Le défi des solutions ?
Nous vivons dans un monde où les reproches, les critiques aveugles et les injures font partie intégrante de nos vies chaque jour. Dans un monde où les réseaux sociaux diffusent à profusion des rêveurs, des critiques, des trolls, des diseurs de bonne aventure. Comment dans ce monde, un individu aux convictions certaines, aux idéologies prometteuses, peut-il affirmer détenir une parcelle de la réponse sans être jugé sur la place publique?
Transmettre une idée, une solution potentielle et espérer qu’elle trouve un écho auprès des personnes en positions, nécessite un effort titanesque. Un effort saupoudré de chance, encouragé par le désir aveugle de faire une différence. Et si tu souhaites devenir cette personne, tu devras être porté par une majorité conquise, oublier les nombreux échecs, la peur du ridicule et les nuits tranquilles.
En toute sincérité et bien humblement, j’aimerais être de ceux qui pourraient, appuyé par mes paires, aider l’industrie de la construction à progresser. Mes nuits sont déjà écourtées, j’ai trébuché à plus d’une reprise, j’ai dédié plusieurs heures sans compter l’argent investit pour l’innovation et la cause.
Loin de moi l’idée d’attirer les projecteurs, je souhaite plutôt devenir un porte-parole, une voie crédible auprès des instances. Je serai ferme et prônerai le respect. Les idées doivent être débattues lorsque tangible et rabattues lorsque insignifiantes et mal intentionnées.
La solution ne peut être que critique et méfiance, mais elle doit son existence au problème. Sans soulèvement, on s’endort sous l’effet du formol et si on agite trop la mixture, nous obtenons une explosion qui nous ramène en arrière, affaibli.
Un équilibre nerveux confronté aux coutumes centenaires. Le changement obligatoire qui se heurte au confort des traditions. Voilà mon défi depuis que j’ai l’âge d’avoir des convictions. Un défi que je partage avec plusieurs d’entre vous, je l’espère.