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Trail ou route? Est-ce qu’ intégrer des courses de trail dans une prépa marathon est un bonne idée? Je m’interroge sur ces points dans cet article. A lire pour suivre notre prépa à moi et Christophe DUCHESNE !

Très vallonné et raide par endroits, le parcours du marathon de Paris 2024 déroute ou inspire les athlètes. Il « casse les codes » et bouleverse leur préparation, rien que ça ! D’habitude, les organisateurs proposent des tracés quasi plats, idéaux pour battre les records et donner envie aux meilleurs mondiaux de participer. À Paris, ce sera l’inverse : plus de 400 mètres de dénivelé cumulé et une méchante bosse à 13% au kilomètre 30, moment déjà critique pour beaucoup de marathoniens. Ils doivent faire du renforcement musculaire, s’entraîner aux changements de rythme brutaux, travailler leur foulée en descente, adopter des chaussures qui amortissent les chocs sur terrain pentu… Pendant l’épreuve, tous leurs temps de passage seront faussés par les côtes. Impossible de se référer à leurs chronos habituels pour savoir où ils en sont. Certains désapprouvent : « Tony Estanguet va nous casser les jambes » a déclaré le coureur français Yohan Durand en 2022, quand le parcours a été dévoilé. D’autres adorent, comme Nicolas Navarro, l’un de nos sélectionnés : « Savoir que c’est le marathon le plus dur de l’histoire des JO, ça me motive encore plus. » Je parie que les athlètes mis en appétit par ces nouveautés arriveront au départ mieux entraînés et mieux dans leur tête que ceux qui résistent. Je sais de quoi je parle : aux JO de Lillehammer, deux ans après Albertville, j’ai raté la victoire parce que je trouvais la piste trop facile, pas assez raide. Cet a priori a parasité toute ma préparation. Je me répétais que je ne pourrais pas capitaliser sur mes atouts : le ski à l’instinct, la vitesse, le spectacle. Quand je me suis entraîné sur la fameuse piste, j’étais moins engagé, moins agressif que d’habitude. Le jour J, surprise : j’ai fait une excellente descente. J’étais si étonné que je me suis relâché avant la ligne : c’est là que j’ai fait la faute technique qui m’a coûté l’or. Le sport de haut niveau n’a pas l’exclusivité de la résistance au changement. Si vous vivez des situations similaires en entreprise, quelques conseils : 1️⃣ Le regard porté sur un nouveau contexte compte bien plus que le contexte lui-même. Il est déterminant pour la suite des événements : on s’approprie et on exploite bien mieux une évolution qu’on accepte et dont on cherche les bons côtés. 2️⃣ Vous trouverez toujours plus de plaisir et de motivation à épouser le changement qu’à vous y opposer par tous les moyens. 3️⃣ S’adapter au changement a un coût : au départ, comme les marathoniens, vous allez bousculer vos points de repère et vos équilibres antérieurs. Mais vous serez payés de retour, car mieux armés face à la nouvelle donne. Rendez-vous le 10 août pour suivre la course : ce jour-là, attendez-vous à de gros écarts avec la hiérarchie établie des meilleurs athlètes du monde. 

"Alors à vos baskets, que ce soit pour se mettre à l’épreuve dans un cadre magnifique, encourager les compétiteurs, ou simplement profiter d’une bonne ambiance autour du lac tout le week-end". Article à lire dans La Dépêche du Midi sur l'édition 2024 du Triathlon de Revel Saint-Ferréol. Parmi les nouveautés à découvrir, un format Challenge entreprises #auxsourcesducanaldumidi #terredejeux2024 .

🏃♂️ 𝗧𝗼𝗽 𝗱𝗲́𝗽𝗮𝗿𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 "𝗟𝗲𝘀 𝟭𝟬𝟬 𝗺𝗼𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻" 🏃♀️ 📚 Voilà, il est désormais en vente en librairies, notre petit livre écrit avec Anaïs Brosseau aux Presses Universitaires de France, collection Que sais-je ? ⌚ Il raconte cette course particulière - dont j'ai eu la chance de franchir huit fois la ligne d'arrivée jusque-là avec autant de joie quel que soit le chrono (lent). 📔 Entre histoire et histoires, on y parle d'abandon et de Berlin, d'escalier et de champignon, de Bobbi Gibb et de folklore, de records et d'Alain Mimoun, d'organisateurs et de Paris, de VMA et de sponsor, d'hydratation et de dossards, de toilettes et d'écologie, d'Athènes et de fauteuil, de Neuf-Brisach et d'Emil Zatopek, de sas et de bénévoles, de départ et de finisher, de fractionné et de Chantal Langlacé, de business et de balcons... 👓 En voici l'avant propos : 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est accomplir un exploit. Qui n’est ni facile ni inaccessible. C’est pour cette raison que la distance fait rêver. Parce que c’est possible ! L’engouement autour de ces 42,195 kilomètres prend une dimension particulière en 2024, alors que la France accueille les Jeux olympiques et paralympiques et que, pour la première fois, 20 024 coureurs et coureuses du quotidien (ou du dimanche) vont pouvoir fouler le même parcours que les champions et championnes. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est une performance, mais surtout une expérience. Une expérience qui nécessite de connaître quelques rudiments. Les rudiments techniques certes, mais aussi historiques, statistiques et anecdotiques. Peut-on vraiment être marathonien sans savoir qui étaient Alain Mimoun ou Kathrine Switzer, ce qu’est le fractionné, comment se porte un dossard, si quelqu’un courra la distance en moins de 2 heures un jour ou pourquoi le mouvement Spiridon a changé la course à pied ? Oui, on le peut, mais l’expérience est assurément moins complète et moins intense. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, « c’est 30 km avec les jambes, 10 km avec la tête, 2 km avec le cœur, 195 m avec les larmes », ainsi que l’avaient parfaitement résumé les organisateurs de l’épreuve parisienne en avril 2022. Ce sont ces émotions qui ont guidé la réalisation de cet ouvrage. Il est le fruit de milliers de kilomètres avalés, d’une dizaine de marathons terminés en France et à l’étranger, de nombreuses discussions et de multiples lectures. Le choix des entrées de ce livre est évidemment subjectif. 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻, c’est parfois terminer sans mots. 🙏 Merci à toutes celles et ceux (coureurs, organisateurs, passionnés...) qui ont répondu à nos questions et à celles et ceux qui ont raconté, par le passé, des moments forts du marathon. Merci à Christelle Daunay OLY, recordwoman de France pendant 16 ans, d'en signer la préface dans un texte personnel très fort. ❓ Si vous le lisez et que vous avez des remarques, suggestions, critiques, n'hésitez pas ! #Marathon #Running #Course

Ce week-end, comme près de 30 000 autres coureurs, j'ai pris le départ d'une course emblématique à Toulouse. Avec mes amis, nous avions un objectif commun : le semi-marathon de notre ville ! Un défi à la fois personnel et collectif, où chacun avait son objectif de temps, mais où l'essentiel était aussi de partager ce moment et l’après-course avec nos acolytes. Points faibles : Bien que cette course ait rassemblé une foule de passionnés, quelques éléments ont laissé un goût d’inachevé. Premièrement, l’incroyable affluence a parfois ralenti la performance, en particulier pour ceux qui visaient un chrono précis. Les marathoniens, eux, ont dû composer avec un départ très matinal, et pour un tarif bien plus élevé que d'autres événements similaires. Un coût que les prestations proposées ne justifiaient pas vraiment selon moi, surtout en comparaison avec d'autres marathons. Un autre point regrettable : la catégorie handisport, malheureusement peu mise en avant. Un événement de cette envergure devrait valoriser l’inclusion à chaque étape, en reconnaissant pleinement les exploits de tous. Enfin, le point noir de cette édition, à mon avis, reste l'arrivée commune pour les différentes courses (marathon, semi-marathon, et relais). Pour les coureurs de marathon, l’effort de 42 km est d’un autre niveau que celui d’un 21 km, et mérite, selon moi, une mise en lumière distincte. Ayant couru un marathon récemment, je sais combien chaque encouragement compte, surtout dans les derniers mètres. Cette arrivée unifiée a généré une confusion qui a impacté ceux d'entre nous avec des objectifs de temps. Ce type d’arrivée est peut-être envisageable pour un marathon de plus petite ampleur, mais ici, nous étions bien trop nombreux. Points forts : Malgré ces critiques, l'événement reste un moment unique et fédérateur. L’ambiance était tout simplement extraordinaire, portée par la chaleur et l’enthousiasme des Toulousains qui étaient au rendez-vous. C’était la fête du sport, pour tous, et une vraie réussite populaire ! Quel bonheur de partager cette expérience avec mes amis, de la préparation jusqu’au repas d'après-course, où nous avons célébré nos efforts. Et en tant que diététicienne-nutritionniste, je ne peux m’empêcher de voir aussi cet événement comme une occasion d’inspiration pour de potentiels patients motivés par la nutrition sportive. Chaque événement peut être critiqué, bien sûr, mais je garde en tête l’essentiel : l’incroyable moment partagé, les souvenirs de cette préparation avec mon acolyte, et surtout le plaisir d’un après-course entouré de mes proches. Hâte de remettre ça !

La star de la Maxi-Race, c'est le lac d'Annecy... Rendez-vous pour les championnats d'Europe Off fin mai ! Le 31 mai 2024, les montagnes autour du lac d'Annecy s'animent 🏞️ Non seulement pour la beauté de la nature, mais aussi pour accueillir des centaines d'athlètes prêts à se dépasser. La MaXi-Race, un événement clé dans le monde du trail, devient cette année le théâtre des championnats d'Europe Off. Une course qui n'est pas juste une compétition, mais une célébration de l'endurance, du dépassement de soi et de la fraternité entre les coureurs 🏃 Stéphane AGNOLI, l'âme de la Maxi-Race, est avec nous depuis le début. Il connaît chaque sentier, chaque dénivelé. Et il sait que chaque pas compte, pas seulement vers la ligne d'arrivée, mais dans la quête de devenir la meilleure version de soi-même. Stéphane n'est pas seulement un organisateur, il est un humaniste qui a transformé cette course en un phénomène global avec son acolyte de toujours Laurent BLONDEEL. → "Chaque coureur, chaque bénévole, chaque partenaire apporte sa propre essence à la course, et cela enrichit notre communauté." Lors de cet événement, nous verrons non seulement la compétition, mais aussi l'union de cultures, de passions et d'histoires personnelles. 💙 Vous pouvez liker ce post pour soutenir les courageux qui relèveront ce défi et pour célébrer notre liberté de courir, de découvrir, et de nous dépasser. D'ailleurs !!! J'ai eu le plaisir d'interviewer Stéphane sur mon podcast Objectif Finisher. Pour qu’il partage plus sur cet événement (et bien plus). Le lien du podcast est en commentaire ↓ #objectiffinisher #podcast #maxirace

𝗢𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝟯𝟬 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟮 : 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝘂 𝘁𝗿𝗶𝗮𝘁𝗵𝗹𝗼𝗻 𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗲́. L’organisation IRONMAN® annonce que les Championnats du Monde ne se dérouleront plus uniquement à Kona (Hawaii), mais à Nice une année sur deux. Tremblement de terre 😲 𝗞𝗼𝗻𝗮, 𝗰’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗹’𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲 𝘂𝗹𝘁𝗶𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁. L’aventure d’une vie pour un triathlète.  La seule épreuve pour laquelle tu passais une nuit blanche, branché sur NBC. Désormais, Nice, avec ses eaux azurées et ses montagnes escarpées, entre en scène. 𝗟𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 : 𝗡𝗶𝗰𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮-𝘁-𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘂𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗶𝘃𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗮𝘂𝗿𝗮 𝗱𝗲 𝗞𝗼𝗻𝗮 ? Aujourd’hui, 2 ans après ce tournant historique, que retenir de cette décision ? 💡 ⊙ Nice a-t-elle su relever le défi d’être à la hauteur d’un tel événement mondial ? ⊙ Est-ce que les athlètes vivent toujours cette qualification avec le même frisson ?  ⊙ Comment cela affecte leur préparation ? 🎙️ 𝗢𝗻 𝗮 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 Estée Chiara Larivière ☁ 🇫🇷, 𝗾𝘂𝗶 𝗮 𝗲𝘂 𝗹𝗮 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲𝗿 𝗮̀ 𝟮 𝗲́𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝗞𝗼𝗻𝗮 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯 𝗲𝘁 𝗡𝗶𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰. Elle nous a partagé ses ressentis, ses doutes, ses joies. Deux courses, deux atmosphères, deux légendes. 𝗘𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝘂𝘁𝘂𝗿𝘀 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝗳𝗶𝗲́.𝗲.𝘀, 𝗘𝘀𝘁𝗲́𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗮 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗶𝗲𝘂𝘅 : ⊙ Comment s’adapter à ces deux environnements uniques ?  ⊙ Comment préparer sa course en fonction des défis que chaque lieu impose ? Son retour d’expérience est précieux pour tous ceux/celles qui rêvent de cet exploit. 🔗 Le lien de l’épisode est en commentaire 𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀, 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗼𝘂 𝗺𝗮𝘂𝘃𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗶𝗱𝗲́𝗲 ? 𝗟𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝗮𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁. Mais une chose est sûre : la quête de l’IRONMAN®, elle, reste intacte chez les triathlètes.

15.000 femmes sur les 54.000 participants du Marathon de Paris 2024, soit 28% ! ⬇️ 𝐷𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 + 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥, +𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 + 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑠, 𝗲𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗼𝗿𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗮𝘂𝗴𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲 ! Les statistiques du Schneider Electric marathon de Paris, dont l'édition 2024 a eu lieu ce dimanche 7 avril, confirment la popularité de la discipline ! 𝟭𝗲𝗿 𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗣𝗮𝗿𝗶𝘀 𝗹𝗲 𝟭𝟴 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟭𝟵𝟳𝟲 L'époque où le premier marathon de Paris, le 18 septembre 1976, était bouclé par 126 concurrents (𝗱𝗼𝗻𝘁 𝗮𝘂𝗰𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲), soit une grosse poignée de coureurs passionnés réunis sur un parcours cantonné au bois de Boulogne, semble décidément lointaine. La 47e édition de l'épreuve, désormais renommée Schneider Electric marathon de Paris, confirme que la distance est devenue un phénomène de masse. La pratique de la course à pied en endurance s'est aussi rajeunie et féminisée ces dernières années, comme le confirment les statistiques communiquées par l'organisateur, ASO. Sans parler des pionniers de 1976, le peloton de la course s'est rapidement densifié sur la dernière décennie, avec une hausse de 35% des participants depuis 2015 où on dénombrait 40.022 participants : une foule de plus de 54.000 participants a pris le départ de l’édition 2024 sur les Champs-Élysées. 𝗗𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘃𝗶𝘁𝗲 ! Cela n'empêche pas la vitesse moyenne du peloton d'augmenter régulièrement : 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯, 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗶𝗻𝗶𝘀𝗵𝗲𝗿𝘀 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝟰𝗵𝟬𝟬'𝟰𝟰''. On ne parle pas ici de moyenne mais bien de chrono médian : cela signifie que la moitié des coureurs à l'arrivée avaient fait mieux que ce chrono et l'autre moitié plus. Ce chrono médian était de 4h18'05'' en 2016. - 𝗱𝗲 𝟯𝗵 𝗮𝘂𝘅 𝟰𝟮𝗸𝗺𝟭𝟵𝟱 Au-delà des athlètes élites, c'est tout une partie des participants amateurs qui montrent la hausse du niveau global. En 2023, 𝟮.𝟰𝟭𝟵 𝗰𝗼𝘂𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗿𝗲́𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗽 𝘀𝘆𝗺𝗯𝗼𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝟯 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀. 𝗣𝗮𝗿𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗶𝗺𝗼-𝗺𝗮𝗿𝗮𝘁𝗵𝗼𝗻𝗶𝗲𝗻𝘀 Paradoxe : au fil des années, le marathon attire chaque fois davantage de nouveaux convertis mais qui vont toujours plus vite sur les 42,195 km du parcours dans les rues de la capitale française. Cette année, 𝟰𝟲% 𝗱𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗶𝘀𝗽𝘂𝘁𝗲𝗿𝗼𝗻𝘁 𝗹'𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝟭𝗲̀𝗿𝗲 𝗳𝗼𝗶𝘀 contre 43% en 2023. 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑖𝑛𝑔𝑢𝑒𝑛𝑡 ! 𝗨𝗻 𝗽𝗲𝗹𝗼𝘁𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗶 𝗿𝗮𝗷𝗲𝘂𝗻𝗶𝘁 Premièrement, les participants au marathon sont de plus en plus jeunes, puisque la moyenne d'âge est passée de 41 ans à 38 ans depuis 2016. 𝗨𝗻 𝗽𝗲𝗹𝗼𝘁𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗳𝗲́𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝗲 Deuxièmement, les femmes se joignent de + en + à l'épreuve ! 🏃♀️ Elles représentent 28% du peloton cette année, trois points de + qu'il y a six ans.

Il devient hallucinant que les fonds publics continuent d’entretenir des mythes et âges d’or  plutôt que d’aider à transformer et rediriger les activités des territoires. Que 2026 mette sur la table de nouvelles propositions de projets de territoires durables et concertés pour que ces bifurcations se fassent de manière concertée avec toutes les parties prenantes. Protéger l’emploi et les ressources garantissant l’habitabilité des territoires va supposer un autre logiciel et une autre gouvernance,  et non pas que des élections d’epci au troisième tour des municipales. Protégeons à cette occasion les biens communs. Les Alpes ne peuvent plus être le laboratoire de ce qu’il ne faut plus faire.

6 faits et records insolites sur le marathon ! 1/ Le record du marathon en arrière est détenu par un français. Guillaume de Lustrac, 29 ans, et il court en 3h29 … Solide ! 2/ Le vainqueur du marathon des JO de Rome en 19060 a couru pieds nus !  Il s’appelle  Abebe Bikila, il avait  28ans, et ne devait pas courir la course car remplacant. Pour l’histoire c’est le 1er Africain qui a remporté l'or aux Jeux Olympiques. 3/ Le meilleur britannique sur marathon Emile Cairess, → court avec une simple montre Casio à 20€.  Comme quoi la performance, repose avant tout sur l'entrainement. 4/ Le marathon de Londres est celui qui a recu le plus de demandes : → 578 374  demandes en 2024. 5/ La course qui a rassemblé le plus de Coureurs était à Manille aux Philipines → En octobre 2010, elle a rassemblé 116k coureurs 6/ Le plus grand évènement de course à pied connecté Il a eu lieu en Janvier 2020 et il a fait courir 369,213 personnes sur 5 km partout à travers le monde. D'ailleurs en parlant de record ! Paris 2024 souhaite battre le record de la plus grande course connectée au monde et vise plus de 500k participants. Selon les applications, on s’approche du nombre d’inscrits. et le public français pourrait aussi avoir son record du monde. 🇫🇷 D’ailleurs vous pouvez courir le Marathon Pour Tous existe en version Connectée depuis l'application Kinomap. Il suffit de courir 30 minutes sur un tapis de course pour rentrer dans la légende. PS : On peut aussi participer depuis un vélo ou un rameur. (Le lien est en commentaire 👇) #Paris2024 #MarathonPourTous