Facturation Telecom : quand est votre prochain rendez-vous chez le dentiste ?
Pierre, 45 ans, a toujours été un mordu des nouvelles technologies. Il se rappelle avoir toujours aimé bricoler les machines, changer une carte graphique ici, ajouter de la mémoire là. Vous ne serez donc pas étonné d'apprendre qu'il évolue dans le secteur de la maintenance informatique. À son compte depuis une quinzaine d'années, il travaille avec deux salariés, et son épouse qui s'occupe de l'administratif et de la comptabilité. Sa clientèle est composée de professionnels en grande majorité, et de quelques particuliers.
Il y a quatre ans, dans une optique de diversification, Pierre a commencé à proposer de la téléphonie d'entreprise à ses clients. Et pour valoriser et facturer les communications, il a commencé, comme beaucoup, par du bricolage avec quelques scripts bash et un tableur. Et comme Pierre se débrouille plutôt bien, ses petites moulinettes fonctionnaient plutôt pas mal, elle "faisaient le job"...
Oui, mais voilà.
Au fil du temps, et à mesure que l'activité Telecom montait en charge, Pierre s'était mis à considérer sa facturation comme... un rendez-vous chez le dentiste : un mauvais moment à passer, pas la fin du monde, mais quand même douloureux, assez pour qu'on le repousse à un peu plus tard...
Pas besoin d'un très grand nombre de factures pour commencer à se donner trop de peine : entre collection des CDR, valorisation des appels, édition des factures, contrôle, la facturation Telecom est complexe par nature.
Et puis, à ce moment là, Pierre a prise conscience de quelque chose qu'il n'avait jamais vraiment réalisé : chaque mois, sa facturation Telecom lui prenait quelques heures, en réalité une bonne demi-journée, parfois une journée entière pour peu que quelque chose aille de travers.
Et l'investissement BlueRockTEL ne représentait finalement qu'une infime fraction de la valeur de ce temps.
L'histoire de Pierre est celle de beaucoup de nos clients : le temps qu'ils consacrent à leur facturation Telecom chaque mois est passé de plusieurs heures à quelques minutes, des process automatisés garantissent une facturation rapide et juste, et au final le fichier de prélèvements SEPA est remis à la banque plus tôt dans le mois. Le nerf de la guerre, non ?