Post de Monet | Groupe CEETADEL

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Communiqué de presse #BlackFriday : Une pratique potentiellement trompeuse qui peut fragiliser les petits commerces La Confédération des commerçants de France (CDF) exprime sa préoccupation concernant certaines pratiques observées à l'occasion du Black Friday. Bien que cette opération promotionnelle puisse être une opportunité pour certains consommateurs et commerçants, elle s'accompagne parfois de mécanismes susceptibles de porter préjudice à l'équilibre économique local. Le Black Friday, promu par de nombreuses grandes enseignes et plateformes en ligne, repose sur des stratégies commerciales qui, lorsqu'elles sont mal encadrées, peuvent induire en erreur les consommateurs. La CDF met en garde contre plusieurs dérives potentielles du Black Friday, notamment des remises basées sur des prix de référence artificiels, des stocks spécifiques de moindre qualité proposés à prix cassés, et des opérations à sacrifices ponctuels dissimulant des profits massifs à long terme. Ces pratiques peuvent créer une concurrence déloyale envers les petits commerçants, qui ne peuvent se permettre des réductions massives sans mettre en péril leur viabilité. Pierre Bosche, Président de la CDF, souligne : « Le Black Friday, c'est parfois l'illusion d'une bonne affaire, mais cela peut se traduire par une concurrence déloyale. Il est temps de mieux protéger nos petits commerçants, qui font vivre nos territoires. » Face à cette situation, la CDF appelle à une stricte application de la #directive (UE) 2019/2161, dite #Omnibus pour garantir des pratiques transparentes et la fin des prix de référence trompeurs. Elle encourage également les consommateurs à adopter une démarche réfléchie et à soutenir les commerces locaux, essentiels pour la vitalité de nos centres-villes. La CDF insiste sur l'importance de privilégier des achats qui reflètent des valeurs durables et solidaires, dans le but de promouvoir un commerce équitable et transparent. Fédération Nationale de l'Habillement Fédération Nationale des Détaillants en Maroquinerie et Voyage Culture Presse Fédération des Buralistes PARIS IDF Les Buralistes Union nationale des entreprises de coiffure SECI Officiel Syndicat National du Commerce de l’Antiquité, de l’Occasion et des Galeries d’Art (SNCAO-GA) UCIAP 7 officiel Confédération Nationale des Détaillants en Lingerie - CNDL ACCORD BIO GHR SDI (Syndicat des Indépendants et des TPE) Syndicat de la librairie française CSEDT Comité Professionnel des Galeries d'Art (CPGA)

Si on était resté murés, chacun dans sa surprise, on ne serait pas là où on est aujourd'hui. Quand en Mars 2020, on nous a annoncé le lockdown de New York City Et donc la fermeture forcée du restaurant 𝗢𝗖𝗮𝗯𝗮𝗻𝗼𝗻 et de la boutique French Wink, on n'a pas pris le temps de se laisser submerger, Nous n'avons pas cédé au découragement. Avec Myline DESCAMPS, nous avons complètement repensé le business model, qui jusque-là était centré sur notre développement retail. ''𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗼𝘂 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀'' ➜ voilà ce qu'on s'est dit pour donner vie à une idée qui germait depuis des années: la marketplace digitale 𝗳𝗿𝗲𝗻𝗰𝗵𝘄𝗶𝗻𝗸.𝗰𝗼𝗺 ➜ voilà ce qu'on a dit à nos partenaires Armel JOLY et Alexandre Mur, propriétaires de Ocabanon, qui nous ont fait confiance, nous permettant de mettre en ligne toute leur épicerie. Ils ont troqué leurs costumes de restaurateurs pour devenir livreurs, traversant l’État de New York et du New Jersey - en pleine pandémie mondiale - pour livrer à nos clients leurs farines Francine et leurs sirops Teisseire. 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲𝘃𝗼𝗻𝘀 𝗯𝗲𝗮𝘂𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗹𝗲𝘀 𝘂𝗻𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀. Je n'ai pas les chiffres exacts, Mais nombreux sont les business français aux USA 🇺🇸 qui n'ont pas survécu à la Covid. Il est clair que ce qui nous a sauvé, c'est notre capacité à nous être adaptés. Ensemble. Je finirais sur les mots de Caroline Mignaux: ''𝗟𝗮 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗮𝗯𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗾𝘂’𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗶𝗱𝗲́𝗲, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗲 𝗴𝗮𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲𝘀'' ------- Si tu me découvres, je suis Franco-Américaine, Expatriée depuis 13 ans à NYC. Avec French Wink, nous avons créé une marketplace multivendor et multisector unique pour: • 𝗕𝟮𝗕: les marques et entreprises françaises souhaitant grandir sur le marché américain. • 𝗕𝟮𝗖: les américains amoureux de la France, sa culture et son savoir-faire. ➜ 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗼𝘆𝗲́ 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝟭𝟭,𝟬𝟬𝟬𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 🇺🇸

𝗟𝗲 𝘃𝗿𝗮𝗶 𝘃𝗶𝘀𝗮𝗴𝗲 𝗱𝘂 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆 : 𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘅𝗲 ! Le 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆, ce fameux vendredi où l’on se ruait sur les bonnes affaires après Thanksgiving, a des origines bien plus sombres qu’on ne le croit. 🛍️ Tout a commencé bien avant les soldes de fin d’année… En 1869, le terme "𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆" était déjà utilisé, mais pas pour décrire un jour de shopping. Il faisait référence à un krach boursier énorme causé par deux financiers de Wall Street, Jay Gould et Jim Fisk, qui avaient essayé de manipuler le marché de l’or. Leurs plans ont échoué, et le marché s’est effondré, ruinant tout le monde, des grandes fortunes de Wall Street aux fermiers. Ensuite, une version plus populaire de l’histoire raconte que les commerçants, après une année dans le rouge (comptablement parlant), retrouvaient enfin des bénéfices ("passaient dans le noir") grâce aux achats du Black Friday. C’est cette version qui a fait son chemin, mais elle est un peu simplifiée et ne reflète pas la réalité complète. Il existe aussi une autre légende, un peu plus choquante, qui affirme que les propriétaires de plantations du Sud achetaient des esclaves à prix réduit ce jour-là. Heureusement, cette histoire est totalement fausse. En réalité, le terme "𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆" est né dans les années 50 à Philadelphie, quand la police a utilisé ce terme pour décrire le chaos du vendredi après Thanksgiving. Des milliers de touristes et de consommateurs envahissaient la ville avant le match de football Army-Navy. Les policiers devaient travailler des heures supplémentaires pour gérer la foule et les vols à l’étalage. 🙄 En 1961, les commerçants de Philadelphie ont essayé de rebaptiser ça "Big Friday" pour enlever les connotations négatives, mais le terme est resté local. Ce n’est qu’à partir des années 80 qu’il a gagné en popularité et a été réinventé pour signifier la journée où les magasins passent "du rouge au noir", symbolisant leur rentabilité. Aujourd’hui, le 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆 est devenu un événement qui dure plusieurs jours, avec des événements comme le Small Business Saturday et le Cyber Monday. Les magasins ouvrent de plus en plus tôt, et les plus motivés peuvent même faire leurs courses dès la fin du repas de Thanksgiving ! Alors, la prochaine fois que vous partirez en quête de bonnes affaires, souvenez-vous des véritables origines de ce fameux 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗙𝗿𝗶𝗱𝗮𝘆. 😎 #BlackFriday #Histoire

💎 Jour 2 des "Retail faux pas" à éviter en boutique et surtout voici LA solution pour augmenter votre chiffre d'affaire ! (Grosse surprise à la fin de ce post) Swipez le carrousel du jour pour ne plus dire de phrases robotisées et sans âme. 🌟 Vous êtes prêts ? C'est parti ! 🎁 JEU CONCOURS !!! Lisez bien les conditions. Un panier gourmand d'une valeur de 50€ (très gourmand) sera envoyé à l'un d'entre vous le 26 décembre. Comment participer : 👉 1 commentaire + 1 like = 1 chance 👉 1 commentaire + 1 like + 1 republication = 3 chances 1 commentaire par post sera comptabilisé (pour éviter les commentaires "pauvres", l'objectif étant d'avoir des commentaires intéressants 🙏). Le tirage au sort (main innocente) sera filmé et partagé sur ma page le 26 décembre. ❓ Répondez à la question du carrousel qu'on puisse échanger sur le sujet ! 💎 Alex-Elance | Formatrice certifiée en excellence client et vente 💎 J'aide les équipes de vente à faire la différence et à Exceller au quotidien en transformant chaque interaction en un service client unique ! 💎 J'ai tissé un partenariat avec métaForma, organisme de formation certifié Qualiopi, ce qui rend mes formations éligibles aux financements publics et mutualisés.

Bonjour cher réseau, j’espère que vous allez bien ! Vous me connaissez bien maintenant, vous savez que mon objectif est de défendre notre métier qui est la communication mais également la publicité et comment vous dire quelle a été ma surprise hier lorsque mon commerçant de quartier m’a fait la promotion d’un nouveau chocolat appelé “Dreamy”, qui se prétend être le nouveau produit, d’el Mordjene. Dès lors qu’il a prononcé El Mordjene, j’ai de suite compris qu’il y avait un soucis, parce que ceux qui s’approvisionnent chez le distributeur au lieu de se fournir chez le grossiste savent que l’entreprise ne s’appelle pas El Mordjene mais Cebon.dz, j’ai donc jeté un coup d’oeil à l’étiquette qui nous informe de manière claire que le produit est fabriqué par par la SARL Dreamy, située à Hatatba, et non par la SARL CEBON basée à Fouka (j’ai vérifié, les deux adresses ne sont pas les mêmes). Cette situation soulève des préoccupations en matière de conformité du produit et de communication responsable. Mon commerçant de quartier m’a expliqué que c’est sur Tiktok qu’il avait su que c’était fabriqué par “El Mordjene”, je suis partie vérifier et effectivement j’ai vue je ne sais combien de vidéo qui présentaient la marque sous l'emblème d’el Mordjene. Il s'agit là d'un exemple clair de publicité trompeuse, qui pourrait non seulement affecter la réputation des marques concernées mais aussi tromper les consommateurs sur l’origine et la qualité des produits. Si ces pratiques se normalisent, cela pose des questions sur l’authenticité des informations communiquées au grand public et sur la responsabilité du distributeur, du grossiste, du point de vente ...etc. J'appelle donc Cebon.dz a nous confirmer ou infirmer cette information. #communication #transparence #éthique #Tiktok #DZ

Savez-vous combien coûtait un store banne motorisé il y a 30 ans ? On plonge en 1998. L'époque où l'internet grésillait encore sur les lignes téléphoniques et où l'euro n'était qu'une idée en gestation. C'est là qu'on découvre un document fascinant : un bon de commande pour un store banne datant du 21 mars 1998 (qu'un client nous a récemment envoyé) Imaginez, vous voulez équiper votre terrasse pour en faire un havre de paix. Vous consultez les tarifs chez un storiste de l'époque et... suspense. Gardons le mystère encore un peu... Avançons dans le temps. Aujourd'hui, les choses ont bien évolué : la technologie, les modes de vie, et bien sûr, les prix. On discute souvent de l'inflation, mais c'est en confrontant les chiffres qu'on mesure le véritable impact. Alors, quel était le prix à l'époque ? Ce store banne motorisé, vendu pour 13 650 francs en 1998, représenterait environ 2080 euros avec le taux de conversion de l'époque (et pose comprise). Et de nos jours, pour un produit similaire, coute entre 3 000€ et 4 500€ sans la pose. C'est une augmentation significative, certes, mais c'est aussi le reflet de notre évolution économique et de la valeur que nous accordons à notre confort et notre cadre de vie. Ce petit voyage dans le temps nous offre une perspective unique sur notre pouvoir d'achat et sur les changements qui ont façonné notre société. Mais qui se rappelle réellement des tarifs pratiqués à l'époque ??? Curieux d'avoir vos retours 👇

🎁 L'essor des cartes-cadeaux locales et leur impact sur le commerce de proximité Les cartes-cadeaux ne sont pas seulement un choix de cadeau pratique, elles jouent aussi un rôle crucial dans le soutien aux commerces locaux. Comment peuvent-elles transformer les fêtes de fin d'année et soutenir vos commerçants préférés ! 🔎 Curieux d'en savoir plus ? Découvrez dans l’infographie ci-dessous des chiffres clés sur la popularité croissante des cartes-cadeaux, leur impact économique sur l'économie locale et les perspectives d’évolution. 📩 Rejoignez le mouvement ! Découvrez comment Proxity peut vous aider à mettre en avant le commerce local avec des cartes cadeaux 👉https://lnkd.in/eSGKAjFa #CartesCadeaux #CommerceLocal #EconomieDeProximité #Infographie #Proxity