[Reportage] ⛵ À quelques jours du coup d’envoi de la dixième édition du Vendée Globe, des milliers de visiteurs curieux se bousculent sur le petit ponton du port des Sables-d’Olonne. Les skippers font face à un premier challenge d’avant-course : ne pas se laisser déconcentrer par toute l’agitation aux abords de leurs bateaux. ☀ Notre journaliste Léa LUCAS s'est donc frayée un chemin jusqu’à l’IMOCA Freelance.com du navigateur Guirec Soudée. Après un accueil vif et blagueur, ainsi qu'une visite rapide du cockpit, il lui a raconté, assis en tailleur à même le sol, son besoin d'adrénaline et sa gestion des risques : "Plus je prends de risques, plus j’ai envie d’en prendre. J’ai envie de découvrir, de voir et de faire un maximum de choses avant de quitter un jour la planète. J’ai besoin de me retrouver dans l’effort. Je n’aime pas quand la vie est trop facile. Si mes aventures se passent trop bien, je suis presque déçu. J’espère que ce Vendée Globe va m’apporter la difficulté que je recherche. Sinon j’enchaîne avec un autre tour du monde sans m’arrêter (rires)." À lire ici : https://lnkd.in/e8_6kfRa #vendéeglobe2024 #sport #compétition #coopération #défi #challenge #adversité #résilience #persévérance #courage #dépassementdesoi
Toujours aussi passionnant Léa LUCAS . Courrier Cadres un journal plein de ressources 😉
Nolwenn bretonne
1 moisJe vous félicite, Guirec Soudée. En effet, rechercher la difficulté conduit toujours à un dépassement de soi même et donne plus de prix aux victoires obtenues. Mettre la barre haute, exiger de vous même l'excellence, vous éloigne à tout jamais de la médiocrité. Continuez dans cette voie !