Flamby en Macronie
Nourrissant l’ambition de fermer la porte aux violences au sein du couple exécutif, dépassionner ce débat politise les sorties du polémiste. Du droit à l’image !
Magnify ! Un non-évènement est rincé, pas plus qu’éreinté pour troubles à l’ordre public. Owen éprouve de la sympathie pour ce génie de la finance mondiale, qui ne s’est pas arrêté à l’impression d’être le paria que ses compatriotes voulaient qu’il soit ; ayant toujours en travers de la gorge que son père qu’il a tout long de sa vie adulé, se ligue avec sa sœur et décide sans consulter le patron de l’entreprise brassicole, filiale du groupe, de la vendre à la concurrence.
Il n’y a en effet plus de rétroaction juridique valable dans le sens où nous l’entendons comme susceptible d’être annulée. C’est après avoir su qu’elle avait également dans son dos avec la complicité du fils d’un ancien collaborateur du père, monnayé les plans de la bâtisse de la société vendue si bien que la recette sur laquelle il avait travaillé alors qu’il était étudiant atterrît sur le bureau de son principal rival, c’est ainsi que ce patron d’industries se retrouve au milieu d’une affaire dont il ne peut plus s’extirper, tous les membres de sa famille se disant : elle est où ta gloriole maintenant ?
Je ne souscrirai jamais à l’idée d’avoir effectivement recours aux massacres de masse pour rétablir les torts des uns et des autres des lors que ce problème induit la réglementation et le contrôle des mœurs des habitants de son pays, toute pratique religieuse suspecte devient son défouloir ; le rire pour thérapie sachant qu’il sait à qui demander conseil pour que celles qui pensaient lui faire la leçon, comprennent qu’il y a des personnes avec lesquelles ce genre de plaisanteries ne passe pas !
Connaissant le goût d’une certaine loge pour les sacrifices humains, le bon monsieur prît sur lui de commettre un attentat et de blesser à tout jamais le père qui lui a tout donné dont l’empire industriel a créé une foultitude d’emplois au Cameroun.
À ne surtout pas confondre avec la direction de Sitagri revenant de Côte d’Ivoire du temps où la Cameroon Airlines suppléait Air Afrique sur cette ligne ; ma marraine avant que je perde tout intérêt pour elle et ce qu’elle représente en raison d’un désaccord profond sur la solidarité africaine : sa vision des choses est qu’un homme doit être coupé des cordons de la bourse du foyer conjugal pour que ses escapades nocturnes n’impactent pas défavorablement la vie de ses enfants mais aussi la sienne, au passage. Plus dure, plus sévère et exigeante ; tu meurs !
Elle est aussi cette marâtre qui savait que l’épouse de l’héritier de la fameuse Sitagri ne montrait pas dans l’avion qui installa la corruption comme technique d’endormissement des citoyens par excellence.
Les proches et confidentes de la Première Dame se plaignaient sans retenu de la femme de ce chef d’entreprise, qui n’a laissé aucun membre des gouvernements mériter que le pays sache qu’elle a découché.
Ils se sont mis à les poursuivre, son mari et elle, dans les Concordes, de Paris jusqu’à Tahiti où résidait la sœur de celui qui chez le notaire par amour, a juré que la maison dans laquelle nous avons maté les Tontons Flingueurs reviendra à Madame son épouse.
Ils ont commencé par des redressements fiscaux, emboités avec des droits de douane à la hausse sur tout le matériel lui appartenant réceptionné au port de Douala, des coupeurs de route mandatés par ces dernières stoppent ses camions, pour finir par son vaillant personnel qui préfère prendre la poudre d’escampette ; direction l’ennemi juré, la SOCAPALM qui a profité de la liquidation judiciaire pour récupérer les concessions de ses plantations nouvelles qu’accordent l’État du Cameroun aux entreprises du secteur.
Je pense donc qu’à la lecture de mes écrits, vous voyez que moi aussi, je prends de l’âge : le regretté Chief Executive Officer d’une agence publicitaire de la place où qu’il soit, de là-haut puisqu’il est aujourd’hui disparu, m’a tout enseigné sur la question ; tu partiras en location mon ami !