Post de LES AFFICHES D'ALSACE ET DE LORRAINE

Depuis Fontenay-le-Comte, on peut désormais relier Nantes en moins de 2 h en transports en commun La ligne de car « Express » entre Fontenay-le-Comte et La Roche-sur-Yon a été inaugurée ce mercredi 4 septembre, en présence d’une vingtaine de manifestants. Voici ce qu’il faut savoir. D’où vient ce projet ? Il fait suite aux réflexions engagées il y a quelques années par la Région Pays de la Loire autour des transports en commun. Le projet d’une halte ferroviaire aux Velluire-sur-Vendée, sur la ligne La Roche-sur-Yon (Vendée) - La Rochelle (Charente-Maritime) avait été un temps évoqué avant d’être abandonné, au grand dam d’un collectif d’habitants qui se mobilisait pour voir, à nouveau, le train passer à proximité de Fontenay-le-Comte. Début janvier, la présidente de Région Christelle Morançais, en déplacement dans le Sud Vendée, avait expliqué que les études de faisabilité n’avaient pas offert de résultat concluant. Comment peut on être heureux d'une ligne qui ne répond pas du tout à la demande d'un bassin de population. La question n'était pas de relier Fontenay le Comte à la gare de La Roche sur Yon et la gare de Nantes mais créer une attractivité du Sud Vendée pour des étudiants, de nouveaux salariés pour les nouvelles entreprises se créant à Fontenay le Compte et alentours et surtout pour une attractivité touristique ! Aujourd'hui, les touristes s'arrêtent en gares de Niort et La Rochelle et ne peuvent relier le Marais poitevin côté Vendée donc impossibilité de visiter les abbayes du Sud Vendée, les embarcadères vendéens et tous les autres acteurs du territoire sans oublier tout le Sud Vendée autour de Fontenay le Comte. Comment peut on s'appuyer sur des chiffres de remplissage ou de fréquentation d'une gare fermée depuis des décennies ??? Pourquoi la solution du car marcherait mieux ? Surtout que lors de la décision de la non réouverture de la gare de Velluire, 10 jours après, on apprenait la future ouverture de la gare du Puy du Fou reliée à la gare de Cholet. Préfère t on privilégier un parc d'attraction à un bassin de population ? A croire que "oui" et c'est toujours le Sud Vendée qui en pait le prix. #attractivite #dynamisme #bassindemplois #bassindepopulation #nouvellepopulation #economie #emplois #creationdemplois #attractivitetouristique #dynamismetouristique #sudvendee #dynamismesacrifiee https://lnkd.in/eaQKs9Cf

Je participais hier au 3ème Forum de l’ #AxeSeine qui a donné lieu à des échanges très intéressants animés par Bruno Lafosse . J’en retiens trois points majeurs : 1.       La décarbonation des activités de #logistique passe évidemment par un renforcement du recours au fleuve et au transport #fluvial jusqu’au dernier km (IKEA a même commencé à l’utiliser pour livrer Paris intra-muros). Le corollaire doit être un développement de zones et d’entrepôts logistiques en bord de Seine. L’exemple de GREEN-DOCK cité par Patrice Leclerc montre qu’en densifiant, par exemple en construisant en étages, on peut également réaménager et dé-imperméabiliser des surfaces importantes dans ces zones. 2.       Cette volonté de développer le transport fluvial ne doit pas se faire au détriment des autres modes de transports, en particulier ferroviaire (Groupe SNCF). Les liaisons ferrées le long de l’Axe Seine doivent encore être améliorées (SNCF Réseau) et le projet de la LNPL – même s’il ne fait évidemment pas consensus – doit être rapidement engagé. 3.       Ce qui amène à la question de la gouvernance de l’Axe Seine. Comme l'a rappelé avec pertinence Arnaud Brennetot, depuis la nomination d'Antoine RUFENACHT, aucun Gouvernement n’a jamais mis en œuvre une gouvernance puissante de l’Axe Seine, qui soit en mesure construire les infrastructures nécessaires en faisant les arbitrages indispensables. Je suis intervenu pour citer les exemples étrangers, comme celui du fleuve Saint-Laurent entre le Canada et les Etats-Unis et surtout, le Thames Estuary Growth Board au Royaume-Uni, dont le conseil d'administration compte des chefs d'entreprise et des responsables politiques de premier plan : Je crois nécessaire d’associer la sphère privée à la gouvernance d’un tel territoire. Les entreprises sont déjà mises à contribution financièrement (versement transport par exemple) ; elles doivent être aussi associées aux décisions. Bravo à IDELIA et L'Inspiration politique pour l'organisation de ce Forum.

"BreizhGo Express Sud" bientôt sur les rails 🚝 La Région Bretagne et les six intercommunalités de l’axe Quimper-Vannes s’engagent, à travers un protocole de coopération, à franchir une nouvelle étape au territoire, autour de la ligne ferroviaire qui structure les déplacements d’une bonne partie de sa population (900 000 habitants). Les partenaires de cette initiative se sont retrouvés le 6 décembre 2024 en gare de Quimper pour signer officiellement cette coopération. Le GART était présent dans le cadre de cet événement. Cette démarche commune se concrétisera, à partir de la rentrée 2025, par l’ajout de circulations supplémentaires chaque jour, du lundi au vendredi, sur l’axe Vannes-Quimper, et pour certaines jusqu’à Rennes et Nantes, en plus de l’offre existante. Ce saut d’offres permettra de lutter contre l’autosolisme et la congestion quotidienne de l’axe routier de la RN 165. Première étape du projet franchie en septembre 2025 1️⃣7️⃣ circulations TER supplémentaires par jour qui seront proposées aux usagers de l’axe Quimper-Vannes du lundi au vendredi (soit 85 nouvelles circulations par semaine), en plus des 42 TER transitant déjà quotidiennement sur cet axe. Seconde étape à la rentrée 2026 4️⃣ autres circulations TER complèteront ce renfort d’offre pour porter à 21 circulations supplémentaires. ▶️ https://urlr.me/SX624h ◀️ #Ferroviaire #TER #Coopération #ChocOffres #Desserte #Mobilités Auray Quiberon Terre Atlantique / CCA Concarneau Cornouaille Agglomération / Golfe du Morbihan - Vannes agglomération / Lorient Agglomération / Quimper Bretagne Occidentale / Ville de Quimper / Quimperlé Communauté

Le 24 novembre prochain, nous sommes appelés à voter sur l’aménagement 2023 des routes nationales (PRODES), qui comprend six grands projets sur le territoire suisse, dont celui de l’élargissement à trois voies de l’axe du Vengeron à Nyon.   Quels sont ses objectifs ? 1. ✅ Réduire le trafic d’évitement, notamment celui qui affecte les routes cantonales 2. ✅ Éliminer les goulets d’étranglement et les 48'000 heures annuelles de bouchons, tout en améliorant la fluidité du trafic sur les routes nationales 3. ✅ Permettre à chacun de se déplacer à des fins professionnelles ou personnelles et de le faire dans les meilleures conditions possibles 4. ✅ Décharger les communes qui subissent des désagréments, en améliorant la sécurité et la qualité de vie de leurs habitants.   🌟 Un investissement bénéfique pour tous ! En améliorant nos infrastructures routières, la Suisse peut réaliser des économies pouvant atteindre 1,2 milliard de francs par an. Ces gains se traduiront par des temps de transport réduits et des coûts moins élevés pour les produits et les services, avantageant directement les consommateurs.   🌟 Une qualité de vie améliorée ! Il est en erroné de penser que l’extension du réseau routier provoquera une augmentation du trafic. Ce projet contribuera au contraire à le réduire dans les zones les plus sensibles, comme les zones habitées. Les premiers essais démontrent une nette amélioration de la qualité de vie dans ces régions grâce à une circulation plus fluide et moins de congestion.   🤝 Nous sommes tous concernés et la SSE Genève vous appelle à voter « OUI » au PRODES pour une Suisse économiquement prospère et privilégiant la qualité de vie de ses citoyens.

Transport : les trois gros dossiers qui attendent le futur président de Bordeaux Métropole #Bordeaux

[ Événement ] #doubs #besancon Les collectivités locales font leur salon ! Porté par la FRTP BFC et Écorce TP, en lien avec Département du Doubs et les associations de maires ainsi que des partenaires engagés, nous avons à tenu la conférence de presse sur le salon des collectivités locales qui se teindra jeudi 10 et vendredi 11 à Micropolis Besançon Parc Expo Je représentais Christine Bouquin, Présidente du Département du Doubs où j’ai pu présenter nos engagements autour de la thématique retenue : La pluralité des mobilités Pour le département du Doubs les mots d’ordre sont au nombre de 4: ✅ Les mobilités s’additionnent avec une complémentarité des déplacements qui s’adaptent aux territoires. 3700 km de routes départementales pour 30M€ d’investissements, plus de 600km de voies cyclables dont 300 en sites propres et sécurisés, plus de 800 ouvrages d’art à entretenir, mais aussi les réseaux du quotidien (eau, numérique) qui font les mobilités ✅ Nous n’opposons pas les mobilités ✅ Un commande publique forte avec plus de 103M€ en 2023 dont 340 marchés notifiés dont 70% en numéraires effectués dans notre région ✅ Un lien fort à l’investissement avec le bloc communal Un engagement aussi fort 💪 sur l’innovation technologique que les entreprises recherchent en permanence #Engagement

Manifestation ce week-end pour sauvegarder l'environnement contre le projet LGV en Occitanie. La #LGV, qui doit rapprocher #Toulouse de #Paris en 2032, est largement soutenue par les collectivités en #Occitanie. Mais, en Nouvelle-Aquitaine, l'opposition au projet — né dans les années 1990 et relancé depuis 2020 — est ancienne, mêlant élus et parlementaires locaux, habitants, sylviculteurs et viticulteurs. La future ligne doit raccourcir de 73 minutes le trajet en train entre Paris et Toulouse et détourner ainsi des usagers de l'avion. Un embranchement à travers la #forêt landaise doit, lui, rallier Dax à Bordeaux en vingt minutes de moins qu'actuellement et, un jour, permettre des liaisons directes avec l'Espagne. Le président (PS) de la Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, défend un « investissement pour un siècle au moins », censé « sortir » de la route les 10 000 camions qui remontent chaque jour d'Espagne, en libérant les lignes existantes pour le fret. Mais les opposants dénoncent un projet « mortifère », qui conduirait selon eux à l'#artificialisation d'environ 5 000 hectares. Ils prônent une rénovation des lignes existantes pour développer les « trains du quotidien » et critiquent l'imposition d'une taxe spéciale à plus de 2 300 communes, proches du tracé, pour ce chantier « pharaonique » cofinancé par l'État, les collectivités locales et l'Union européenne. https://lnkd.in/eE3wQvyR

Le projet aura coûté 840 milliards : La route qui va désengorger le littoral de Boumerdès El Watan.01/07/2024 Ramdane Kebbabi C’est l’un des plus importants projets structurants dont a bénéficié la wilaya de Boumerdès ces dernières années. D’un montant initial de 600 milliards de centimes, cette route de 11,6 km, qui comprend deux viaducs et une pénétrante vers Figuier, aura finalement coûté 840 milliards de centimes au Trésor public. Un peu plus que le projet de l’hôpital des 240 lits dont les travaux patinent depuis 2012. Son importance réside dans le fait qu’il va désengorger les routes du littoral, très sollicitées durant la saison estivale, ce qui permettra aux automobilistes en provenance d’Alger ou Tizi Ouzou de rallier Figuier, Zemmouri ou Cap Djinet sans passer par la ville de Boumerdès. Après de multiples reports, d’aucuns pensent que la mise en service de cette route interviendra ce 5 juillet, comme annoncé par plusieurs personnes sur les réseaux sociaux. Mais cette information n’a été confirmée par aucune source officielle. Contactée par nos soins, la directrice locale des travaux publics, Feriel Sayoud, évoque l’état d’avancement du chantier, soulignant que la date d’ouverture de la route à la circulation automobile sera annoncée par la wali, Fouzia Naâma. «Je ne saurais vous dire si cela interviendra demain ou la semaine prochaine. Ce qui est sûr est que le tronçon initial est achevé à 100% depuis le mois de mai dernier. Il reste la pénétrante de Figuier dont le taux d’avancement est de 70%», a-t-elle indiqué. Bien que non réceptionné officiellement, l’axe reliant Seghirate et la RN24 vers à la RN05 et Tidjllabine est emprunté chaque jour par des dizaines d’automobilistes. «Cet axe est une énorme bouffée d’oxygène pour nous. Il peut dynamiser l’activité économique et touristique dans toutes les localités de l’est de Boumerdès», estime un habitant de Zemmouri. Très critique, son ami émet des réserves sur la qualité des travaux et prévient contre l’excès de vitesse, notamment au niveau des descentes de Figuier et de D’hous, où la chaussée est inclinée en plusieurs endroits, dit-il. «Il y a aussi l’absence d’éclairage et d'arbres de part et d’autre de la voie. Parfois, on a l’impression qu’on est au Sahara», déplore-t-il en dénonçant la lenteur du rythme des travaux confiés, pour rappel, à un groupement de trois entreprises. Il faut dire que ce projet a buté sur d’énormes contraintes. La directrice de la DTP cite, entre autres, les oppositions de propriétaires terriens, le relief difficile et le passage de réseaux d’AEP, de gaz et d’électricité sur le tracé de la route. Selon elle, cet axe des plus névralgiques sera électrifié dès l’affectation des crédits nécessaires. Pour peu que nos équipements et installations soient préservés contre les actes de vandalisme et de vol, comme ce fut le cas sur la première partie de ce tronçon, a-t-elle conclu.

Le GART a organisé ce jour, à Bordeaux, avec le soutien de Bordeaux Métropole et de la Région Nouvelle Aquitaine un colloque sur les SERM qui a réuni plus de 200 acteurs du transport public et de la mobilité. Régions, autotrites organisatrices de la mobilité locales et particulièrement les métropoles, et opérateurs sont déterminés à élaborer et mettre en œuvre ensemble des politiques de mobilité ambitieuses, plus respectueuses de l'environnement et au service de l'aménagement du territoire et de la lutte contre le réchauffement climatique. Mais une ambition n'est rien sans moyen et il faudra que. sur ce sujet notamment, l'Etat se montre à la hauteur du cap initial qui, comme l'a rappelé Patrice Vergriete, ministre des transports, a été fixé par le Président de la Republique. Pour l'heure, le compte n'y est pas mais le GART reste mobilisé aux côtés de ses partenaires à faire évoluer le modèle économique des AOM pour leur permettre de faire face aux contraintes d'investissements et aux coûts de fonctionnement que générera ce choc d'offres indispensable à un report modal de l'autosolisme vers les transports collectifs et les modes actifs.