💥 ASSIEDS-TOI, FAUT QUE JE TE PARLE…

Que ce soit pour donner un feedback négatif, annoncer une augmentation qui ne passe pas, ou encore mener un recadrage en règle, les situations susceptibles de générer des conversations difficiles sont monnaie courante dans le monde du travail. Mais ce n’est pas pour autant que cela rend la tâche moins complexe aux managers qui y font face. Confrontés à ces rendez-vous désagréables, ces derniers privilégient généralement deux options : éviter la confrontation ou l’aborder de front. 

Notre expert Ludovic Girodon 🙌🏻 , quant à lui, envisage d’autres démarches bien plus constructives qu’un dilemme façon Confessions nocturnes dans pareil contexte. Son mot d’ordre ? Favoriser le dialogue afin de préserver un climat de sécurité psychologique essentiel au bien-être et à la performance de l’équipe. Aussi, quelque soit les circonstances, le manager possède un rôle central pour, à la fois, rappeler les règles et contraintes de l’entreprise, tout en cherchant à se mettre à la place de ses collaborateurs. Souriez, c’est la fin de vos journées dans le noir !

« Lorsqu’il aborde une conversation difficile, le manager doit toujours faire preuve d’empathie, c’est la clé. Il doit rester ferme et clair, mais exprimer de la compassion envers l’autre et s’efforcer de se mettre à sa place. »

Ludovic Girodon

Puisqu’il vous faudra faire sans Diam’s, retrouvez tous les conseils de Ludovic par ici !

💸 LE PRIX À PAYER

Imaginez : votre journée commence comme à son habitude. Après avoir salué vos collègues en arrivant au bureau, vous vous dirigez d’un pas assuré à la machine à café. Là, au lieu de discuter de la pluie et du beau temps, vous surprenez une conversation entre Marie et Matthieu. Ces deux-là sont en plein échange à propos de votre futur collègue, Thomas, qu’ils viennent d'embaucher. Mais en laissant traîner une oreille, vous glanez une info de taille : ce dernier va être payé 5K de plus que vous pour un poste identique. Quelle pourrait bien être alors votre réaction ? 

Spoiler : avec plus ou moins de fracas, vous avez toutes les chances de prendre la tangente. Loin d’être anodine, la découverte par un ou plusieurs salariés de conditions plus favorables pour les nouveaux venus entraîne, sans grande surprise, un effet domino de départs. Sauf qu’à ce jeu là, l’entreprise a beaucoup à perdre puisque ce sont généralement les meilleurs qui claquent la porte en premier. Pour éviter une véritable fuite de talents, notre experte Laetitia Vitaud vous dévoile ses recommandations afin de bâtir une politique salariale équitable et ainsi réduire les risques de départ de vos champion·nes. 

« Personne n’aime être « pris pour un pigeon », c’est-à-dire que quelqu’un profite de sa naïveté ou de sa confiance. Un salarié investi qui n’est pas récompensé pour ses efforts et comprend que quelqu’un d’autre est payé plus cher à sa prise de poste ressent nécessairement ce sentiment. L’effet du pigeon, c’est quand on se dit qu’on en fait probablement trop pour son employeur par rapport à sa paie et qu’on ferait mieux d’aller voir ailleurs pour être mieux valorisé et augmenté.  »

Laetitia Vitaud

Pour ne pas payer cher un mauvais calcul, retrouvez-nous par là !

🎁 DÉSTABILISATION, PETITES ATTENTIONS ET TEST DE PERSONNALITÉ 

Ça passe ou ça casse. En tant que recruteur, les multiples entretiens qui jalonnent le processus de recrutement font figure d’exercices bien connus, rapidement maîtrisés sur le bout des doigts. Du moins, jusqu’à ce qu’une rencontre ne fasse vaciller cette promenade de santé, vous projetant dans une situation inédite, voire carrément troublante. Notre experte Céline Méchain nous dévoile cinq cas de figure singuliers auxquels elle a fait face au cours de sa carrière, ainsi que ses conseils pour y réagir si vous deviez, vous aussi, en faire l’expérience.

Le petit truc en plus. Dans l’arène du recrutement, les candidats sont de plus en plus exigeants. Une offre d'emploi, même attrayante, ne suffit plus à les séduire, tant et si bien que les entreprises peinent à se démarquer dans un marché ultra-compétitif. Et si, comme en amour, il fallait finalement chercher du côté des petites marques d’attention pour faire toute la différence ? Nos experts Roseline Laloupe et Léo Bernard 🦊 reviennent sur ces preuves d’intérêt à part qui peuvent faire pencher la balance en votre faveur. 

Profil bleu ou rouge ? Astrologie, graphologie, MBTI… pour éviter toute erreur de casting dans leur processus de recrutement, les entreprises semblent parties en quête d’un l'élixir infaillible. Et force est de constater que dans cette recherche sans fin de l'employé idéal, les tests de personnalité ont désormais une place de choix. Mais est-ce vraiment pour le meilleur ? Ces derniers doivent-ils devenir un incontournable de tout entretien ? Nos expertes Marie-Sophie Zambeaux 🦉 et Elise Fabing ont leur petite idée sur la question !

💌 VOUS AVEZ UN MESSAGE… DE LOUIS VAREILLE

Le phénomène de réunionite qui sévit au sein de l’Hexagone n’est pas nouveau. Pourtant, de nombreuses organisations peinent à revoir leurs habitudes, alimentées, entre autres, par un modèle managérial qui semble immuable. À tel point qu’aujourd’hui encore, un cadre passerait plus de temps en réunion qu'en vacances. Heureusement, notre expert Louis VAREILLE facilite nos prises de conscience, en dressant la liste des pires réunions inutiles qu’il est urgent de supprimer. 

« La réunion du vendredi, 17 heures. Vous savez celle qui arrive au dernier moment, juste avant que tout le monde parte en week-end. Mais c’est le bon moment pour le chef, d’abord, de se libérer de tout ce qu’il a dans la tête et de le transférer, et puis c’est une manière aussi de vérifier que tout le monde bosse jusqu’au bout. (...) Les réunions, c’est essentiel, mais encore faut-il trouver des créneaux qui conviennent à tout le monde !  »

Louis Vareille

Si vous préférez votre serviette de plage à Zoom, foncez ici !

🧑🔬 NOS EXPERT·ES ONT DU TALENT

Ça arrive vite. Notre expert Albert Moukheiber clôture son cycle de conférences avant les vacances d’été avec un nouveau et vaste sujet : le langage détermine-t-il notre rapport au monde ? Dit autrement, le fait que vous parliez la langue de Molière ou celle de Shakespeare notamment influencerait la manière dont vous percevez et traitez le réel. Certains chercheurs avancent même que le langage est une fonction « innée » de notre cerveau. Mais est-ce vraiment le cas ? Le 2 juin, ce sera du côté du Mk2 Bibliothèque que vous pourrez découvrir la réponse. 

Bouillonnant n’est-ce pas ? À très vite pour un nouveau concentré des expériences du Lab de Welcome to the Jungle.  

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