Post de Fédération Syntec

𝐋𝐚 Fédération Syntec 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐬’𝐚𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐜𝐫𝐢 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 Patrick Martin, 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 MEDEF, 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐦𝐞𝐧𝐚𝐜𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐥𝐨𝐮𝐫𝐝𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐥𝐚𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬. Alléger la pression fiscale du coût du travail qualifié pour nos entreprises est un enjeu clé de notre compétitivité, dans un contexte concurrentiel mondial qui se durcit. La guerre des talents est une réalité du quotidien des plus de 100 000 entreprises du #Numérique, de l’#Ingénierie, du #Conseil, de l’#Evénementiel et de la #FormationProfessionnelle, représentées par la Fédération Syntec. En ce sens, préserver à la fois les dispositifs visant à renforcer l’attractivité de ces emplois qualifiés (comme les rares exonérations de cotisations sociales), mais aussi les instruments financiers favorisant les investissements concrets dans l’innovation (Crédit Impôt Recherche), sont des facteurs critiques pour être en capacité de maîtriser (plutôt que subir) les grandes transitions #économiques, #industrielles et #écologiques de notre époque. Michel Barnier Antoine Armand Astrid Panosyan-Bouvet Marc Ferracci MEDEF Patrick Martin Garance Pineau Vincent Le Roux numeum Syntec Ingenierie Syntec Conseil UNIMEV Les Acteurs de la Compétence Véronique TORNER Michel Kahan David MAHE Beatrice CUIF-MATHIEU Christopher SULLIVAN Laurent Giovachini Mathieu Séguran Constance AZAÏS Nicolas Cuvier Jessica Gonzalez

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Patrick Martin Patrick Martin est un Influencer

President du MEDEF | Président du Groupe Martin Belaysoud Expansion

𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! Les entreprises de France ont – à raison – la désagréable impression en suivant les débats budgétaires en cours, d’être dans une fable de La Fontaine : la poule aux œufs d’or. Elles qui se mobilisent pour l’emploi, qui créent de la richesse, la partagent, l’investissent, se retrouvent ciblées par près de 20 milliards d’impôts et de charges supplémentaires ! Or, tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais rien rapporté, si ce n’est se priver de sa plus grande richesse. C’est exactement ce qui risque de se produire si ce budget était voté dans les termes actuels : 8 milliards d’euros d’impôts sur les sociétés, 5 milliards d’euros de réduction des allègements de charges, 2,3 milliards transférés de l’Assurance Maladie aux complémentaires santé, 1,2 milliard d’économies sur les aides à l’apprentissage et 800 millions de versement mobilité qui viennent alourdir d’autant le coût du travail. Derrière ces ordres de grandeur qui donnent le tournis, ce ne sont pas moins de 400.000 emplois qui de ce fait ne pourraient être créés. Avant même que le couperet ne tombe, nous connaissons déjà l’issue funeste qu’aurait une telle peine : les entreprises arrêteraient de recruter, ne pourraient plus répondre aux attentes légitimes de leurs salariés en matière d’augmentation, se tourneraient vers l’étranger et feraient bénéficier de leur contribution à l’intérêt général à d’autres pays, bien plus dynamiques, attractifs, ayant compris que leur intérêt et celui des entreprises ne faisait qu’un. Face à ce scénario catastrophe que nous devons collectivement éviter le Mouvement des Entreprises de France, avec la responsabilité et la légitimité que lui confère son statut de première organisation patronale, lance une mobilisation d’ampleur : 𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! C’est pourquoi j’appelle solennellement nos 119 MEDEF territoriaux et régionaux, partout dans l’hexagone et les Outre-mer, à se mobiliser et faire entendre plus encore la voix de nos 200.000 entreprises qui ne demandent qu’une chose : qu’on leur fasse confiance et qu’elles puissent participer à la réussite du pays et l’ensemble de ses territoires ! Ensemble, faisons entendre raison à des débats qui sont saturés de propositions attrayantes sur le papier par leur facilité et leur rapidité d’exécution mais qui seraient tout bonnement catastrophiques pour notre économie, ses entreprises, leurs salariés : les Français ! Ensemble, martelons – je l’ai encore fait jeudi et vendredi en présence du Premier ministre Michel Barnier et des ministres Antoine Armand et Marc Ferracci – que la réussite de la France ne pourra se faire qu’au travers de celle de ses entreprises ! Soyons courageux, ne cédons pas à la facilité en nous trompant de cibles, cela condamnerait notre pays. #BilletDuDimanche

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