La face cachée du Bio Low Cost
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La face cachée du Bio Low Cost

En juin, France 5 diffuse une énième émission sur les pesticides. Comme à l’habitude les mêmes acteurs de la filière agroalimentaire sont dans la tourmente, la pomme, le cochon et les céréales.

L’émission est composée en deux volets pour enchaîner sur un débat.  Ce reportage est à charge contre l’industrialisation du label Bio. Ainsi, en résumé, le Bio industriel ne respecterait pas les salariés et utiliserait des produits cancérigènes. D’un point de vue intellectuel, il est toujours dangereux de tirer des généralités à partir d’un exemple. Cela peut faire du tort à tout le monde.

D’un autre côté, les vertus pédagogiques de ce reportage permettent  d’identifier ce que pourrait être les contours du label Bio en matière d’engagement social et solidaire, respect de la biodiversité et santé du consommateur. Les cahiers des charges des labels Bio devraient ainsi aborder ces trois sujets ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Cette logique fait référence au bien être alors que le label Bio Industriel se concentre sur la consommation, le chiffre d’affaire et la rentabilité. De son côté, le lobbying Bruxellois est en marche pour des raisons également économiques.

Etre le référent en produit frais

Quand le groupe Carrefour annonce à ses fournisseurs qu’il souhaite « devenir leader mondial de la transition alimentaire pour tous », il s’appuie sur deux tendances de fond « Consommer tout, via tous les canaux, à tout moment » et « Consommer mieux, plutôt que consommer plus ». Ces deux orientations dans les attentes des consommateurs ont clairement été identifiées par le paneliste Kantar World Panel. Cette ambition de changement est une stratégie qui, à mon sens, nécessite un nouveau logiciel. L’enseigne Biocoop a pris de l’avance sur ce sujet.  En tout état de cause le prérequis pour la mise en place de ce type de démarche est la transparence. 

La solution selfdata-drive.com ne s’appuie pas sur des exemples mais permet de reprendre l’ensemble du verbatim utiliser dans les catalogues des principales enseignes Drive de la distribution française. Derrière ces mots se cachent la vérité de chacune des filières. En terme de prix, de sourcing, de conditionnement, d’origine et de description du produit.

Exemple : qu’en est-il de la filière fraise aujourd’hui ?

Tout d’abord le Bio est une question agronomique. Le terroir et les pratiques agricoles doivent être en adéquation avec la variété qui est cultivée pour qu’elle puisse exprimer son meilleur potentiel. Il existe une multitude de variétés de fraises dont les plus connues sont : la fraise ronde, la mara des bois, la gariguette, la charlotte. 

Certaines de ces appellations sont devenues génériques et on parle d'un type gariguette pour un fruit qui correspond à une fraise longue. En voyant ce produit, le consommateur se réjouit à l'avance de pouvoir déguster un fruit parfumé.

En deux clic, la solution Selfdata-drive.com  nous permet d’identifier l’enseigne Auchan comme proposant de la fraise Bio dans son fond de rayon. Il s’agit d’après l’image d’un fruit allongé (type gariguette).

En ce qui concerne le sourcing, aucune transparence n’est offerte au consommateur. S’agit-il d’un producteur ? S’agit-il d’un grossiste ? On n'en saura rien à moins d’acheter le produit et pouvoir déchiffrer le packaging, et là encore ces informations peuvent être cachés. Dans notre exemple, compte tenu de la variabilité tarifaire, on peut s’attendre à du négoce. 

Avec la fraise charlotte la situation est différente car nous pouvons en deux clics et avec un peu de curiosité retracer l’ensemble de la filière : du créateur aux pépiniéristes, en passant par le producteur et le conditionneur. On tient un début de transparence. Il n’y a plus qu’à questionner les acteurs de la filière pour connaître leurs actions en matière d’engagement social et solidaire, de respect de la biodiversité et de la santé du consommateur. Le profil tarifaire de ce produit offre une variabilité qui peut être expliqué au consommateur. A quand la fraise Charlotte Bio ?

“ nemo judex in re sua, nul n’est juge en sa propre cause  


C’est en cela que la solution Selfdata-drive.com peut vous aider à changer de logiciel. En prenant la main sur une base de donnée qui compte plus de 318 millions d’entrée qui s’étale sur une période évolutive de 4 ans, vous entrez de plein pied dans l’air du digital et de la smart data. Ainsi vous aurez un train d’avance sur l’ensemble de vos concurrents et vos orientations stratégiques seront le reflet de vos valeurs et le ciment d’une relation renouvelée avec le consommateur. De nos jours, et bien que cela soit le cas dans de nombreuses PME, il est difficile de baser une stratégie globale d'entreprise uniquement sur une intuition . Avec la solution Selfdata-drive.com associé à mon expertise métier je peux lancer une étude complète sur un segment de produit fruits et légumes qui vous intéresse. N'hésitez pas à me contacter afin que je puisse établir un devis en fonction de vos besoins.



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