Post de Pascal Picault

C’est officiel. A l’orée de nos 20 ans, nous avons transmis notre entreprise, L’Envie de Fraises. A sa tête vous ne trouverez plus Frédérique SCHENKER et Emilie THOMMEN mais désormais Pauline DELABY et Manon VOLPE. Chaque étape de développement d’une entreprise comporte des défis complexes et offre de nombreuses opportunités. Mais ces défis qui s’annoncent à l’approche de la transmission du travail d’une vie sont bien plus complexes. Ils font appel à de nombreuses ressources et émotions. -L’anxiété bouscule l’impatience. -L’émotion lutte contre l’indifférence. -L’agacement face à la lenteur butte contre la peur du vide. Bref, l’ascenseur émotionnel flirte avec le grand 8. Il faut être forte, résiliente, d’attaque, observatrice, séductrice tout en gardant le cap et continuer son activité car vous le savez, les charges financières, mentales, familiales ne connaissent pas le repos du guerrier. Savoir conserver sa vision tout en ayant la tête dans le guidon n’est pas aisé. Certains paramètres ne s’alignent pas instantanément et l’entrepreneur à la nécessité de cette dualité. Finalement, n’est-ce pas dans son ADN ? Toujours avoir une longueur d’avance car il sait que l’anticipation est la clef de sa santé mentale ! 20 ans d’expertises, 20 ans à transmettre désormais pour embrasser les succès et éviter les écueils aux repreneuses. Voilà notre mission jusqu’au 31 juillet 2024 Puis le grand saut : redéfinir notre employabilité.  L’entrepreneur avec 20 ans d’expériences est comme un couteau suisse : multiples – efficace – polyvalent... je vous dirais même que c’est le cadeau idéal pour une entreprise. Sa vision est tellement à 360° qu’il ferait pâlir les managers aux diplômes longs comme le bras. Mais « on va pas se mentir », il faudra au recruteur la capacité de sortir de sa zone de confort car il ne pourra pas s’appuyer sur un bout de papier qui atteste de toutes ses compétences. Une chose est certaine pour notre part ; nous avons appris le sens du mot travail, celui de l’investissement et acquis la certitude que la persévérance gagne. Comme aux “Oscar”nous profitons de cette dernière communication pour remercier tous ceux qui nous ont accompagnés-ées durant ces 20 ans. -Nos proches et familles, pour leur soutien inconditionnel lors de toutes nos phases de doute, d’exaltation, d'insomnie etc etc -Nos collaboratrices et apprenties qui nous ont apporté leur savoir faire et leur amitié. -Nos clients sans qui nous ne serions rien. -Nos fournisseurs pour leur aide et les divers fous rires au gré des salons. -La FONDETEC, partenaire de la première heure. -Nos multiples connexions avec différentes structures administratives toujours à l’écoute des petites entreprises. Tous ceux qui ont un jour participé de prêt ou de loin à notre aventure, car c'est ça l'entreprenariat, une aventure de tous les jours avec du suspens à tous les étages. -On a aimé passionnément -On a beaucoup rigolé -On a développé l’auto-dérision  On y reviendra peut-être.. le temps le dira.

C’est officiel. A l’orée de nos 20 ans, nous avons transmis notre entreprise, L’Envie de Fraises. A sa tête vous ne trouverez plus Frédérique SCHENKER et Emilie THOMMEN mais désormais Pauline DELABY et Manon VOLPE. Chaque étape de développement d’une entreprise comporte des défis complexes et offre de nombreuses opportunités. Mais ces défis qui s’annoncent à l’approche de la transmission du travail d’une vie sont bien plus complexes. Ils font appel à de nombreuses ressources et émotions. -L’anxiété bouscule l’impatience. -L’émotion lutte contre l’indifférence. -L’agacement face à la lenteur butte contre la peur du vide. Bref, l’ascenseur émotionnel flirte avec le grand 8. Il faut être forte, résiliente, d’attaque, observatrice, séductrice tout en gardant le cap et continuer son activité car vous le savez, les charges financières, mentales, familiales ne connaissent pas le repos du guerrier. Savoir conserver sa vision tout en ayant la tête dans le guidon n’est pas aisé. Certains paramètres ne s’alignent pas instantanément et l’entrepreneur à la nécessité de cette dualité. Finalement, n’est-ce pas dans son ADN ? Toujours avoir une longueur d’avance car il sait que l’anticipation est la clef de sa santé mentale ! 20 ans d’expertises, 20 ans à transmettre désormais pour embrasser les succès et éviter les écueils aux repreneuses. Voilà notre mission jusqu’au 31 juillet 2024 Puis le grand saut : redéfinir notre employabilité.   L’entrepreneur avec 20 ans d’expériences est comme un couteau suisse : multiples – efficace – polyvalent... je vous dirais même que c’est le cadeau idéal pour une entreprise. Sa vision est tellement à 360° qu’il ferait pâlir les managers aux diplômes longs comme le bras. Mais « on va pas se mentir », il faudra au recruteur la capacité de sortir de sa zone de confort car il ne pourra pas s’appuyer sur un bout de papier qui atteste de toutes ses compétences. Une chose est certaine pour notre part ; nous avons appris le sens du mot travail, celui de l’investissement et acquis la certitude que la persévérance gagne. Comme aux “Oscar”nous profitons de cette dernière communication pour remercier tous ceux qui nous ont accompagnés-ées durant ces 20 ans. -Nos proches et familles, pour leur soutien inconditionnel lors de toutes nos phases de  doute, d’exaltation, d'insomnie etc etc -Nos collaboratrices et apprenties qui nous ont apporté leur savoir faire et leur amitié. -Nos clients sans qui nous ne serions rien. -Nos fournisseurs pour leur aide et les divers fous rires au gré des salons. -La FONDETEC, partenaire de la première heure. -Nos multiples connexions avec différentes structures administratives toujours à l’écoute des petites entreprises. Tous ceux qui ont un jour participé de prêt ou de loin à notre aventure, car c'est ça l'entreprenariat, une aventure de tous les jours avec du suspens à tous les étages. -On a aimé passionnément -On a beaucoup rigolé -On a développé l’auto-dérision  On y reviendra peut-être.. le temps le dira.

Ceci n’est pas un putaclic Ceci n’est pas un dégaine mouchoir ni un attire pitié  L’intention de ce poste est simplement de partager mon état d’esprit du jour. A l’heure où la politique est dans tous les sens, je voudrais juste rappeler ce qu’est la vraie France et la réalité des dirigeants de PME. Il y a 3 ans et demi je créais Minalyon avec l’envie de faire quelque chose de beau, de donner de moi et d’embarquer des gens avec moi. Cette création d’entreprise a été pour moi l’occasion de me dépasser et de faire quelque chose d’encore plus fou que ce que je n’avais jamais imaginé. Mais ces 3 dernières années ont été ponctuées de sacrifices, de bouleversements émotionnels, de nuits blanches, de larmes… Durant ces 3 années j’ai créé des environnements avec la ferme intention qu’ils soient bienveillants et remplis d’humanité, mais aujourd’hui je m’interroge sur la bienveillance envers moi-même. 03 juillet 2024, me voila hospitalisée pour l’après midi pour recevoir un traitement, pendant lequel je traite mes mails, je réponds aux messages des équipes et je tente de faire en sorte que tout roule comme chaque jour de ces 3 dernières années. Parce qu’etre entrepreneur en France c’est créer de l’emploi, contribuer à faire fonctionner la France, être chargé à 44% de sa rémunération et n’avoir droit à aucun jour d’arret maladie, Ah si pardon après 2 mois de carence… Etre entrepreneur c’est H24, 365 jours de l'année. Dernièrement j’ai entendu dire que des salariés pensaient que je me faisais du fric sur leur tete et que j’étais pétée de tunes. J’ai souvent le sentiment que les dirigeants nous sommes des réceptacles à merde dans lesquels n’importe qui peut déverser n’importe quoi… et que la culture veut que quoi qu’il fasse, quoi qu’il dise, le patron est un con et un enfoiré. Je voudrais juste rappeler à la terre entière que tous les dirigeants, les entrepreneurs de ce monde sont des humains, et que derrière les apparences où il faut garder le smile, il y a des hommes et des femmes qui pleurent… et que ce n’est pas parce qu’une poignée d’entre eux se comportent comme des gros nazes que tous les autres sont les mêmes ! Derrières les sourires, y a des hommes et des femmes qui se défoncent la santé pour faire leur part et faire vivre des entreprises. Des hommes et des femmes qui mettent toutes les économies et qui s’endettent jusque par-dessus la tete. Il faut de tout pour faire un monde, des salariés et des entrepreneurs dont il faut prendre soin communément. Alors Big up aux entrepreneurs Voila… C’était tout ce que j’avais à dire. #entrepreneurs #santé #bienveillance #pme #dirigeant

Pause & Reflect: L’humilité L’humilité est une qualité tellement importante nous a t-on toujours dit. Noble, qui permet a tout homme de rester droit sans se perdre dans les turpitudes de cette vie. Garder les pieds sur terre : un devoir , un mode de vie et un comportement idéal à adopter. Une qualité louée dans nos sociétés africaines ancestrales, culturelles, historiques et religieuses. Les personnes humbles de par l’histoire ont toujours été plébiscitées , décrites comme des personnes destinées au succès et à l’appréciation sociale. Tant d’exemples illustrent bien nos histoires de fadas ou en famille: Le milliardaire ne portant aucun bien luxueux, le commis sortant et vaquant a ses occupations quotidiennes sans protocole moindre, l’adulte se mêlant aux plus jeunes pour discuter. De belles valeurs sûrement jusqu’à une certaine limite et dans des temps plus joyeux et simples. Dans ce context de changement profond de notre société et de nos réalités, Comment ne nous laisserions nous pas prendre au piège de la “grosse boule”? L’argent, le succès, le pouvoir et la notoriété étant les centres régissant le nouveau classement societal indéniablement, cela paraîtrait presque naturel. L’estime de sois, l’orgueil étant des caractères fondamentalement inhérents à notre nature qui, malheureusement sont visibles par tout le monde sauf le concerné. Ne dit ont pas que:<<La plus grande maladie est l’ignorance de cette dernière>>? Un mal certainement malin, fermant les yeux et le cœur. Cependant, dans certains cas, l’humilité pourrai bien freiner l’affirmation d’un leadership et un succès quasi certain chez beaucoup d’entre nous. Combien de personnes excellentes avons nous connu qui n’ont jamais pu éclore pour cause d’un mutisme inexplicable ? Combien de compétences inexprimées ont maintenues des personnes au potentiel énorme a un statut quelconque au nom de l’humilité ? N’as t-on pas besoin chacun de notre période de forte estime de soi et de vantardise positive sur ses qualités et compétences? Sinon comment arriverions nous à nous « vendre » comme il se doit? Ouverture intéressante: L’humilité précéderait elle réellement la gloire en 2024? Excellente fin de semaine! SMB.

L’énergie que vous prenez pour vous associer afin de critiquer et diffamer les gens chaque jour, prenez la même énergie pour cotiser et développer un petit business. Vous n’êtes pas obligé de vivre ensemble dans la bêtise, vous pouvez vivre ensemble dans le travail et la réalisation des projets. C’est plus intéressant et bénéfique en réalité ! -500 vies décortiquées en 2024, ça aurait pu être 500 millions pour vous éviter quelques misères. -1000 pages de buzz lues, ça aurait pu être 5 livres qui devaient changer complément votre vie. -Des millions dépenser dans la connexion juste pour regarder des futilités sur internet, ça aurait pu être le capital pour investir dans votre formation. Tu n’est pas obligé de vivre comme ça, dit à ton compagnon que vous vieillissez sans aucune réalisation pour vous et la famille, demande lui de revoir ses priorités car tu veux également t’occuper de toi même et laisser la vie des autres. Il t’écoutera et ensemble, vous formerez un duo parfait pour construire un projet sérieux qui prendra toute votre attention. S’il fuit après cette proposition, bloque son numéro sinon tu n’iras nul part. Le manque d’objectif sérieux provoque aussi l’oisiveté. Ne faites plus semblant de bosser, investissez vous réellement et ça paiera mieux que la critique. Ecrivez des objectifs sérieux et concrets à bâtir, ainsi vous n’aurez plus le temps de vous balader sur internet à la recherche de la prochaine sextape. Tag ton ami qui t’envoie toujours la vie des gens en inbox !

💎 Conflit de génération ou conflit de valeurs ? On a 2 camps : 🤙 Le camp des YOLO (You only live once) Qui ne veut que du kiffe. La seule règle qu'ils suivent, c'est la leur. Objectif : kiffer le plus, le plus tôt possible 💪 Le camp des YODO (You only die once) Ps : ne cherche pas, c'est une invention La seule règle : suivre les règles Objectif : bâtir pour kiffer plus tard Les premiers bâtissent des business Lifestyle avec une obsession : Rester libres Cette obsession leur permet de - créer des revenus Asymmetriques - travailler d'où ils veulent (souvent de Bali ou Dubaï) - ne pas se définir par ce qu'ils font et se réinventer régulièrement Les seconds bâtissent des business de type empire avec une obsession : La stabilité Cette obsession les emmène à - embaucher beaucoup - solidifier leur expertise pendant longtemps - attendre des années avant d'oser se redéfinir - bâtir dans le dur (des bureaux, clients en présentiel, équipes salariées dans les bureaux). On a ce pour quoi on a optimisé notre vie. Pourtant, de plus en plus des Experts Seniors envient ces Jeunes sans parvenir à se projeter. C'est un choc de génération. Valeur liberté vs Valeur stabilité. Mais en 2024 la stabilité n'existe plus vraiment et deviendra un lointain souvenir. Le coco a redistribué les cartes et levé le voile de l'illusion de stabilité. L'IA a accéléré les mutations et des pans entiers de l'industrie sont transformés et seront méconnaissables dans 5 ans. 🚨 Il y a urgence pour les Experts Seniors d'engager le virage pour ne plus être relégués au rang de relique. Le monde que vous avez bâti à montré ses limites - en terme d'attraction (d'ici 5-10 ans vous peinerez encore plus à avoir des talents) - sur le plan de la santé mentale car la recherche de stabilité dans un monde qui ne l'est pas est une dépense d'énergie phénoménale et inefficiente - financièrement car payer un jeune 2k alors qu'en 6 mois il peut arriver à faire assez simplement le triple mensuel depuis une plage - au niveau des valeurs parce que non ils ne sont pas fainéants, ils priorisent simplement d'autres choses Vous pouvez résister au Tsunami Ou prendre une planche et surfer la vague, voire la dominer. J'en ai marre de voir des Experts Seniors talentueux devenir aigris et has been. Ma mission c'est de les aider à dominer cette vague 🔥

J’ai appris à ne plus jamais avoir le syndrome de l’imposteur. Quand j’ai créé notre réseau, je n’avais aucun doutes. Je ne me suis jamais demandée si j’allais être à la hauteur, si j’étais légitime. Alors que je le rappelle à qui le veut, j’étais au RSA et j’ai créé un réseau d’entrepreneures…. Oui bien sûr 😅 Quelques années avant, quand j’ai initié et créé le territoire zéro chômeur longue durée de mon territoire c’était pareil. Je n’ai jamais douté de moi 🔥🚀 Alors qu’avant… je passais mon temps à douter. Je n’avais aucun diplôme, aucune expérience dans aucun corps de métier que j’embrassais… et bien sûr rien n’était parfait même si je faisais du mieux possible et je culpabilisais. J’avais une peur terrible de l’échec, des fins de mois, du regard de mes clients… Que s’est il passé entre les deux ? ✅ Je pense que le fait de cumuler, d’échouer souvent, de retenter quand même, m’a « forgée ». La résilience a pris place. ✅ Je pense aussi que mes deux derniers projets ont « réussi» car la cause était plus forte. Ce n’est pas pour moi que je travaillais. Mais pour les autres dans l’expérimentation territoriale qui est en train de créer 300 CDI, et pour toutes mes adhérentes, moi y compris, pour notre réseau d’affaires. Mon objectif était d’apporter aux autres 💛 Mon pourquoi surpassait toutes mes peurs, toutes mes appréhensions. Toute ma procrastination. Il fallait des résultats rapidement. Pour les autres. Et pour moi. La notion de nombre et donc d’ambition joue un jeu là dedans. Plus l’attente était forte, plus le nombre avait de l’importance, plus je redoublais d’efforts pour y parvenir. L’avantage d’avoir du monde autour de soi est double. Il est challengeant, j’adore les challenges et c’est aussi une véritable solidarité collective. Je m’appuie régulièrement sur mes clients comme je le faisais avec mes bénévoles pour grandir et les faire grandir, innover et passer des caps. Nous sommes une force puissante et inébranlable 😎 L’imperfection est la norme et nous apprenons constamment ensemble. Nous nous améliorons au fur et à mesure. Quelques conseils pour fuir le syndrome de l’imposteur : ✅ Remplace le "Je ne suis pas assez compétente" par "J’apprends et je progresse à chaque étape." ✅ Accepte l’imperfection : Le perfectionnisme est souvent un masque pour la peur. Avancer imparfaitement, c’est surtout avancer. ✅ Découvre ta cause puissante et infaillible ✅ Ose être ambitieuse pour redoubler d’efforts. Rappelle toi, si tu vises les étoiles, tu atteindras au moins la lune. Double tes prix, le nombre de tes clients, ta marge, ta zone géographique, multiplie ton pas de porte, crée une franchise ! Ta première formation ! Une marketplace ! VOIS GRAND 🌝💫 Inscris-toi à la newsletter pour être sûre de recevoir mes prochains conseils: https://urls.fr/7eGudK #reseautage #recommandations #reseaufemmesentrepreneures #entrepreneuriat

Ma nouvelle newsletter "plus personnelle" Cinquant.e.s vient de passer les 200 abonnés. Il va falloir que je me décide à écrire mon premier billet... Par où commencer ? Voici les sujets que j'envisage d'aborder dans les prochaines semaines (sans ordre de préférence) : 1. Les Français font moins d'enfant, est-ce grave ? 2. Être né en province : réflexion sur les romans de Nicolas Mathieu 3. Et la tendresse bordel : de la violence dans le travail à distance 4. À chacun son temps : pourquoi les notions de temps qui passe diffèrent selon votre âge, votre culture et votre histoire 5. Les passantes : quand Brassens rencontre Emilia Perez 6. J'ai ressorti ma platine : remettons de l'analogique dans notre vie 7. Marchands de sable : et si on payait pour bien dormir 8. Le silence est-il d'or ? : pourquoi ne valorise-t-on pas plus le silence ? 9. Faire envie ou pitié : l'auto-promo en ligne à l'ère de l'émotion 10. Prénoms de vieux : en quoi le prénom en dit long 11. Bosser dans un coworking après 50 ans 12. J'ai découvert que j'aurai une retraite au moment où je l'ai vue s'éloigner Je commence par quoi ? D'autres idées ? https://lnkd.in/enMzvNbQ

Une révolution de l’intime ! 6 – Un programme exécute ses instructions La spécificité d’un programme s’est d’être répétitif et limité. Il fait toujours la même chose et rien d’autre, dans un environnement donné. C’est pourquoi il est inapproprié de parler de sortir de sa « zone de confort ». Il n’est pas « confortable » pour un délinquant de vivre dans l’adversité, en bravant l’autorité, en remettant en cause des limites et des interdits. Pas plus qu’il serait « confortable » pour un policier d’être celui qui, en toute circonstance, obéit aux règlements et doit faire respecter la loi. L’un comme l’autre se définit et agit à partir de son « connu », c’est-à-dire selon le milieu et, plus spécifiquement, le type de relation fondatrices de son « logiciel de survie ». Il y reste ou y revient non parce que c’est mieux, « confortable », mais parce son organisme a appris à faire avec, « sait » qu’il y est adapté, qu’il peut en sortir vivant, que ça marche. Avec cette stratégie inconsciente, le pire est évitable, puisqu’il a déjà été évité. La « récompense » est accessible, celle à laquelle s’est habitué son organisme et dont il cherche à renouveler les effets, même si les risques à courir ou le prix à payer est important. Souvent, arrivé vers l’âge de 40 ou 50 ans, nous commençons à nous interroger sincèrement sur ces « choix », qui n’en sont pas vraiment, sur ces répétitions, qui font régulièrement échouer nos résolutions, même les plus fermes. Souvent, plutôt que de nous intéresser aux mécanismes qui pilotent ces comportements, nous en restons au stade de l’autocritique, au niveau du désespoir ou de la culpabilité. Difficile, voire impossible, de revisiter ce à quoi nous sommes identifiés, ce qui s’ancre dans nos premiers jours, premiers mois et à partir de nos premières relations. C’est parce que cette période et ces expériences ont précédé notre acquisition et notre maîtrise du langage qu’elles nous échappent et ne font pas corps avec notre récit personnel. Pourtant, elles font bel et bien partie de notre vie, de notre personnalité. Comme les fondations d’une maison, elles sont devenues invisibles et, pourtant, supportent et conditionnent tout le reste, tout ce qui se développe et se construit au-dessus, pour le meilleur comme pour le pire. Comment y accède-t-on ? Comment est-il possible de les reprendre, de les solidifier (car c’est possible !), si besoin ? Un peu de patience ! Nous tenterons d’y répondre !...

Le #syndromedelabonneeleve; encore un nouveau #syndrome fraîchement inventé chez les femmes et par des #femmes ? Non! Une réalité, souvent inconsciente, qui existe depuis la nuit des temps et touche beaucoup de femmes à tout niveau ! L’impact sur la #carriere, le #bienetre, la #viedefamille, l’éducation de nos filles, est aussi vaste et dommageable que ce syndrome est sournois. En prendre conscience, c’est gagner une bataille; agir et le dompter c’est gagner la guerre! Comment? #Prisedeconscience+ #courage + #action + #discipline personnelle + #soutien Alors éduquons nos filles, nos collaboratrices à ne plus subir le poids de tous ces syndromes et pouvoir s’épanouir très vite dans leur #carriere et #viepersonnelle Et comme une bataille ne se gagne jamais seule.. #strongertogether 🧚🏻♂️Mesdemoiselles, Mesdames 👉 Action et #sororite! 🧚🏻♂️Messieurs, papa, frere, copain, manager, leader, collègue…on a besoin de vous.. et de votre regard 👉 Action! vous avez votre rôle à jouer, votre regard à porter, pour aider les femmes, vos filles, copines, collaboratrices, collègues, à s’alléger des conséquences de ce syndrome… sans en profiter pour votre carrière 😉 L’’#entreprise, la société a tout à y 🥇pour optimiser la performance de son #Capitalhumainfeminin 🗽 Qu’il est doux, léger pour une quinqua, de s’être allégée des épines de ces syndromes 🙏🗽 et de pouvoir aider les jeunes filles, les étudiantes, les femmes en entreprise, à déployer leurs ailes et exploiter leur potentiel avec un regard bienveillant sur leurs capacités #GROWings #GROWings #potentiel #femmes #leadership #leadershipaufeminin #syndromedelabonneeleve #syndromeimposteur #transgenerationnel #Inclusion #bienveillance