Intolérance
Des parlementaires (une poignée) affichent leur intolérance décomplexée, en manifestant bruyamment avec vulgarité et médiocrité dans les couloirs de l’enceinte de l’assemblée. Dans l’hémicycle, le spectacle affligeant des invectives, menaces et insultes ne procure aucune honte à leurs auteurs. Le régime actuel a fait son temps ; il devient nécessaire de partir d’une page blanche et de repenser nos institutions… L’imaginaire fanatique révolutionnaire et violent des enragés qui siègent au parlement, les amène à une hégémonie sectaire intolérante et anti-démocratique. En plus, par une obstruction active et systématique, ils refusent le débat et le dialogue. En l’état, ce système ne peut plus durer…
L’image diffusée sur la plupart des médias, complices par leur incapacité à condamner l’acte, d’un « représentant élu » voyou qui tape avec le pied dans un ballon imprimé avec la tête d’un ministre est répugnante. « Faire tomber les têtes » nous rappelle le populicide républicain de 1793 et les pires formes des dictatures qui prennent leurs racines dans l’ultra-violence revendiquée aujourd’hui par ces fondamentalistes. Le vote possible pour ce genre d’individu dissuade de se rendre aux urnes sauf pour les exaltés, partisans et frénétiques de l’insurrection extrémiste.
Les mêmes fanatiques, à l’image des députés qui déshonorent leur fonction, sont intervenus avec violence à Marseille pour empêcher l’ouverture d’une permanence politique « reconquête » qu’ils fustigent en raison du refus, de ce mouvement, d’adhérer au sectarisme « wokiste », d’épouser la doctrine et la pensée convenue, de refuser la déconstruction de la France. Ils fustigent plus généralement ceux qui souhaitent garder leur liberté de pensée, la maîtrise de leur conscience et œuvrer afin de préserver la Dignité Humaine.
La légitimité sectaire du despotisme malfaisant s’ancre dans le fantasme d’une vérité révélée, qui ne souffre aucune nuance. Toute opinion hors de la pensée extrémiste convenue et soutenue par une certaine presse et plusieurs médias, ainsi que toute expression critique de l’immigration, du sexisme, du genrisme, du féminisme, de la déconstruction de la France, justifient pour ces fanatiques leur haine et leur refus de débattre avec ceux qui se permettent une pensée différente.
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Les grands philosophes actuels, comme messieurs Houellebecq et Finkielkraut, qui apportent leur vision réfléchie et judicieuse sur les moments actuels vécus par nos compatriotes avec le plus souvent bon sens et recul, se retrouvent victimes des journaleux commissaires politiques, autoproclamés juges, et corrompus aux modes et doctrines actuelles. Ces inquisiteurs diabolisent le bon sens, la raison et l’amour de l’autre pour défendre la détestation de nos contemporains, emprisonner l’intelligence et supprimer tout dialogue constructif. Ces adeptes du radicalisme censurent l’autre systématiquement, menacent de fermer des chaînes de télévision comme dans les dictatures du siècle dernier (soviétisme, maoïsme, nazisme, fascisme…) comme un éternel recommencement de l’histoire, car tous issus du socialisme et du communisme.
La démocratie n’existe plus, rendons-nous à l’évidence. En France, il n’existe pas de centrisme, de droite ou de gauche ; trois pôles se présentent à nous aujourd’hui : d’abord les haineux, puis les indifférents européistes ou mondialistes qui déconstruisent notre pays au bénéfice du profit ou des puissances étrangères, et enfin mes compatriotes qui aiment la France comme moi… Un pacte bientôt verra le jour pour déterminer une France démocratique, apaisée, aux pouvoirs équilibrés, pour le bien commun, soucieuse des Français et surtout imprégnée du bon sens indispensable à l’amour, la justice et la paix.
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
22 février2023
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1 ansJe n'aurais jamais cru voir un "centre radical", mais on l'a bien vu pendant la guerre du Covid-19. Cela m'a ouvert grand les yeux. Il est certain que beaucoup d'autres, du monde entier, ont maintenant les yeux grands ouverts. Que nous restions sages et pacifiques, mais résolus dans notre opposition au Mal.