L'actualité brûlante du changement ...
Le changement est à la "une" de l'actualité des entreprises.
Et il est souhaitable qu'il y reste à l'avenir (1).
Autrement dit, continuera-t-on à accepter la situation dangereuse dans laquelle nous nous trouvons, une situation au cours de laquelle certains attendent une reprise, en commençant à se douter que les circonstances seront pires encore dans les temps à venir, ou voulons-nous faire face et réactiver nos potentialités sans plus perdre de temps en discussions stériles sur l’opportunité de l'une ou l'autre des tendances dont on parle?
Un plan fait de principes élémentaires de bon sens et que tous demandent
En pratique, si, évidemment, rien ne se fera du jour au lendemain parce qu'un vrai changement -et cela d'autant plus qu'il aura été "laissé de côté"- est aussi une transformation qui doit être empreinte d'une fluidité fonctionnelle performante, la réussite du projet "changement" ne s'achèvera que si l'on respecte l'unicité de vue et la globalité de l'action.
Quelles certitudes avons-nous encore?
S'éveiller aux problématiques actuelles ou être invité à la révision du "business model" sans trop de complaisance, c'est tout simplement parce qu'entre les grandes certitudes de la pensée économique traditionnelle (qui a contribué à la détermination de nos structures et comportements dont il reste nombre de "résidus" paralysants ayant AUSSI laissé "déraper" des esprits spéculateurs innovants mais inconscients) et la déconcertante complexité galopante (voir le GACL qui explique comment l'élimination de la complexité est une voie royale vers le "plus" organisationnel performant) il faut faire face, de nos jours, quand on a perdu la synchronisation idéale avec l'entourage ... devenu mondial. Et la globalisation reste en route ...
Bref, les repères habituels disparaissent dans de sombres brumes pour les retardataires tandis que, pour d'autres, bien "dans le coup", ce seront d'évidentes "réalités augmentées" facilitant leurs avancées conquérantes. Alors, il devient pratiquement impossible de dire plus clairement que, d'ici à 2020, ...
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Il importe, en conséquence, de savoir, le plus urgemment, comment aborder LE changement (en tant que TOTAL de tous les changements)(2): faire face dans un premier temps et, par la suite, participer et puis anticiper (agressivité responsable dans le contexte de la RSE).
Un nouvel espace-temps plutôt que de parler d'une "Nième" nouvelle économie. Le "cloud" vécu dépasse largement le fonctionnel purement technique ...
Cela n'aurait plus de sens de parler encore d'une "nouvelle économie" (3) après une 4ème révolution industrielle (il faudrait se mettre d'accord sur celle-là), plusieurs s'étant essayés "sur" une 4ème vague dans leur domaine après la fameuse et célèbre "Troisième Vague" d'Alvin Toffler faisant suite à son, plus fameux encore, "Choc du Futur" (1970). Ensuite s'entame vigoureusement le WEB4.0 ... eh oui ... Tandis que l'on se demandera, à propos du BYOD, s'il ne s'agit pas de composer avec le fait que, lorsqu'il sort de chez lui, le particulier bien équipé, s'il ne sort pas du 21ème siècle digital pour aller au travail au 20ème siècle?
Le "change management" prend en compte le nouvel espace-temps résultant de la compétition internationale dont les 3 paramètres -vitesse, intelligence et adaptabilité (4)- remodèlent l'apprentissage et les comportements de toutes sortes en tous domaines. L'on parle des individus, des associations, groupes, teams, institutions qui s'intéresseront obligatoirement à la problématique collaborative. L'intelligence collective est une réalité authentiquement "antique" qui ne peut plus être écartée artificiellement parce que les réseaux y apparaissent comme un effarant paradoxe. Et tant pis pour ceux qui n'auront pas voulu le réaliser parce qu'il faut accepter d'entrer dans le système le plus tôt possible si l'on veut dégager des résultats significatifs et réellement profitables.
A défaut, les investissements personnels et sociétaires ne pourront se réaliser par la suite ... parce qu'il n'y aura pas de suite!
Conclusion
Il ne faut cependant pas se faire d'illusion. Si le changement subit provient de la somme de tous les petits changements qui le composent, le changement significatif désiré, au niveau individuel, ne se révélera que, par la suite d'une collection d'actes coordonnés, tandis qu'au niveau social, il se réalisera par la volonté générale de la population qui se mobilise pour la cause.
Il en ira de même au niveau de l'entreprise.
Il devient alors compréhensible qu'une manœuvre comme celle qui vient d'être rapidement décrite représente un challenge qui n'est assurable que par de vrais experts chevronnés que nous vous invitons à rencontrer sans délais ...
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(1) Pour identifier la multitude de saisies d'opportunités qu'offre le changement dans le monde. Ce mouvement est croissant et strictement normal.
(2) Il est plus exact de parler d'accumulation continue et donc de complexité évolutive qu'il faut contrôler au fur et à mesure. Ce qui peut aider à résoudre la problématique de la performance et de l'innovation (voir un autre de nos "Pulse" à ce propos)
(3) La "nouvelle économie" date des années 1990 ...
(4) Sous le titre "Breath Change" voir aussi ce qu'en dit Michael Porter dans notre Groupe 5D
Daniel C. Renson (5D Future-Based Enterprises Coach. La multi-dimensionnalité évoquée -le "space-time universe" (STU)- consiste à l'ajouter à la plus avancée des analyses situationnelles conventionnelles. Elle fait partie de nos modes opératoires précis et performants)
chef de maintenance des systèmes mécaniques
9 anstrop
Directeur Adjoint des Infrastructures chez Département d’Eure et Loir
9 ansRien n'est plus vrai, en effet. ET s'il le changement n'existait pas, quel ennui!
chef de maintenance des systèmes mécaniques
9 ansDémocrite plutôt
chef de maintenance des systèmes mécaniques
9 ansDémocrite pluto
Bon article!...