EXTRAITS DÉDICACE DE A LA FRONTIÈRE DES SENTIMENTS ET SES TITRES

EXTRAITS DÉDICACE DE A LA FRONTIÈRE DES SENTIMENTS ET SES TITRES

À LA FRONTIÈRE DES SENTIMENTS

 

Un ange m’a dit :

 

« Amour ou amitié, la réciprocité, le respect, l’Authenticité, La Liberté, la Solidarité, les Émotions, le Dialogue, les Compromis, la Complicité, la Confiance, l’Attention, la Tolérance, la Fidélité, la Compassion et L’Empathie, aussi,  à notre merci, doivent en faire partie.

Seules la force et la grandeur du Sentiment, le Baiser et la Sexualité les différencient. Mais la Violence doit en être bannie à tout prix. »

 

(Désolée de privilégier des valeurs dites désuètes d'une époque où elles faisaient figure de références relationnelles affectives, dans un couple)

 

PUBLICS : ADULTES ET MAJEURS SEXUELS

 

Ces recueils pourraient convenir à certains adolescents et adolescentes qui ont, par la précocité de leur vie amoureuse, pris, comme lʼon dit, des chemins de travers, mais il en va de la responsabilité et de l’autorisation de leur parent ou tuteur légal, en possession de l’autorité parentale. 

 

Résumé.

Un brin de romantisme, une âme blessée. Un soupçon de tendresse, un cœur brisé. Une pointe de sensualité, un corps déchiqueté. Une miette d’exotisme, un départ imminent. Une pleine conscience, une vie bouleversée. En bien ou en mal, l’amour fait parfois des ravages et se situe pour alors, à la frontière des sentiments. Femme fatale, fleur bleue, enfant…, nous en sommes toutes, tôt ou tard, exposées ou susceptibles de l’être. Rares sont les réelles exceptions. Découvrez à travers ce recueil de proses, lettres, poèmes, lyrismes poétiques et musicaux, citations et d’essais, divers regards et émotions de femmes qui, un jour, se sont retrouvées confronter à une résistance ou à une reconstruction émotionnelle, afin de conserver sa nature de femmes féminines et aimantes, mais pas à n’importe quel prix ni avec n’importe qui.

 

(DÉDICACE EN PAGE 13 DU RECUEIL ALBUM EN COULEUR,  EN NOIR ET BLANC ET SANS ILLUSTRATIONS)

 

Dédicace.

 

Hommage aux hommes et femmes, lesquels, un jour, ont été confrontés à la violence physique et psychologique ou tout autre blessure profonde de son âme et de son corps, meurtris dans sa chair et bouleversés dans son équilibre intérieur, ou à toute souffrance déstabilisante et destructrice que nous afflige et inflige l’autre, dans les relations humaines basées sur l’amitié et/ou l’amour ou lors d’un simple contact. Cruautés souvent liées à une pathologie psychologique et/ou psychiatrique, dépistée ou non, du tortionnaire, en particulier la perversion narcissique, considérée depuis le DSM V, comme un délit, mais plus une pathologie, car elle relève de la manipulation destructrice et de ses stratégies subtiles, liées à ses choix délibérés de vie, en harmonie avec sa personnalité psychologique ou d’éventuels troubles du comportement.

 

Aux hommes et aux femmes, lesquels ont subi la perversion narcissique, sur leur lieu de travail et dont les effets ont répercuté sur leur vie de couple, au point d’en faire un burn-out et d’en développer une fibromyalgie latente ou de sombrer dans la dépression ou tous autres maladies psychosomatiques.

 

Aux hommes et aux femmes, lesquels ont dû affronter un pervers narcissique, malgré leur maladie physique ou psychique et qui ont vu leur état de santé s’aggraver, parfois dans le déni et l’indifférence de tous, comme tout autre valide, dans la même situation affective ou/et professionnelle.

 

Aux hommes et aux femmes, lesquels évoluent dans un rapport affectif équilibré et partagé, mais lesquels ignorent les coulisses de ceux et celles ayant vécu ou vivent l’enfer, à ne pas confondre avec les petites querelles constructives quotidiennes ni avec celles qui sont nommées aussi violence psychologique, même si ces dernières sont tout aussi destructives que la physique. Une relation saine de corps et d’esprit passe par le dialogue et l’écoute, le recul et la réflexion sur sa marge de tolérance, puis par sa volonté d’améliorer la situation embarrassante ou conflictuelle, mutuellement, et par des solutions en accord avec les convictions de chacun. D’où l’existence du compromis, dans toute forme de relation. À l’exception des couples où la fibromyalgie est présente ou toute autre maladie, dans laquelle la douleur physique quotidienne et l’invalidité partielle ou totale sont déjà difficilement gérables, donc, l’attention, la tendresse, la tolérance et l’affection y sont très sollicitées et n’y sont plus des options, mais des obligations bien vécues à la longue, si l’amour existe vraiment, à moins que celui-ci soit tellement immense que ces charges soient davantage perçues comme des aptitudes naturelles humaines et appréciables, nommées empathies, à offrir.

 

Aux femmes libérées qui ne riment pas pour autant avec libertines, sans vouloir juger ces dernières en mal, mais l’amalgame qui se crée à ce sujet, comme celui qui se fait entre les féministes et les misandres ou les Fémens, conduit les premières, à leur insu, sur des chemins tortueux et dangereux. Tout aussi risqués que tous clichés destructeurs, lorsque celui qui les répand trouve des adeptes qui en sont convaincus et réagissent de façon néfaste envers la victime. D’où le danger de se contenter de savoir passer au-dessus des préjugés, sans surveiller ses arrières et sʼen méfier, et le danger de minimiser le cynisme qui nʼest rien d’autre qu’une forme humoristique sombre qui les illustre parfaitement, tout en faisant rire, mais dans les premières minutes, avant d’être plutôt pesant. Libérée ou libertine, l’une comme l’autre, soyez prudentes ! N’oubliez pas que bons nombres d’abonnés aux critiques destructrices refusent de se remettre en question, car cela entraîne un certain déséquilibre chez eux. Celui-ci les contraint à sa gestion par un changement, même infime, d’attitudes, d’habitudes et de convictions profondes et d’être les uniques représentants des valeurs sociales et familiales saines et intègres, mais parallèlement, ce déséquilibre a des répercussions négatives dans leur vie, comme toute instabilité ou désorientation, à court ou long terme, qu’ils provoquent, avec joie et plaisir, chez autrui, de par leur propre personnalité ; dont le cynisme est une carapace de protection, contre les répliques de défense de quiconque. D’ailleurs, cʼest aussi, un trait de caractère des criminels sexuels et le petit jeu destructeur de gens parfaits, adeptes aux clichés destructeurs, lequel ils affirmeront être différent de celui qui est issu de la criminalité conduit bien des victimes à la mort également et bien des criminels à y trouver des circonstances atténuantes qui font jurisprudence et les libèrent de toute condamnation. La participation indirecte à ces finalités morbides et macabres s’appelle la complicité. Sera-t-elle un jour condamnable ? Nʼest-elle pas également un des vecteurs de la croissance de la délinquance et la criminalité sexuelles juvéniles ?

 

Aux jeunes adultes en reconstruction qui ont subi accidentellement ou se sont embarqués trop précocement, dans les dérives et abus des relations amoureuses et sexuelles, allant jusqu’à la prostitution banalisée, souvent sans précautions et contraceptions, à un âge où le corps a à peine amorcé les transformations de la puberté. Ceux-là mêmes qui se lancent dans un choix de vie, sans être passés par des sentiments purs et innocents. L’apprentissage de ces valeurs humaines se fait, de prime abord, par de la lecture, les conseils de ses proches et amis, et/ou des centres médicalisés, et/ou auprès des praticiens médicaux spécialisés, avant de s’adonner à des expériences intimes qui devraient demeurer des inoubliables moments, sans pour autant idéaliser le premier, pour pouvoir ultérieurement s’améliorer et apprécier les suivants. Car comme toute première fois, la part de stress, de manques d’expériences et de maladresses peut y faire intrusion, mais ne demeure pas insurmontable avec le temps, contrairement à la manipulation destructrice qui peut s’avérer mortelle, que l’on soit hypersensible, sensible ou pas. D’autant plus qu’elle est trop souvent difficile à prouver, quand elle n’est pas minimisée ou volontairement ignorée. Sans oublier ceux et celles qui ont adopté l’échangisme, la pédophilie, le viol, la zoophilie, la nécrophilie, etc. Et bien d’autres dérives sexuelles, dans leur habitude existentielle, mais qui ont payé leur dette à la société, en reviennent, s’appliquent à éviter la récidive, à s’exposer dans un environnement susceptible de recommencer ou de créer la psychose collective du danger et recherchent leur voie, par l’amour de soi, pour avoir un semblant de vie, au-delà des clichés et préjugés destructeurs. Cet amour-là est commun à tout individu qui a compris que c’est celui qui permet d’évoluer sainement et harmonieusement. Ce semblant de vie est la même pour les victimes de viols reconnus ou pas, dès lors où la société la banalise et réconforte le jeu de culpabilisation d’office de toute proie. Cette culpabilité entraîne toute victime à s’exposer dans des situations ou à commettre des actes qui justifient le jeu de culpabilité orchestré, tellement que ce sentiment d’en être responsable la tourmente. Ce jeu tend de plus en plus à s’étendre aux autres cri-mes, comme la pédophilie, quel que soit l’âge de l’enfant, en France comme ailleurs.

 

Informez-en autour de vous, soyez attentif à ceux et celles lesquels sont en souffrance et délaissés ou déstabilisés et désorientés, et orientez-les vers un professionnel de la santé, de la lecture philosophique et du bien-être, les associations adéquates et adaptées... etc. Si vous êtes en couple, aimez-vous et renforcez votre amour, au-delà des petites brimades classiques conjugales et rappelez à tous, ce droit fondamental républicain de la démocratie, la liberté qui est aussi le fondement du respect, dans toute société et communauté : « la liberté des uns s’arrête à la frontière de celle d’autrui. »

 

Si ce recueil dérange vos convictions spirituelles ou non spirituelles, notamment le caractère érotique que dénotent certaines poésies, au-delà du romantisme qu’il dégage, ne le lisez pas, offrez-le à celui ou celle qui n’y voit aucun inconvénient et qui peut-être lui apportera un répit ou un désir de se questionner, de tenter de se reconstruire ou un bien-être, s’il se retrouve accidentellement entre vos mains. Ou donnez-le à quelqu’un qui en fera le tri de pollution des consciences, suite à cette lecture, dans son cadre de vie, selon son équilibre, ses convictions ou son conditionnement personnels. Mais rien ni quiconque n’ont le droit de remettre en cause l’existence de notre œuvre, au nom de son coût d’endettement, mais surtout de sacrifices existentiels à en vivre en dessous du seuil de pauvreté, au-delà du déni de maladie, des goûts de chacun, de son aspect pédagogique, de la liberté d’expression et de la laïcité.

 

Soyons à l’écoute de notre cœur qui est la part d’humain qui reste en nous, pour faire face à un monde de brutes, dans lequel la manipulation destructrice est devenue monnaie courante, à tous les niveaux de l’échelle sociale. Tout en sachant ou en apprenant à faire la différence entre le cynisme et l’humour qui se situe dans le lieu, le moment et le ton adéquats. La diplomatie et l’empathie sont une priorité, dans la gestion de la souffrance de ceux qui dépérissent à cause d’une relation toxique ou d’une vie chaotique récente et passée, comme dans la fatigue et la douleur fibromyalgique, le surmenage et les maladies chroniques et celles qui sont incurables. Mais la minimisation du danger, l’indifférence, l’abandon, les préjugés, les jugements et surtout le manque de moyens sont des facteurs qui participent à l’objectif final du manipulateur destructeur et d’une société complice, souvent morbide et parfois macabre. Leur but est la mort lente ou rapide de toute victime, consciente qu’il faut fuir cette situation, avant qu’elle n’en meure, mais dans l’impossibilité, et/ou l’incapacité morale et/ou physique de le faire, à force d’humiliations, d’injures, de dénigrement, de séquestrations physiques et psychologiques, et de manipulations collectives, afin de la maintenir dans un état de dépendance psychique et pécuniaire morbide. Car celles qui sont inconscientes, même avec des possibilités financières, plus ou moins énormes, tardent tellement à partir qu’elles ne s’en sortent quasiment jamais, sans dégâts physiques et psychologiques profonds. Par la suite, elles s’adonnent à des addictions mortelles et/ou se suicident par désespoir. Personne n’est à l’abri d’un manipulateur destructeur, version féminine et masculine ni d’une société qui fonctionne dans cet art de détruire, subtilement quelquʼun, au profit des autres, à titre de satisfaire une élite, dont le critère de choix et de mérites sont déterminés, par la classe sociale dirigeante et celle d’une sphère dominante, mais également par des pressions supérieures, en provenance de toutes les classes, et de celles qui alimentent le racisme et l’antisémitisme. Les femmes, surtout étrangères ou de couleurs sont, certes, plus nombreuses, mais les métisses blanches et les hommes sont touchés aussi, chez les hétérosexuels comme chez les homosexuels, chez les handicapés comme chez les valides, quel que soit leur âge.

 

Ce recueil est pacifique et rentre dans la catégorie littérature poétique engagée de ceux et celles qui ont choisi de se battre contre la fatalité existentielle, la violence psychologique et physique, par le travail pour pouvoir s’en sortir, à partir d’aucune aide, ni financière ni morale, bien au contraire, les adversités ont été au top de leur efficacité. Par contre, il tient compte des témoignages d’autres victimes, même parmi des handicapés habilités à vivre leur indépendance, lesquels ne font que confirmer l’état actuel de l’urgence de sortir de ce modèle inhumain de vie. Il n’a pas été transcrit pour imposer son idéologie ni ses conseils ni pour inciter à la violence. Au lieu de se voiler la face aux réalités existentielles et à ce qui les engendre en partie, il sert de repères et d’éveils à la réflexion et à la recherche d’informations, avant tout engagement et face à tout danger relationnel. Il n’est pas non plus une propagande contre le capitalisme, mais contre sa forme radicaliste et totalitariste et donc injuste, inégale, divisionnaire, morbide et mortelle. Merci, de garder toute interprétation qui justifierait votre violence ou vos intentions malsaines, dans un recoin de votre conscience, pour passer votre route. Il n’a pas pour vocation d’inciter aux mimétismes, mais s’avère une des multiples références vitales, pour quiconque traverse un moment relationnel difficile, voire dangereux. C’est un profond témoignage de survie et d’espoir d’une véritable sortie d’un enfer existentiel. Chaque situation est un cas unique, avec des points en commun aux autres, certes, et il en va de même pour leur résolution, avec l’aide de professionnels, de ses proches, ses amis ou en solitaire. Mais le droit à la santé, comme celui de pouvoir vivre au-delà du seuil de la pauvreté, est trop souvent un secteur vecteur d’erreurs conscientes ou inconscientes, de laxisme, de corruption et d’inégalité, à l’image du système. Un peu comme si que le reflet de ce que lʼon subissait ou avait subi se répercutaient sur notre cadre de vie et dans tous les secteurs d’activités que nous abordons ou qui nous sont indispensables ou vitales. Donc, la prudence, le recul et la réflexion sont aussi d’excellentes amies.

 

Merci pour votre attention et votre respect, et bon voyage, à travers nos rimes exotiques, romantiques et sensuelles, nos fantasmes, nos émotions, nos idéaux, nos rêves, nos espoirs et nos attentes qui sont celles d’une fem-me, mais aussi de tout humain humainement constitué, sans faire allusion à ceux qui sont atteints pathologiquement de maux qui les privent d’avoir une vie amoureuse épanouie. Voici donc « À La Frontière Des Sentiments », pour un être dont son cœur s’est épris à tort ou à raison, à vous d’en juger, avec recul et questionnement personnel. Ma collègue et moi sommes en résilience, et moi, dans l’ambition de vivre en partie du bénéfice engendré par mes écrits, étant au chômage et sans ressources ni aide sociale relative à l’emploi et à mes invalidités, non reconnues dans l’État français et bien d’autres pays, sauf la Belgique, en date du dépôt légal de notre premier ouvrage. Mais elle demeure surtout, sans regret d’avoir connu ce Petit prince, car les expériences qu’elles soient bonnes ou mauvaises nous apprennent beaucoup de la vie et de nous-mêmes, tant que lʼon a la santé. D’autant plus qu’elle y a découvert un être réellement sensible et mal dans sa peau, contrairement à certains comédiens et aux hommes violents qui sʼen excusent ou y trouvent des circonstances atténuantes, tant qu’ils nʼont pas vécu ce qu’ils font subir à autrui. Par contre, pour les mauvaises, il serait préférable qu’elles soient très brèves, pas trop régulières et inférieures aux bonnes, sinon les portes du désespoir et ses nombreuses surprises nous entraînent à nouveau vers un enfer existentiel indéniable. Pour alors, certaines personnes s’en relèvent encore, d’autres y restent définitivement et quelques-unes, malheureusement, en meurent.

 

Certains humains avancent que les fantasmes ne doivent pas être réalisés et que sa propre définition les conçoit ainsi. Nous, nous pensons que certains fantasmes peuvent franchir la frontière du virtuel et d’autres doivent y rester, surtout ceux qui reflètent de sombres aspects. Leur réalisation peut embellir ou améliorer le quotidien de notre relation amoureuse. Cependant, quelques-uns sont conçus réellement pour assurer notre équilibre psychique. Ils assurent une complicité avec soi-même, aident à ranger ou à gérer certains souvenirs enfouis, dans son subconscient et procurent des instants de bonheur intime éternel, sʼils demeurent inaccomplis. Mais ce n’est pas parce qu’ils sont bien, que l’on doit se sentir obligé de franchir les frontières du virtuel. Le choix appartient à chacun. Le risque est d’en faire une obsession. Passagère, rien d’inquiétant. Quotidien, il est temps de consulter.

 

À titre d’information, nous ne sommes pas des Fémens, ni en pensée ni en action. S’affirmer est libérateur. S’affirmer est une nouvelle naissance. Mais dans la mesure d’une certaine limite, cʼest tout en son honneur. Nous ne sommes pas féministes ni misandres. Nous sommes tout simplement et purement humaines, c’est-à-dire sensibles ou hypersensibles ou indigos, souvent dotées d’une carapace de protection de l’espèce, contre ses semblables plus proches de l’animal, donc prédateurs qui évoluent dans les marges extrêmes de la société, c’est-à-dire en haut ou en bas de l’échelle sociale, entre la réussite et l’échec, à des fins de s’opposer et à des fins de répondre à la satisfaction d’une certaine élite du système, par la création des emplois à caractère social et humain, dont la source actuelle prend des proportions de formes inhumaines, dont même beaucoup d’animaux ne sauraient égaler ou faire pires. L’ange dénudé symbolique en couverture est justement le reflet de... ou l’illustration d’une certaine triste réalité. Après lecture, vous trouverez la réponse.

 

N’oubliez pas un principe vital, ou rappelez-vous-en, la réflexion personnelle, après ou pendant vos lectures, car les expériences des autres ne sont que des références et des repères, voire des découvertes, au cours de votre vie ou dans la construction de celle-ci. Évitez dʼy faire un transfert, car au-delà des similitudes existentielles, chaque vécue est unique. Faites de la libre pensée et du libre arbitre des droits et des devoirs, mais de la prise de conscience, un besoin vital, si vous êtes en mesure de comprendre le monde, dans et au-delà de celui pour lequel vous êtes conditionné. Sinon, elle doit se limiter aux situations humainement graves. N’oubliez pas ou rappelez-vous-en de respecter les trois piliers de la laïcité qui sont « La liberté de conscience et la liberté de culte, la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, et l’égalité de tous, devant la loi quelles que soient leurs croyances ou leurs convictions. » Mais aussi ces autres concepts, notamment celui-ci : « La laïcité nʼest pas une opinion parmi dautres, mais la liberté den avoir une. Elle nʼest pas une conviction, mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l’ordre public. » N’oubliez pas ou bien rappelez-vous-en de concevoir, au moins chez ceux qui en ont, le fondement de l’ouverture d’esprit dans lequel, imposer ces convictions nʼest pas un principe ni l’irrespect des différences physiques et des cultures. Même Descartes a dit : « Pour atteindre la vérité, il faut, une fois dans la vie, se défaire de toutes les opinions que lʼon a reçues et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances. » En quelque sorte et à sa façon, il invite à réfléchir par soi-même et se forger ses propres avis et théories. Il invite à se remettre en question, pour aborder la vie sur de nouvelles bases et ainsi, éviter les mêmes erreurs. Au nom de qui ou de quoi, en serait-il autrement en matière d’amour et d’amitié ? Le bonheur se construit. La qualité de son matériel et l’art de sa construction contribuent à sa réussite. Une formation s’impose, souvent. Ses principales matières sont l’observation, la lecture et la réflexion, avant de passer à la pratique et au bilan. 

Agréable lecture à vous !

De vos ambassadrices du cœur et de l’amour :

Valentine Fiona VÉNUSA, avec la collaboration de 

Amélie FLORINO qui ne signe pas toutes ses compositions, Chris SAVIGNAN qui est l’auteure de : Je M’appelle Liberté, L’Avenir En Réserve, Au-delà De Ta Voix, N’être Qu’une Femme, À Ma Fibromyalgie, Ange ou Démon, La Naïveté, Lamour koulèr lark an sièl, Comme Un Pʼtit Paille-en-queue, Mon Âme ! Comme Un Pʼtit Paille-en-queue, Vivre En Paix, Ultime Espoir et Ma Planète À Moi, ainsi que de nombreuses citations, dans ce recueil. Dans le second, des titres comme : La Mulâtre Juive, Célimène, Mon Ami Bory, LʼÉclat De Ta voix, Les Fleurs Du Bonheur... etc. quelques citations et passages personnels en italique et collectifs. Et moi, Valentine qui en signe quelques-unes uniquement. Toutes les trois, Déistes, mais sans religion et respectueuses de celle des autres, dans la limite des impacts négatifs qu’elle en incombe dans notre vie. Le respect se mérite et la récipro-cité en est le premier.

 

De janvier 2007 à février 2013

 

Tables Des Matières

 

LES TITRES :

Ambassade du cœur et de l’amour. Dédicaces. Inspiration intentionnelle. Je m’appelle liberté. De l’avenir en réserve. Ma lueur de confiance et d’assurance. Laisse-moi t’aider. Aime-moi. Subtile sensualité. Elle. Adulte et épanouis. Un amour qui dure. Au-delà de ta voix. N’être qu’une femme. Comme une adorable Morphée. Dans la vallée de mes rêves. À l’ombre d’une femme en fleur. Rencontre extravagante. Mon bébé. En amour comme en amitié. Compter les mois, les jours et les heures. Fleur d’amour et parfum de vanille Que c’est bon ! Fais-moi l’amour. L’homme en noir. La jalousie. Ma résurrection. T’aimer. encore. Amour sans chagrin Rêver Ma belle. À rude épreuve. Elle me tue. J’aimerais, j’aimerais. Voilà, c’est fini. Dilemmes des cœurs blessés. Pardonner. À ma fibromyalgie. Vivre en paix. Vénus au pays des anges. Un ange m’a dit. Doubles intuitions. Ange ou démon. Dédicaces à un ange littéraire. Comme un pʼtit paille-en-queue mon âme ! Mes fontaines de jouvence. Boomerang, je m’appelle. Vénus ou mad’moiselle. Post-scriptum. Floraisons universelles. Tournez ! J’en ai tournés. L’amour réciproque ou l’amour parfait. Vive le célibat ! La porte de votre cœur. La naïveté. La confiance. Libre comme ma joie. Mourir d’amour est décédé. Vive la rose ! J’ai besoin d’amour. Je m’aime donc je suis. Le temps des adieux et d’un retour. Lamour koulèr lark an sièl. L’amour aux couleurs de l’arc-en-ciel. Ma planète à moi. Ultime espoir. Doc de l’ambassade du cœur et de l’amour.

Ces recueils pourraient convenir à certains adolescents et adolescentes qui ont, par la précocité de leur vie amoureuse, pris, comme lʼon dit, des chemins de travers, mais il en va de la responsabilité et de l’autorisation de leur parent ou tuteur légal, en possession de l’autorité parentale. 

 

PLATEFORME AUTEURE BOOKELIS EDITION

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