Je fais partie de la génération Y
Il me semble qu’Hervé kempf a eu raison de dire que si l’on veut sauver la planète (terre), il faut sortir du capitalisme. Ce système qui, ayant pour référents principaux : la domination et la maîtrise de la nature afin de l’exploiter de plus en plus, semble responsable de tout dérèglement structurel de l’écologie. Entre temps, affirmons que, sous toute réserve de grands débats sur ses bienfaits, nous ne nous y sortons pas encore. Peut-être un jour- qui sait- après le déclin de l’actuelle civilisation. Dit autrement, celle-ci conditionne nos systèmes de valeurs, de pensée et notre mode de vie.
Mais en fait, nous sommes, aujourd’hui, d’accord sur un point : il n’y a que cette planète. Donc, ayant conscience de cela, la génération Y doit, du moins, la préserver pour la postérité X.
Par contre, c’est à chaque fois qu’une grande catastrophe (technologique, écologique, environnementale) ou de grands bouleversement dans les stabilités survient, que nous ressentons la nécessité de faire bouger les choses. Alors qu’on essaie de poser certains problèmes mais il arrive que nos concepts ont leur source dans l’éducation que le système coupable a, lui-même, établi. D’où l’interrogation choc et fondamentale de savoir comment faire de nos référents du système, responsable des grands problèmes actuels- par exemple, le dérèglement climatique- des moyens capables de rechercher les solutions possibles. C’est donc penser la métamorphose de virus qui est responsable d’une maladie en son prochain remède.
Tâche ardue pour vous, la génération Y ; Pourtant, il faut qu’on y arrive.
Wilem JEAN,
De la génération Y