Culture : À la Passerelle, à Sète, Magyd Cherfi jette des... "passerelles" d’humanité L'ex-cofondateur de Zebda a commencé sa tournée par l'île Singulière avec son nouvel opus, le Propre des Ratures. Un spectacle-pépite qui enchante dans cette période désenchantée. Qui fait du bien. Les collégiens de Paul-Valéry qui s'y sont produits en première partie, samedi soir, confirment. https://lnkd.in/d_FV5T-N
Post de Dis-leur !
Plus de posts pertinents
-
100 Etablissement Culturel Solidaire - Cette semaine au Théâtre du 100ECS - « la visite du chancelier autrichien en suisse », texte de Michel Vinaver Avec : Matthieu Marie Durée : 1H00 📍au @100ecs - 100 rue de Charenton, Paris 12 📍les 19 et 20 septembre 2024 📍à 20h ! > billetterie : https://lnkd.in/ezC4ADNj > Plus lourd de menace que l’ascension de l’extrême droite populiste en Autriche, est l’accommodement de tout autre État à ce qui en résulte. Ainsi se répand le venin. 3 juin 2000. Michel Vinaver est attendu en Suisse, aux Journées littéraires de Soleure. Non pas pour y participer comme il avait été convenu au départ, mais pour y expliquer son refus de participer… De cette situation paradoxale, comme du frottement de deux silex, l’étincelle jaillit… La cause de ce refus : la visite officielle en Suisse, deux mois plus tôt, du chancelier autrichien W. Schuessel, compromis avec l’extrême droite. L’explication publique à laquelle se livre M. Vinaver fait apparaître au coeur de son oeuvre – et de sa vie : admirable intégrité – la figure de l’objecteur. Que faire ? Que ne pas faire ? Nous assistons à la naissance d’une forme singulière d’engagement. Ressusciter cette aventure, faire revivre aujourd’hui cette parole trop peu entendue : la soirée du 3 juin 2000 constitue ici une sorte de mythe fondateur. Un acte inaugural. Recommencer : une manière, peut-être, de transmettre le « flambeau »… d’aider à résister aux forces d’enfouissement de l’Histoire et à l’éternel retour des monstres. #theatre #paris #100ecs #paris12 #spectacle #matthieumarie #michelvinaver #artsvivants
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Cette semaine au Théâtre du 100ECS- « la visite du chancelier autrichien en suisse », texte de Michel Vinaver Avec : Matthieu Marie Durée : 1H00 📍au @100ecs - 100 rue de Charenton, Paris 12 📍les 19 et 20 septembre 2024 📍à 20h ! > billetterie : https://lnkd.in/ek_9saVe > Plus lourd de menace que l’ascension de l’extrême droite populiste en Autriche, est l’accommodement de tout autre État à ce qui en résulte. Ainsi se répand le venin. 3 juin 2000. Michel Vinaver est attendu en Suisse, aux Journées littéraires de Soleure. Non pas pour y participer comme il avait été convenu au départ, mais pour y expliquer son refus de participer… De cette situation paradoxale, comme du frottement de deux silex, l’étincelle jaillit… La cause de ce refus : la visite officielle en Suisse, deux mois plus tôt, du chancelier autrichien W. Schuessel, compromis avec l’extrême droite. L’explication publique à laquelle se livre M. Vinaver fait apparaître au coeur de son oeuvre – et de sa vie : admirable intégrité – la figure de l’objecteur. Que faire ? Que ne pas faire ? Nous assistons à la naissance d’une forme singulière d’engagement. Ressusciter cette aventure, faire revivre aujourd’hui cette parole trop peu entendue : la soirée du 3 juin 2000 constitue ici une sorte de mythe fondateur. Un acte inaugural. Recommencer : une manière, peut-être, de transmettre le « flambeau »… d’aider à résister aux forces d’enfouissement de l’Histoire et à l’éternel retour des monstres. #theatre #paris #100ecs #paris12 #spectacle #matthieumarie #michelvinaver #artsvivants
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
1989 Jessye Norman * interprétait l'hymne national sur les Champs-Élysées, à l'occasion des fêtes de commémoration du Bicentenaire de la Révolution française. 2024 D'après le magazine L'Express, Emmanuel Macron aurait proposé à la chanteuse Aya Nakamura** d'interpréter une chanson du répertoire français lors de la cérémonie d'ouverture des JO prévue le 26 juillet. A une époque où la question du SENS se pose à chacun, à chaque instant, quel est le SENS à donner à cette information ? Il n'est pas rare que des présidents de la République convient des artistes de leur choix à des événements de portée nationale ou internationale. Ce choix de EM ne suscite pas le consensus ; mais consensus et apaisement ne semblent pas être les objectifs poursuivis ces derniers temps ... Alors ? - preuve supplémentaire du délitement de la «noble» ambition culturelle française ? - reconnaissance publique nécessaire des nouveaux visages de la France d'aujourd'hui ? ou bien - besoin/envie du chef de l'État de redonner à l'événement son caractère «populaire» ? - choix de la personne qui incarnerait au mieux la promesse assimilatrice ? Aya Nakamura est l'une des artistes contemporaines les plus écoutées et les plus appréciées en France et dans le monde. Elle est donc populaire, car - plébiscitée par le plus grand nombre - accessible au plus grand nombre. C'est peut être autour de cette notion de POPULAIRE que naît l'incompréhension, puis la tension. Le populaire est transcendant : Claude François, Coluche ou Renaud furent populaires, ils sont désormais ""classiques", au même titre que les calembours subtils de Raymond Devos, les notes manouches de Django Reinhardt, ... Avec A.N. on serait dans un populaire associé à un progressisme qui rejète le classique considéré comme élitaire ? Ou c'est peut être plus simple finalement. Le populaire n'empêche pas la qualité, l'exigence et peut représenter une certaine ambition culturelle. Quant on écoute la chanson Djadja qui a rendu AN célèbre, on n'y entend pas forcément un français châtié (ce qui ne veut pas dire châtrée). Donc on pourrait - craindre que l'artiste choisie par EM ne soit juste pas en phase avec les attentes des spectateurs qui l'écouteront à cette occasion là, français ou "touristes" venus pour l'occasion... - et aussi regretter les choix de EM quant à ses ministres, à commencer par sa ministre de la culture ... * Soprano dramatique dotée d'une voix imposante, elle s'est rendue célèbre dans le répertoire de la musique des XIXe et XXe siècles, particulièrement allemande et française.La soprano est décédée à l'âge de 74 ans le 30 septembre 2019.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘁 𝗻𝗲 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗮̀ 𝗿𝗮𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗹'𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 Ce week-end, j'ai eu le privilège de partager la scène avec l'Ensemble vocal de St-Maurice et l'orchestre breton la Guilde des Mercenaires dans une expérience qui a transcendé les frontières musicales et culturelles. Tout a commencé avec une simple idée émise par notre chef de chœur – breton d’origine : réunir ses potes d’enfance et nos talents pour un concert. - 𝘑𝘦 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨𝘦 𝘶𝘯 "𝘤𝘩œ𝘶𝘳 𝘢𝘮𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳", 𝘢-𝘵-𝘪𝘭 𝘥𝘪𝘵 𝘦𝘵 𝘰𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘵𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘝𝘦̂𝘱𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘔𝘰𝘯𝘵𝘦𝘷𝘦𝘳𝘥𝘪, 𝘷𝘦𝘯𝘦𝘻! Sans grande conviction, ils ont accepté. En France, il semblerait que derrière le mot 𝘤𝘩œ𝘶𝘳 𝘢𝘮𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳, beaucoup entendent « pas à la hauteur ». En Suisse, chanter est bien plus qu'un simple passe-temps. C'est une tradition et un art que nous cultivons dans les villages et depuis la tendre enfance. Lors de notre première répétition, l'étonnement était palpable. Les regards des musiciens s'illuminaient à la découverte de nos voix. Et nous avons offert des performances dignes de professionnels devant un public debout, conquis. Ce week-end, nous avons prouvé que deux mots peuvent enfermer et nous priver d’expériences mémorables, si nous n’allons pas au-delà. Cette expérience m'a rappelée que les mots ne sont que des 𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘁𝘁𝗲𝘀, des 𝗿𝗮𝗰𝗰𝗼𝘂𝗿𝗰𝗶𝘀 de la réalité. Ils sont 𝘁𝗲𝗶𝗻𝘁𝗲́𝘀 par nos propres expériences, nos préjugés et nos 𝗳𝗶𝗹𝘁𝗿𝗲𝘀. Mais si nous nous permettons d'aller au-delà, nous découvrons toute la richesse et la diversité du monde qui nous entoure. Restons ouverts, 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗷𝘂𝗴𝗲́𝘀 𝗻𝗶 𝗮 𝗽𝗿𝗶𝗼𝗿𝗶, et laissons l’histoire s’écrire au fur et à mesure. #lesmotssontdesmurs #préjugés #apriori _____________________ Si tu me découvres grâce à ce post, je suis Céline, spécialiste en relations humaines et j’œuvre pour plus de vie et d’authenticité dans les entreprises.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Il existerait une frontière bien réelle entre « l’initié.e » et « les autres ». Nous, professionnel.le.s artistes et xn--oprateur-c1a.rice.s du spectacle vivant subventionné l’aurions créé il y a des dizaines d’années, et nous persévérions encore, inconsciemment, à faire perdurer ce fossé dans le temps. Des pros complètement déconnectés de la réalité ? Serions-nous dans un délire collectif, tenus d’une mission symbolique que celle de délivrer une parole émancipatrice à laquelle le peuple se devrait d’adhérer ? Aurions-nous travesti à tord notre filière (ah, le tabou!), nos écoles (ah, l’élite!), nos relations de travail (ah, la communication!), nos repérages (ah, cette émergence !), nos codes (ah-ttention à utiliser le bon lexique!) .. ? Avec ses coups de gueule, le podcast de Mathis Grosos m’a interpellé. Je vous conseille de l’écouter, le découvrir et/ou vous le rappeler. La morale que j’en retiens ? Qu’il nous faut peut-être (encore et toujours) prendre du recul sur nos pratiques professionnelles, sur nos façons de conduire nos métiers qui composent une filière intrinsèquement liée à la loi de Baumol, que les politiques publiques n’arriveront pas à résoudre seules. Cette écoute me ramène à des réalités de terrain que j’entends chaque jour de la bouche des professionnel.le.s, artistes comme xn--oprateur-c1a.rice.s. L’ensemble de la profession est consciente et convaincue, mais quand aura-t’elle le temps et les possibilités de faire évoluer ses pratiques alors que 1/ les possibilités créatrices des artistes sont liées aux appels à projets et à la reconnaissance de leurs travaux dans la filière 2/ les xn--oprateur-c1a.rice.s n’ont plus les moyens suffisants pour développer le lien entre l’œuvre et les personnes, et qu’ils se retrouvent en face d’un nombre de sollicitations toujours croissant 3/ les administrations ne peuvent soutenir les acteurs culturels que par un cahier des charges politique et non sociétal, elles-mêmes survivants en budgets contraints 4/ l’inflation que nous connaissons ces dernières années ne permet pas aux personnes de bénéficier de plus d’activités culturelles, même si un soutien renforcé à la diffusion ou l’accessibilité des œuvres voyait le jour. Peut-être pourrais-je avancer timidement et naïvement quelques réponses que je vois s’amplifier en Nouvelle-Aquitaine, et probablement dans d’autres régions. Faire participer tout un chacun à la filière, comme il le souhaite. Créer avec ceux qui habitent, ceux qui vivent. Sortir du spectacle institué dans une boîte noire, un rapport frontal, et sortir. Réaliser des œuvres uniques et actuelles, en étant sur le territoire et avec les gens. Créer un théâtre qui parle d’aujourd’hui. Regarder la société telle qu’elle vit et non telle qu’on veut la qualifier.
Dramathis : S2E14 (2/3) : l'heure du thé : Les théâtreux sont-ils complètement hors sol ? sur Apple Podcasts
podcasts.apple.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Toulouse était terre de résistance, elle est aujourd’hui le berceau d’une œuvre majeure sur la collaboration : Voyage d’Automne du compositeur Bruno Mantovani, un opéra en création mondiale, commandé par l’Opéra National du Capitole. Quel ébranlement ! La marque des chefs d’œuvre c’est qu’ils ne vous laissent pas en paix (surtout quand vous ne l’étiez déjà pas). Ils vous poursuivent, ou plutôt vous les poursuivez, en humez encore le sel après qu’ils ont cessé. Comme un parfum ou une sensation gastronomique, ils se logent dans votre limbique vous permettant de les convoquer à souhait pour prolonger le dialogue, même quand l’odeur est celle du soufre et la saveur celle du sang. Car l’argument repose sur des faits réels : 1941, la France s’est abîmée dans la collaboration et sept de ses écrivains prennent le train sur invitation du régime nazi pour participer au Congrès des écrivains de Weimar, dans une sorte d’opération de relations publiques escomptant en retour une ode à la nouvelle puissance tutélaire. Brasillach, Drieu la Rochelle, Jouhandeau... des noms devenus ô combien sulfureux depuis, mais qui produisirent en leurs temps les écrits les plus raffinés et jouirent d’une grande autorité et d’une forte résonnance, comme on le dirait aujourd’hui de nos influenceurs 😏 La question qui nous est posée avec fracas est politique, éthique et même, disons-le existentielle : qu’est-ce au juste que ce mot, « civilisation », dès lors que l’Allemagne d'Holderlin, Kant et Goethe a pu être aussi l’Allemagne de la Shoah ? Individuellement, collectivement, comment laissons-nous survenir les glissements, compromissions, retournements de sens et de valeurs ? Cette grande question n’est certes pas nouvelle. Semblable à une douleur lancinante qui sait se rappeler à nous au gré de nos rêveries angoissées, elle se fait uppercut, aujourd’hui que l’actualité nous fouette sans relâche avec son lot de petites lâchetés et de grosses dégueulasseries. L'opéra fonctionne comme un miroir qui nous serait tendu avec prescience, le compositeur ayant commencé son œuvre il y a trois ans de cela. Et il y aurait tant à dire sur l’œuvre... mais ici n’est pas le lieu du « billet culturel » ! Je voulais juste en profiter pour applaudir à l’audace réaffirmée d’une direction artistique qui nous prouve à nouveau qu’elle est aiguillonnée par la recherche de « l'excellence », de la « beauté » et de la « lisibilité ». Sous le giron de Christophe Ghristi, l’Opéra du Capitole continue d’apporter de l’ampleur à son identité avec un répertoire pluriel qui équilibre reprises flamboyantes, nouvelles productions exigeantes et créations contemporaines radicales et éminemment politiques, comme ce Voyage d’Automne. Et question politique, on aimerait que l’opéra redevienne, comme il a pu l’être en Europe de l’Est un lieu de culture aussi banal que le cinéma... On peut toujours rêver mais qu’est-ce que la politique si ce n’est du rêve réalisé ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le programme à découvrir en #video #interview !
La 22ème Semaine du Son de l'UNESCO se prépare et se déroulera du 20 janvier au 2 février 2025 à Paris, dans toute la France et à l'international. Erik Orsenna et Kendji Girac seront les parrains de cette nouvelle édition qui aura pour thème "Son et politiques". Retrouvez tout le programme avec CHRISTIAN HUGONNET, président de l'association de LA SEMAINE DU SON sous ce lien ! https://lnkd.in/eME8ks2Y #environnement #environnementsonore #culture #musique #son
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Nouvel article "Etre un.e artiste racisé.e dans le spectacle vivant" ! 💫 Dans ce troisième article, je vous partage quelques clés pour la production de vos spectacles 😉 N'hésitez pas à y jeter un coup oeil et à suivre la page SENA Productions de spectacles vivants pour connaitre la suite des évènements ! 😁
Etre un.e artiste racisé.e dans le spectacle vivant ? #3
fr.linkedin.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
? **Retour sur scène et dans le temps : L'épopée Oasis reforgée** Il y a plus d'une décennie, la scène musicale mondiale était secouée par la séparation abrupte d'Oasis, une des formations britpop les plus emblématiques de l'ère moderne. Leur rupture ne s'est pas produite dans l'obscurité d'un studio d'enregistrement, mais plutôt sous les projecteurs du Festival Rock en Seine à Paris, une dispute entre les frères Gallagher ayant transformé leur loge en un théâtre de querelles fraternelles. Le 28 août 2009 marquait non seulement la fin présumée d'Oasis, mais également un moment clé dans l'histoire du rock, où la tension interne a éclipsé la musique. Cette nuit-là, la loge des Gallagher devenait le symbole de leurs discordes, mettant en lumière le côté sombre de la célébrité et du génie musical. Les insultes échangées entre Liam et Noel Gallagher étaient un signal que même les plus grandes collaborations pouvaient s'effondrer sous le poids des égos. Pourquoi revenir sur cet événement aujourd'hui ? Tout simplement parce que, 15 ans après cet incident marquant, les frères Gallagher ont surmonté leurs différends pour annoncer une reformation tant espérée d'Oasis, avec une tournée mondiale en perspective. Cette résurrection est un rappel que le temps peut guérir certaines blessures et que la musique peut être une force unificatrice plus puissante que les conflits qui la menacent. Il serait naïf de considérer cette reformation sans prudence. Les réunions d'anciens groupes sont toujours chargées d'attentes élevées et du spectre des conflits passés. Cependant, si l'histoire nous enseigne une leçon, c'est que la rédemption est possible, et souvent, elle est saluée avec encore plus d'enthousiasme et d'appréciation que la première ascension. Comme Winston Churchill l'a un jour déclaré, "Si vous traversez l'enfer, continuez d'avancer." Les frères Gallagher, en choisissant de reformer Oasis, montrent que les leçons du passé peuvent et doivent éclairer notre chemin vers l’avenir. Quels enseignements pouvons-nous tirer de cette saga d'Oasis pour notre vie professionnelle ou personnelle? Comment la persévérance et le pardon peuvent-ils redéfinir nos propres querelles et ambitions ? La musique d'Oasis, avec ses hymnes enveloppants et ses mélodies intemporelles, nous offre déjà un début de réponse. #OasisReunion #RockEnSeine #MusicComeback https://lnkd.in/gWxmhJAB
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le Grand Maître de la GLTSO s’adresse aux frères de l’Obédience et au grand public (Par Pierre D’Allergida) Les évènements qui surviennent dans l’environnement social ou politique font souvent réagir les Francs-maçons et plus particulièrement les Frères de la Grande Loge Traditionnelle et Symbolique Opéra. Si les réactions sont unanimes face à l’insoutenable, il en va différemment lorsque des débats politiques ou religieux s’invitent. Nous avons alors coutume de dire que nous ne devons pas entrer dans ces débats. https://lnkd.in/eav8Zg9P
Le Grand Maître de la GLTSO s’adresse aux frères de l’Obédience et au grand public - Journal de la Franc-maçonnerie 450.fm
https://450.fm
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
1 915 abonnés