Post de Gaëlle Duranton

🧐 Le bilan 2024 🐉 Cette année au cabinet, il y a eu beaucoup d'émotions et de douleurs qui sont ressorties dont le but était de faire évoluer en s'allégeant d'histoires qui nous encombrent. Cela montre que nous ne sommes pas alignés et qu'on ne se respecte pas toujours. 🤨 L'art de poser ses limites n'est pas toujours évident et c'est pourquoi j'en ai fait un livre. Voici un extrait qui parle des limites qu'on peut se poser à soi-même 🤔 Apprendre à dire « non » à soi-même Savoir refuser certaines choses à soi-même est nécessaire pour maintenir son équilibre personnel. Cela revient à être le capitaine avisé de sa propre existence, comprenant quand il faut résister aux vents de la tentation et de l'excès. Imaginez que vous êtes face à une opportunité tentante, mais qui, au fond, ne s'aligne pas avec vos objectifs ou vos besoins actuels. Dire « non » à cette occasion, c'est en fait dire « oui » à vos vraies priorités, à votre bien-être et à vos valeurs. C'est reconnaître que chaque choix que vous faites a un impact sur votre vie, et que vous avez le pouvoir de diriger cet impact de manière positive. Cette pratique commence souvent par de petites décisions. Par exemple, dire « non » à une heure supplémentaire devant la télévision pour privilégier un sommeil réparateur, ou refuser une sortie tardive en semaine lorsque vous savez que vous avez une journée chargée le lendemain. Ces actes d'autodiscipline ne sont pas des privations, mais des affirmations de votre engagement envers vous-même et votre bien-être. Comprendre que vous n'avez pas à accepter chaque demande ou à relever chaque défi qui se présente à vous, vous aide à poser plus facilement vos limites. En apprenant à dire « non » à soi-même, vous cultivez un sens profond de respect de soi et de maîtrise de votre vie. Cette capacité est un super pouvoir, vous permettant d’avancer dans la vie avec confiance, clarté et un sens renouvelé de l'objectif. Passez un excellent week-end. 🌞 Pour les personnes qui ont déjà lu mon livre, je vous serait reconnaissante de laisser un avis sur amazon. Merci par avance 🙏 Michèle #rennes #shiatsu #fascias #douleurs #emotions #bienetre

☎ Hier soir, très tard une femme m'a appelé... Directrice dans un grand cabinet de conseil, elle avait rejoint ce poste en pensant qu’elle y trouverait enfin une certaine stabilité après des années de freelance. Pourtant, après un an, son constat était sans appel : « Rien ici ne me fait vibrer. Pas une seule fois je ne me suis sentie alignée avec moi-même. » Cette phrase résonne, n’est-ce pas ? Même dans les environnements les plus prestigieux, il arrive qu’on perde ce lien vital avec ce qui nous rend véritablement vivant. Quand les processus rigides dominent, que l’initiative est peu encouragée et que la gestion sape la motivation, on commence à douter de ses choix. 👉 Peut-on raviver l’étincelle dans un cadre qui nous étouffe ? Je lui ai posé une question simple : « Et si tu pouvais ramener dans ton cadre actuel ce qui te faisait vibrer avant ? » En revisitant ses réussites passées, elle a identifié 3 leviers essentiels à son épanouissement : autonomie, impact direct et liberté d’innover. Des éléments qui, même en petite dose, peuvent être réintroduits. Et en effet, elle a trouvé des moyens de raviver cette flamme, même à contre-courant des normes de son organisation. 👉 Un paradoxe troublant : les grands discours, les petites actions Cela m’a ramené à ma propre expérience. J’ai moi aussi travaillé dans un cabinet de conseil. À l’extérieur, nous étions les champions de l’innovation pour nos clients. Mais à l’intérieur, les mêmes barrières : processus étouffants, une culture qui peine à encourager les initiatives, un leadership top down. Nous incarnions l'opposé de ce que nous proposons à nos clients de vivre en termes de fonctionnement et de leadership ! Un peu comme si un pneumologue fumeur invétéré tentait de soigner un patient ! J’ai dû me poser la question cruciale : Dois-je rester pour essayer de transformer cet environnement ou partir pour retrouver ma liberté ? 👉 Attention à l’effet "grenouille" Comme dans l’histoire des grenouilles : si l’eau devient chaude progressivement, on ne se rend pas compte du danger. On s’habitue à l’inconfort, jusqu’à s’y perdre complètement. Beaucoup de professionnels vivent cette réalité sans s’en apercevoir. 🎯 Le vrai défi n’est pas de savoir si vous devez rester ou partir. C’est de reconnaître si votre environnement nourrit ou étouffe ce qui vous rend vivant. 💬 Et vous ? Votre job vous pousse-t-il à avancer ou vous maintient-il dans une zone de confort qui vous endort doucement ? Partagez votre expérience : elle pourrait inspirer ceux qui hésitent encore à agir. #Leadership #Épanouissement #Carrière #VIVVANT

Comment franchir le gap de “je veux rester un artisan” à “je veux scale mon cabinet” ? Lors d’une discussion avec Éric Niddam durant le Congrès, on a parlé de mon parcours. Créateur ex-nihilo d’un cabinet fin 2012, j’ai commencé comme beaucoup en me disant: “Les salariés c’est cool mais c’est galère à gérer, ils ne feront pas bien le taf et ça va me rajouter de la charge mentale”. Donc première étape, ça a été de recruter une chargée de mission avec plus de 10 ans d’expérience pour m’accompagner, elle connaît son taf, niveau management c’est tranquille (en plus elle est adorable). Puis, comme je suis issu d’une tradition de “travail en famille”, j’ai embauché mon frère en 2015 à sa sortie d’école de commerce. Encore une fois, je ne me suis pas trop mouillé, quand tu t’entends bien avec ton frère ça passe tout seul (presque tout le temps mais sur le taf on est généralement d’accord). Et là, faille spatiotemporelle pendant presque 7 ans… Bon en vrai, il s’est passé plein de trucs : 💥 Accident de ma première salarié (donc j’ai géré 3 portefeuilles clients quasiment seul pendant 13 mois… coucou le burn-out) 🎓 Terminer mon DEC (oui car j’ai créé ex-nihilo avec un autre EC… pendant ma 3ème année de stage) 📜 Obtention de ma certification de coach professionnel 🚚 Déménagement dans le Sud-Ouest à Pau Et là, c’est les trucs principaux, je pourrais vous en faire des tonnes. Fast-forward, on arrive début 2022 et je me lance un challenge perso : écrire tous les jours sur Linkedin pendant 6 mois. Révélation #1, j’aime raconter ma vie à des inconnus. Révélation #2, si tu continues à bosser seul, tu ne tiendras pas indéfiniment C’est ce genre de moment où tout s’aligne : les connaissances que tu as tiré des livres te parlent enfin, tes séances de coaching auprès de dirigeants te montrent une autre voie, tes rencontres avec des mecs inspirants… Et j’ai vraiment compris : si tu n’as pas d’équipe, tu n’as pas une entreprise tu as un travail. Loin de moi l’idée de critiquer ceux qui veulent rester solo, c’est juste que j’avais envie d’autre chose. Et j’ai accéléré fort : deux recrutements en juillet 2022, un troisième en novembre 2022, un autre en décembre 2023, puis en mars 2024 et enfin 2 à la rentrée 2024… Et c’est grâce à ces recrutements que : ❤️ J’ai retrouvé encore plus de sens dans mon travail 🏠 J’ai retrouvé une vie beaucoup plus équilibrée 🤑 Mon CA a presque fait X2 en deux ans Bref, j’ai vraiment l’impression d’être un entrepreneur (bye-bye le syndrome de l’imposteur) et cerise sur le gâteau, je suis encore mieux armé pour accompagner mes clients ! PS : J'organise un Live le 28/11 pour vous parler de ma stack techno et c'est en commentaire !

En cette journée du 27 juin qui met à l’honneur l’entreprenariat, c’est avec plaisir et appréhension que je participe à cet événement. Plaisir car je suis honorée d'y participer. Et appréhension car je suis toute nouvelle dans le milieu entrepreneurial. Alors qui suis-je ? Je suis Alexandra DUBUS, j'ai un fils de 11 ans et comme beaucoup de femmes, je jongle chaque jour entre vie pro et vie perso, les deux étant souvent bien remplies. Ancienne gestionnaire administrative dans la fonction publique territoriale, j’en suis partie après (presque !) 22 ans pour retrouver sens et plaisir dans mon activité, et énergie et bien-être dans ma vie. J’ai toujours voulu contribuer à améliorer le monde, et je pensais atteindre cet objectif en intégrant le service public... Mais après plusieurs années à y travailler, j’ai dû me rendre à l’évidence : cet environnement évoluait d’une façon qui ne me convenait plus. En 2016 est arrivée une fusion et avec elle une dégradation des conditions de travail avec les conséquences que l'on devine. J’ai d’ailleurs retracé mon cheminement du fonctionnariat vers l'indépendance dans mes posts « les 12 coups de mon horloge pro » (1er post https://vu.fr/eYqym) et ma méthode de travail « la C-L-E-F de S » ici (1er post : https://vu.fr/OZFfB) J’ai discuté avec des travailleurs de différents milieux, et beaucoup se demandaient comment ils allaient réussir à tenir le coup, quand ils n’avaient pas changé de voie professionnelle après un burn-out ou une dépression. Changement que j’ai réalisé après avoir fait moi-même partie de ces personnes en souffrance. Je voulais remettre de l’humain dans mon activité en m’occupant de personnes et non plus de dossiers ! J’ai donc repris des formations en ce sens, comme cette première année de Master en Management des Ressources Humaines pour bien connaître le droit du travail. Mon projet initial était de m’orienter vers la formation ou le conseil en évolution professionnelle. Mais j’ai fini par réaliser que si notre énergie et notre sérénité étaient sapés par le stress et le mal-être, il serait difficile pour ne pas dire impossible de concrétiser le moindre projet, même avec une très grande motivation ! Car s’il est facile de dire « quand on veut, on peut », le faire est parfois (même souvent !) beaucoup plus difficile qu’il n’y paraît… Je me suis alors tournée vers des formations bien-être, en particulier les techniques de base de la relaxation, pour pouvoir me présenter aujourd’hui devant vous en tant que consultante en organisation, gestion du temps et prévention du stress pour les femmes qui jonglent entre vie professionnelle et personnelle tout en essayant de garder l’équilibre. Et pour vous servir au mieux, j’ai préparé un questionnaire pour recueillir vos besoins en la matière, le lien sera placé dans les commentaires quand je serai disponible dans la journée. Un grand merci à Cédric Vonlanthen pour cette #celebrationMPME

𝗟𝗲 𝗱𝗶𝗹𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗱𝘂 𝗱𝗶𝗿𝗶𝗴𝗲𝗮𝗻𝘁 𝗱’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 Que tu fasses 500k ou 5M, tu vis 3 choses : - tu es passionné par ton job (ou du moins tu l’as été au début) - tu travailles beaucoup (au départ, c’était par choix) - tu pourrais ne faire que ça (même si maintenant ça commence à piquer) Le dilemme est là :  ce qui était vibrant au départ l’est de moins en moins. À force, ça ne devient (presque) que contrainte, lourdeur et complexité. Et le prix à payer grandit avec le temps : - les enfants grandissent (trop) vite - la tension dans ton couple s’intensifie - ta santé donne des signes de faiblesse C’est la faute de personne,  c’est comme ça pour tellement de gens. Alors on fait quoi ? On pourrait se dire que les vraies bonnes questions à se poser ici sont : - Comment concilier tes responsabilités et ce qui compte le plus à tes yeux ? - Comment passer plus de temps avec tes enfants sans sacrifier ce que tu as passé tant de temps à bâtir ? - Comment sortir la tête de l’eau et le nez du guidon tout en étant aussi productif ? Mais en réalité, la VRAIE question n’est pas un « comment ». La vraie bonne question c’est : POURQUOI tu n’arrives pas déjà à équilibrer ta vie ? Avec Claudine ESSERMEANT : - On a une entreprise qui tourne bien ET une vie de famille équilibrée. - On vient de faire un tour du monde avec nos 2 filles de 17 et 14 ans. - On est souvent félicités pour notre complicité avec nos enfants, et la qualité des personnes qu’elles sont déjà. Pourquoi on y arrive ? Comment rendre ça possible pour toi ? Quelles décisions concrètes tu dois prendre pour que ça marche ? Ce sont à ces questions (et à beaucoup d’autres) que l’on va répondre lors de la conférence « UNE VIE QUI COMPTE » Parce qu’au final, ce qui a vraiment de la valeur pour toi est trop précieux pour être mis de côté plus longtemps. Dates et villes : Laval (CAN) - 7 nov Gatineau (CAN) - 12 nov Marseille (FR) - 21 nov Lyon (FR) - 27 nov Paris (FR) - 28 nov Billetterie : https://lnkd.in/eGBBzX2e

Brique n°7 Quand la serendipité s’en mêle…. 🤔 J’étais un peu perplexe devant le prompt du jour… Mais le hasard a décidé de me mettre devant une prise de décision qui me donne donc le sujet de ce post. En préambule, je précise - et ceux qui ont lu mon post d’hier sur le Comité du Cœur le savent - les temps sont durs. Que ce soit en tant que comédienne ou en tant qu’auteur, les fins de mois commencent le 15 depuis un peu trop longtemps à mon goût…. 😃 Alors j’étais très enthousiaste qu’on m’appelle aujourd’hui pour me proposer un travail d’adaptation. Je prends tous les renseignements je commence à visualiser quelques journées qui se remplissent dans mon agenda, et je termine par ce que je crois être une formalité. 💶 Le tarif. 😱 Et là mon interlocuteur me propose moitié MOINS que les tarifs pratiqués dans ma corporation. 👎🏼 Je n’ai pas pris le temps de la réflexion. J’ai ri, et j’ai dit « ah ben non, donc! » Mon interlocuteur a dit « je comprends ». Il m’a demandé quel était mon tarif habituel. Je lui ai répondu, et il m’a dit qu’il me rappellerait si un jour il avait un projet avec un budget suffisant. Rien ne dit qu’il le fera, et rien ne dit que j’accepterai, si je sais que son entreprise continue à sous payer des collègues!!! 🤬 Mais il n’y a pas eu de cris, de colère ou de noms d’oiseaux. Juste un refus clair, net, affirmé. Facile. 👉🏼 Oui j’ai besoin d’argent. Mais je connais ma valeur. ✅ La valeur de mon travail. ✅ La valeur de mon temps. ✅ La difficulté de la tâche demandée. Je connais ✅ la valeur du travail de mes camarades ✅ la valeur des combats qui nous permettent de demander aujourd’hui le tarif que l’on demande. 👉🏼 J’ai besoin d’argent, mais j’ai besoin avant tout de pouvoir me regarder dans une glace. 💖 J’ai besoin de m’aimer. Et d’être fière de moi. Quelle que soit votre profession, je crois qu’identifier vos forces, et connaître votre valeur est capital. Je crois qu’il ne faut pas se brader dans l’espoir d’attirer des clients. Des clients qui sous-paient un service n’ont de respect ni pour votre travail, ni pour vous. Et si vous leur donnez raison, vous perdrez à votre tour votre estime de vous-mêmes. Lorsqu’on choisit d’être indépendant, on le fait aussi pour être libre. Et ne pas subir la pression et le manque de reconnaissance d’un employeur. Accepter de se brader, c’est retomber dans une spirale d’auto sabotage. 🚫 Alors il faut apprendre à dire non. A le dire bien. Sans faillir. Avec assertivité. 📢 Travailler sa communication orale pour être capable de le faire au bon moment peut être très intéressant. Pour ça il y a des solutions… et j en ai même quelques unes! On s’en parle? 😉 #jeuxolymbriques #defibriques #touchepasamavf Valentin Decker Killian Talin Léa Clauss

J’ai appris à ne plus jamais avoir le syndrome de l’imposteur. Quand j’ai créé notre réseau, je n’avais aucun doutes. Je ne me suis jamais demandée si j’allais être à la hauteur, si j’étais légitime. Alors que je le rappelle à qui le veut, j’étais au RSA et j’ai créé un réseau d’entrepreneures…. Oui bien sûr 😅 Quelques années avant, quand j’ai initié et créé le territoire zéro chômeur longue durée de mon territoire c’était pareil. Je n’ai jamais douté de moi 🔥🚀 Alors qu’avant… je passais mon temps à douter. Je n’avais aucun diplôme, aucune expérience dans aucun corps de métier que j’embrassais… et bien sûr rien n’était parfait même si je faisais du mieux possible et je culpabilisais. J’avais une peur terrible de l’échec, des fins de mois, du regard de mes clients… Que s’est il passé entre les deux ? ✅ Je pense que le fait de cumuler, d’échouer souvent, de retenter quand même, m’a « forgée ». La résilience a pris place. ✅ Je pense aussi que mes deux derniers projets ont « réussi» car la cause était plus forte. Ce n’est pas pour moi que je travaillais. Mais pour les autres dans l’expérimentation territoriale qui est en train de créer 300 CDI, et pour toutes mes adhérentes, moi y compris, pour notre réseau d’affaires. Mon objectif était d’apporter aux autres 💛 Mon pourquoi surpassait toutes mes peurs, toutes mes appréhensions. Toute ma procrastination. Il fallait des résultats rapidement. Pour les autres. Et pour moi. La notion de nombre et donc d’ambition joue un jeu là dedans. Plus l’attente était forte, plus le nombre avait de l’importance, plus je redoublais d’efforts pour y parvenir. L’avantage d’avoir du monde autour de soi est double. Il est challengeant, j’adore les challenges et c’est aussi une véritable solidarité collective. Je m’appuie régulièrement sur mes clients comme je le faisais avec mes bénévoles pour grandir et les faire grandir, innover et passer des caps. Nous sommes une force puissante et inébranlable 😎 L’imperfection est la norme et nous apprenons constamment ensemble. Nous nous améliorons au fur et à mesure. Quelques conseils pour fuir le syndrome de l’imposteur : ✅ Remplace le "Je ne suis pas assez compétente" par "J’apprends et je progresse à chaque étape." ✅ Accepte l’imperfection : Le perfectionnisme est souvent un masque pour la peur. Avancer imparfaitement, c’est surtout avancer. ✅ Découvre ta cause puissante et infaillible ✅ Ose être ambitieuse pour redoubler d’efforts. Rappelle toi, si tu vises les étoiles, tu atteindras au moins la lune. Double tes prix, le nombre de tes clients, ta marge, ta zone géographique, multiplie ton pas de porte, crée une franchise ! Ta première formation ! Une marketplace ! VOIS GRAND 🌝💫 Inscris-toi à la newsletter pour être sûre de recevoir mes prochains conseils: https://urls.fr/7eGudK #reseautage #recommandations #reseaufemmesentrepreneures #entrepreneuriat

Ça, c'est deux heures avant la chute! Je voulais partager avec vous une expérience récente qui m'a rappelé l'importance de rester flexible et résiliente face aux imprévus. La journée avait commencé tôt et sur les chapeaux de roue. La productivité était au rendez-vous et j'ai même réussi à caser un examen de la vue dans mon emploi du temps. Juste après cet examen, j'ai un rendez-vous au restaurant Les Enfants terribles à Place Ville Marie. L'établissement a déménagé et célèbre son ouverture à son nouvel emplacement. On apprend que l'établissement quitte la superbe vue en hauteur pour l'esplanade (là où se trouve le fameux anneau!) Le souper se déroule bien. Je fais à mon amie le bilan de mes 3 mois chez Les Affaires. Je lui parle de mes projets personnels, et je lui dis que le lendemain j'assiste à une conférence en présentiel. "Ta tête enfle, Mathilde", me direz-vous. Eh bien non. C'est ma cheville qui enfle! En sortant du restaurant, je rate une marche et je m'étale de tout mon long. Et c'est l'entorse! Tout allait si bien pourtant... C'est là que l'imprévu entre en scène, sous la forme d'une simple marche ratée qui a conduit à une vilaine entorse. C'était un rappel que même lorsque tout va bien dans le meilleur des mondes, le plan peut prendre un virage inattendu. J'essaie de ne pas me laisser submerger par la frustration. J'ai repensé aux paroles d'Alexandre Brosseau, l'un des fondateurs des Enfants terribles, sur l'importance de faire face aux imprévus. Parfois, les défis nous obligent à revoir nos priorités, à prendre du recul et à trouver de nouvelles opportunités là où nous ne les attendions pas. Alors, je vous pose la question : comment réagissez-vous face à l'imprévu? Est-ce une source de stress ou voyez-vous une opportunité de croissance et d'adaptation? Dans mon cas, cela signifie du repos forcé, mais aussi une chance de réorganiser mes priorités et de renforcer ma résilience. *Bon, et aussi du renforcement des chevilles* 📷 📓 Anne Larue 👈 *EDIT* Ça va beaucoup mieux!

💡 Capitaliser sur ses échecs professionnels 💪 Parler de ses échecs ne doit pas être un sujet tabou. Effectivement, “qui s’y frotte s’y pique 🌵”, mais qui s’y pique apprend énormément 📈. En 2021, j’ai été appelé en urgence 🚨 pour redresser une entreprise spécialisée dans les forages miniers et hydrauliques. Recommandé pour ce poste, j’étais perçu comme le “Messi” 👤, l’homme de la situation. J’ai donc pris mes fonctions en tant que manager de production, avec la responsabilité des questions de santé, sécurité et environnement (SSE) ⚙️🌱. À mon arrivée, j’ai été chaleureusement accueilli par toute l’équipe 🤝 et le Directeur. Cependant, j’ai vite découvert que derrière cette façade conviviale régnait une tension énorme ⚠️, marquée par de multiples plaintes non résolues. Malgré cela, j’ai pris les rênes de cette équipe avec beaucoup d’enthousiasme 🔥. Au fur et à mesure, j’ai constaté que mes décisions divisaient l’équipe : une partie les soutenait 👍, tandis que l’autre les contestait constamment 👎. Cela m’a intrigué 🤔. J’ai alors passé beaucoup de temps à tenter de faire accepter mes décisions à l’unanimité, ce qui a fini par freiner la progression de nos activités et l’atteinte de nos objectifs 🚫🎯. En conséquence, les choses piétinaient, et j’avais des maux de tête au quotidien 😣. Après quatre mois sans réelle amélioration, même si j’avais réussi à renforcer leurs compétences techniques 🛠️, j’ai décidé de partir pour rester professionnel et laisser l’équipe prendre la main ✋. Leçons apprises 📚 : • 🔍 Diagnostiquez le climat social : Avant de prendre en charge une équipe, il est essentiel de faire un diagnostic social. Une équipe instable socialement est souvent improductive. • ✅ N’attendez pas une validation à 100 % : En tant que manager, il est naturel de vouloir rassembler, mais ne perdez pas de vue vos objectifs professionnels. Un manager est jugé avant tout sur ses résultats. La meilleure approche est de trouver un équilibre, mais au besoin, concentrez-vous sur ce pour quoi vous avez été recruté. • 🚪 La démission n’est pas une fatalité : Parfois, quitter un poste est une décision professionnelle judicieuse et non un échec. #TeamManagement #Leadership #RSE

Bilan Voilà maintenant un an que mes collègues sont partis naviguer vers d’autres horizons et que je gère seule l’AIFS. Mentalement, il y a eu une phase compliquée car tout le monde s'inquiétait de ma capacité à y arriver. J’avais fini par le croire et cela s’est répercuté sur ma confiance en moi. Pourtant, c’est tout l’inverse qui s’est produit. Et il y a une morale à cette histoire. J’ai d’abord été recrutée comme Responsable en 2022. Au bout d’un an, il a été convenu de transférer mon poste à mon ancienne collègue, au motif qu’elle en avait plus la carrure et qu’il fallait que je me concentre à 100% sur la partie commerciale. J’étais soulagée car le management n’est pas mon truc. J’assume ne pas aimer manager les gens et en retour, ne pas être supervisée non plus. Question de caractère ! Mais le problème n’était pas vraiment là, c’était surtout une question de visions divergentes sur ma manière de faire en tant que commerciale. Il m’était reproché de ne pas être assez agressive. Pour moi, c’était justement une qualité, n’ayant pas de formation dans le commerce, j’utilisais plutôt le feeling et ne me fixais pas la conclusion d’une vente à tout prix en sortant du bureau de mes clients. Je plantais des graines en espérant qu’elles essaimeraient naturellement. Après un an de prospection quotidienne, les demandes de formation tombent toutes seules. 6 mois plus tard, après quelques changements structurels, mes deux collègues sont partis. Depuis, les regards se braquent sur moi, avec bienveillance, je dois faire mes preuves. Il y a là un pari important sur la confiance que m’accorde mon Bureau. Retour à la case départ, je suis redevenue Responsable, à la différence que la seule personne à gérer, c’est moi-même. Évidemment que j’ai eu une transition stressante, mais elle n’a pas duré très longtemps. Me connaissant, si cela avait été insoutenable, je serais partie. En prenant en main l'ensemble de la chaîne de valeur, j’ai en fait gagné en efficacité et en réactivité. J’ai appris à gérer toutes les facettes de mon activité (je me suis formée quand il y avait besoin), à mieux comprendre les besoins de mes clients, et à apporter des solutions qui leur correspondent vraiment. En fait, cette autonomie m’a permis de grandir professionnellement. Les chiffres sont constants voire meilleurs, les tâches sont exécutées deux fois plus vite que lorsque nous étions à deux, notamment grâce à l’automatisation des process et il n’y a plus aucune perte d’informations. Tout est contrôlé de A à Z. Et l’équilibre de vie pro/perso est totalement respecté. Cette histoire m’a appris qu’il est important de croire en ses ressources et de ne pas avoir peur de l’inconnu quand de profonds changements arrivent comme ici. Chaque défi est une opportunité d’évoluer, de renforcer ses compétences. Dans mon cas, la clé est mon autonomie. N’écoutez pas trop ceux qui s’inquiètent pour vous, ce sont leurs propres peurs et limites qui parlent à leur place.