Jour 21 : Stop aux agissements sexistes et sexuels dans l’atelier ! 🎅 Imaginez une scène dans l'atelier du Père Noël : un lutin en pleine fabrication de jouets entend une blague déplacée. Un autre se voit régulièrement demander de « faire le café » simplement parce qu'il est supposé meilleur à ça qu'à assembler des patins à glace. Et là, le chef de l’atelier, trop permissif, laisse faire… 🚨 Pas très féerique, non ? Et pourtant, ces comportements sont le reflet de ce qui peut arriver dans une entreprise si on ne met pas en place une politique de prévention efficace et proactive contre les agissements sexistes et le harcèlement sexuel. 📋 En tant qu’employeur, quelques règles d’or pour éviter que l’atelier ne devienne un champ de tensions : 🎁 Créer un climat de coopération : oubliez la compétition à outrance, valorisez le travail collectif ! 🎁 Réduire les déséquilibres de genre : une équipe mixte, des opportunités équitables, par exemple. 🎁 Tolérance zéro : affichez haut et fort une politique claire, avec des règles et sanctions connues de tous. 👩🏭👨🏭 Les lutins et le CSE au cœur de la prévention : - Intégrer ces sujets dans l’évaluation des risques professionnels. - Sensibiliser toute l’équipe avec des quizz, des jeux de rôle et des formations interactives. Former les managers pour qu’ils soient des relais actifs dans cette démarche. ⚡ Rappel réglementaire (et ce n’est pas un conte de Noël !) : L’employeur a l’obligation légale de prévenir, enquêter et agir face à tout comportement inapproprié. Laisser faire, c’est prendre un risque pour ses collaborateurs et pour l’entreprise. ✨ Un atelier qui brille, c’est un atelier où chacun se sent respecté et en sécurité. #prevention #noel #calendrier #santeautravail #nimes #medecinedutravail #presanseoccitanie
Post de PREVY - Prévention & Santé au Travail
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Analyse de la Chronique "Le dilemme du code vestimentaire" Dans cette chronique, j'aborde avec humour les défis quotidiens posés par le code vestimentaire en entreprise. Mon texte explore les tensions entre les attentes formelles et les réalités pratiques, mettant en lumière les difficultés rencontrées par les employés pour naviguer dans ce paysage vestimentaire souvent rigide et parfois absurde. Thème central : Le code vestimentaire en entreprise Je met en évidence le paradoxe du code vestimentaire en entreprise, où la recherche de l'équilibre entre élégance et confort devient une tâche ardue. Les mentions du "casual friday" et des "fashion faux-pas" illustrent les pièges dans lesquels les employés peuvent tomber en essayant de s'adapter aux normes implicites et changeantes. ■ Les défis quotidiens des salariés Ma dernière chronique dépeint avec une touche humoristique les difficultés que les employés rencontrent quotidiennement : des chaussures qui pincent aux cravates qui étouffent, en passant par la crainte que le bouton de leur chemise ne lâche en réunion. Ces descriptions vivantes et concrètes rendent la chronique accessible et relatable, permettant aux lecteurs de se reconnaître dans ces situations. ■ La déconnexion des patrons Les patrons sont décrits comme étant "engoncés dans leur costume trois pièces", symbolisant une certaine rigidité et une déconnexion par rapport aux réalités vécues par leurs employés. Leur incompréhension face à l'apparence décontractée des candidats lors des entretiens d'embauche souligne le fossé existant entre les attentes hiérarchiques et les pratiques vestimentaires actuelles. ■ L'ironie comme outil critique La dernière phrase, "Ah, les mystères du dress code !", utilise l'ironie pour souligner l'absurdité perçue des règles vestimentaires en entreprise. Cette conclusion légère mais mordante invite les lecteurs à réfléchir sur la pertinence et l'évolution des codes vestimentaires, et sur la nécessité d'une plus grande flexibilité et compréhension des réalités modernes du travail. "Le dilemme du code vestimentaire" est une chronique qui, sous un ton humoristique, aborde des questions sérieuses concernant les attentes vestimentaires en entreprise. En décrivant avec finesse les défis quotidiens des salariés et la déconnexion des patrons, je met en lumière les tensions et les absurdités de ces normes. Cette chronique encourage une réflexion sur l'importance d'adapter le code vestimentaire aux besoins actuels de confort et de fonctionnalité, tout en reconnaissant les dynamiques hiérarchiques et culturelles qui influencent ces pratiques.
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On en parle des tenues vestimentaires pour aller travailler l’été ? ☀🥵 Les femmes portent des jupes et des robes l'été pour aller travailler. Alors, j’aborde le sujet des commentaires sur les tenues ? C’est incroyable comme une simple jupe peut susciter des remarques déplacées 🤷🏻♀️ "Alors t'es en petite jupe aujourd'hui" ou des regards qui jugent plus la longueur de mes vêtements que mes compétences. Comme si nos choix vestimentaires déterminaient notre professionnalisme. (D’ailleurs, on pourrait presque écrire un guide sur les réponses sarcastiques à ces commentaires… 💀) Et puis les hommes… Bah ils n’ont pas réellement d’autres tenues que le costume qui est classe… Sauf que même pour eux, sortir de ce dress-code strict peut être mal vu. Mettre un short ? C’est juste inconcevable dans beaucoup d’entreprises voyons… On pourrait se demander pourquoi la liberté vestimentaire ne s'applique pas également à eux. Après tout, la chaleur n'épargne personne, n'est-ce pas ? 😉 Il est peut-être temps que les mentalités évoluent, que les vêtements ne dictent plus notre professionnalisme et que chacun puisse se sentir à l’aise et respecté dans ses choix de tenues au travail. Quelle est votre opinion sur ce sujet ?
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👔 Les codes vestimentaires en entreprise : un sujet sensible et encadré par la loi en France. En milieu professionnel, le code vestimentaire peut être un outil puissant de cohésion et d'image de marque. Cependant, il est crucial de comprendre que ce sujet est étroitement encadré par le droit du travail en France. 🔍 Que dit la loi ? Le principe est simple : l'employeur peut imposer un code vestimentaire pour des raisons légitimes, telles que l'hygiène, la sécurité, ou encore l'image de l'entreprise. Toutefois, ces restrictions doivent être justifiées et proportionnées. 👉 Quelques points clés à retenir : Liberté individuelle vs. Exigences professionnelles : Les salariés ont le droit de s'habiller comme ils le souhaitent, sauf si la tenue choisie est incompatible avec les impératifs de sécurité ou d'hygiène, ou si elle porte atteinte à l'image de l'entreprise. Par exemple, dans le secteur de la restauration, le port d'une tenue propre et adaptée est justifié pour des raisons d'hygiène. Non-discrimination : Toute mesure concernant le code vestimentaire doit respecter les principes de non-discrimination. Il est illégal de discriminer un salarié en raison de son apparence physique, de son sexe, de sa religion, etc. Les limitations doivent s'appliquer de manière équitable à l'ensemble du personnel. Respect des convictions religieuses : Les restrictions concernant le port de signes religieux doivent être particulièrement justifiées, par exemple pour des raisons de neutralité dans les services publics. Dans le secteur privé, l'employeur doit faire preuve de souplesse, à moins qu'il ne puisse démontrer que cette restriction est nécessaire et proportionnée au regard des objectifs légitimes poursuivis. Communication et transparence : Il est essentiel que les règles vestimentaires soient clairement définies et communiquées aux employés, idéalement dans le règlement intérieur de l'entreprise. En résumé, un code vestimentaire bien pensé et juridiquement conforme contribue à un environnement de travail harmonieux tout en respectant les droits individuels. Trouver le bon équilibre entre les attentes de l'entreprise et les libertés des salariés est la clé du succès. Et vous, comment gérez-vous le code vestimentaire dans votre entreprise ? N’hésitez pas à partager vos expériences et à échanger sur ce sujet ! #DroitDuTravail #CodeVestimentaire #RessourcesHumaines #Législation #Entreprise
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L’ère du “no-bra” est révolue, place aux soutiens-gorge qui donnent confiance en soi ! 👙 Darjeeling Lingerie vient de sortir une campagne où l’on voit 6 poitrines en plan serré. 🍒 Toutes sont habillées d’un soutien-gorge de la marque. Et toutes sont accompagnées d'une phrase sobrement punchy sur le harcèlement de rue, la confiance en soi, les relations sentimentales, etc. Une mécanique plutôt réussie d’un point de vue créatif. Et sur le fond, qu’est-ce qu’on en pense ? 🤓 Est-ce ok d’aborder des enjeux de société (harcèlement de rue) en même temps que des sujets plus légers (durée des relations) ou des arguments commerciaux (prix) ? Peut-on raccourcir les liens de causes sous prétexte créatif (confiance = achat) ? Peut-on encore utiliser le cadrage “femme-tronc”, qui est accusé d’objectifier les corps féminins ? Comment sortir des récits classiquement associés aux sous-vêtements (sexe, male gaze, séduction, physique) quand on ne produit que ça ? Est-ce à un sous-vêtement de donner confiance ou à un environnement safe ? Tant de questions sur le traitement des enjeux de sociétés par les marques… Sur lesquelles je vous propose de débattre ! #RSM Alors, la campagne Darjeeling Lingerie x Romance, on en pense quoi ?! #Imaginaires #CommunicationResponsable #ResponsabilitéSociétaleDesMarques
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Si tu ne vis pas dans le Gard, tu es peut-être passée à côté de cette perle : une campagne pour inciter à la propreté. Et elle mérite le détour, pas pour son efficacité, mais comme un exemple parfait de comment mal choisir son message. On a droit à des sacs-poubelles personnifiés : visages souriants, look presque "mignon". Il ne manque plus que les talons aiguilles ! Parce qu'apparemment, même les déchets doivent rester féminins. Et puis, il y a ce slogan : "On ne veut plus faire le trottoir !" Alors, qui a eu l’idée brillante d’associer des sacs-poubelles stylisés en femmes avec une expression familière pour la prostitution ? Je me demande ce qu’il s’est passé en réunion de validation. Si l’objectif était de marier sexisme implicite et jeu de mots douteux, chapeau bas ! Le message est tellement brouillé qu’au lieu d’inciter à la propreté, ça donne surtout envie de… jeter cette campagne à la poubelle. Moralité : voilà pourquoi bien choisir son message en communication est essentiel. On évite les stéréotypes, les sous-entendus sexistes, et surtout… on réfléchit à deux fois avant de transformer des sacs-poubelles en… bref, tu as compris.
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Plutôt team basket 👟 ou team talons 👠 ?! Team on fait bien c'qu'on veut ! 😝 ➡️ « Le port par des hôtesses d’accueil de sexe féminin de talons hauts dans le cadre d’un salon découle d’une vision stéréotypée, supposément attendue de la clientèle, correspondant à des codes vestimentaires qui obéissent à des stéréotypes de genre ». ➡️ « les conditions d’exercice du poste impliquent le maintien d’une station debout prolongée et des déplacements réguliers entre différents points, missions pour lesquelles le port de talons hauts est susceptible de contrevenir à l’obligation de santé et de sécurité auquel l’employeur est tenu au titre de l’article L.4121-1 du code du travail, en raison des risques pour la sécurité des hôtesses et des troubles musculo-squelettiques susceptibles d’être engendrés par leur port prolongé ». ➡️ « le maintien par la société mise en cause d’une image de marque pourrait être atteint par des moyens appropriés et proportionnés à l’objectif recherché, au travers de la mise en place d’exigences vestimentaires plus générales de « présentation soignée » ou encore « d’élégance », en convenant au besoin d’un code couleur défini, permettant ainsi de supprimer tout risque discriminatoire ». (Décision du Défenseur des droits n°2024-051, 4 avril 2024) #droitsocial #droitdutravail #discrimination #genre #recrutement
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Les problèmes qu’on s’invente pour rentrer chez nous le soir en étant une femme : - mettre le plus de couches de vêtements possibles pour cacher comment on est habillées - prévoir un trajet dans des endroits pas trop isolés ni trop bondés - ne pas faire le même trajet tous les jours - vérifier l’éclairage urbain partout - connaître les endroits qui pourraient nous accueillir ou les bus qu’on pourrait prendre si besoin - faire un détour discret au lieu de croiser un homme ou un groupe isolé - avoir des écouteurs visibles - ne pas mettre le son trop fort dans les écouteurs pour rester alerte sur tous les bruits environnants - garder ses clés à portée de main (celles qui savent, savent) Et bien sur : faire comme si de rien n’était parce que vraiment, on invente des problèmes nous les femmes 😶
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𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐨𝐮̀… 𝐉𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐟𝐮𝐬𝐢𝐥𝐥𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝 𝐞𝐭/𝐨𝐮 𝐢𝐧𝐬𝐮𝐥𝐭𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐠𝐚𝐫𝐞́𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐏𝐌𝐑 On termine cette semaine spéciale #SEEPH2024 avec une anecdote (devenue trop récurrente à mon goût) et qui frôle le surréalisme! Imaginez la scène : Je récupère ma voiture et au moment de partir, quelqu’un surgit devant mon capot, me bloquant la route, et commence à hurler : "𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑛 𝑜𝑛𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛, 𝑒𝑠𝑝𝑒̀𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠..., 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑢̂𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑎𝑢𝑠𝑠𝑒 ! 𝐴ℎ, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑚𝑒 !" Waouh?! Abasourdie, je reste sans voix face à cette agression verbale d'une violence inouïe ! 🤔 Et puis je me questionne... Alors quoi ? Parce que je ne corresponds aux idées préconçues du handicap, je suis automatiquement en tort ? Et c'est loin d'être un cas isolé! 😯 J'ai déjà retrouvé ma voiture avec un pneu crevé, les essuie-glaces relevés, ou même des rayures sur la carrosserie... Entre les insultes, les remarques déplacées et les regards accusateurs, ce genre de situation est presque devenu ma routine. (Ce qui me pousse d'ailleurs, 2 fois sur 3, à ne pas stationner sur des places réservées...) Et chaque fois, il faut justifier l’injustifiable : rappeler que le handicap ne se lit pas toujours sur un visage ou une démarche. Croyez-moi : accepter le handicap, c’est aussi tolérer qu’il existe une diversité invisible, qu’il n’y a pas de "profil type", et que personne n’a à juger ce qu’il ne comprend pas. Et si on changeait notre regard ? 👉La prochaine fois que vous voyez quelqu’un sur une place PMR, la meilleure réaction est peut-être l’indifférence. Parce que ce n’est pas l’apparence qui compte, mais le respect, n'est-ce pas ? 🫵 Et vous, avez-vous déjà été témoin de ce type de situation ?
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#complotisme 😎C’est l’week-end, on s’détend ! • 8h00 : Il neige à gros flocons, alors je fais un bonhomme de neige. • 8h10 : Ma voisine féministe me demande pourquoi je n'ai pas fait une bonne femme de neige. • 8h15 : Je fais donc une bonne femme de neige. • 8h17 : Ma voisine non binaire regarde la poitrine de ma bonne femme de neige et la trouve trop stéréotypée. • 8h20 : Un couple gay vivant à proximité trouve mon couple de neige trop hétéro centré. • 8h28 : Un voisin black me traite de raciste parce que le bonhomme et la bonne femme de neige sont blancs. • 8h31 : Un islamiste de l'autre côté de la rue exige que la bonne femme de neige soit voilée. • 8h37 : Une autre voisine demande de retirer le balai car ça essentialise la femme au rôle de ménagère, donc ça la caricature. • 8h43 : Le président de l'association des propriétaires me menace d'expulsion pour tapage diurne. • 8h44 : une dégénérée végan me dit que la carotte faisant office de nez aurait plus d’utilité dans une assiette. • 8h45 : Une équipe de télévision locale se déplace pour me demander de préciser la différence entre les bonhommes de neige et les bonnes femmes de neige. Je suis taxé de sexiste lorsque je reponds : "les boules (de neige😊)". • 8h47 : La police débarque. • 9h00 : Je fais les titres des infos du matin : un raciste, homophobe, sexiste, islamophobe, anti-végan, terrorise une copropriété. • 9h10 : Je suis au commissariat, fermement interrogé par la police, ils exigent que je denonce mes complices. • 9h20 : je vous laisse à votre libre imagination pour la suite. • Toute similitude avec la formidable époque dans laquelle on vit ne serait que pure invention, évidemment. Quoique…😉 💐Sur ce, excellent week-end à tous malgré tout ! Frédéric Barbin - Dirigeant • Manager • Formateur IMPACT CONSEIL 📥f.barbin@impactconseil.com
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"C'est votre mari qui fait ça ?" Imaginez la scène : je suis à un feu rouge, sur mon vélo, ma fille installée à l'arrière. "_ Hein quoi ? _ C'est votre mari qui a installé la protection ? Parce que c'est super bien." Pause. On rembobine. Cet homme d'une cinquantaine d'années n'imagine pas qu'une femme puisse bricoler. Pourtant dans ma vie : j'ai peint, fixé un tableau, posé du parquet, posé du carrelage, collé de la tapisserie, installer des luminaires, poncé des murs et des meubles... Parfois seule, parfois aidée. Mais j'y pense. Mon mari aurait pu être une femme. J'aurais tellement aimé avoir la répartie de lui répondre cela. Au lieu de ça, j'ai simplement dit "non" avant que le feu passe – heureusement – au vert. Morale de l'histoire : Ne culpabilisez pas si vous n'êtes pas bricoleuse ou bricoleur. Mais ne laissez personne vous mettre dans des cases sexistes ! Jamais. C'est quoi la dernière phrase sexiste qu'on vous a dites ou que vous avez entendu ? Histoire de les dénoncer pour améliorer la prise de conscience sur ce sujet 💬👇 ----- Je suis Mme RSE Je parle de RSE quotidiennement sur ce réseau et comment l'intégrer à la stratégie d'entreprise. Et de temps en temps de mon quotidien pour faire bouger les lignes partout. Suivez-moi et activez la 🔔 pour ne rien rater 🎁 Sur mon profil #RSE
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