ARRÊTEZ !!! de vouloir ARRÊTER.
Décidez de ne plus en reprendre, cela revient au même, mais cela change tout !!!
#MoisSansTabac #arretezdarretez
Je suis un ancien fumeur qui un jour en a eu ras-le-bol de se lever la nuit pour fumer, ras-le-bol de sentir le tabac froid, ras-le-bol de courir après un buraliste les jours fériés et les dimanches etc ...
Alors... c'est simple vous dirons les non fumeurs : " tu n'as cas arrêter !!! " Et puis si tu n'y arrives pas, " tu peux te faire aider pour arrêter " ... tout cela il est vrai que je n'y avais pas pensé ... qu'aucun fumeur ou ancien fumeur n'y avait pas pensé ... Penses-tu !
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Mais en ce qui me concerne j'apprécie moyennement les privations de quoi que ce soit. Je suis loin d'être un rebelle mais j'aime ma liberté de conscience et repousse au maximum la négation en générale.
Alors vous me direz que dans les paragraphes précédents je me suis lâché... c'est fait exprès !
Revenons-en au fondamental de ce post : ARRÊTEZ de vouloir ARRÊTER. A tous les fumeurs et fumeuses qui souhaitent mettre le haut-là à cette pratique addictive je vous fais part de ma propre expérience : j'ai décidé que j'avais trop fumé et que le prochain cigarillo, je fumais entre 30 à 40 cigarillos/jours tout de même, je le laisserai dans sa boîte.
Au travers de cette réflexion j'ai ainsi contourné la frustration générée lorsque vous ou quelqu'un dit "arrêtez". Si vous arrêtez quelque chose qui vous fait mal ... pas de problème votre cerveau et votre corps régissent super bien... mais ... car il y a "toujours" un MAIS ... si vous arrêtez une activité que vous aimez, qui, vous pensez, vous fait du bien, en fait votre cerveau se révolte et sa contestation latente, génère une rechute tôt ou tard.
De même "arrêter" de fumer pour de "mauvaises" raisons : économique, entourage, blablabla ... vous conduit inéluctablement à la rechute. La seule raison durable c'est VOUS pour vous. Bien entendu votre entourage en sera ravi... Bien sûr qu'au niveau économique vous vous y retrouverez, mais ce que nous avons appris à aborder en premier ce sont les causes et nous constatons les effets bénéfiques ou non, cela dépend.
Ce que je vous invite à faire, c'est de travailler VOS effets ... surtout pas les causes et les effets des autres ... mais bien les VÔTRES.
Certains vous dirons que la communauté scientifique s'accorde à dire qu'il faut en moyenne 45 jours pour encrer une nouvelle habitude dans notre vie quotidienne. D'autres vous diront entre 2 à 8 mois et que cela relève plus de statistiques que de la science. Je vous dirai qu'il faut un certain temps ... voir un temps certain.
Pour ma part, afin d'arriver au 20ème, au 100ème ... au 300ème jour du processus personnel que vous engagerez, il vous faudra commencer au 1er Jour qui est le plus important : celui de votre souhait personnel et j'ajouterai même "d'égoïste".
Ce que je souligne par "égoïste" c'est que cette "décision est", et doit rester "autocentrée" sur VOUS, pour VOUS. Les autres en profiteront, ou pas, selon l'effet que vous aurez choisi de produire. Il vous faudra avancer à pas sages et emprunter ce chemin que d'autres ont suivi avant vous, celui qui vous mènera vers cet un connu, vers la connaissance de vous.
Quoi qu'il en soit, durant toute cette période où vous vous direz "j'ai déjà trop pris de gâteau, merci, je passe mon tour" ramené à la cigarette : " J'en ai déjà fumé des tas de cigarettes, elles sont toutes pareil, que va m'apporter de plus celle-ci ? "
Je vous invite à remplacer le terme "gâteau" par tout autre élément que vous affectionner particulièrement et que vous vous savez consommer en quantité déraisonnée lorsque vous l'avez sous les yeux. Le principe étant que si vous refusez de reprendre une part de quoi que ce soit parce que vous en avez déjà trop pris, votre cerveau vit cette situation comme une "chose raisonnée" à l'inverse d'une frustration liée à l'arrêt brutal de l'activité qui vous procurez du plaisir.
Vous pouvez faire un parallèle avec nos chères têtes blondes. Lorsque nous leur demandons d'arrêter de jouer pour faire les devoirs, ranger leur chambre, se laver les dents ... Vous voyez cette frustration que certain(e)s expriment avec tout le souffre qui les compose... Eh bien votre cerveau fait de même pour toute action pensée qui emploie ce terme "arrêt".
Je vous passe les actions de s'arrêter à un feu rouge, un stop, au bord d'une falaise et que sais-je encore, qui au delà du verbe d'action "arrêter", son des actions réfléchies et acceptées par votre cerveau comme vous préservant d'un mal qui pourrait porter atteinte immédiate à votre vie. Le fait d'arrêter de fumer est intégré d'une toute autre manière puisque c'est brutal et génère une frustration : "fumer me procure du plaisir, me détend, me fait penser à autre chose... etc..." Les fumeurs(euses) se retrouveront en tout ou partie de ce type de pensé, et certainement auront d'autres attraits concernant l'usage de la cigarette ou équivalent.
Vous me direz qui suis-je pour aborder cette thématique de cette manière. Je vous l'accorde je suis comme vous un Être Humain, et je me place au même niveau que quiconque sans supériorité, mais une Être Humain qui a décidé de "ne plus en reprendre".
Mais je peux me tromper...
Hervé:.
PS : ci-après des liens dont vous pourriez avoir besoin pour vous ou des proches
"mois-sans-tabac.tabac-info-service.fr/"
"ameli.fr/isere/assure/sante/themes/tabac/astuces-arreter-fumer-sevrage"
"service-public.fr/particuliers/actualites/A14364?xtor=EPR-100"