Post de SCOP ETHIQUABLE

ALIMENTATION BIO 🍏 Après une forte croissance de l’agriculture biologique, la demande est en berne depuis 2021. En 2023, les grandes surfaces ont réduit de 11 % le nombre de leurs références de produits bio. La filière appelle à davantage d’engagements pour sortir de la crise.

Une consommation en hausse pour une production qui a fortement diminué en France ces dernières décennies. L'#Amande française, culture endémique de l'arboriculture provençale, peut-elle être relancée, qui plus est en #bio ? Claire RUBAT DU MERAC a enquêté pour nous sur le redéploiement de l’amande bio française, dans ce contexte de réchauffement climatique et de pénurie d’eau. Avec un zoom particulièrement inspirant sur le modèle agro-écologique expérimenté par AMANDERA et dont les premiers fruits sont valorisés cette année par Agro Sourcing. #sourcingbio https://lnkd.in/euhsSYnk

🛒 Le bio doit devenir un réflexe de consommation, et la productrice bio sarthoise Anya Van der Hoff, présidente du groupement de agriculteurs bio du département le dit dans Ouest France. Pour cela : l’information citoyenne qui booste la consommation. Indispensable en période de crise mais pas que : il faut de l’information citoyenne au long cours pour permettre à chacun de faire des choix éclairés, que ce soit devant son chariot ou au moment de la commande au resto. A la clef : plus un citoyen est informé sur le bio, plus il a envie d’acheter du bio Plus d’informations : https://lnkd.in/eAynp7ws). Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Ministère Écologie Territoires Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) La Coopération Agricole SYNABIO Synadis Bio Fédération du Commerce et de la Distribution

Merci à Sud Ouest pour cet article faisant écho aux échanges issus de notre AG sur la remobilisation des citoyens en faveur du bio. Les points clés de l'article : ✅ La confiance et l'information : Laure Verdeau, directrice de l’Agence bio, nous rappelle que le bio n'est pas seulement une question de pouvoir d'achat, mais aussi de confiance et d'envie. À titre d’exemple, les campagnes de communication déployées en centres commerciaux permettent une augmentation significative des ventes de produit bio. 📚 L'éducation dès le plus jeune âge : Camille Labro, fondatrice de l’association L’École comestible, a partagé son expérience sur l'éducation alimentaire dès le plus jeune âge. Des ateliers pédagogiques sur le thème "de la terre à l’assiette" ont permis aux enfants de découvrir le goût des légumes bio, impactant ainsi les habitudes alimentaires familiales. 💡 La restauration collective : Notre président, Guy Moreau, a mis en lumière les défis et les opportunités de la loi Égalim pour promouvoir le bio dans la restauration collective et privée. Des discussions sont en cours pour structurer l'offre et former les professionnels. Ce partage d'informations et d'expertises est essentiel pour éveiller les consciences et transformer nos comportements. Lire l'article 👇

Dans le contexte actuel de malaise agricole, qui est malheureusement très instrumentalisé et donc souvent mal et partiellement analysé, je viens de lire un article très intéressant dans le GoodPlanet Mag’ sur la filière Bio en France. « Aujourd’hui l’agriculture biologique est en danger », alerte le président de la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB). À travers le programme Ambition Bio 2022 et les lois EGAlim, l’Etat français s’était engagé à atteindre 15% de surface agricole Bio en 2022 et 20% de produits Bio dans la restauration collective publique. Malheureusement, la réalité est loin des engagements pris. La France compte 60 000 fermes en Bio sur les 389 000 exploitations du pays, mais les surfaces en Bio représentent à peine 10.7% des surfaces agricoles du pays, les produits Bio uniquement 7% de la restauration collective. On reproche souvent aux produits bio d'être plus chers, notamment en grande surface. Dans son rapport sur la filière Bio du 16 janvier dernier, la Fondation pour la nature et l’Homme (FNH) renvoie à l’enquête de l’UFC Que Choisir qui révèle que « 46 % du surcoût du Bio provient en réalité des ‘sur-marges’ réalisées sur le bio par les grandes surfaces » en ce qui concernent les fruits et légumes. Sans commentaire... Vincent Kraus 🦔Marc Batty 🦔Amélie FAURE Sylvain Goupille Pierre Lemarchand Yann Arthus-Bertrand Nicolas Depoorter

Le Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire publie un panorama de l'année 2023 pour l'Agriculture Biologique. "Première surface européenne cultivée en agriculture biologique, la France continue de voir de nouveaux producteurs bio s’installer en 2023. Ils sont 2% de plus à avoir fait ce choix. Et certaines tendances observées par l’Agence Bio se confirment comme l’attrait pour la vente directe, en particulier pour la consommation à domicile. https://lnkd.in/eytdHsjB" Pour l'Ile de France, le GAB IdF vous propose un zoom étayé dans son observatoire annuel. La vente directe est aussi le débouché privilégié des producteurs et des consommateurs de bio francilien. https://lnkd.in/eM8jrtny #Bioreflexe Agence BIO Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Préfecture de la région d’Île-de-France Région Île-de-France Agence de l'eau Seine-Normandie

À l'heure où on se pose la question de l'avenir de l'agriculture dans notre pays, je m'interroge : Où est passée l'agriculture bio ? Ah oui, pardon, on lui a donné 90 millions d'euros d'aides. 😅🥳 Juste à titre de comparaison, pour vous donner une idée : en 2022, l’État a soutenu la filière porcine en crise en débloquant une enveloppe de 270 millions d'€. Pour 9500 élevages. La bio, ce n'est pas qu'une production : c'est du porc, des légumes, du fromage, des volailles, du vin, du bœuf, etc. Et ce sont 60 000 fermes. 90 millions. 🧮 Les calculs sont pas bons, Kévin. En plus, d'après le dernier baromètre de l'Agence BIO, 62 % des personnes interrogées sont plutôt ou tout à fait d'accord avec le fait que "Le bio, c'est du marketing". Et un sondage NielsenIQ nous apprend que le label bio « semble avoir perdu de son sens et ne justifie plus son prix élevé, face à d’autres appellations. » J'ai mal à mon séant. Pour le dire poliment. Parce que notre séant, on se le casse tous les jours pour produire des aliments les plus sains possible, les plus respectueux de l'environnement possible. Y a pas mieux sur le marché qu'un produit bio en la matière. On y met tout notre cœur. On est tellement convaincus qu'on paie même des organismes certificateurs pour qu'ils vous garantissent nos pratiques. Heureusement qu'on trouve de la reconnaissance au niveau local, avec nos clients. Parce que si on se fie aux dernières décisions prises... Où est le soutien ? Parce que si on écoute les syndicats agricoles majoritaires... Où est le soutien ? Parce que si on suit les consommateurs... Où est le soutien ? Je ne vous jette pas la pierre, Pierre. M'enfin, je m'interroge. Il y a un peu plus d'un mois, j'ai entrepris une petite expérience. 10 posts reprenant 10 mythes qu'on entend sur la bio et qu'il est d'utilité publique de déboulonner. Boulon après boulon. 🔧 Le travail en amont avait été réalisé par 4 experts du sujet. J'ai juste synthétisé. J'en fais un petit bilan dans le carrousel là 👇. À mon micro niveau, j'ai envie de continuer à soutenir mes collègues paysans bio, entrepreneurs du secteur, groupements de producteurs, en faisant un des seuls trucs que je sais à peu près pas trop mal faire : écrire. Pour les mettre à l'honneur, les mettre en lumière. Parce qu'ils font un boulot formidable. Et qu'on a envie de sortir de cette crise par le haut. On a raison de produire bio. Pour nous et nos enfants, pour vous et pour les vôtres. Pour notre planète, parce qu'on n'en a qu'une. Sinon vous n'avez qu'à manger des corn flakes pour le dîner, qu'on en finisse...

👩🏻🌾 #MangerLocal ! C’est ce qui ressort des manifestations du monde agricole. Ça parait pourtant simple, mais pourquoi est-il à ce point nécessaire de le répéter au monde entier ? 🇫🇷 L'enjeu, c’est la #SouverainetéAlimentaire. 🌿 Autrement dit, il faut construire un modèle agricole et financier cohérent à l'échelle de l'État, et diversifier les productions pour assurer les besoins des citoyens. Parmi ces besoins alimentaires, il faut des protéines, qui peuvent provenir certes de la viande, mais aussi des plantes ! 🎥 Et justement, on a rencontré pour vous un cultivateur de protéines dans le sud de la France. 🌾 Marc et sa compagne produisent du tournesol, du blé ou du sorgo, mais aussi ces fameuses protéines végétales qu’on appelle #légumineuses. Ce sont les lentilles, les pois chiches, le soja, et surtout au Domaine de la Souque dans l’Aude, le haricot #IGP de Castelnaudary que l'on retrouve notamment dans le Cassoulet. 🤔 Face aux produits dans les magasins, on se pose des tas de questions : Comment être sûr.e qu’on soutient l’ #AgricultureFrançaise alors que l’emballage est (plus que) vague sur l’origine et les conditions de culture ? Comment favoriser vraiment les productions locales et garantir un prix juste à l’agriculteur ? 👉🏻 Dans #TERROIRPROTÉINÉ vous raconte comment tendre vers une souveraineté protéique grâce aux légumineuses et à la structuration de filières locales. (lien en commentaire) Bon visionnage. ✨ Réalisé par Charlotte Jacquet et Alexandre Asmodé. Merci à Cauhopé Marc du Domaine de la Souque pour son accueil et le partage de ses savoirs.

Biocoop défendra toujours un commerce plus juste et pas juste le commerce. Depuis plus de 35 ans, la raison d’être de Biocoop n’a pas bougé : développer l’agriculture biologique dans un esprit d’équité et de coopération. L’engagement, le militantisme, voilà ce qui caractérise le réseau depuis son origine. Fournir une réponse au défi d’un monde menacé et développer une société plus durable, voici ce qui le pousse de l’avant. Biocoop est née les pieds dans la terre, d’un échange direct entre producteurs et consommateurs. Relocaliser les filières, développer le commerce équitable Origine France, renforcer l’approvisionnement des magasins avec des offres locales, favoriser l’essor de l’agriculture bio sur le territoire… sont autant de buts que nous poursuivons au quotidien au sein de notre coopérative. Nous replaçons les enjeux d’équité et de souveraineté alimentaire au cœur des débats et les chiffres parlent d’eux-mêmes : 25% de notre chiffre d’affaires est réalisé avec des produits issus du commerce équitable, 80% de notre offre est origine France, 90% de nos fruits et légumes sont origine France, 100% de nos fruits et légumes sont bio et de saison. "Chez Biocoop, nous, Paysan.ne.s Associé.e.s, nous avons un vrai pouvoir. Organisés en structures agricoles collectives, nous sommes sociétaires de la Coopérative. A ce titre, nous prenons part aux décisions au même titre que les magasins, les associations de consommateurs et les sociétaires salariés pour proposer le meilleur de la bio paysanne. Biocoop a contribué à faire émerger un référentiel équitable origine France pour une juste rémunération des agriculteurs en France principalement : le label Bio Equitable en France). Deux chiffres qui parlent d’eux-mêmes : 25% du CA de Biocoop est issu du commerce équitable et 90% des fruits et légumes sont origine France… le tout 100% bio évidemment. La preuve en est !", Christelle Garnier, paysanne associée et administratrice Biocoop et Vice-Présidente Bio Equitable en France

[journee européenne du Bio] aujourd’hui soutenons les agriculteurs et la filière bio …. mais ce ne doit pas être qu’une journée de mise en lumière mais plutôt un soutien quotidien 365 jours par an! 👉le BIO est le mode de production qui respecte le mieux la santé bien sûr couplé à un bon équilibre nutritionnel 👉le bio préserve un sol vivant, la qualité de l’eau et la biodiversité… mais aussi impacte bien moins le changement climatique Alors, pour toutes ces raisons la Ville de Mouans-Sartoux s’engage concrètement 🌱cantine 100% BIO à la crèche, à l’école et au collège 🌱28% des habitants mangent du BIo tous les jours, 2 fois plus que la moyenne nationale 🌱soutien à l’installation de nouveaux agriculteurs BIO 🌱des citoyens engagés dans des potagers, poulaillers et ruchers collectifs BIO 🌱3 surfaces commerciales, 1 épicerie associative, 1AMAP, 1 marché de producteurs et 1 épicerie sociale et solidaire engagés pour la BIO 🌱Mouans-Sartoux est territoire BIO pilote de la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) ‼️le juste prix du Bio n’est pas un frein à son achat pour peu que l’on change quelques habitudes : 👉diminuer le gaspillage alimentaire, 👉cuisiner maison des produits bruts et de saison 👉manger 50% végétariens c’est ce que fait la cantine de Mouans Sartoux et son prix de revient est dans la moyenne nationale 🤝Alors soutenons toutes l’année les agriculteurs BIO en mangeant BIOnpour notre santé et notre environnement MEAD Mouans-Sartoux partage l’expérience de Mouans-sartoux en alimentation Bio contactez nous Fondation Daniel et Nina Carasso Agence BIO Groupe ECOCERT Label Ecocert En Cuisine AGORES