Cessez d'être vrai, SOYEZ GENTILS* !

Cessez d'être vrai, SOYEZ GENTILS* !

C’est fou ce qu’on se méfie de la gentillesse ! Alors qu’elle nous fait tellement de bien. Fenêtre vers l’empathie, cette belle compétence qui nous permet de sortir de notre bulle de certitudes. Nous avons une double méfiance à l’égard des gentils.

On se méfie parce qu’ils ont, sans doute, une idée derrière la tête.

On les considère comme de bons candidats au burn out.

LA GENTILLESSE n’est pourtant pas niaise pour celui qui la reçoit, dès lors qu’elle est authentique.

Elle n’est pas non plus dangereuse pour celui qui l’offre dès lors qu’elle est sans ambiguïté.

·     Serait-ce le dosage qui est en cause de cette méfiance à l’égard de la gentillesse ?

·     Serait-ce l’équilibre entre la gentillesse vis-à-vis de l’autre sans oublier celle vis-à-vis de soi ?

·     Serait-ce un mot qui est devenu neuneu dans notre société et remplacé par l’altruisme qui sonne plus «sophistiqué» ?

En ces temps de grande froidure sociétale, je propose qu’on la consomme sans modération et ce jusqu’à nouvel ordre !

*C’est avec tout le respect que je porte aux travaux de Thomas D’Ansembourg que je me permets une provocation du titre de son best-seller.





Jocelyne Cazin

Funestes récoltes mon nouveau polar et Ma véritable identité, Pire que l’éternité à lire disponibles partout

6 ans

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