Post de Dorian Ciavarella

RevOps : le secret des licornes que les PME ignorent encore. Je te partage un retour du #revenueconnect Encore peu connu, le RevOps pourrait bien être la solution pour débloquer ton entreprise ↓ Rev pour Revenue ↓ Ops pour Opérations ◉ Son objectif ? Optimiser les opérations pour maximiser les revenus Je t'explique ↓↓↓ L'équipe de vente, marketing et le service client sont 3 équipes qui rencontrent des problèmes d'alignement (travail en silo, manque de transparence des données, et tant d'autres) ◉ Le RevOps a pour mission d'aligner les 3 grâce à son horizontalité Pour ça, il met l'accent sur : ↳ les processus ↳ la data ↳ la tech Et cherche à atteindre : ⤑ une meilleure collaboration ⤑ une vue centralisée et globale ⤑ une optimisation continue de la performance et des revenus Le terme RevOps est surtout utilisé dans le milieu des start-ups. ◉ Selon Virginie HAAS, le RevOps : - donne l'heure juste grâce à son expertise technique et permet d'aligner les gens et structurer leurs journées - est une passerelle, c'est à dire transforme le chemin en route - influence les équipes et l'entreprise de part son expertise technique (l'heure juste), sa proximité terrain et son expérience passée Tu as un RevOps en interne ? Demain, je te partage le meilleur moment pour travailler avec un RevOps

Mon obsession avec Algar a été de trouver un modèle économique répétable et je t'explique mes erreurs 👇🏼 C’est bien ce qui fait le propre d’une startup : trouver un modèle économique répétable et scalable 🔄 Je vous passe toutes les étapes par lesquelles nous sommes passés pour trouver de la scalabilité dans notre modèle car je veux faire un focus sur l’aspect répétabilité. On a commencé à délivrer le service Algar sur la cible des particuliers propriétaires et on savait évidemment qu’il était impossible d’avoir une récurrence d’achat. Alors on a cherché à maximiser la valeur par client BtoC : en augmentant nos prix, en créant des revenus additionnels, etc 💰 Le bouche à oreille entre nos clients était aussi excellent ce qui augmentait le nombre de clients. Mais pour avoir du vrai repeat business et un chiffre d’affaires récurrent, il fallait passer en BtoB. On a créé Algar Pro, pour adresser les professionnels du BTP qui ont besoin d’obtenir des autorisations besoin plusieurs fois par an. Mais on a mis 5 ans à lancer cette offre BtoB et je l’ai repoussé le plus possible. On voulait d’abord s’assurer de la scalabilité de notre modèle BtoC avant de l’adapter au BtoB. L’offre a été lancée, le produit a évolué petit à petit par itération, on a testé des cibles différentes et des modèles économiques différents. J’ai levé notre série A me disant qu’il n’y avait plus qu’à accélérer sur la vente de l’offre BtoB pour exploser le chiffre d’affaires. Une fois levé l’argent, j’ai mis en place des équipes de vente pour bombarder. L’erreur que j’ai faite est d’avoir lâché et délégué la vente sur le BtoB beaucoup trop tôt. Non pas parce que les équipes que j’avais mise en place n’étaient pas capables de vendre (même si j’ai aussi fait des erreurs de recrutement, d’on-boarding et de management des équipes). Mais parce qu’en fait le product-market fit sur le BtoB n’était pas encore tout à fait atteint et donc c’était trop tôt pour accélérer. Il suffit qu’une variable de l’équation change pour remettre en cause le product-market fit. Ici, la cible était différente, mais l’usage, le modèle économique, les habitudes, l’acquisition, le support client l’étaient aussi. Résultat : deux ans après avoir levé la série A et beaucoup d’investissements, le chiffre d’affaires global n’avait pas explosé comme je le prévoyais 😔 On n'était pas totalement à côté de nos pompes car aujourd’hui des clients professionnels utilisent Algar Pro et génèrent pour certains plus de 100 000 € de chiffre d’affaires par an. La vente n’est pas un sujet facile mais elle doit être facilitée par un product-market fit fort. L’augmentation de l’effort et du nombre de leads doit permettre la conversion de plus de clients. Mais sans product-market fit fort, ça ne sert à rien d’accélérer quoi que ce soit ❌ Réfléchissez bien avant de passer du BtoC au BtoB ou inversement car vous pensez que ça ne va pas changer grand chose car au contraire cela change absolument tout 🤷🏻♂️

C’est parti pour la nouvelle promo de startups chez TOMCAT… Les 5 pépites de cette nouvelle promo partagent quelques points communs: 👉 Des modèles d’affaires B2B ou B2B2C, résilients et modérément consommateurs de cash 👉 Des équipes fondatrices avec un ADN commercial fort 👉 Des solutions digitales qui génèrent un impact business important pour leurs utilisateurs 👉 Une base clients déjà bien fournie Tomcat est très fier d’accueillir:  🚀 Truckrs, qui développe une marketplace de mise en relation entre conducteurs indépendants et sociétés de transport de marchandises et de voyageurs. 🚀 Wink, qui propose une plateforme tout-en-un de gestion des recrutements, permettant aux équipes RH de gérer toutes les étapes d’un recrutement de manière simple et centralisée: création d’offres, multi diffusion sur les sites d'emploi, et suivi du parcours candidat 🚀 Seedext, qui propose un assistant AI qui transcrit et synthétise toutes les réunions, qu’elles soient présentielles, hybrides ou distancielles, sur toutes les plateformes de visio, et intégré avec les outils de travail digitaux du quotidien. 🚀 Empowill, qui propose aux PME et ETI une solution complète de gestion du parcours collaborateurs: entretiens annuels, plans de formation, développement des compétences, 9-box matrix. 🚀 Yaago, qui opère une plateforme qui permet aux propriétaires et Property Managers de location saisonnière d’optimiser la gestion opérationnelle des locations et d’améliorer l’expérience voyageur: gestion des tâches de préparation à l’accueil des voyageurs, rédaction automatique de livrets d’accueil, vente de prestations supplémentaires, interface mobile et messagerie pour le voyageur. C’est parti pour 6 mois de travail ensemble sur nos 5 thématiques favorites: Marketing & Stratégie, Sales, Tech & Product, People & Leadership, Stratégie de Financement, avec les partners TOMCAT: Sarah Lacarse, Jeremy Pouyer, Patrice Thiry et Guillaume SIFFELET, ainsi que l’ensemble des Advisors de la communauté Tomcat. Ines besbes, Kevin Guez, Rémi CANNESSANT, Pierre-Arnaud DESTREMAU 🚛, Arnaud Balanche

C’est la fin d’une belle aventure… Oui, après 4 ans à développer Aploze, il est temps de fermer ce chapitre. Pourquoi ? Parce que le contexte marché est compliqué.  Parce que nous n’avons pas vraiment réussi à trouver notre PMF.  Parce que des décisions stratégiques légitimes ont été prises. Est-ce que Aploze est un échec ? Oui, si on regarde la finalité, il faut appeler un chat un chat, même si ça ne fait jamais plaisir d’échouer. Si c’était à refaire ? Je signe tout de suite. Simplement parce que ce fut une aventure humaine et professionnelle incroyable. Un projet qui débute en 2020 : on part de zéro, on apprend, on développe un MVP, on lance le premier live après 3 mois : un flop… On ne lâche pas et, coup de pouce du destin (ou pas), le projet s’accélère avec le Covid. Quelques mois après, on commence à faire du bruit avec des live pour Yann Couvreur et les Galeries Lafayette. S’ensuit un rachat par iAdvize pour porter une vision commune autour du Commerce Conversationnel. On s’intègre dans une scale-up, on se structure, on accélère, on teste, on se plante, on recommence, on pivote… Mais au bout de quelques années, la tendance du live shopping s’essouffle et on n’arrive pas à transformer l’essai… Au bout du compte, ça fait déjà 4 ans mais j’ai l’impression que c’était hier. Et quand je me retourne, je vois tout ce qu’on a surmonté mais aussi tout ce que nous avons accompli. Et surtout, l’expérience m’aura beaucoup appris : 1. Construire un MVP doit se faire dans une logique bootstrap et autour d’une proposition fonctionnelle simple. 2. Définir une cible précise même si elle est restreinte au début, plutôt que de vouloir cibler tout le monde. 3. Ne pas être drivé que par la concurrence et toujours chercher à répondre au « gap » fonctionnel avec les concurrents. 4. Faire des choix produits différenciants, alignés avec une vision produit et une stratégie GTM. 5. Mettre la data au centre du produit dès le début. Pour prendre des décisions qui ne sont pas basées que sur des intuitions / retours clients. 6. Prendre le temps de recruter les bonnes personnes. Ne faire aucune concession à ce sujet, même si le besoin de recruter est urgent. Pour finir, je remercie tous les clients qui ont utilisé notre solution. Je remercie Julien Hervouet pour avoir cru en nous et pour sa confiance. Merci aux équipes iAdvize que j’ai pu côtoyer Jérémy Richard Benoit Patra Florent Gosselin Luc Davoust Merci aux personnes formidables avec qui j’ai pu construire Aploze : Louis Basile Clément Caroline Mathilde Florian Enfin, un grand merci à mes 2 « Partners in Crime » Benoit et Kevin, sans qui le projet n’aurait pas existé et avec qui j’ai partagé des moments de vie incroyables. La suite pour moi ? C’est simple : l’envie d’entreprendre est toujours là et m’anime encore. Mais en attendant la prochaine opportunité, je reprends le freelance, pour mettre à profit tout ce que j’ai pu apprendre avec Aploze. Ça vous intéresse ? Contactez-moi en MP 😉

Taftavie profite de l'été pour se réinventer #2 : La phase de Discovery 💡 Une fois la décision prise de quitter l'ancienne plateforme, il a fallu définir précisément quelle plateforme on devait concevoir. 🔄 J'ai décomposé cette phase en 3 étapes : 1️⃣ Reprendre notre proposition de valeur depuis la base : Avec Mathéo et Alexandre, on a repris la base de notre proposition de valeur et on s'est rendus compte qu'on devait passer par un re-positionnement pour améliorer cette valeur. Plus d'infos soon 😉 2️⃣ Récolter les pains identifiées par nos clients : En allant voir plusieurs de nos early adopters, nous avons challengé notre proposition de valeur afin de répondre à leurs vrais besoins. 3️⃣ Prendre en compte les pains de chaque membre de l'équipe : J'ai personnellement fait des entretiens 1&1 de 30mins à 1h avec chaque membre de l'équipe, fondateur comme stagiaire ou alternant, sales comme tech. Cela m'a permis d'avoir un point de vue très large des freins au travail de chaque membre de notre team et me faire une idée plus clair d'un produit qui viendrait résoudre tous ces problèmes ➡ Avec ces 3 étapes, j'ai pu construire un cahier des charges macro, et travailler sur la stack technique la + pertinente pour construire ce produit 🏗 Mais je ne vais pas tout te raconter dans ce post, on se donne rdv la semaine prochaine pour la suite de l'aventure ! 🚀 Tu es passionné par la tech et par la création d'un produit en startup ?  Cet été je te donne chaque semaine les insights du développement de notre nouveau produit. ☀

📚 Avec le froid, on fait toujours du rangement et un peu de tri… Et là, par hasard, je suis tombé sur quelques exemplaires de MediaKIT, édition septembre 2001. Une petite madeleine de Proust pour moi, et l’occasion de vous raconter l’histoire derrière ce guide ! 🚀 La résilience c’est l’art du pivot dans l’aventure entrepreneuriale Tout commence en 2000, en pleine effervescence de la première bulle internet des start-ups. On vient me chercher pour rejoindre un incubateur technologique : l’argent coule à flots, tout le monde rêve de trouver le prochain Yahoo ou Lycos (et oui, qui se souvient de ces marques aujourd’hui ?). Dans cette ambiance d’ébullition, j’accompagne différentes start-ups, assurant le lien entre marketing et les développeurs web. Parmi les projets que j’accompagne, il y a celui de MediasTrades, une start-up qui deviendra plus tard le projet Turbopige (je vous en parlerai dans un prochain post 😉). À l’époque, Lionel PILLET, figure emblématique de la presse (pour avoir fait exploser en quelques années des groupes comme Presse Image ou SebCom) , monte MediasTrades. Primée au concours ANVAR pour son innovation, la start-up vise à devenir LA PLATEFORME DIGITALE pour les pros des médias et de la communication, permettant à chaque acteur d’accéder à des outils métiers et des informations sectorielles personnalisées. L’idée était de faire un HUB pour partager la même source d’information nécessaire aux différents métiers. Le modèle est ambitieux, mais après 16 mois les charges pèsent vite, surtout les coûts des développeurs. C’est là que le besoin de pivot s’impose. Si le digital ne fonctionne pas encore suffisamment le modèle économique d’un guide papier 🗞 est lui connu de tous. En quelques semaines, nous lançons le projet MediaKit, un guide sectoriel papier qui répertorie tous les acteurs du secteur de la communication, nous choisissons comme 1er secteur l’ informatique : magazines, salons, agences… Un produit que nous bouclons en 4 mois seulement, avec l’aide d’un système de maquettage automatique sous Quark Xpress et une base de données sous FileMaker pour personnaliser l’envoie de fax ou la génération des emails avec un PDF inclus dedans. Déjà, nous explorons des outils d’automatisation et de personnalisation pour maximiser notre efficacité sans développeur dédié ! Le produit sort, la trésorerie reprend son souffle pour quelques mois. Si l’aventure MediasTrades et MediaKit n’auront pas duré, elle nous a permis d’évoluer, de tester, et a finalement donné naissance à TURBOPIGE. En conclusion : dans toute entreprise, pivoter est essentiel. Osez tester de nouveaux outils, ré-organiser vos processus avec des outils qui vous simplifie la vie. Adaptez-vous aux réalités du marché, et surtout, personnalisez votre approche en one-to-one. C’est ce qui a permis de transformer les défis en opportunités 💡. #Résilience #Pivot #Startup #Innovation #Automatisation #OneToOne #Transformation

À l’Atelier Digital, nous croyons que toutes les entreprises doivent être agiles. Voici un bel exemple !

Overlord fête ses deux ans. Je vous raconte tout.   En réalité, il y a deux ans, je publiai mon premier message sur LinkedIn pour vendre un produit qui n’existait pas : une technologie pour créer des fonds d’investissement.     J’ai fait plus d’un rendez-vous commercial par jour dès le premier mois.   J’ai donc commencé à vendre, même si tout était manuel.   Avec les premières ventes, j’ai embauché début mars 2023 un développeur, R. COCOTIER.   On a bidouillé : parlons d’un MVP en septembre 2023, puis un produit correct en décembre.   La traction ne faisait qu’augmenter. Non seulement j’avais une parfaite connaissance des pratiques de marché des fonds d’investissement, mais aussi une créativité pour réaliser des projets complexes dès le démarrage : enregistrement AMF, offre au public, structure étrangère…     Mieux, personne n’avait une compréhension aussi fine des besoins des fonds en matière technologique. Nous avons une boucle de conversation avec chacun de nos clients pour recevoir tous les feedbacks sur nos développement. Une semaine, un sprint.   Sans produit, sans commercial, on fait un peu plus de 100k de chiffre d’affaires en 2023.   Antoine nous rejoint en janvier 2024, pour nous m’aider sur l’opérationnel. On embarque aussi un deuxième développeur, Arthur, en mai 2024, pour se concentrer sur notre UX. En août, premiers bureaux, et Cédric nous rejoint pour accroître notre visibilité.   Je m’étais fixé un objectif de 50 fonds d’investissement pour 2024, soit un par semaine. Nous sommes déjà à 80. Nous finirons cette année sans effort commercial à +600k de CA. x6 en un an ! Cette semaine, nous sommes rejoints par deux commerciaux. Nous sommes 7. Nous avons pour objectif de faire 2M€ en 2025. Ouvrir des bureaux à l’étranger en 2026.   A oui, j’oubliai : j’ai fait tout ça, sans aucune levée de fonds.   Riez de moi : nous pourrons faire 100M€ de CA avant mes 40 ans. Il suffira de doubler chaque année, et j’ai un plan très précis pour ça.   J’ai décidé de documenter cette aventure avec une newsletter tous les trois mois : construire un conglomérat financier. Si vous voulez vous y abonner, je vous mets un lien ci-dessous, ou vous pouvez me suivre, Gaspard.   Hâte de vivre tout ça, avec vous !

J'ai toujours eu une frustration depuis que je me suis lancé. C'est de ne pas pouvoir accompagner les jeunes startups ultra-prometteuse, mais n'ayant pas encore la trésorerie pour lancer le chantier de l'Outbound avec Scalability. Mais après avoir énormément investi dans la tech, on est enfin capable de pouvoir les accompagner avec une toute nouvelle offre -> Notre offre Go To Market 😍 Cette offre c'est : ⭐ L'outbound géré à 100% par Scalability ⭐ La meilleure data du marché ⭐ Une intégration Hubspot et Pipedrive aux petits oignons ⭐ La mise en place de cadences avec des signaux d'affaires ⭐ Un reporting monthly ⭐ Une nouvelle infrastructure email pour maximiser la délivrabilité ⭐ Et une belle dose d'IA dans toutes les étapes du process Mais c'est surtout un tarif très agressif 🥹 Intéressé ? 👉 Complète le questionnaire en commentaire et on te recontacte dans la foulée :)

On a lancé notre collectif Stellar il y a 8 mois. Et il vient de se passer un truc de fou. 3ème bilan zéro bullshit👇🏻 𝟭) 𝗢𝗻 𝗮 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗺𝗼𝗶𝘀 Les mois de mai et juin n’ont été pas au niveau. Mais en juillet, on a multiplié par 3 notre CA mensuel. C’est notre meilleur CA depuis notre lancement (explications ci-dessous). 𝟮) 𝗢𝗻 𝗮 𝘅𝟯 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗮𝗰𝗾𝘂𝗶𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 Notre gros challenge depuis notre lancement était l’acquisition. On a démarré le setting sur Linkedin au Q2 (merci Scalezia.co) et multiplié par 3 notre nombre de prospects en juillet (10 → 30 leads par mois). 𝟯) 𝗡𝗼𝘀 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗲𝗻𝘁 Depuis janvier, on a accompagné 30 nouveaux clients. On convertit 40% de nos prospects en clients (évolution stable). Notre cycle de vente s’étale sur 45 jours. 𝟰) 𝗢𝗻 𝗮 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲́ 𝗻𝗼𝘀 𝟭𝗲𝗿𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲́𝘁𝗿𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿𝘀 On a accompagné une start-up Espagnole en début d’année et signé notre 1er client US (une scale-up Série C). 𝟱) 𝗢𝗻 𝗮 𝗲𝘂 𝘂𝗻 𝗱𝗲́𝗰𝗹𝗶𝗰 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮 Un call avec Jordan Chenevier-Truchet (merci mec, t’es un boss) m’a fait réaliser que nos médias doivent servir de canaux d’acquisition pour justifier les investissements dessus (23k€ en 2024). Depuis, je programme mon édito en suivant cette philosophie. 𝟲) 𝗢𝗻 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗯𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 La plus grosse difficulté des CEOs sur le Produit ? Savoir si leur boîte est performante ou non. Problème : il n’existe aucun benchmark chiffré pour évaluer sa boîte. Avec nos CPO, on est en train de créer un outil pour faire un “bilan de santé Produit” des startups. C’est complètement inédit et on a hâte de sortir ça en public. 𝟳) 𝗡𝗼𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗹𝗹𝗲𝗻𝗴𝗲𝘀 a. On a cracké une partie de l’acquisition avec le setting. On bosse désormais activement sur la montée de notre inbound (recommandations clients, inbound du média). Pour ça, on fait plein de tests sur nos messages, nos interactions et notre contenu. b. À titre perso, j’ai encaissé un gros coup de fatigue suivi d’une pneumonie et d’une angine en 1 mois qui m’ont stoppé net sur fin juin / début juillet. J’ai adapté mon agenda pour lever un peu le pied et repartir de plus belle. C’est une grosse leçon d’humilité d’entreprendre quand la santé entre en jeu. Conseil éternel : préservez votre santé. Elle est (beaucoup) plus importante que votre boîte. — Ce post "Build in Public" est le 3ème d’une longue série à venir sur la montée en puissance de Stellar. Si tu connais des startups qui méritent d’accélérer sur leur Produit, fais moi signe en DM 🙏 Photo : Marion Muscat-Dupuis 📸