#EconomieAméricaine : Une puissance qui ne cesse de surprendre et d'innover.... Alors que les regards se tournaient vers la Chine, prête à déloger l’hégémonie américaine, les États-Unis prouvent une fois de plus leur capacité à se réinventer et à rester au sommet. Aujourd'hui, ils creusent l’écart avec l'Europe, soutenus par une consommation record, une technologie à la pointe, et une énergie abondante qui alimente leur croissance. Ce qui fait leur force ? 👉 La culture de la consommation : Avec une contribution de 73 % au PIB, les Américains sont les plus grands consommateurs de la planète. Cette confiance et cette soif d'innovation leur permettent de diriger l'économie mondiale. 👉 Une innovation sans limite : Des géants de la tech aux startups de la Silicon Valley, l’économie américaine s'appuie sur une culture du risque unique et des universités parmi les meilleures au monde. La DARPA, qui finance des projets audacieux, de l’Internet aux vaccins, est l'exemple même d'une volonté inébranlable de repousser les frontières. 👉 Une indépendance énergétique inégalée : Grâce à l'exploitation du pétrole et du gaz de schiste, les États-Unis sont devenus exportateurs nets de combustibles fossiles. Cette autonomie réduit leur dépendance au marché mondial et attire de nombreuses entreprises à la recherche de coûts énergétiques compétitifs. 👉 Flexibilité et résilience : Le marché du travail flexible, la liberté d’action de la Fed, et une gestion proactive en période de crise permettent à l’économie américaine de rebondir vite et fort. Pendant ce temps, les autres économies peinent à suivre le rythme. 👉 Démographie et fierté nationale : Une population en croissance, attirant talents et idées du monde entier, renforce le dynamisme de cette économie. À cela s’ajoute une fierté nationale qui motive et inspire les Américains, qu’ils soient pour Trump ou Harris. Les États-Unis, loin d'être sur le déclin, montrent qu'ils n’ont jamais été aussi prêts à dominer le futur. Une capacité de résilience hors du commun. #PuissanceAméricaine #InnovationSansLimite #Consommation #Energie #LeadershipMondial #ÉconomieUSA https://lnkd.in/d8fPd4nP
Post de Jean-Marc PELAZZA
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Pourquoi l’économie américaine est plus puissante que jamais Spécial US Élection Il y a quelques années encore, d’aucuns voyaient l’Amérique sur la voie d’un déclin inéluctable, face à la montée de la Chine. Or, la part des États-Unis dans le PIB mondial, loin de s’être rétrécie comme on pouvait s’y attendre, a augmenté depuis les années 1980. Elle est passée de 25 % à 26 % en 2023 quand le poids relatif de l’Europe s’est rétréci de moitié, de 30 % à 17 %, tandis que la Chine bondissait de 3 % à 17 %. #economie #energie #climat #environnement #transition #emplois #travail #croissance #developpement #finance #innover #innovation #investir #investissement #industrie #education #gouvernance #international #geopolitique #population #numerique #ressources #technologies #puissances #management #communication #durable #digital #EtatsUnis #USA
Pourquoi l’économie américaine est plus puissante que jamais
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Je pense que l'élection de Trump signe des temps durs pour l'économie mondiale. Sous forme de protectionisme accru, on verra les trois grands blocs 1️⃣ - Nord US 2️⃣ - Europe 3️⃣ - Chine/Russie se neutraliser à coup d'ajustements économiques et de réactions nationalistes. Un nouvel équilibre commercial international se dessinera sur fond de tensions exacerbées entre des trois là. 💡 Mais le mot 𝗖𝗥𝗜𝗦𝗘 en chinois s’écrit avec deux idéogrammes : 1. 危 (wēi) signifie "𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿" 2. 机 (jī) ne signifie "𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗯𝗮𝘀𝗰𝘂𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁" ou "𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗳". Ainsi à l’opposé des Grands Groupes et des ETI des blocs dominants, 𝘂𝗻 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱'𝗼𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀’𝗲𝗻 𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲𝘀 𝗲́𝗺𝗲𝗿𝗴𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀. Plus petites certes, mais plus flexibles, plus adaptables, moins dépendantes aux flux économiques entre les 3 grands blocs... 👉 dont on sait la main mise avérée des "grands" de ce monde. 🌍 Ce temps là qui arrive est peut être le virage attendu par de nombreux entrepreneurs, pour profiter de nouveaux flux 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀, 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 : - l'Afrique, - l'Amérique Latine et du Sud, - l'Ocean Indien - l'Asie Pacifique. 🆕 Le temps de créer de nouvelles alliances, de prendre de nouvelles habitudes. ➡ Vous verrez, c'est dans ces grands moments de changement que l'on voit émerger des opportunités. Et il faut se tenir prêt car ce n'est qu'un début. 2027 est proche et on verra une réponse au moins à la même hauteur à la prochaine présidentielle française. 🇫🇷 Et pendant que les 3 grands se préparent à des jours plus sombres entre eux, sur fonds de tensions de toute part : - Ukraine/Russie - Moyen Orient - Taïwan (surtout) peut être est il venu le temps, pour nous petits entrepreneurs, de poser le regard ailleurs. Un temps est arrivé. Ni pire, ni meilleur... mais fondamentalement différent. C’est mon avis. Quel est le vôtre ? Qu'en pensez vous ?
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Je suis consterné par cette naïveté connue depuis le début des années 2000. L'interdépendance, c'est en effet LA solution à condition qu'elle ne déséquilibre pas ou ne détruise pas les filières économiques. En Europe, il y a 22 nations interdépendantes qu'il faudrait déjà équilibrer. C'est plus urgent que la standardisation du diamètre du tube d'évacuation des WC! :)) l'interdépendance performante c'est celle qui crée un éco-système économique et social harmonieux. on ne peut pas y inclure les autocrates de toutes nature
💬 « Alors que les événements géopolitiques et économiques des cinq dernières années nous ont fait sortir de la naïveté politique du "doux commerce" qui apaiserait les relations internationales, l'opinion dominante est à présent entrée dans la naïveté économique de l'autonomie de production. » MUST READ : cette tribune de Sarah Guillou, directrice du département Innovation et concurrence de l' OFCE, dans Les Echos. En économie de guerre, la recherche de l’autosuffisance de la Chine à travers le “Made in China by China for China” conduit à un schéma inédit : l’innovation à faible productivité. C’est par la baisse des salaires locaux — une première en 2024 depuis des décennies — que la Chine cherche à compenser le coût économique de son choix stratégique d’autonomie. D’où le caractère durable du ralentissement de son économie aux dépens de sa consommation intérieure. La solution pour tous les dirigeants européens ? Rédiger à l'inverse, pour leur conseil d’administration, une "Déclaration d'interdépendance” qui listera les nouvelles dépendances issues de l’économie de guerre, pour mieux les tourner en interdépendances. C'est la seule manière de concilier à la fois efficacité économique et résilience organisationnelle. Bienvenue en économie de guerre !
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À l’heure où les Américains s’apprêtent à élire leur prochain président, comment évolue la conjoncture aux Etats-Unis ? Quels échos en Europe et pour les entreprises françaises ? RDV le 3 octobre prochain pour la nouvelle édition de « Parlons Economie », votre RDV économique proposé par @BNP Paribas Entreprises
[Invitation] PARLONS ECONOMIE #6, RDV le 03/10/2024 !
banqueentreprise.bnpparibas
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💬 « Alors que les événements géopolitiques et économiques des cinq dernières années nous ont fait sortir de la naïveté politique du "doux commerce" qui apaiserait les relations internationales, l'opinion dominante est à présent entrée dans la naïveté économique de l'autonomie de production. » MUST READ : cette tribune de Sarah Guillou, directrice du département Innovation et concurrence de l' OFCE, dans Les Echos. En économie de guerre, la recherche de l’autosuffisance de la Chine à travers le “Made in China by China for China” conduit à un schéma inédit : l’innovation à faible productivité. C’est par la baisse des salaires locaux — une première en 2024 depuis des décennies — que la Chine cherche à compenser le coût économique de son choix stratégique d’autonomie. D’où le caractère durable du ralentissement de son économie aux dépens de sa consommation intérieure. La solution pour tous les dirigeants européens ? Rédiger à l'inverse, pour leur conseil d’administration, une "Déclaration d'interdépendance” qui listera les nouvelles dépendances issues de l’économie de guerre, pour mieux les tourner en interdépendances. C'est la seule manière de concilier à la fois efficacité économique et résilience organisationnelle. Bienvenue en économie de guerre !
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Pourquoi l’économie américaine est plus puissante que jamais. Tel est le titre d’un passionnant article qu’Armelle Bohineust et Fabrice Nodé-Langlois ont publié dans le Figaro. À quelques jours de leurs élections, on a l’impression que deux Amériques s’affrontent. Mais à regarder de plus près, elles s’opposent surtout sur des valeurs sociétales. Pour le reste, sur ce qui fonde la puissance américaine, les deux camps sont globalement d’accord. Cela leur permet, malgré les alternances, de mener une politique de long terme sur tous les éléments d’intérêt national. Bilan, les États-Unis demeurent la première puissance économique du monde. Et, loin de voir leur étoile se ternir, ils gagnent du terrain sur leurs concurrents. Ainsi, la part des US dans le PIB mondial est passée de 25 % en 1980 à 26 % en 2023. Tandis que l’Europe a chuté de 30 % à 17 %. L’émergence de la Chine s’est donc faite à nos dépens, pas aux leurs. Les auteurs de l’article listent leurs principaux facteurs de réussite. Je retiendrai ceux-ci : - Une capacité d’#innovation exceptionnelle où leur énorme secteur financier (leur ennemi n’étant pas la #finance), appuyé par de l’argent public, sait prendre des risques pour inventer ce qui fera le monde de demain. Eux assument le fait de voir des startups se planter malgré des milliards investis, car cela permet de fabriquer les champions de demain. - Une politique pragmatique sur l’économie en général, notamment sur l’#énergie. Les Américains sont de grands moralisateurs, mais cette morale ne va pas encombrer la performance de leur économie. Ainsi se sont-ils constitués, malgré la pression du monde, un trésor énergétique fait de gaz et de pétrole de schiste. Il leur permet d’offrir une énergie abondante et bon marché aux industriels qui s’y installeraient, et d’en exporter chez nous, qui avons pourtant décidé de ne pas en produire chez nous. - Une recherche systématique de la #simplicité (au risque du simplisme, certes). Leurs dispositifs d’aide publique ne sont pas soumis à mille formalités, critères ou demandes de contreparties : l’IRA, par exemple, vaste politique de subvention à l’industrie, est simple et rapide à activer, bien plus que notre France 2030. L’ensemble de ces éléments a permis à la productivité américaine de progresser beaucoup plus vite que la nôtre : +70 % depuis 1990, contre +29 % en #Europe. Elle est désormais supérieure de 30 % à la notre. L’ensemble de ces éléments crée un cercle vertueux qui fait que, leur système étant gagnant, il attire les investisseurs et les talents du monde. Ils viennent, dans une croissance démographique réelle alors que la population européenne stagne, apporter leur pierre à la croissance du pays. Bref, on adore critiquer ces curieux maîtres du monde. Mais force est de constater que, dans notre snobisme, nous devrions parfois nous demander ce que nous pourrions apprendre d’eux. Car, ces dernières décennies, ils nous ont mis loin derrière. On continue ? Par Laurent Moisson
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L’article d’Armelle Bohineust et Fabrice Nodé-Langlois nous rappelle une réalité incontournable : l’économie américaine ne se limite pas à ses grandes entreprises, mais repose également sur un écosystème dynamique composé de PME et d’ETI qui sont les véritables moteurs de l’innovation. Ce modèle est particulièrement pertinent pour nous dans le contexte européen et plus spécifiquement dans l’industrie. Les PME et ETI représentent un potentiel d’innovation immense. À l’image des start-ups américaines, elles sont agiles, capables de se réinventer et de s’adapter rapidement aux évolutions du marché. Leur taille leur permet de prendre des risques calculés, d’expérimenter de nouvelles technologies et d’explorer des niches de marché que les grandes entreprises, souvent plus lourdes, hésitent à investir. En effet, la capacité d'innovation ne se concentre pas uniquement dans les mains de quelques grands groupes. En Europe, des milliers de PME et ETI, par leur esprit entrepreneurial et leur approche centrée sur le client, sont également en mesure de concevoir les solutions de demain. Elles peuvent non seulement répondre à des besoins spécifiques, mais aussi anticiper les tendances d’avenir, comme l'intégration de l’intelligence artificielle dans leurs processus. Cette démarche proactive est essentielle pour maintenir notre compétitivité face aux géants du marché. De plus, il est crucial de mentionner que la stratégie américaine, qui encourage l’innovation via des investissements en capital-risque soutenus par une politique de subventions agile, pourrait servir de modèle pour nos propres initiatives. La simplification des processus d’aide publique, par exemple, permettrait à nos PME d’accéder plus facilement aux ressources nécessaires pour innover. La capacité de ces entreprises à attirer des talents et à stimuler l’économie locale est également un point à ne pas négliger. En créant des environnements favorables à l’innovation, nous avons l’opportunité de bâtir un cercle vertueux d'excellence et de créativité. En conclusion, loin d'être des acteurs marginaux, les PME et ETI doivent être perçues comme des pivots essentiels de l’innovation et du dynamisme économique. Il est primordial d’explorer les leviers qui pourraient renforcer leur rôle dans notre tissu industriel, afin de saisir pleinement le potentiel qu’elles offrent, à l’image de leurs homologues américains. #PME #PMI #ETI #FFI #NUMERIQUE
Pourquoi l’économie américaine est plus puissante que jamais. Tel est le titre d’un passionnant article qu’Armelle Bohineust et Fabrice Nodé-Langlois ont publié dans le Figaro. À quelques jours de leurs élections, on a l’impression que deux Amériques s’affrontent. Mais à regarder de plus près, elles s’opposent surtout sur des valeurs sociétales. Pour le reste, sur ce qui fonde la puissance américaine, les deux camps sont globalement d’accord. Cela leur permet, malgré les alternances, de mener une politique de long terme sur tous les éléments d’intérêt national. Bilan, les États-Unis demeurent la première puissance économique du monde. Et, loin de voir leur étoile se ternir, ils gagnent du terrain sur leurs concurrents. Ainsi, la part des US dans le PIB mondial est passée de 25 % en 1980 à 26 % en 2023. Tandis que l’Europe a chuté de 30 % à 17 %. L’émergence de la Chine s’est donc faite à nos dépens, pas aux leurs. Les auteurs de l’article listent leurs principaux facteurs de réussite. Je retiendrai ceux-ci : - Une capacité d’#innovation exceptionnelle où leur énorme secteur financier (leur ennemi n’étant pas la #finance), appuyé par de l’argent public, sait prendre des risques pour inventer ce qui fera le monde de demain. Eux assument le fait de voir des startups se planter malgré des milliards investis, car cela permet de fabriquer les champions de demain. - Une politique pragmatique sur l’économie en général, notamment sur l’#énergie. Les Américains sont de grands moralisateurs, mais cette morale ne va pas encombrer la performance de leur économie. Ainsi se sont-ils constitués, malgré la pression du monde, un trésor énergétique fait de gaz et de pétrole de schiste. Il leur permet d’offrir une énergie abondante et bon marché aux industriels qui s’y installeraient, et d’en exporter chez nous, qui avons pourtant décidé de ne pas en produire chez nous. - Une recherche systématique de la #simplicité (au risque du simplisme, certes). Leurs dispositifs d’aide publique ne sont pas soumis à mille formalités, critères ou demandes de contreparties : l’IRA, par exemple, vaste politique de subvention à l’industrie, est simple et rapide à activer, bien plus que notre France 2030. L’ensemble de ces éléments a permis à la productivité américaine de progresser beaucoup plus vite que la nôtre : +70 % depuis 1990, contre +29 % en #Europe. Elle est désormais supérieure de 30 % à la notre. L’ensemble de ces éléments crée un cercle vertueux qui fait que, leur système étant gagnant, il attire les investisseurs et les talents du monde. Ils viennent, dans une croissance démographique réelle alors que la population européenne stagne, apporter leur pierre à la croissance du pays. Bref, on adore critiquer ces curieux maîtres du monde. Mais force est de constater que, dans notre snobisme, nous devrions parfois nous demander ce que nous pourrions apprendre d’eux. Car, ces dernières décennies, ils nous ont mis loin derrière. On continue ? Par Laurent Moisson
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« Les acteurs mondialisés assument désormais une forme d’indépendance, d’émancipation, par rapport aux doctrines des Etats. Ils jouent de plus en plus sur plusieurs tableaux. » L’autre partie du monde, c’est surtout la Chine. Pékin reste le principal partenaire commercial planétaire. Impossible de s'en passer. Plus d'un tiers des entreprises prévoient d'accroître leur présence au pays de Xi Jinping en 2024. « Se couper du business avec l’Iran, la Russie, c’est absorbable. Mais pas avec la Chine. Elle est au cœur des relais de croissance et des chaînes de production. Sans compter sur les pays faisaient allégeances à Pékin.» L’invasion de Taïwan par Pékin ferait office de révélateur. La majorité des entreprises s’aligneraient-elles sur la politique américaine ou opteraient-elles pour une doctrine aussi vieille que la pensée économique : business as usual ?
Alignement ou indépendance : les entreprises face à la nouvelle mondialisation
challenges.fr
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ÉCONOMIE : les États-Unis, premier producteur de milliardaires Avec plus de 800 milliardaires, les Etats-Unis, dépassent de loin la Chine (environ 400) et l’Inde (environ 200). Plus saisissant encore, les 20 premières fortunes américaines représentent 2 700 milliards de dollars ! Le PIB de la France s’estime à 3 000 milliards de USD. Et, la fortune de l’ensemble des milliardaires américains s’élève à 5 700 milliards de dollars : s’ils formaient un pays, il serait le troisième pays le plus riche au monde devant l’Allemagne ! Enfin, le secteur de la technologie est le principal contributeur de la production de milliardaires aux USA. À ce titre, ne faudrait-il pas en Europe et en France un eco-système plus dynamique et une administration moins lourde pour les entreprises innovantes ? Probablement le plus important : ne faudrait-il pas éduquer à la prise de risque dans les universités et les écoles ? #USA #France #Musk #Bezos #Gates #Buffet #Zuckerberg #Technologie #Milliardaires
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La Chine est en pleine transformation. Voici 7 infos qui font bouger la Chine (et peut-être votre business aussi) 👇 1️⃣ La dette à 10 000 milliards pour soutenir l’économie 🇨🇳💰 En ce moment, la Chine s’apprête à approuver plus de 10 000 milliards de yuans de dette pour relancer son économie. Un signal fort… ou le signe d’une fragilité structurelle ? 2️⃣ Investissements chinois gelés dans l’UE 😬 La Chine a dit à ses constructeurs automobiles de freiner les investissements dans les pays de l’UE appliquant des taxes jusqu’à 45 % sur les véhicules électriques chinois. Une guerre économique sur fond de transition verte ? 3️⃣ Alibaba et les licenciements dans le métavers 🚀😳 Alibaba réduit ses ambitions dans le métavers, licenciant des dizaines d’employés dans sa division Yuanjing. Une tendance mondiale : les géants de la tech réallouent leurs ressources. Fini le "buzz" du métavers ? 4️⃣ Les milliardaires chinois en chute libre 📉 Le nombre de milliardaires en Chine baisse pour la troisième année consécutive, avec une perte de 432 super-riches depuis 2021. Recalibrage économique… ou début de la fin pour l’élite chinoise ? 5️⃣ Des slogans dépassés pour relancer les mariages ? 💍 Une "rue culturelle" dédiée au mariage a vu le jour à Changsha, mais avec des slogans controversés comme « Avoir trois enfants, c’est le top ». La réaction en ligne est sans appel : les temps changent, et ces messages passent mal. 6️⃣ Population vieillissante, le besoin d’ascenseurs s’intensifie 🛗 Environ 250 000 bâtiments à Shanghai attendent des ascenseurs pour faciliter la vie des seniors… mais seulement 3 001 ont été installés cette année. Le vieillissement de la population fait pression sur les infrastructures. 7️⃣ Les femmes chinoises plus diplômées que leurs maris 👰♀️ Une étude montre que les femmes nées après 1990 sont souvent plus éduquées que leurs conjoints. Résultat ? Elles choisissent souvent de limiter le nombre d’enfants. Une révolution sociétale en marche. Quelles implications pour vous ? La Chine bouge, et ce sont des changements qui touchent tous les secteurs, du tech à l’automobile, en passant par les politiques familiales. La question : comment votre entreprise s’adapte-t-elle aux transformations d’un géant en pleine réinvention ? 👉 Partagez vos réflexions en commentaires : Lequel de ces points vous interpelle le plus ? #chine #asie #business
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