔 Le deuil au travail de quoi parle-t-on ? 🤔 Comment gérer le deuil des collaborateurs et que cela n’empiète pas sur l’organisation du travail et le climat social ? 🤔 Quel est le rôle du manager face au deuil ? Comment les soutenir et éviter les maladresses face au deuil d’un collaborateur ? Autant de questions qui ont été abordées. Ce fut l'occasion d'entendre des témoignages de leur vécu en tant que manager : suicide d'un collaborateur, décès liée à la maladie d'un responsable, décès de personnes accompagnées par des accueillants familiaux. Le deuil est universel et tous sont/seront confrontés dans l'exercice de leur mission. Quelques retours suite à l'intervention 😃 Sujet abordé très pertinent, merci . Interventions très qualitatives Merci beaucoup pour cette présentation riche en enseignement Merci pour votre intervention éclairante Merci pour cette présentation très constructive Merci beaucoup pour ce temps d'échange et la place donnée à ce sujet qui nous concerne tous. Nous nous réjouissons que cela a été éclairant pour eux et que cela puisse leur apporter une aide dans leur accompagnement face au deuil. Merci Magali Harre pour votre confiance. Avis au DRH, direction, managers, vous souhaitez mettre en place des actions pour mieux se préparer face au deuil vécu par vos collaborateurs ( décès, maladie, handicap) et les accompagner au mieux pour leur bien être au travail et celui de l'équipe. Vous souhaitez limiter les répercussions négatives que cela engendre sur le travail réalisé et le climat social. N'hésitez pas à venir vers nous en mp ou contact@epaulmoi.fr pour en échanger. #qvt #rse #dialoguesocial #bienveillance

🖤 Traverser un deuil transforme profondément ceux qui le vivent, avec des répercussions inévitables sur l'ensemble de l'équipe. Pourtant, 80 % des salariés endeuillés estiment que le soutien des ressources humaines reste insuffisant, voire absent. Julia Néel Biz, co-fondatrice et CEO de teale partage son analyse dans Les Echos : "En ce domaine, où aucun deuil ne ressemble à un autre, beaucoup reste à faire en entreprise pour accompagner les personnes endeuillées bien sûr, mais aussi pour former ou sensibiliser collaborateurs et managers à accueillir le deuil de l’autre. Il est intéressant de noter que les situations où il semble impossible d’agir sont aussi révélatrices d’une culture interne où règnent la peur de “l’incontrôlable”, la difficulté à accepter les émotions (la tristesse en particulier) et un manque tout à la fois de management et de(re)connaissance". Sensibilisation et formation des managers, mise en place d’un soutien psychologique, politique de congés adaptée au deuil, création d’une culture de bienveillance et d'écoute, prévention des risques psycho-sociaux associés au deuil… sont des axes sur lesquels les organisations peuvent se pencher afin d’accompagner au mieux les salariés en deuil 🙏 Merci Les Echos, sous la plume de Muriel Jasor, de prendre la parole sur un sujet encore tabou en entreprise (et ailleurs) : la mort. Chez teale, nous sommes convaincus qu’une approche proactive et humaine envers le deuil s’inscrit dans une démarche de responsabilité sociale, tout en ayant un impact positif sur l'engagement et le bien-être des équipes. 🗞️ Découvrez l'article : https://lnkd.in/eAwQ59KE

Initier une démarche RSE, c’est en partie, s’intéresser sincèrement à la qualité de vie au travail. Quoi de plus sincère que d’aborder un sujet qui nous touche tous, de près ou de loin, à un moment de notre vie : LE DEUIL 🖤 À l’approche du 1er novembre, une période de souvenir et de réflexion, je vous propose d’aborder le sujet du deuil en entreprise.  🕯 N’occultons pas ce sujet et sentons nous libres d’en parler dans l’écosystème de l’entreprise, car : 🔸 En moyenne, 88 % des collaborateurs ont été confrontés à un décès les ayant particulièrement affectés. 🔸1/3 des managers a déjà été confronté au deuil d’un proche dans l’entourage personnel d’un collaborateur. 🔸80 % des salariés estiment que le soutien des ressources humaines est inadapté, inutile ou inexistant. Ces événements peuvent entraîner des absences plus ou moins longues, une perte de repères, une fatigue, voire une perte d’intérêt pour le travail. 🤔 Dans mon entreprise, cette année, plusieurs d’entre nous ont été confrontés à la perte d’un proche. Que la perte soit brutale ou attendue, elle n’en reste pas moins une épreuve difficile à laisser aux portes manteaux ou au seuil de l’entreprise en arrivant le matin. Alors, comment accompagner, comment éviter les maladresses, quoi dire, quoi faire en dehors des simples obligations légales d’absence ❓ ✅ Exprimons nos condoléances, offrons notre soutien, partageons des souvenirs, soyons présents, validons les émotions. Mais ❌ Évitons de minimiser la douleur, de comparer les deuils ou d’éviter le sujet. Il n’y a pas d’échelle de douleur en matière de deuil, aussi abstenons nous de comparer sa propre expérience à celle d’un tiers. Le deuil est propre à chacun. 🆘 Le guide « Vivre un deuil en entreprise » et l’association Empreintes - Accompagner le deuil offrent des conseils précieux pour accompagner les salariés en deuil. N’hésitons pas à proposer aux collaborateurs une écoute extérieure (Association EMPREINTES - parcours d’accompagnement « Vivre un deuil » de KLESIA). Pour finir, à titre personnel, je dirais qu’il y a des mots plus faciles à entendre que d’autres ; j’éviterais désormais l’usage de « condoléances » qui, bien qu’adapté à la circonstance, est abrupt. (1)   Source CREDOC-EMPREINTES-CSNAF-Les Français face au deuil 2021 (2)   Crédit photo : DALL.E #DEUIL #RSE #QVT #SOUTIEN  

𝟯𝟭 % 𝗻𝗲 𝘀𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘀𝗮𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝘂𝘀 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗮𝗽𝗿è𝘀 𝗹𝗲 𝗱é𝗰è𝘀 𝗱’𝘂𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲, 𝗱’𝗮𝗽𝗿è𝘀 𝘂𝗻𝗲 é𝘁𝘂𝗱𝗲 𝗺𝗲𝗻é𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗗𝗘𝗟𝗔 𝗮𝘂𝗽𝗿è𝘀 𝗱𝗲 𝟮 𝟬𝟬𝟬 𝗕𝗲𝗹𝗴𝗲𝘀. Lorsqu'un collègue perd un être cher, on ne sait souvent pas quoi dire ou faire. Pourtant, un mot gentil ou un petit geste peut signifier beaucoup. Des conseils concrets dans ce blog. 👇

" Le deuil est une expérience privée et intime. Ne serait-ce pas intrusif pour une entreprise de se mêler du deuil d’un collaborateur ? " C’est un point de vu que nous entendons parfois lorsque le sujet du deuil en entreprise est abordé. Mais ne pas intégrer cette réalité humaine dans les pratiques RH, c’est : ➡️ Sous-estimer l’impact du deuil en milieu professionnel : une part importante de salariés endeuillés déclare ressentir des difficultés à se concentrer ou à maintenir leur performance. ➡️ Laisser les collaborateurs / les équipes isolées : un salarié non accompagné peut se retrouver seul face à une situation complexe et épuisante. Les équipés en deuil font face à de nombreuses difficultés. ➡️ Rater une opportunité d’engagement RSE : le bien-être des salariés est un levier clé pour une entreprise socialement responsable. À l’inverse, intégrer une politique de soutien au deuil, c’est : 🎗 Créer un climat de confiance et d’empathie : les équipes se sentent écoutées et soutenues dans les moments difficiles. 🎗 Prendre soin de la santé mentale et physique de ses salariés. 🎗Soutenir la productivité : un salarié / une équipe accompagné(e) reprend ses marques plus rapidement. 🎗 Montrer l’exemple : devenir une entreprise référente sur des questions qui comptent vraiment. Le premier pas pour agir, c’est de s’informer et de s’outiller : 📥 Téléchargez la note du Cercle Vulnérabilités et Société qui lève le voile sur ce sujet encore tabou. 🥇 Et pour aller plus loin, découvrez comment vous pouvez être accompagné dans la mise en place de solutions adaptées à votre organisation. C'est très simple et tellement utile ! #DeuilEnEntreprise #BienÊtreAuTravail #Deuil #RSE #RH #PerformanceGlobale

La mort demeure un sujet tabou, y compris dans le cadre de l’entreprise où 80 % des salarié‧es estiment ne pas avoir bénéficié d’un vrai soutien au moment d’un deuil. L’impact du deuil au niveau psychologique semble évident. Mais on oublie qu’il peut y avoir d’autres impacts : ➡ Conséquences directes sur la santé physique de l’employé : sommeil, perte de concentration, mémoire … ➡ Réorganisation de sa vie : modification de la cellule familiale ➡ Impacts sur les finances de l’entreprise : absentéisme, maladies, démissions … Et vous en tant qu’employeur, qu’avez-vous mis en place pour accompagner vos employés ? #santé #bienetreautravail #protocole https://lnkd.in/gJzF2Za2