Post de EspaceSuisse

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Dans sa dernière prise de position, l’Union des villes suisses fixe les grandes lignes suivantes en matière de politique de mobilité : Les buts fixés : - une mobilité moins gourmande en espace -> pour permettre un développement vers l’intérieur (densification) compatible avec une amélioration de la qualité de vie et de séjour dans les agglomérations ; - une mobilité moins gourmande en énergie -> pour atteindre les objectifs climatiques fixés aux différents échelons de l’État. L’instrument : promotion des trois piliers d’une mobilité urbaine durable, à savoir 1. la marche 2. les transports publics 3. le vélo Les revendications des villes : (1) disposer d’une autonomie suffisante pour mener les politiques nécessaires à l’atteinte des objectifs climatiques et de densification fixés à tous les échelons de l’État; (2) compter avec le soutien explicite de la Confédération et des cantons dans ces efforts. Vers la prise de position :

Le colloque de printemps de la Conférence des villes pour la mobilité se tiendra l’après-midi du 26 avril à Berne et sera consacré à la « Communication pour une mobilité urbaine durable ». Les villes s’efforcent de faire connaitre les possibilités offertes par les nouvelles offres de transport à travers des mesures de communication. Comment peuvent-elles transmettre ces informations de manière efficace à leur population et aux pendulaires qui se rendent quotidiennement sur leur territoire ? Comment accompagne-t-on sur le plan communicatif les processus de requalification des espaces publics et, tout particulièrement, des mesures de protection contre le bruit ? Enfin, de manière plus générale, comment une bonne communication peut-elle faciliter la transition vers une mobilité urbaine durable ? Le programme détaillé et les inscriptions (il reste encore quelques places !) : https://lnkd.in/e2WnKDGh Union des villes suisses, Simone Brander, Pedro Homem de Gouveia, Katrin Bernath, Stefano Kunz, Lena Frank, Céline Klauser-Gysi

En ce mois de ramadan, la situation de la Mobilité Urbaine à Casablanca ne fait qu’empirer. La congestion croissante des routes et l'inefficacité des transports en commun sont des problèmes majeurs qui découlent en grande partie d'une gouvernance urbaine défaillante Casablanca, avec sa population en constante expansion, est confrontée à des embouteillages chroniques, causant non seulement des pertes de temps et de productivité, mais également des impacts négatifs sur l'environnement et la qualité de vie des citoyens. Il est temps de repenser notre système de mobilité et réfléchir à une planification et une gouvernance urbaine solides. Il est impératif que les décideurs locaux mettent en œuvre des politiques et des projets qui favorisent des modes de transport durables, efficaces et inclusifs au lieu de penser la ville par petits bouts et colmater les brèches chaque fois que des problèmes apparaissent. Depuis le temps qu’on parle d’un métro aérien à Casablanca dans les années 80, il a fallu attendre qu’on ait l’organisation de la coupe du monde 2030 pour y penser et encore prendre la ville en otage pendant la durée des travaux. Il est temps d'explorer des solutions novatrices telles que le développement du Covoiturage, la limitation du nombre de voitures au centre ville en départageant par exemple les numéros d’immatriculation pairs, impairs ou en rendant l’accès payant à certaines artères. La création de bandes cyclables, l’amélioration de la sécurité à toute heure de la journée inciteront à la promotion des modes de déplacement doux tels que le vélo et la marche, ainsi que l'adoption de technologies intelligentes pour la gestion du trafic : des fois on fait tous les feux rouges de la ville parce qu’il n’y a pas de synchronisation. Il est temps d'agir de manière proactive pour transformer notre ville en un lieu où la circulation est fluide, l'air est pur, et où la qualité de vie de chacun est préservée."

Annecy donne plus de place aux piétons et mobilités douces. Pour améliorer le cadre de vie de ses habitants, la Ville d’Annecy poursuit la piétonnisation du centre et déploie un plan de circulation limitant le transit routier. Piétonnisation et plan de circulation. En activant ces deux leviers, Annecy espère désengorger ses rues et réduire les pollutions.... #Annecy #circulation #piétonnisation Lire la suite sur :

Annecy donne plus de place aux piétons et mobilités douces. Pour améliorer le cadre de vie de ses habitants, la Ville d’Annecy poursuit la piétonnisation du centre et déploie un plan de circulation limitant le transit routier. Piétonnisation et plan de circulation. En activant ces deux leviers, Annecy espère désengorger ses rues et réduire les pollutions.... #Annecy #circulation #piétonnisation Lire la suite sur :

Annecy donne plus de place aux piétons et mobilités douces. Pour améliorer le cadre de vie de ses habitants, la Ville d’Annecy poursuit la piétonnisation du centre et déploie un plan de circulation limitant le transit routier. Piétonnisation et plan de circulation. En activant ces deux leviers, Annecy espère désengorger ses rues et réduire les pollutions.... #Annecy #circulation #piétonnisation Lire la suite sur :

Une opinion très répandue selon laquelle la gratuité des transports urbains serait d’un coût excessif et d’une relative injustice, risque de perdurer tant qu’une nouvelle approche budgétaire n’aura pas résolu d’intégrer dans le système de prix l’impact des externalités résultant de la pollution atmosphérique. Les adeptes du développement durable préconisant l’intégration des externalités dans le calcul des coûts, périment l’équilibre comptable ancestral et âprement défendu qui place en recette le produit de la billetterie et en dépense la dotation annuelle à l’amortissement des investissements des nouveaux matériels, au prétexte d’une nécessaire contrepartie entre les deux postes. Ainsi, selon la conception économique traditionnelle, il serait impossible de renouveler un parc de bus sans participation des usagers, et à plus forte raison d’investir dans un métro dont la rentabilité s’évalue sur un temps long. Au pays de Fulgence Bienvenue, ingénieur breton, concepteur du métro parisien, on ne doute pourtant plus de l’intérêt d’un tel équipement. Les adeptes d’une égalité de traitement entre contributeurs et utilisateurs se heurtent aussi à une double réalité : les entreprises ne contribuent à la mobilité qu’au-delà d’un seuil d’effectifs et les bénéficiaires potentiels sont d’abord des citadins et des périurbains, non pas des ruraux concernés, eux, par des dessertes spécifiques quand toutefois elles existent. Les mal desservis recourent toujours à leur voiture pour leurs déplacements. La gratuité s’affirme dès qu’il s’agit de considérer les externalités négatives comme concept clé dans l’analyse des atteintes à l’environnement. Les véhicules trop nombreux, en giration permanente sur les rocades et autres périphériques saturés génèrent des pollutions atmosphériques accentuées par des conditions climatiques défavorables. Il en résulte une augmentation des cas de bronchiolite et une surmortalité des personnes aux poumons fragiles. Le coût sanitaire de ces dégâts bien réels ne figure nulle part alors que leur économie constitue bien une ressource à opposer en contrepartie d’investissements conséquents. La gratuité représente la meilleure mesure incitative à l’utilisation des transports urbains quand toutefois ils fonctionnent et répondent aux besoins des populations. L’agglomération de Vitré pratique la gratuité depuis 2021 et y consacre plus d’un million d’euros par an. Les déboires à répétition de la nouvelle ligne de métro de la métropole rennaise illustrent le fragile équilibre entre l’offre et la demande. Ils illustrent aussi les effets pervers des politiques de l’habitat conçues sans tenir compte des mouvements induits de populations de plus en plus éloignées de leur travail ou dispersées sur un trop vaste bassin d’emploi. Le maintien de la qualité de notre air régulièrement vicié par les particules fines l’ozone présente un coût sanitaire qui pose en d’autres termes la soutenabilité de la gratuité des transports urbains pour les finances

Pourquoi une nécessité ? Et bien parce qu’en ville, les collectivités savent le degré d’attractivité, elles anticipent un peu mieux les infrastructures. En zone rurale, des constats apparaissent : l’augmentation des habitants, les besoins habitants assimilés aux citadins et les centre-bourgs qu’il faut dynamiser. En trouvant des solutions en milieu rural, cela apaisera aussi les villes. 🏙 Nous avons animé avec Cécile Lamarque des ateliers autour de la mobilité. Des ateliers instructifs, confirmant que le pressing de l’étalement urbain a de nombreuses conséquences. Les citadins cherchent à se loger de plus en plus loin pour des raisons de coût, ce qui amène des problématiques nouvelles en zone rurale. Comme celle de la mobilité, une mobilité nouvelle, multiple avec laquelle il faut composer. Le paradoxe, aujourd’hui, est cette recherche de tranquillité mais aussi, l’accès aux commodités. 🚃 🛍 En effet, dans l’imaginaire collectif, campagne = tranquillité, on en oublie que ce sont souvent des zones traversées de camions pour acheminer des marchandises. L’ambition de la ville et de cet atelier, était alors de réfléchir sur la mobilité, de confirmer des hypothèses sur des choix d’aménagement, en trouver des réponses, mais surtout de confronter des avis divergents et faire des compromis. Les groupes de travail ont été réguliers et investis sur le vaste sujet de la mobilité et le plus important : ils ont pensé collectivement et pas uniquement par leur intérêt individuel. Un grand nombre d’usagers de vélos et les piétons étaient représentés, pourtant les problématiques des personnes plus âgées utilisant la voiture ont été entendu et des solutions proposées. 💡 La question centrale a été comment permettre l’apaisement de tous ? 🚴♀️ 🚘 Pour élargir le propos, les réflexions autour de l’acheminement des marchandises par fret serait une solution globale, cela réduirait la fréquence, apaiserait certaines tensions et réduirait l’empreinte carbone, à l'échelle nationale. Intuitions urbaines a un concept, celui de partir d’intuitions urbaines des villes pour aller vers des intuitions collectives validées et approuvées par tous les acteurs de l’aménagement dont les habitants. Pour en savoir plus -> https://lnkd.in/eWARahKA Suivez-nous Intuitions urbaines pour connaître nos avancées ! :) #mobilite #urbanism #ville #amenagement #participation #collaboration

L'étude de la mobilité, une nécessité par Intuitions urbaines .