06/06/2022 Libre Feuille N°2

Nous avons créé le monde dans lequel nous vivons. Que le résultat nous plaise ou non, nous en sommes les seuls responsables, nous les êtres humains. Nos croyances successives nous ont amenés là où nous en sommes. Il faut bien reconnaître que le résultat n'est pas très brillant, que ce soit en terme d'environnement, de santé ou de bien-être physique et psychologique. Pour arriver à un tel résultat, nous devons bien comprendre que nos croyances n'étaient pas forcément les bonnes. Mais faut-il pour autant penser que c'est foutu, qu'il n'y a plus rien à faire ?

J'ai une confiance inébranlable en l'être humain mais à condition qu'on lui permette d'agir, de penser et de s'informer librement.

Alors, si nous changeons nos croyances, nous pourrons peut-être changer le monde. Nos lois, nos religions, nos théories scientifiques sont le résultat de notre imagination. Rien ne nous empêche de les abandonner pour en mettre d'autres à la place. Ouvrons notre esprit à toutes les possibilités.

Tout au long des années, nous n'avons cessé de nous inventer des ennemis, nous n'avons cessé de nous opposer. Nous sommes persuadés que nous vivons dans un monde instable, violent où chacun doit se battre pour vivre. Est-ce la vérité ou sommes-nous manipulés pour nous le faire croire ?

Pour arriver au point où nous en sommes, nous avons du nous tromper à un moment ou à un autre. L'erreur est humaine dit-on, certes mais faut-il encore avoir le courage de reconnaître ses erreurs, de le dire et de proposer autre chose.

Partons de là où nous en sommes, essayons de voir là où nous nous sommes trompés, que ce soit dans le domaine de la santé, de la spiritualité, de la vie en société ou de l'idée que l'on se fait de l'être humain, et essayons de voir quelles alternatives donneraient de meilleurs résultats.

Je ne détiens pas la vérité, d'ailleurs qu'est-ce que la vérité ? Je veux juste, avec bienveillance et sans aucune animosité mais avec fermeté, ouvrir de nouvelles pistes et voir où cela pourrait nous emmener.

« Le respect aveugle de l'autorité est le plus grand ennemi de la vérité. » Albert Einstein

SANTE

L'état naturel du corps humain est d'être en bonne santé.

Bien qu'il apparaît difficile de maintenir son corps en bonne santé tout au long de la vie, il est pourtant véridique que notre état normal est d'être en bonne santé. La maladie n'arrive pas par hasard : de nombreuses causes en sont à l'origine, encore faut-il bien les reconnaître.

Beaucoup pensent que la maladie est inévitable et qu'elle est un aspect incontournable de notre vie. C'est une erreur.

La médecine moderne est basée sur des dogmes complètement dépassés, ce qui l'empêche de découvrir les véritables causes de la maladie. De plus, la médecine moderne s'autoproclamant comme l'unique système capable de soigner les malades, tous les moyens ( honnêtes ou malhonnêtes ) sont utilisés pour en faire la promotion et en faire le seul système à devoir être appliqué par les gouvernements de tous les pays du monde. Pas de place pour les méthodes de soin alternatives.

Au cours de l'histoire, les idées pour expliquer les maladies n'ont pas manqué : on a cru d'abord à des influences surnaturelles malveillantes nécessitant des sortilèges ou des incantations en guise de soins, puis ont est passé à l'utilisation de plantes, de minéraux, d'extraits d'animaux censés avoir des propriétés curatives.

Hippocrate, médecin grec ayant vécu il y a 2500 ans est souvent reconnu comme le père de la médecine moderne. Il reconnaissait, avec raison, l'importance de la nourriture pour rester en bonne santé. Mais pour rééquilibrer les humeurs, il préconisait la purge et la saignée, pratiques qui ont été utilisées par la médecine moderne jusqu'à une époque relativement récente.

Ces anciennes pratiques ont été utilisées jusqu'à la fin du 15ème siècle. Au 16ème siècle, le médecin suisse Aureolus Theophrastus Bombastus von Hohenheim, mieux connu sous le nom de Paracelse, proposa une nouvelle théorie qui disait que le corps humain est un système chimique qui devient déséquilibré quand une personne tombe malade. Pour rééquilibrer le système, il suffisait d'apporter des substances censées être efficaces. Par exemple, à cette époque, pour traiter la maladie appelée « syphilis », on utilisait le mercure.

La théorie la plus connue de Paracelse, qui a des conséquences catastrophiques jusqu'à aujourd'hui, se résume à cette phrase : « le poison est dans la dose ». Cette théorie a permis l'utilisation de produits toxiques comme médicaments, mais aussi comme herbicides, pesticides, sous prétexte qu'en dessous d'une certaine dose, le produit est inoffensif.

Contrairement à ce qu'affirment les autorités, l'idée qu'une bonne dose d'un médicament serait thérapeutique et qu'une mauvaise dose serait nuisible est un mensonge. Une substance toxique reste toxique quelque soit la dose administrée, la seule différence sera l'importance des effets produits et leur degré de nuisance. Même utilisés aux doses recommandées, de nombreux médicaments sont responsables d'effets secondaires, plus ou moins graves pour la santé. Retenez cette idée car elle est d'une importance capitale pour expliquer, en partie, beaucoup de maladies, si ce n'est toutes.

Ces deux principes de Paracelse sont encore de nos jours les piliers de la recherche médicale. Nous sommes au 21ème siècle et les recherches concernant la « médecine moderne » sont encore basées sur deux concepts datant du 16ème siècle. Autant dire que sur ce point là nous n'avons pas beaucoup évolué. Mais le plus grave, c'est que ces deux concepts sont loin de faire l'unanimité.

Une autre théorie, sur laquelle notre médecine moderne se base, est la théorie des germes qui dit que l'invasion du corps par des germes provoque des maladies. Les germes sont alors dits pathogènes.

Cette théorie du germe suppose donc que tous les germes responsables de maladies ont été soigneusement identifiés, isolés et que leur capacité à provoquer une maladie a été prouvée sans l'ombre d'un doute. De plus, cette théorie doit fournir une explication convaincante sur les germes et les mécanismes par lesquels ils provoquent des maladies.

Pourtant, il n'y a aucune preuve scientifique qui démontre définitivement qu'un germe quelconque provoque la moindre maladie infectieuse spécifique. Par contre, d'autres explications beaucoup plus convaincantes permettent de comprendre les causes des maladies dites infectieuses, sans qu'il y ait besoin de faire intervenir des germes pathogènes.

Les bactéries sont à la base de la vie. Nos tous premiers ancêtres sont des micro-organismes comme les bactéries, les archées, les champignons. Le concept de bactéries pathogènes par nature n'est fondé sur aucune preuve scientifique, comme nous le verrons dans les numéros à suivre.

En ce qui concerne les virus, la première question est : sont-ils des êtres vivants ? La réponse n'est pas forcément celle des virologues.

La gestion de la crise sanitaire qui a débuté en mars 2020, nous montre que la médecine est arrivée au bout de ses certitudes et qu'elle est incapable de prévenir ce type de situation si elle ne change pas ses dogmes pour expliquer les maladies.

« Les docteurs sont des gens qui prescrivent des remèdes dont ils savent peu de choses afin de soigner des maladies qu'ils connaissent encore moins, à des êtres humains dont ils ignorent tout. » Voltaire

Suite dans le numéro 3 où nous examinerons les concepts de Paracelse et dans le numéro 4 où nous examinerons la théorie des germes.

A suivre...

ENERGIE/MATIERE - ESPRIT/CORPS

La physique quantique nous dit que la matière est de l'énergie condensée. On ne peut comprendre la vie si on ne s'intéresse pas à la relation énergie/matière, et donc pour notre santé, à la relation esprit/corps.

L'esprit peut transformer le corps : c'est un fait dont nous devons absolument tenir compte si nous voulons découvrir les vraies causes des maladies.

Par exemple, quand nous nous mettons en colère, ce simple changement d'état d'esprit modifie notre apparence physique et le fonctionnement de notre corps. En effet, quand nous sommes en colère, les traits de notre visage se transforment, la couleur de notre peau change, notre cœur se met à battre de façon accélérée et désordonnée, tout notre corps est affecté par cette colère. Ceci entraîne une énorme dépense d'énergie et quand notre colère disparaît, nous nous sentons épuisés.

Un simple changement d'état d'esprit entraîne des bouleversements importants au niveau de notre corps physique.

Notre seule imagination peut modifier notre corps physique. Si nous voulons nous détendre, imaginons que nous sommes dans un endroit paradisiaque et tout de suite nous nous détendons.

Notons que le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l'imaginaire.

Notre corps physique est le reflet, dans le monde de la matière, de notre corps énergétique, vibratoire, spirituel. Notre corps énergétique, c'est nos émotions, nos pensées, nos croyances.

Des souffrances, des tensions, des peurs réelles ou imaginaires sont en nous. Souvent nous ne voulons pas les ressentir car c'est trop douloureux, ou nous ne voulons pas paraître faibles, ou ce sont des tensions enfouies en nous depuis l'enfance et nous n'en sommes plus conscients. Tout ceci crée un déséquilibre énergétique vibratoire qui affecte le fonctionnement du corps.

La permanence de notre nature originelle basée sur l'amour est présente en chacun de nous en tout temps et en tous lieux. Il y a un écart entre ce que nous sommes vraiment et ce que nous pensons être. Nous sommes les créateurs de notre vie, nous avons la possibilité de retrouver notre nature originelle .

Chaque situation qui se présente à nous est un message que nous donne la vie. Tout ce que nous vivons à l'extérieur est une manifestation de notre état d'esprit intérieur. Quand nous rencontrons une personne, un objet ou une situation, nous sommes en relation avec un peu de nous-même.

Nous créons chaque expérience en fonction de ce que nous pensons au fond de nous-même, que nous en ayons conscience ou non.

A suivre...

SOCIETE

Si l'on en croit les discours officiels, une des priorités des français serait la sécurité. Mais sommes-nous vraiment en danger ? Si nous regardons les informations à la télévision ou si nous les écoutons à la radio, nous avons l'impression que le monde va mal et que nous ne sommes plus en sécurité. Le problème est que les informations radiotélévisées ne relatent que ce qui va mal et de plus la tendance est d'exagérer au maximum les faits. Le catastrophisme fait augmenter les tirages et les audiences, mais donne une image biaisée de la réalité. Par exemple, au moment où j'écris, pour une personne qui fait une mauvaise action des millions, voire des milliards, d'autres dans le monde font de bonnes actions, mais on n'en parle pas.

La tendance est de penser que l'être humain est méchant de nature, ce qui arrange bien les gouvernants qui peuvent ainsi justifier leur pouvoir pour maintenir l'ordre.

L'être humain est-il vraiment sans foi ni loi ou est-ce une idée que nous nous faisons ?

Dans une forêt de Norvège, au sud d'Oslo, il existe une prison pas comme les autres. C'est la prison de Halden. Dans cette prison, il n'y a pas de cellules, pas de barreaux. Chaque prisonnier dispose de sa propre chambre, avec chauffage, télévision, salle de bain. Des cuisines sont à la disposition des prisonniers. Il y a aussi une bibliothèque, un mur d'escalade, un studio d'enregistrement. Tout cela se trouve au milieu d'une forêt de bouleaux et de pins parcourue de sentiers. Tout autour, il y a un haut mur d'acier qui montre bien qu'il s'agit d'une prison.

Les surveillants ne portent pas d'armes : « Nous parlons aux gars, c'est ça notre arme » disent-ils.

Toujours en Norvège, l’île de Bastoy sert de prison à une centaine de grands criminels qui y purgent leurs dernières années de détention. Dans cette prison , il est difficile de distinguer le personnel des criminels. Les détenus et les surveillants font un barbecue ensemble, nagent ensemble . Les surveillants ne portent pas d'uniformes, ni d'armes..

Dans cette prison, il y a un cinéma, deux pistes de ski. On y fait aussi de la musique. Des détenus ont fondé un groupe, le Bastoy Blues Band et ont assuré la première partie du groupe ZZTop.

Les détenus doivent tout faire pour faire tourner la communauté. Ils jardinent, cuisinent, bricolent. Certains prisonniers travaillent sur le continent. Les détenus ont à leur disposition différents outils, des couteaux et même une tronçonneuse.

Le personnel de ces prisons suivent une formation de deux années où ils apprennent qu'il vaut mieux être ami avec les détenus que les traiter avec condescendance et les humilier. Les surveillants disent qu'il faut préparer les détenus au retour à la vie ordinaire et pour cela, la vie dans la prison doit ressembler le plus possible à la vie à l'extérieur.

Et cela marche. Ces prisons sont des communautés paisibles où les détenus se respectent les uns les autres.

Voici ce que dit le directeur de la prison de Bastoy : « C'est extrêmement simple . Traitez les gens comme des ordures et ils se comporteront comme des ordures. Traitez-les comme des êtres humains, et ils se comporteront comme des êtres humains ».

En Norvège, le taux de récidive est le plus bas du monde. Pour la prison de Bastoy, le taux de récidive est de seulement 16%, ce qui en fait la meilleure prison d'Europe, voire du monde.

De plus des économistes ont fait le bilan du coût économique. Un séjour dans ce type de prison coûte en moyenne 60 000 dollars par condamnation, soit le double du coût aux États-Unis. Mais le système judiciaire économise 71 000 dollars car les ex-détenus commettent moins de délits. De plus, en moyenne 67 000 dollars sont économisés car les ex-détenus sont plus nombreux à trouver un travail.

La plupart d'entre nous pensent qu'il est normal d'enfermer les criminels et de les traiter comme tels. Vaut-il mieux des prisons qui sont devenues de véritables écoles du crime, comme on le voit en France, ou des prisons qui permettent vraiment de faire baisser la criminalité, comme en Norvège ?

Le système norvégien, contrairement à ce que l'on pourrait penser, est plus efficace, plus humain et moins cher.

Même les pires criminels sont avant tout des êtres humains. Si nous les considérons comme des êtres malfaisants, ils restent des êtres malfaisants. Si nous les traitons avec humanité, nous leur permettons de changer.

L’être humain est bon naturellement, regardons-le en tant que tel. Avant d'imaginer quoique ce soit sur une personne, considérons-la comme un être humain digne de notre respect et engageons le dialogue. On a toujours tendance à s'imaginer des tas de choses sur une personne, sans même la connaître. Cessons de juger les autres, essayons plutôt de les connaître.

Le pouvoir de nos dirigeants repose sur cette croyance que l'être humain est fondamentalement méchant et que donc il y a besoin d'eux, de leurs polices, de leurs armées pour maintenir l'ordre. Les médias, par la vision déformée qu'ils nous donnent du monde, favorise cette croyance.

Savez-vous pourquoi l'être humain est naturellement bon, s'il ne subit aucune pression ? La réponse est simple : parce que cela lui est bénéfique.

De nombreuses études ont montré que la bienveillance, l'amour, le partage, la tolérance, la fraternité nous rendent plus heureux et améliorent notre état de santé, contrairement à la malveillance, la haine, l'égoïsme, l'intolérance qui nous rendent malheureux et qui altèrent notre santé.

En fait, il y a une seule force qui stabilise l'univers, qui nous relie, qui oriente la vie : cette force c'est l'Amour. Cette force, cette énergie qu'est l'Amour est présente et disponible partout dans l'univers. Pour un monde de paix, d'harmonie, de bien-être, de joie, il nous suffit d'utiliser cette magnifique énergie qu'est l'Amour. Nous avons tous ce pouvoir de changer le monde.

Pourquoi déléguons-nous notre pouvoir intérieur à des pouvoirs extérieurs comme les politiciens, les syndicats, les religions ?

A suivre...

COVID 19

Sur mon site Conseils Santé | Toujourslavie , je me suis largement exprimé sur la gestion catastrophique de cette crise sanitaire et, notamment, sur les effets désastreux de ce que j'ai appelé l'hystérie médiatico-politico-scientifique qui sévit depuis deux ans. Voici quelques éléments supplémentaires pour vous éclairer.

Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l'état d'urgence sanitaire

Article Publié par France Soir le 26/05/2022 à 14:50

Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l'état d'urgence sanitaire (francesoir.fr)

« Lors d'un sommet mondial sur le Covid, 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l'état d'urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d'avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.

Se déclarant unis par leur loyauté au serment d'Hippocrate, ces médecins et scientifiques dénoncent les désastreuses politiques de santé publique mises en œuvre pour lutter contre la propagation du Covid-19, estimant que ces mesures sont le fruit d'une "alliance médicale corrompue" d'institutions pharmaceutiques, d'assurances et de soins de santé, sous la houlette des trusts financiers qui les contrôlent.

L’illusion de consensus scientifique dénoncée

Selon eux, cette "alliance corrompue" a compromis l'intégrité des sociétés médicales les plus prestigieuses, générant une illusion de consensus scientifique en substituant la propagande à la vérité par la diffusion d'affirmations dénuées de base scientifique, par la censure, et par l'intimidation des médecins et scientifiques qui ont publié des résultats cliniques sur des médicaments éprouvés ou sauvé des vies par le biais de ces traitements.

Ces 17 000 scientifiques et médecins veulent faire émerger la vérité afin que cessent des décisions qu'ils estiment catastrophiques et prises aux dépens d'innocents qui subissent des dommages sanitaires depuis le début de la pandémie. Des dommages qui ont commencé avec la rétention intentionnelle de traitements ambulatoires précoces comme l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou l’azithromycine pour se poursuivre l'année suivante avec les injections forcées d'un produit, qui n’avait pourtant fait ni la preuve de son efficacité, ni l’assurance de sa sécurité lors de son lancement en population générale.

Absence de consentement éclairé et rétention d’information scientifique de premier plan

Ils dénoncent également le fait qu'une majorité de la communauté médicale a refusé aux patients le droit humain fondamental de recevoir un véritable consentement éclairé sur les injections expérimentales contre le Covid-19, leur empêchant d'obtenir des informations nécessaires pour comprendre les risques et les avantages des vaccins.

Au-delà de la réponse thérapeutique, c’est toute la politique sanitaire qui est dénoncée, notamment les enfermements forcés qui nuisent à la santé, à la vie professionnelle des individus et à l’éducation des enfants. Des décisions graves qui ont également porté atteinte aux liens sociaux et familiaux. Ils mettent également en lumière ce qui, pour eux, ne peut pas relever d'une simple coïncidence : le dessein inscrit dans le livre intitulé « Covid-19:The Great Reset », à savoir faire de l’épidémie de Sars-CoV-2 l’opportunité de "réinitialiser" l’ensemble de la société, notamment l’ensemble des structures politiques, l’économie et la culture. Ces 17 000 scientifiques et médecins n’hésitent pas à qualifier les actions de cette alliance de crime contre l’humanité.

Reconstruire une éthique médicale

Pour eux, restaurer la confiance des gens dans la médecine implique de commencer à rétablir un dialogue libre et ouvert entre les différents acteurs de la communauté scientifique. Cela passe également par le rétablissement de la relation sacrée entre le médecin et le patient, la réhabilitation des droits médicaux et l’autonomie des patients.

Après deux années de recherche scientifique et après avoir analysé les conséquences des décisions politiques prises au cours de cette période, ces 17 000 scientifiques et praticiens estiment avoir démontré et documenté leurs succès dans la compréhension et la lutte contre le Covid-19 et sont parvenus à un consensus autour des principes fondamentaux suivants :

1-Nous déclarons – et les données le confirment – que les injections de thérapie génique contre le Covid-19 doivent cesser.

2-Nous déclarons que les médecins ne devraient pas être empêchés de prescrire un traitement médical vital.

3-Nous déclarons que l’état d’urgence national, qui facilite la corruption et prolonge la pandémie, devrait être immédiatement aboli.

4-Nous déclarons que la vie privée médicale ne devrait plus jamais être violée.

5-Nous déclarons que les masques ne sont pas et n’ont jamais été une protection efficace contre un virus respiratoire en suspension dans l’air dans le cadre communautaire. 

6-Nous déclarons que le financement et la recherche doivent être mis en place pour étudier les dommages causés par la vaccination.

7-Nous déclarons qu’aucune opportunité professionnelle, y compris dans le milieu médical, scolaire et militaire, ne devrait être interdite en cas de refus de cette injection.

8-Nous déclarons que les violations du premier amendement et la censure médicale opérée par le gouvernement, les entreprises de technologie et les grands médias devraient cesser et que la Déclaration des droits (Bill of Rights) devrait être respectée.

9-Nous déclarons que les laboratoires Pfizer, Moderna, BioNTech, Janssen, AstraZeneca, et les personnes qui leur sont affiliées, ont délibérément caché des informations sur la sécurité et l’efficacité des injections aux patients et aux médecins. À ce titre, ils devraient immédiatement être inculpés pour fraude.

10-Nous déclarons que le gouvernement et les agences de santé publique doivent être tenues responsables.

Reconstruire et se reconstruire, tel est l'objectif proposé par ce sommet, particulièrement soucieux de la juste réparation des dommages causés par les effets secondaires d'une vaccination précipitée et inutile pour la grande majorité de la population, notamment pour les jeunes personnes, peu sujettes à développer des formes graves de la maladie. »

A suivre...

Puisse la Paix régner dans tous les cœurs et sur la terre.

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