Post de Emilie Bonamy

[📰 C’EST DANS LA PRESSE] Le capital humain est un des piliers de la stratégie d’accompagnement d’Albarest Partners. 1/ Soutenir des PME nous inscrit de facto dans une relation de proximité avec les dirigeants de nos participations. La dimension humaine est donc déterminante. 2/ Nous sommes convaincus que renforcer le capital humain des entreprises que nous accompagnons est gage de leur pérennité et de leur développement dans la durée. 💬 Merci à Edouard Lacoste Lagrange de Private Equity Magazine de nous avoir permis d’affirmer ces convictions qui portent nos actions au quotidien et ce, depuis la création d’Albarest Partners. Si le capital humain est désormais une valeur en hausse dans notre profession, nous ne pouvons que nous en réjouir ! 👉 Pour lire l’intégralité de l’article, c’est ici : https://lnkd.in/eVKvCyVH Édouard Malandrin | Laure Thibierge | Médéric Gaillard |Laurent GELPI | Steve Guyard | Anaïs Large | Neil Benoist | Aline Vermorel | Laurène de Cacqueray

Operating = Croissance & Ebitda … et c’est Deloitte et France Invest qui le disent ! Serena a toujours eu la « conviction » qu’un support opérationnel, en plus du financement et de l’accompagnement stratégique apporté aux entrepreneurs, constituerait un facteur clé de performance. Mais aujourd’hui, des études le confirment ! Ainsi pour Laurent Jehanne de Deloitte, l’accompagnement Operating dans le Private Equity expliquent les performances du secteur aux Etats-Unis. L’écosystème recenserait 43.000 Operating Partners quand nous sommes seulement 1.500 en France… Et selon France Invest, les fonds de capital-risque observent une croissance du chiffre d’affaires de +18,3% pour les sociétés accompagnées par un Operating Partner contre 10,3% pour les autres. Et un EBITDA respectivement de +23,2% versus +11,9% ! Le dispositif #Operating de Serena c’est aujourd’hui : - une équipe de serial entrepreneurs (Jerome Stioui, Pascal Petit et moi), de serial execs de Scale-ups (Jessica Ifker Delpirou et Emilie Stevelinck Benayad) et d’experts (Elodie Charles et Heba Hitti) dédiée à l’accompagnement de notre portefeuille - la Serena Squad, sans doute l’une des plus importantes communautés de partage d’expertise entre c-levels en Europe, avec 550 membres et 85% de sociétés actives chaque mois - notre Talent Club qui permet chaque année de staffer 30% des positions de c-levels ouvertes dans les sociétés de notre portefeuille Et c’est surtout les entrepreneurs et leurs équipes, qui nous font confiance au quotidien et nous donnent l’opportunité de nous impliquer à leurs côtés. Sans oublier Amélie FAURE qui a initié tout ça :-) Merci à Maddyness pour le shout-out ! (Retrouvez l’article ci-dessous)

Cette stratégie est très importante pour accompagner des jeunes dirigeants, pour structurer les PME que Albarest accompagne et pour développer notre territoire 👍

📢 75% : c’est la proportion de deals primaires sur l’ensemble des opérations réalisées via notre fonds Albacap 1. Pourquoi ce parti-pris alors que ce sont souvent des opérations plus longues et plus complexes ? Parce que le capital-investissement a un pouvoir de transformation important pour les PME régionales : 1️⃣ Structuration et suivi des entreprises : ouvrir leur capital au private equity leur permet de se structurer ou d’accélérer leur structuration mais aussi de s’engager sur une nouvelle trajectoire, centrée sur la création de valeur. ➡ Organisation, recrutement de nouvelles compétences, outils de pilotage, gouvernance, croissance externe : nous sommes aux côtés des équipes managériales et leur apportons capacités stratégiques et opérationnelles. 2️⃣ Accompagnement du ou des dirigeant(s) : bénéficier du soutien d’un investisseur expérimenté permet de rompre l’isolement souvent ressenti par les chefs d’entreprise et constitue un atout pour permettre à leur société de franchir de nouvelles étapes. ➡ Nous entretenons avec les dirigeants de nos participations une vraie proximité, qui s’appuie sur une culture entrepreneuriale commune et des valeurs partagées. 3️⃣ Sensibilisation au rôle du private equity : privilégier les deals primaires, c’est également mettre en lumière, et de manière plus générale, la valeur ajoutée que peut apporter une société de gestion / un fonds d’investissement à des entreprises qui ouvrent leur capital ainsi qu’aux territoires dans lesquels elles sont implantées. Parce que l’union fait la force ! ➡ Notre approche privilégie la sensibilisation et la pédagogie, avant la conclusion d’une opération, et tout au long de notre présence au capital des PME régionales dans lesquelles nous investissons. #capitalinvestissement #privateequity #dealsprimaires #smallcap #territoires Édouard Malandrin | Laure Thibierge | Médéric Gaillard | Laurent GELPI | Steve Guyard | Anaïs Large | Neil Benoist | Aline Vermorel | Laurène de Cacqueray

Pourquoi les operating partners ne sont-ils pas encore légion dans les fonds français ? La valeur des operating partner semble confirmée, et pourtant la plupart des VC français n'ont pas encore passé le cap d'en recruter. Pour quelles raisons Deloitte et I&S Adviser ont récemment publié un livre blanc qui met en avant le rôle clé que jouent les operating partners dans la création de valeur. « Chez Deloitte, nous nous sommes intéressés aux operating partners car le sujet de la création de valeur est devenu un sujet central pour les chefs d’entreprise et les fonds d’investissement. L’operating partner joue un rôle de sparing partner auprès du chef d’entreprise et ses équipes. Il intervient à des moments pivots du développement ou de la structuration qui sont de nature très différente selon la maturité de l’organisation et les défis de l’entreprise. Il peut notamment être une forme de courroie de transmission avec le monde du Private Equity en aidant le chef d’entreprise et ses équipes à répondre à de nombreuses attentes sur des sujets de performances, de reporting, de gouvernance, de M&A, d’IT et d’ESG », avance Laurent Jehanne, Managing Director de Deloitte Deal Transformation and Turnaround. Les conclusions montrent notamment que la présence des operating partners dans le secteur du Private Equity américain, 43 000 operating partners en 2022 contre 1500 en France, pourrait en partie expliquer les performances observées dans ce secteur aux États-Unis. Une valeur ajoutée largement reconnue Par ailleurs, d’après France Invest, lors de leurs sorties, les fonds de capital-risque observent une hausse du chiffre d’affaires de +18,3% chez les entreprises accompagnées par un operating partner, contre 10,3% pour celles qui n’en ont pas sollicité. L’EBITDA généré par ces mêmes entreprises est respectivement de +23,2 % versus +11,9 %. La valeur ajoutée des operating partners est déjà reconnue de manière assez consensuelle par l’écosystème et ces données viennent l’appuyer. Mais comment fonctionnent les operating partners ? Chez Serena, l’accompagnement des startups est abordé de manière holistique, avec un duo de partenaires comprenant un partner invest qui travaille en étroite collaboration avec le board sur l’equity story, et un partner operating qui est le référent de l’entreprise pour la mise en œuvre du programme operating. Ce programme dit operating repose sur deux piliers : un soutien opérationnel sur mesure pour les fondateurs délivré par les Operating Partners, et la Serena Squad, un réseau de pairs pour leurs équipes afin de les outiller correctement pour relever les défis opérationnels... La question des operating partners, un sujet de taille de fonds et de culture Maxime Leroy

Presque inconnu il y a encore 10 ans, l’operating partner est devenu l’atout indispensable des fonds d’investissement. Ces « sparring partners » pour dirigeants, présents pour épauler ces derniers sur leurs divers enjeux stratégiques, ne sont néanmoins pas réservés aux participations des fonds. Des cabinets de conseil se sont également développés pour proposer ce service à un panel plus large d’entreprises. https://lnkd.in/dPpX5ycs #ValueCreation #PrivateEquity #Innovation #OperationalPerformance #BusinessProcess #DueDiligence

L'Operating Partner 🤜, très en vogue sur le non coté, un atout pour accompagner un portefeuille de sociétés, que cela soit en #venture ou en #privateequity plus classique ? Ou un simple effet de mode ? Pour avoir été financé côté #startup par des #fonds, et avoir suivi des participations en Private Equity, deux constats : - Il y a un écart énorme entre les attentes des financeurs et financés - il est clair que se contenter d'un financement, d'un reporting ou d'un survol des problématiques ne suffit pas pour performer. La réussite de l'operating vient effectivement de sa capacité à intégrer la vision de la société, mais surtout de se mettre côté exécution dans la cible et ce en intégrant plusieurs paramètres : la maturité de la société, sa verticale, la problématique technique en cours. Pour aller plus loin, je pense que prendre quelqu'un qui vient uniquement du monde du conseil n'est pas suffisant (coucou McKinsey & Company) et qu'il manque une réelle composante terrain. Je ne connais pas l'impact d'un bon operating partner mais je suis persuadé qu'en terme de rendement de portefeuille, c'est plus que rentable (et nécessaire pour éviter simplement des erreurs fatales de gestion) => et à l'époque j'en aurais bien eu besoin ! #gestion #management #LBO #operatingpartner

Retrouvez notre analyse sur le métier d’Operating Partner dans cet article de Maddyness qui vient de paraître.  ✅ Le sujet de la création de valeur est devenu un sujet central pour les chefs d’entreprise et les fonds d’investissement. ✅ L’Operating Partner joue un rôle de sparing partner auprès du chef d’entreprise et ses équipes. ✅ L’Operating Partner agit comme une courroie de transmission et d’accélération auprès des équipes. 👉https://lnkd.in/eQjKk2RG #privateequity #operatingpartners #management #entrepreneurship #valuecreation #investing Sandrine Gril-Prats Christophe Guerner David Bitton Isabelle Saladin Agathe Zilber Alexandre Prost Benjamin Blatgé Antonin de Margerie Charlotte Bancilhon Nacer Mouline Leonardo Clavijo Lisa Lauv Frederique Leveque - Chenevoy Vania Mermoud Louis MorelBertrand Talabart Arnaud Pédron 🎯⚖️Christelle BILLOUD Emmanuel Gayte Delphine Dupuy Thomas Simon Blandine Cleyet-Merle Jean-Christophe Klein David AMIOUNI Damien Jacquart Ludovic Rassat Olivier Baron

FAMILY STORIES | Emmanuel Denoulet, Investisseur Fonds Build-up International chez Bpifrance, interviendra mardi 26 mars à l'InterContinental Paris Le Grand dans le cadre de la plénière de clôture « Les secrets des familles qui ont réussi à bâtir des groupes internationaux ». Emmanuel anime le Fonds Build-up International de Bpifrance (FBI). Emmanuel accompagne les familles entreprenantes françaises depuis plus de 20 ans sur leurs projets de transmission et de croissance. Emmanuel promeut la French Family. Elle rassemble la communauté des entreprises familiales françaises. Comme ces dernières représentent un véritable trésor national, Bpifrance s’attache à le faire savoir et à les accompagner afin qu’elles révèlent tout leur potentiel économique et sociétal. Enjeu devenu incontournable au fil des années, l’internationalisation des groupes familiaux est une étape clé dans leur développement et réussite. Cette conférence mettra en lumière les secrets des familles ayant exporté le drapeau français au-delà des frontières. 👉 S'inscrire : https://lnkd.in/ens4Bkgv 👉 Voir le programme complet : https://lnkd.in/d5eqpyZ7 -- A l’initiative du GROUPE FICADE et de Décideurs Magazine, Family Stories réunit périodiquement des dirigeants et conseils spécialisés sur le thème de l'entreprise familiale et entrepreneuriale. Family Stories se propose de diffuser les meilleures pratiques et d'offrir un lieu de partage d'expériences en matière de gouvernance, de structuration, de croissance et de transmission. #FamilyStories #Decideurs #familybusiness #dirigeants #entreprises #entrepreunariat #gouvernance #croissance #transmission #patrimoine #familyoffice

A lire dans Le Nouvel Economiste Corporate Finance, Dossier "Incontournables operating partners Ils interviennent sur des sujets toujours plus variés pour sécuriser et maximiser la valeur des participations d’un fonds" par Marie Frumholtz.