Ces milliardaires qui sont partis de rien.

Ces milliardaires qui sont partis de rien.

Beaucoup de riches entrepreneurs partis de rien ont commencé avec des moyens très limités avant de construire leurs fortunes.

Ces milliardaires qui sont partis de rien.

1/Oprah Winfrey est l'Afro-Américaine la plus riche du monde.

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C’est une femme qui est partie de rien pour devenir la femme la plus puissante, je pense, dans le monde. Née dans le Mississippi rural.

Rien ne semblait prédestiner la jeune fille à une brillante carrière professionnelle. Ballotée pendant son enfance entre sa grand-mère, sa mère puis son père, la jeune Oprah Winfrey grandit dans un environnement familial très instable où elle subira même des sévices. Mais déjà, la jeune fille fait preuve d'une volonté infaillible qui va l'aider à gravir les échelon

Son entrée dans le monde médiatique est faite, elle ne quittera plus jamais les micros : médias locaux à Nashville, première femme noire présentatrice télé de l’État, puis finalement en 1978, à 24 ans, le début de la gloire. Elle devient coprésentatrice d’un talk-show local, People Are Talking.

Devenue millionnaire à l’âge de 32 ans, alors qu'elle s'habillait grâce aux sacs de pomme de terre étant adolescente, sa fortune est aujourd’hui estimée à 2,7 milliards de dollars.

2/Mohed Altrad premier Français sacré Entrepreneur mondial de l'année en 2015, 31e fortune de France en 2019, selon Challenges, avec un patrimoine estimé à 3,4 milliards d'euros.

Président du club de rugby de Montpellier et entrepreneur de l’année, Mohed Altrad, a mangé un seul repas par jour lors de son arrivée en France.

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Pendant les vacances d’été, Altrad travaille dans les vignes autour de Montpellier, cueillant des raisins et faisant les vendanges pour l’équivalent de 12 euros par jour.

J’avais plusieurs défis à relever : apprendre le français, découvrir la culture et les codes de ce nouveau pays et, surtout, essayer d’oublier ce que j’avais été en Syrie. Je me suis battu pour me faire une place sur les bancs de l’école. J’ai passé mon bac et j’ai reçu une bourse – 200 francs, je m’en souviens – pour aller étudier en France.

L’argent n’a jamais été un moteur. Je ne suis pas attaché aux biens matériels. Vous savez, dans le désert, le bédouin n’a pas besoin de grand-chose pour vivre.

Je voulais devenir mon propre patron. Mais un entrepreneur ne doit pas se transformer en robot qui fabrique de l’argent. Il faut ajouter d’autres dimensions à l’économique, des valeurs comme le respect, la solidarité, le courage, l’humilité, la convivialité.

Jan Koum, cofondateur de WhatsApp, vivait autrefois grâce à des coupons alimentaires avant que Facebook ne fasse de lui un milliardaire.

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Le conte de fée pour cet entrepreneur de 38 ans a commencé près de Kiev où Jan Koum est né dans une famille juive très pauvre.

Les premiers temps sont difficiles et ne correspondent pas vraiment à l’image standard du rêve américain : Jan Koum, enfant turbulent, va à l’école avec des cahiers et des stylos datant de l’époque soviétique, amenés par sa mère qui voulait ainsi faire des économies sur l’achat des fournitures scolaires.

Pour se nourrir, le jeune homme et sa mère font la queue afin de récupérer des bons alimentaires. Sa mère cumule les petits boulots de baby-sitter et Jan gagne quelques sous en faisant le ménage dans une petite épicerie locale.

Jan Koum a appris l’informatique et s’est formé sur les réseaux en achetant des manuels dans un magasin de livres d’occasion. Il intègre une université de la Silicon Valley et travaille pour une société de sécurité informatique quand il rencontre en 1997 Brian Acton, avec qui il fondera plus tard WhatsApp. Brian Acton travaille alors pour Yahoo!.

Le fondateur du réseau social Mark Zuckerberg a décrit Jan Koum comme un collaborateur précieux depuis plusieurs années. En rachetant la startup pour un prix que certains jugent déraisonnable, il a fait de Jan Koum et Brian Acton deux nouveaux milliardaires.

Howard Schultz, fondateur de la chaîne de cafés américaine Starbucks, a grandi dans un complexe de logements pour les pauvres.

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Dans une interview avec le tabloïd britannique Mirror, Schultz dit: « En grandissant, j’avais toujours l’impression de vivre de l’autre côté des pistes, je savais les gens de l’autre côté ont plus de ressources, plus d’argent, des familles plus heureuses. Et pour une raison quelconque, je ne sais pas pourquoi ni comment, je voulais franchir cette barrière et réaliser quelque chose qui dépasse ce que les gens disaient était possible. »

Schultz a fini par gagner une bourse sportive de l’Université de Northern Michigan et est allé travailler comme vendeur pour l’entreprise Xerox après l’obtention du diplôme. Peu de temps après, il rejoint Starbucks, alors une petite société de café, comme directeur du marketing en 1982.

Howard Schultz est devenu le PDG de l’entreprise en 1987 et a grandi la chaîne de cafés à plus de 16.000 points de vente dans le monde entier.



Ahmed Elyaagoubi

Enseignant de didactique du fle chez crmef

4 ans

Absolument

LEILA LEHTIHET

Maitre-assistante en Toxicologie.Chef de service par intérim au laboratoire de l'EHS Ali Ait Idir.

4 ans

Le plus important, c'est d'essayer de se frayer un chemin dans ce monde qu'est le nôtre, en travaillant pour aider les plus démunis. C'est bien beau de gravir les échelons, mais les gravir pour venir en aide à son prochain est encore plus valorisant. Combien de personnes sont devenues des leaders sans pour autant gagner l'estime des autres. Dans la vie, il faut se dire...Aujourd'hui je suis richissime, demain je pourrais être le plus pauvre des pauvres et vice versa. Très bonne journée à toutes et à tous les Linkd'Inniens.

Merci Geeta COWLESSUR, agréable fin de semaine

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