🌍 Plus de 40.000km autour du monde, sans escale ni assistance. C'est ce qui attend les skippeurs sur ce nouveau départ du Vendée Globe. Les skippers partent des Sables d’Olonne, puis direction l’océan Indien via l’Atlantique, avant de plonger dans le Pacifique avant de remonter l’Atlantique. Ça parait simple, dis comme ça ! Mais ce périple passe par trois caps légendaires : Bonne Espérance, Leeuwin, et Horn, et ce n’est pas juste une ligne droite : les marins doivent affronter des zones clés comme le Pot au Noir (un cauchemar de calmes et d’orages près de l’équateur), le Cap Horn avec ses tempêtes du Grand Sud, et enfin l’anticyclone des Açores en dernière ligne droite. Naviguer ici, c’est une succession de zigzags, d’adaptations, où chaque trajectoire peut faire la différence. Prêts pour l’aventure ? #VendéeGlobe #VendéeGlobe2024
Post de Nouchka Simic
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[NEIGE EN MONTAGNE] Connaissez-vous la piste de l'Escargot? "12 kilomètres de descente accessibles aux débutants. C'est la promesse de l'Escargot, la piste verte la plus longue d'Europe... Une piste créée par Napoléon ? Pas de ski alpin, ni de stations à l’époque de Napoléon. Mais si la piste de l’Escargot existe aujourd’hui, c’est grâce aux travaux menés dans les Alpes par l’empereur au début du XIXe siècle. Car l’hiver, la piste emprunte la route du col du Mont-Cenis, achevée par Napoléon en 1810 et baptisée à l’époque route impériale. D’impériale à départementale (la RD1006 aujourd’hui), cette route permet l’été, quand il n’y a pas de neige, de relier la France et l’Italie à plus de 2000 mètres d’altitude. Pour permettre la circulation de poids lourds en montagne, il faut une pente douce et une voie large (20 mètres en moyenne). C’est pourquoi quand arrive l’hiver, l’Escargot devient un terrain de jeu facile pour les skieurs."
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Philippe Delamare gardera-t-il ses chevaux jusqu'à la fin? 👇 Alors que nous avons passé notre temps à observer la météo autour du cap Horn, nous n'avons pas beaucoup parlé de Philippe Delamare en première position sur Mowgli. La raison en est qu'il navigue dans une étendue d'eau très "prévisible" avec des vents constants. Même le skipper français a mentionné dans un blog récent combien le temps semble s'étirer car cela ressemble à des vacances trop longues. La navigation dans les alizés, après toute l'excitation, peut en fait devenir un peu ennuyeuse, surtout si vous avez navigué plus de 20 000 miles! Philippe n'est plus qu'à 2700 miles de la ligne d'arrivée. Il n'a pas été affecté par les calmes équatoriaux et progresse au nord à une vitesse constante stable. Cependant, dans environ 3 jours il devra retourner au travail avec ses vacances d'alizés sur le point de se terminer. Tout comme dans l'Atlantique Sud nous avions les latitudes des chevaux et la haute pression de Sainte-Hélène, dans l'Atlantique Nord nous trouvons une zone de transition autour des tropiques et une haute pression qui est appelée la haute des Açores, ou si vous êtes américain, la haute des Bermudes. Tout comme dans l'hémisphère sud, l'anticyclone tourne autour de l'Atlantique, parfois il fusionne avec les vents légers des latitudes des chevaux parfois il est clairement séparé. Au nord, nous avons le carrousel de dépression originaire du continent nord-américain et se dirigeant, à cette période de l'année, vers l'Europe. Philippe devra négocier cette transition et trouver le trajet le plus rapide vers l'arrivée, ce qui implique souvent de traverser la bande de vents légers et de se raccrocher à une basse pression, très similaire à la façon dont les skippers ont navigué vers le sud jusqu'à Tristan da Cunha avant de tourner vers l'est. C'est le dernier tronçon potentiellement très lent pour Philippe avant de se diriger vers A Coruna. Une fois au nord des calmes tropicaux, les vents d'est ou de nord-est sont absolument hors saison et presque tous les vents viendront d'un secteur favorable sauf pour les anomalies. #globalsolochallenge https://lnkd.in/dj-Zc7UV
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Faisons le maximum de bruit pour Sam Goodchild et Team for the Planet pendant les 14 semaines à venir!! Parceque quoi qu’en disent les climatosceptiques, there is no planet b 🌍 Et si en plus du bruit vous voulez investir dans le climat, suivez le lien https://lnkd.in/gTDGUvTW
Pendant 75 jours, il va parcourir 45 000 km autour du monde, seul en mer, sans escale, face à des conditions extrêmes, tout en portant la cause climatique et Team for the Planet (sans que ça ne coûte un euro à TFTP) ! 🌎 💪 Le 10 novembre prochain, 40 bateaux et skippers prendront le départ du mythique Vendée Globe. Parmi eux, Sam Goodchild, skipper engagé, qui met sa notoriété au service du climat. Être skipper aujourd'hui, c'est bien plus que naviguer ! Sam doit aussi répondre aux sollicitations de ses sponsors et de la presse, tout en gérant des journées éprouvantes avec parfois seulement 4h de sommeil. Il a besoin de notre soutien pour donner le meilleur de lui-même. Les Jeux de Paris 2024 l’ont prouvé : l'énergie et le soutien du public sont des leviers décisifs pour les sportifs ! Ça tombe bien, on vous offre la possibilité de venir l'encourager en live et de vivre un moment unique ! Orchestré par le projet Vulnérable, ça va se passer du 8 au 10 novembre 2024, aux Sables d’Olonne. Ensemble, encourageons Sam et donnons de la force au climat 🙂 🌱 👉 Pour découvrir le programme complet : https://lnkd.in/dcETAje9 👉 Pour réserver vos places : https://lnkd.in/dn78wNQF 🚩 Ne tardez pas à réserver, le nombre de places est limité ! 🙏 Alexandre Fayeulle I Sylvain Derreumaux I Advens I Madeleine Dauthuille I TR Racing © Pierre Bouras
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A suivre
Pendant 75 jours, il va parcourir 45 000 km autour du monde, seul en mer, sans escale, face à des conditions extrêmes, tout en portant la cause climatique et Team for the Planet (sans que ça ne coûte un euro à TFTP) ! 🌎 💪 Le 10 novembre prochain, 40 bateaux et skippers prendront le départ du mythique Vendée Globe. Parmi eux, Sam Goodchild, skipper engagé, qui met sa notoriété au service du climat. Être skipper aujourd'hui, c'est bien plus que naviguer ! Sam doit aussi répondre aux sollicitations de ses sponsors et de la presse, tout en gérant des journées éprouvantes avec parfois seulement 4h de sommeil. Il a besoin de notre soutien pour donner le meilleur de lui-même. Les Jeux de Paris 2024 l’ont prouvé : l'énergie et le soutien du public sont des leviers décisifs pour les sportifs ! Ça tombe bien, on vous offre la possibilité de venir l'encourager en live et de vivre un moment unique ! Orchestré par le projet Vulnérable, ça va se passer du 8 au 10 novembre 2024, aux Sables d’Olonne. Ensemble, encourageons Sam et donnons de la force au climat 🙂 🌱 👉 Pour découvrir le programme complet : https://lnkd.in/dcETAje9 👉 Pour réserver vos places : https://lnkd.in/dn78wNQF 🚩 Ne tardez pas à réserver, le nombre de places est limité ! 🙏 Alexandre Fayeulle I Sylvain Derreumaux I Advens I Madeleine Dauthuille I TR Racing © Pierre Bouras
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Une tempête a cap Horn souffle sur la Arkea Ultim, OGR et GSC 👇 Un énorme système de basse pression se prépare près du Cap Horn et devrait frapper le Chili dans moins de 48 heures. Les prévisions annoncent des vents entre 50 et 70 nœuds et une mer très dangereuse. La prévision n'est pas passée inaperçue et, compte tenu qu'il y a 3 événements autour du monde qui se déroulent en même temps, la nouvelle fait la une de tous les médias. La gravité de la prévision est telle que Charles Caudrelier, le skipper du gigantesque trimaran Gitana Team participant à l'Arkea Ultim, a dû mettre en pause son approche du Horn, déclarant que c'est la première fois que cela se produit dans toute sa carrière de navigation. Dans l'Ocean Globe Race, les bateaux de tête PenDuick VI et Translated9, qui ont tous deux croisé Andrea Mura sur Vento di Sardegna hier, sont les deux bateaux qui pourraient se rapprocher le plus des vents forts qui vont serrer le long de la côte chilienne pour apporter un temps très lourd. Actuellement, il ne semble pas que les bateaux de l'Ocean Globe Race aient reçu un avertissement de tempête, mais je peux me tromper. Dans le Global Solo Challenge, où les skippers ont accès à des informations météorologiques via une connexion satellite, trois skippers sont intéressés par cette évolution météorologique, Andrea Mura sur Vento di Sardegna, François Gouin sur Kawan3 Unicancer et Riccardo Tosetto sur Obportus. Selon les prévisions actuelles, il semblerait qu'Andrea Mura pourrait choisir de ralentir et de rester à l'écart du pire des vents et des vagues en se dirigeant vers le sud-est. François Gouin, plus en arrière, pourrait en réalité ne pas avoir besoin de ralentir pour atteindre la même position. Riccardo Tosetto devra négocier les vents au nord et décider combien de cette tempête il veut vivre. Nous suivrons de près. Restez à l'écoute. #globalsolochallenge https://lnkd.in/g4tHeSBb
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Le Vendée Globe, une aventure extraordinaire, remplie de risque, d'émotion et d'impact. Dans un mois, depuis les Sables d’Olonne, 40 skippers de la classe IMOCA prendront le large pour un tour du monde en solitaire, sans escale ni assistance. Le Vendée Globe, c’est bien plus qu’une simple course. C’est un défi humain exceptionnel. Les skippers, leurs bateaux, et l’immensité de l’océan. Une aventure où chaque instant est marqué par le risque, l’émotion et l’impact. Chez Tolrip, ces valeurs nous sont chères et nous les partageons. Le risque est toujours présent: accident, collision ou avarie. Depuis 20 ans, nous avons le privilège d’accompagner les teams et les skippers de la classe IMOCA, en assurant les bateaux contre tous ces aléas. Notre mission ? Protéger ceux qui osent affronter ces dangers pour repousser leurs limites. L’émotion fait également partie de l’aventure. Comment oublier l’incroyable moment en 2020 où Jean Le Cam a sauvé Kevin Escoffier en pleine mer ? La course au large, c’est une aventure humaine d’une intensité unique, où chaque skipper vit des moments de doute, de bravoure et de solidarité qui nous inspirent. Enfin, l’impact. Beaucoup de ces marins ne se contentent pas de naviguer, ils sont porteurs de projets engagés pour la protection des océans, le climat, et des causes sociétales. Leur course dépasse le cadre sportif et porte un véritable message. Je suis fier que Tolrip puisse contribuer, à sa manière, à la réussite de cette aventure hors du commun.
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Spis déchirés : « il y a du boulot ! » La flotte du Vendée Globe glisse ce matin entre l’archipel des Açores, dans son nord, et celui des Canaries au Sud. Le vent, fort et instable depuis mardi soir, commence à faiblir tout en restant instable. Ses soucis techniques réparés, le skipper Fives Group – Lantana Environnement a pu accélérer à nouveau hier après-midi… avant que ses spis ne le lâchent, l’un après l’autre. Mais Louis, lui, ne lâche rien ! Hier après-midi, dans une brise encore soutenue, Louis avait renoué avec de belles vitesses moyennes, jusqu’à ce que son petit spi ne se déchire. Une voile de 2023, pas abîmée à priori : « il y avait peut-être un petit accroc », suppose le marin. J’ai passé 2h, arrêté, à tout ramasser Qu’à cela ne tienne, Louis a aussitôt envoyé son grand spi ! Mais, dans la nuit, cette grande et puissante voile d’avant a explosé dans une rafale. « J’ai passé 2h arrêté à tout ramasser, les morceaux dans l’eau, dans la dérive et en l’air. Tout est à bord, les drisses et le bout-dehors n’ont pas bougé. Depuis, le vent a tourné, avec des grains. J’ai passé la nuit sous gennaker : ça n’allait pas si mal. Le petit spi est réparable : il y a du boulot ! » Une avarie par jour, c’est le lot… Ces contraintes techniques sont le lot quotidien des coureurs au large. Plusieurs autres concurrents ont eux aussi eu des déboires… L’important est de réussir à composer avec autant que possible, pour poursuivre la course, le voyage, l’aventure à partager. Se battre quoiqu’il arrive : c’est certain ! A 7h ce matin, le skipper Normand pointe en 30e position, 8e des bateaux à dérives à 70 milles (140 km) du premier. Une fois encore, il s’agit d’un tour du monde, de trois mois de course non-stop, H24, 7j/7. L’essentiel est de pouvoir se battre jusqu’au bout ! Partir seul à la voile autour du monde est forcément synonyme d’imprévus, voire d’imprévisible. Mais s’il y a une chose dont on peut être certains, c’est que tant qu’il y aura des solutions à imaginer (et Louis a beaucoup d’imagination) pour réparer et continuer sa course, il les mettra en œuvre ! C’est là tout le piment de cette circumnavigation qui doit être sans escale et sans assistance. Fives #lantanaenvironnement Best Energies Département de la Manche Région Normandie CCI Port de Caen-Ouistreham SLAM IMOCA Vendée Globe Photo Armel VRAC 🌱
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Très bien dit, Yvan !!! Le politiquement correct, c'est bien, l'intégrité des valeurs, c'est largement mieux !
Paul Watson : manque terrible de soutiens du Vendée Globe et des skippers ! ! Mon premier coup de gueule de ce Vendée Globe sera sur le non soutien de Paul Watson dans cette course. Je suis sidéré par l’absence totale de prise d’opinion là-dessus. Je suis certain que certains skippers ont très envie de le soutenir, mais nous sommes dans une industrie du sponsoring qui implique le politiquement correct et donc le silence, c’est à vomir ! Étre clivant de nos jours, c’est compliqué et ce n’est pas moi qui vais dire le contraire… Mais Bordel, quand il s’agit de notre terrain de jeu : l’océan, entre autres, et que certains hommes et femmes se sont battus et ont surtout pris des risques énormes pour le défendre, alors on n’a pas le choix ! Aucuns skippers ne se sont posé la question de sauver Kevin Escoffier en 2020 quand il était en danger de mort dans son radeau de survie ! Avons-nous le droit aujourd’hui, nous marins, de ne pas soutenir Paul Watson qui se bat depuis 50 ans pour sauver nos océans et donc aussi notre planète ? Ce manque de courage des sponsors, des équipes, des skippers, des organisateurs, de certains médias m’exaspère au plus haut point. Putain, on devrait voir dans toutes vos voiles #FREEPAULWATSON. Les organisateurs devraient aussi se mouiller et le soutenir plus que jamais ! Certes, les bateaux à foils ne sont pas exemplaires et heurtent parfois des baleines, certes SeaShepherd France n’est pas toujours très tendre avec la course au large, mais ce n’est pas parce qu’on n’est pas exemplaire qu’on ne peut pas se plier en 4 pour limiter la casse, pour soutenir Paul Watson. Même notre cher skipper japonais Kojiro devrait prendre le risque de s’affirmer la dessus, je suis sûr qu’au fond de lui-même il ne cautionne pas du tout la politique japonaise la dessus ! Alors, messieurs dames, les skippers et sponsors, il n’est pas trop tard pour mouiller votre ciré ! Vous avez plus de 2 mois pour en parler, pour le crier, pour l’afficher et oser ! Un homme est aujourd’hui en prison depuis plus de 100 jours pour avoir sauvé des milliers de baleines. Comment ne pas profiter de cette couverture médiatique monstrueuse du Vendée Globe pour ne pas mettre plus la pression à Macron qui doit donner la nationalité française à Paul et aussi mettre la pression au gouvernement danois qui doit relâcher Paul de sa prison du Groenland ! Cette mascarade doit cesser et rapidement ! Je reviendrai plus tard sur la vraie problématique des foils avec les collisions de cétacés, on aura largement le temps d’en débattre plus tard. Par contre, l’urgence aujourd’hui, c’est ce soutien à Paul qui doit démarrer sans attendre ! J’attends de vos remarques une réelle volonté constructive d’aller de l’avant et pas juste de faire des critiques pour des critiques, merci d’avance.
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En ce dimanche ensoleillé, les 36 concurrents de la Solitaire du Figaro Paprec ont quitté le port de Gijon dans les Asturies pour s’élancer dans la deuxième étape de leur périple. Au programme : 515 milles de navigation intense à destination de Royan en Charente-Maritime, avec un passage obligé par les îles Sisargas situées au large de la Galice. Une étape cruciale qui pourrait bien redistribuer les cartes au classement général. Un départ sous le signe des prévisions météo Après un rappel général dû à un petit vent capricieux de 5-6 nœuds, les Figaro Beneteau 3 ont finalement pris le large à 14h22 précises. Si les premières heures s’annonçaient plutôt sereines, l’approche d’un front dépressionnaire vers 4 heures du matin risquait bien de corser l’affaire. Un moment clé selon Basile Bourgnon (Edenred), l’un des favoris : Il va falloir être bon tout de suite. L’étape devrait se jouer sur la différence que l’on va faire dès la première nuit. Au passage d’un front qui apparaît velu, avec plus de 30 nœuds. Basile Bourgnon, Edenred Des options stratégiques divergentes Face à ces conditions météorologiques musclées, les marins avaient le choix entre plusieurs options tactiques. Romain Bouillard (Décrochons la Lune), échaudé par son pari risqué à l’ouest lors de la première étape, ne comptait pas retenter le diable : Cela va être une course de vitesse sans vraiment d’options divergentes sur le papier. […] Je vais assurer sur cette étape et s’il y a un gros coup à jouer sur la dernière, je tenterai le tout pour le tout. Romain Bouillard, Décrochons la Lune Une stratégie partagée par Jules Delpech (Orcom), 25ème lors de la première manche, qui entendait bien « replacer le curseur de risques » et « faire les choses peut-être plus simplement ». Un front actif qui va secouer la flotte Qu’ils aient opté pour la prudence ou l’audace, une chose était sûre : les 36 skippers allaient devoir en découdre avec le passage du front et son lot de vents soutenus et de mer croisée. Édouard Golbery (Verdier-Seastemik) ne s’y trompait pas : Il va falloir le plus possible s’éloigner des côtes pour être bien au large à l’approche du front. En arrivant dessus, dans ces zones de transition nocturne, tu te fais un peu cueillir. Il faudra être prêt avec voiles et drisses bien rangées. Édouard Golbery, Verdier-Seastemik Paroles de marins heureux au départ Malgré les défis qui les attendaient, les marins affichaient des mines réjouies sur les pontons de Gijon avant le départ. Heureux de repartir au large après une première étape intense : Xavier Macaire (Groupe SNEF) : « Je suis hyper content d’en être. J’ai envie de découvrir, d’avancer, sans pression du résultat. » Charlotte Yven (Helm) : « Le plus dur est fait, maintenant il faut kiffer et prendre du plaisir sur l’eau ! » Nils Boyer (Sep Eurovan) : « On a fait une belle Nav de nuit. Ce soir on sera dans le dur, mais c’est ça la Solitaire ! » Après quelques heures de cour...
En ce dimanche ensoleillé, les 36 concurrents de la Solitaire du Figaro Paprec ont quitté le port de Gijon dans les Asturies pour s’élancer dans la deuxième étape de leur périple. Au programme : 515 milles de navigation intense à destination de Royan en Charente-Maritime, avec un passage obligé par les îles Sisargas situées au large de la Galice. Une étape cruciale qui pourrait bien redistri...
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Que peut apprendre le Tour de France de la Transcontinental Race ? Le parallèle n’est pas à chercher du côté de la géographie, mais il est question de vélo et d’un long périple. De ceux dont on fait les épopées… Là, réside un solide point commun entre la Transcontinentale Race et le Tour de France. D’ailleurs, les images de la Transcontinental ont la puissance mais aussi la fraîcheur et la simplicité des vieilles photos du Tour. De plus la Trans’ ne cache pas cette ambition de faire revivre l’âge d’or du cyclisme. On pourrait considérer que le Tour, totem absolu du sport français, à la fois affaire de spécialistes, et objet populaire par excellence, ne doive souffrir d’aucune critique tant son succès est écrasant, immuable. Lien de l'article dans le premier commentaire ! #sport #cyclisme #tourdefrance #prospective #futureofsport
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