Le projet aura coûté 840 milliards : La route qui va désengorger le littoral de Boumerdès El Watan.01/07/2024 Ramdane Kebbabi C’est l’un des plus importants projets structurants dont a bénéficié la wilaya de Boumerdès ces dernières années. D’un montant initial de 600 milliards de centimes, cette route de 11,6 km, qui comprend deux viaducs et une pénétrante vers Figuier, aura finalement coûté 840 milliards de centimes au Trésor public. Un peu plus que le projet de l’hôpital des 240 lits dont les travaux patinent depuis 2012. Son importance réside dans le fait qu’il va désengorger les routes du littoral, très sollicitées durant la saison estivale, ce qui permettra aux automobilistes en provenance d’Alger ou Tizi Ouzou de rallier Figuier, Zemmouri ou Cap Djinet sans passer par la ville de Boumerdès. Après de multiples reports, d’aucuns pensent que la mise en service de cette route interviendra ce 5 juillet, comme annoncé par plusieurs personnes sur les réseaux sociaux. Mais cette information n’a été confirmée par aucune source officielle. Contactée par nos soins, la directrice locale des travaux publics, Feriel Sayoud, évoque l’état d’avancement du chantier, soulignant que la date d’ouverture de la route à la circulation automobile sera annoncée par la wali, Fouzia Naâma. «Je ne saurais vous dire si cela interviendra demain ou la semaine prochaine. Ce qui est sûr est que le tronçon initial est achevé à 100% depuis le mois de mai dernier. Il reste la pénétrante de Figuier dont le taux d’avancement est de 70%», a-t-elle indiqué. Bien que non réceptionné officiellement, l’axe reliant Seghirate et la RN24 vers à la RN05 et Tidjllabine est emprunté chaque jour par des dizaines d’automobilistes. «Cet axe est une énorme bouffée d’oxygène pour nous. Il peut dynamiser l’activité économique et touristique dans toutes les localités de l’est de Boumerdès», estime un habitant de Zemmouri. Très critique, son ami émet des réserves sur la qualité des travaux et prévient contre l’excès de vitesse, notamment au niveau des descentes de Figuier et de D’hous, où la chaussée est inclinée en plusieurs endroits, dit-il. «Il y a aussi l’absence d’éclairage et d'arbres de part et d’autre de la voie. Parfois, on a l’impression qu’on est au Sahara», déplore-t-il en dénonçant la lenteur du rythme des travaux confiés, pour rappel, à un groupement de trois entreprises. Il faut dire que ce projet a buté sur d’énormes contraintes. La directrice de la DTP cite, entre autres, les oppositions de propriétaires terriens, le relief difficile et le passage de réseaux d’AEP, de gaz et d’électricité sur le tracé de la route. Selon elle, cet axe des plus névralgiques sera électrifié dès l’affectation des crédits nécessaires. Pour peu que nos équipements et installations soient préservés contre les actes de vandalisme et de vol, comme ce fut le cas sur la première partie de ce tronçon, a-t-elle conclu.
Post de Hassène HARZLI. 🇩🇿
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La ligne Nîmes - Le Caylar - Aimargues - Le Grau-du-Roi permet des trajets de l’urbain vers la mer Méditerranée et en même temps de la (lointaine) banlieue vers le centre de l’agglomération Depuis 4 décennies, c’est calme plat malgré l’évolution, préoccupante pour certains, de la carte électorale Aussi , on se demande souvent pourquoi des propositions de bon sens et urgentes à concrétiser pour réparer les dégâts (environnementaux…) causés par l’étalement urbain restent à quai L’explication doit se trouver à l’ouest de Matabiau où l’on préférait sacrifier le littoral languedocien au profit d’un enjeu caché derrière une magnifique communication sur, entre autres, le train à 1 € Le ferroviaire est très politique et a des conséquences électorales « Une réouverture de la courte section Lunel-Aimargues, moyennant aménagement d’une courte liaison ouest-sud évitant Aimargues, permettrait une desserte train Lunel-Le Grau-du-Roi, possiblement amorcée à Montpellier, d’une longueur de seulement 24,8 km de Lunel au Grau-du-Roi et de 46 km de Montpellier au Grau-du-Roi. » « La route affiche un itinéraire de 31 km de Montpellier au Grau-du-Roi mais par un tracé au sud de l’étang de l’Or, ne desservant ainsi ni Baillargues (où a été installée une gare TER modernisée pour la banlieue est de Montpellier en plein développement), ni Lunel, commune dont la population affiche 27.000 habitants, en forte hausse. » Thierry Tsagalos https://lnkd.in/dBQaBdhJ?
La région Occitanie pérennise la ligne Nîmes-Le Grau-du-Roi en payant les deux-tiers de sa rénovation - Raildusud : l'observateur ferroviaire du grand Sud-Est
raildusud.canalblog.com
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📢 Constat du jour 🚅 En tant que citoyen soucieux de l’efficacité et de la durabilité des infrastructures de transport, je souhaite partager quelques réflexions sur les aberrations observées lors d’un trajet de Metz à Valenciennes, réalisé pour participer à un jury de thèse. Ce voyage, qui devrait être relativement simple, révèle en réalité certains problèmes flagrants pour ne pas dire autre chose dans l’aménagement et la distribution des transports dans notre région. Pour commencer, le trajet en train entre Metz et Valenciennes nécessite souvent plusieurs correspondances, parfois via Paris, rallongeant considérablement le temps de déplacement. Ce détour, tant en termes de distance que de temps, pose la question de la rationalité de notre réseau ferroviaire. Pourquoi les connexions directes entre les grandes villes de notre région ne sont-elles pas privilégiées, facilitant ainsi la mobilité des citoyens et des professionnels ❓ Un autre point particulièrement absurde est la navette reliant Metz à la gare Lorraine TGV. Cette navette ne s’arrête dans aucun des trois villages principaux qu’elle traverse. Ainsi, les habitants de ces villages doivent d’abord se rendre à Metz pour ensuite repasser devant chez eux 🤭afin d’atteindre la gare Lorraine TGV. Ce circuit est non seulement illogique, mais aussi contre-productif d’un point de vue écologique. En incitant les habitants à effectuer des trajets supplémentaires, nous augmentons inutilement les émissions de CO2 ♻️ et la congestion routière 🚕 🚗 🚙 🛻 🛵 Il est crucial de se demander pourquoi ces arrêts intermédiaires ne sont pas inclus dans le trajet de la navette. Un arrêt dans chaque village permettrait de rationaliser le trajet, de réduire les temps de déplacement et de diminuer l’empreinte carbone. En outre, cela améliorerait considérablement l’accessibilité de la gare Lorraine TGV pour les habitants des zones rurales, souvent délaissés par les politiques de transport. Enfin, cette situation soulève des questions plus larges sur la planification de nos infrastructures de transport. Il est indispensable de réévaluer nos priorités et de repenser notre réseau pour qu’il réponde mieux aux besoins de mobilité des citoyens tout en respectant les impératifs écologiques de l'état. Une approche plus intégrée et cohérente des transports en commun pourrait non seulement améliorer la qualité de vie des habitants, mais aussi contribuer à une transition écologique nécessaire. En conclusion, l’exemple du trajet de Metz à Valenciennes et de la navette Metz-Gare Lorraine TGV illustre bien certaines incohérences de notre système de transport. Il est nécessaire de repenser notre approche pour qu’elle soit à la fois plus logique et plus respectueuse de l’environnement 🌳 🌻 🌷 🌿, assurant ainsi une meilleure qualité de service pour tous les usagers. Voiture : 3️⃣h3️⃣0️⃣ Train : 6️⃣h de voyage Ministère Écologie Territoires Département de la Moselle Région Grand Est #CO2 #Ecology #Planet #Transport
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Au sommaire des Affiches d’Alsace Lorraine du 6 septembre 2024, vous découvrirez notre dossier sur Les dispositifs contractuels à l’épreuve de la réglementation d’ordre public des offres publiques d’acquisition/Collectivités : Un assistant à la transition écologique pour les élus locaux/Actualité : Rentrée patronale/Juridique : Un magnolia en étendard pour un « parcours du combattant » !/Grand Est : Le Régiolis transfrontalier sur les rails/Foire européenne. Et toujours nos rubriques Tourisme et Culture. Notre article sur Le Régiolis transfrontalier sur les rails est à lire ici :
MOBILITÉ. Le Régiolis transfrontalier sur les rails
affiches-moniteur.com
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Lors de sa visite sur le chantier de la construction de l’autoroute reliant Antananarivo à Toamasina, le président Andry Rajoelina a reçu des assurances quant à la progression rapide des travaux. Le ministre des Travaux publics, Richard Théodore Rafidison, a souligné que l’objectif de finaliser les 80 premiers kilomètres avant la fin de l’année 2025 est bien en bonne voie. Cette autoroute, qui s’étendra sur 260 kilomètres entre la capitale et la ville portuaire de Toamasina, est un projet stratégique qui devrait avoir des effets positifs tant sur l’économie que sur l’environnement. Selon les experts, elle permettra de réduire la consommation de carburant, notamment pour les poids lourds, tout en offrant un transport plus rapide et moins coûteux. Les avantages économiques seront considérables : l’autoroute réduira également le temps de trajet, permettant aux voitures de relier Antananarivo à Toamasina en seulement 2h30. Les camions, de leur côté, bénéficieront d’un trajet plus rapide, ce qui contribuera à accroître la capacité de transport de marchandises et à améliorer la fréquence des échanges commerciaux. De plus, ce projet devrait réduire les risques d’accidents sur la RN2, une route actuellement saturée et souvent dangereuse. Ce chantier ambitieux bénéficie d’un soutien massif de la part des communautés locales, comme en témoigne la présence nombreuse des habitants lors de la visite présidentielle. Ces derniers ont exprimé leur approbation du projet, après des consultations menées en amont pour adapter le tracé de l’autoroute et minimiser l'impact sur les terres agricoles et la colline historique d'Ambohimanga, classée au patrimoine mondial. Le respect des normes environnementales est au cœur de ce projet. Dès le PK3, l’autoroute évite de passer par les rizières et contourne la colline d’Ambohimanga, assurant ainsi la préservation de ces espaces sensibles. La coopération avec les populations locales et la mise en place de solutions techniques respectueuses de l’environnement témoignent de l'engagement des autorités pour la réussite de ce projet d’envergure. D'autres actualités concernant #Madagascar sur ledefi.mg Lien vers cet article dans les commentaires
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[𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘] 🚋 𝗗𝗲́𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘂 𝗣𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗣𝗶𝗲𝗿𝗿𝗲 : 𝗹𝗲 𝘁𝗮𝗹𝗼𝗻 𝗱’𝗔𝗰𝗵𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗯𝗼𝗿𝗱𝗲𝗹𝗮𝗶𝘀 ? 🌉 Le Pont de Pierre, véritable icône de Bordeaux, se prépare à de grands travaux pour assurer sa longévité. Mais au-delà de sa restauration, ces travaux mettent en lumière une réalité que beaucoup de Bordelais ressentent déjà au quotidien : la forte dépendance de la ville à ce pont historique pour relier les deux rives de la Garonne en transports en commun. 🔧 𝗨𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗻𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲́𝗾𝘂𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗹𝗼𝘂𝗿𝗱𝗲𝘀 Les travaux, qui s’étaleront de 2025 à 2028, sont essentiels pour consolider un pont vieux de plus de 200 ans, mais ils auront un impact direct sur la mobilité. En effet, ce chantier perturbera la seule ligne de tram reliant la rive droite à la rive gauche. Avec plus de 75 000 passagers quotidiens sur la ligne A, ce sont les usagers du tram qui subiront les désagréments les plus importants, d’autant que d’autres travaux sont également prévus sur les lignes C et D à la Porte de Bourgogne. 🌉 𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 Depuis son inauguration en 1822, le Pont de Pierre a longtemps été le seul pont permettant de traverser la Garonne à Bordeaux. Il a fallu attendre 1965 pour que d’autres ouvrages voient le jour, mais malgré tout, le Pont de Pierre reste une artère vitale pour la ville, surtout pour les transports en commun. Les travaux à venir rappellent combien cette dépendance est fragile, et mettent en évidence la nécessité de repenser notre réseau pour un avenir plus résilient. 💡 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗹𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 ? Alors que la métropole envisage un renforcement des liaisons fluviales avec les Batcub, cela ne suffira pas à combler les besoins croissants de mobilité. L’option de doubler la traversée du tram via le Pont Chaban ou, à plus long terme, d’opter pour une ligne de métro sous la Garonne, s’impose peu à peu dans les débats. Une solution sous-fluviale pourrait définitivement lever la barrière naturelle que représente la Garonne, et offrir une connexion fluide entre les deux rives. 🚇 Il est temps pour Bordeaux de se doter de solutions à la hauteur de ses enjeux urbains et de garantir une mobilité efficace pour tous ses habitants, aujourd'hui comme demain. ➡️ En savoir plus sur l'impact des travaux et les propositions pour l’avenir dans notre article complet : https://lc.cx/eMADvK
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Je participais hier au 3ème Forum de l’ #AxeSeine qui a donné lieu à des échanges très intéressants animés par Bruno Lafosse . J’en retiens trois points majeurs : 1. La décarbonation des activités de #logistique passe évidemment par un renforcement du recours au fleuve et au transport #fluvial jusqu’au dernier km (IKEA a même commencé à l’utiliser pour livrer Paris intra-muros). Le corollaire doit être un développement de zones et d’entrepôts logistiques en bord de Seine. L’exemple de GREEN-DOCK cité par Patrice Leclerc montre qu’en densifiant, par exemple en construisant en étages, on peut également réaménager et dé-imperméabiliser des surfaces importantes dans ces zones. 2. Cette volonté de développer le transport fluvial ne doit pas se faire au détriment des autres modes de transports, en particulier ferroviaire (Groupe SNCF). Les liaisons ferrées le long de l’Axe Seine doivent encore être améliorées (SNCF Réseau) et le projet de la LNPL – même s’il ne fait évidemment pas consensus – doit être rapidement engagé. 3. Ce qui amène à la question de la gouvernance de l’Axe Seine. Comme l'a rappelé avec pertinence Arnaud Brennetot, depuis la nomination d'Antoine RUFENACHT, aucun Gouvernement n’a jamais mis en œuvre une gouvernance puissante de l’Axe Seine, qui soit en mesure construire les infrastructures nécessaires en faisant les arbitrages indispensables. Je suis intervenu pour citer les exemples étrangers, comme celui du fleuve Saint-Laurent entre le Canada et les Etats-Unis et surtout, le Thames Estuary Growth Board au Royaume-Uni, dont le conseil d'administration compte des chefs d'entreprise et des responsables politiques de premier plan : Je crois nécessaire d’associer la sphère privée à la gouvernance d’un tel territoire. Les entreprises sont déjà mises à contribution financièrement (versement transport par exemple) ; elles doivent être aussi associées aux décisions. Bravo à IDELIA et L'Inspiration politique pour l'organisation de ce Forum.
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📣Jeu des 7 familles du patrimoine ⏩Épisode 19 : La famille Grand-Chemin prend le train Continuant son périple à travers le territoire, la famille Grand-chemin décide de changer de mode de transport. Elle fait alors le choix d’attendre le train à la gare de Fons-Outre-Gardon. La fin du 18e siècle est marquée par les débuts de la première révolution industrielle. Elle marque un changement dans les modes de transport avec le développement de la machine à vapeur permettant d’actionner la locomotive à vapeur. En France, la première ligne de chemin de fer date de 1827 et relie Saint-Étienne à Andrézieux. En 1833, le plan Legrand prévoit la construction de lignes de chemin de fer en étoile à partir de Paris. Les nouvelles lignes adoptent souvent le tracé des voies romaines et suivent le tracé des vallées. De 1827 à 1842, 569 km de lignes ferroviaires sont construites en France. Cependant, l’essentiel des travaux est réalisé entre 1840 et 1870. Dans le Gard, l’histoire du chemin de fer débute avec l’ouverture de la ligne Nîmes-Beaucaire en 1839, prolongée jusqu’à Alès en 1840. Selon une lettre du préfet du Gard du 2 décembre 1840. Il existe des détracteurs au chemin de fer qui, quelques mois après l’ouverture de la ligne, font des tentatives malveillantes pour occasionner des accidents sur la ligne (placement d’entraves sur les rails). Ces chantiers s’accompagnent de la construction de gares. Une gare provisoire permet de desservir Fons-Outre-Gardon et les villages aux alentours dès 1840 (mise en service par la compagnie des mines de La Grand-Combe). La construction d’une gare est alors envisagée, mais Gajan et Fons-Outre-Gardon entrent en concurrence pour accueillir cette gare. La gare est finalement construite sur la commune de Fons-Outre-Gardon en 1868, puis agrandie en 1869. Cet agrandissement permet d’établir un hangar pour abriter les marchandises, un quai de chargement et une grue pour un montant de 25 000 francs. C’est dans cette gare qu’a eu lieu, le 8 mars 1946, un accident ferroviaire. Deux trains de marchandises se sont télescopés, à la suite d’une erreur humaine, sans faire de victime. La gare ferme en 1973, et les bâtiments sont vendus en 1982. 🔜Prochain épisode demain, la famille Beaulieu découvre une ancienne carrière à Montagnac. Nîmes Métropole Nîmes Tourisme Louis BALDASSERONI
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#MontBlancExpress : un train toutes les 30min dans la Vallée de Chamonix. Territoire touristique, la Vallée de Chamonix-Mont-Blanc est avant tout un territoire de vie à l’année. Cela impose des réponses adaptées pour répondre aux besoins de nos habitants dans leurs déplacements du quotidien, mais aussi à ceux de nos visiteurs venant découvrir les richesses de notre territoire en toute saison. Si ces enjeux sont au cœur des politiques publiques de la collectivité depuis des années, la question des transports doit désormais être intégrée à une vision plus systémique au travers d’une véritable stratégie de transition écologique. Pionnière de la libre circulation sur son réseau de transport public, la Communauté de Communes de la Vallée de Chamonix-Mont-Blanc n’a cessé d’investir dans son réseau de bus et en faveur du ferroviaire. Le MBE, axe historique de la Vallée depuis plus de 100 ans, bénéficie d’un soutien considérable de la Région AURA avec des investissements massifs, tandis que le réseau de transport urbain a été redessiné en profondeur pour en améliorer le déploiement, la fréquence, la qualité, la flexibilité et l’intermodalité. La réduction de notre empreinte carbone est un impératif : il s’agit de protéger notre environnement tout en préservant la qualité de vie et la santé de notre population. Cette priorité absolue impose donc des investissements ambitieux et innovants au service d’une politique de mobilité cohérente, intégrant certes les déplacements collectifs, mais aussi les mobilités douces, l'électrification des usages, ou encore le changement des usages à travers la piétonnisation du centre-ville, une nouvelle politique de stationnement et un nouveau plan de circulation.
Chamonix. Désormais plus fréquent, le train peut conduire la vallée sur de bons rails
ledauphine.com
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[TRAVAUX ROUTIERS SUR LA RD999] 🚗 🚛 Le Département offre des routes plus sûres, plus confortables et plus fluides, à l’image de la RD999 qui fait l’objet actuellement de travaux sur la commune de Miolles. Le but ? Faciliter l’interconnexion avec l’Aveyron grâce à des travaux d’élargissement et de rectification de la route très attendus par les conducteurs et tout particulièrement par les camions. En effet, cet axe stratégique, très emprunté est un vecteur important d’une économie locale, notamment pour les entreprises de #salaisons. À proximité de ce chantier, l’aire de #covoiturage existante est également en cours de travaux pour être réaménagée en aire multimodale. Les usagers pourront désormais y stationner leur voiture ou leur vélo 🚲 pour covoiturer ou pour emprunter le réseau de bus régional liO - Les transports de Ma Région. Des déplacements « à la carte » pour adapter nos #mobilités au changement climatique. #tarn #routes #montarn https://lnkd.in/eTQXw5Er
Travaux routiers sur la RD999 | 🚗 🚛 Le Département offre des routes plus sûres, plus confortables et plus fluides, à l’image de la RD999 qui fait l’objet actuellement de travaux sur la... | By Département du Tarn | Facebook
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technicien de recherche de défauts de câble chez sonelgaz SDE
5 moisMebrouk, malgré et malgré, et surtout bon courage aux gens qui travaillent.