LE MIRACLE DANOIS GRACE A LA REVOLUTION « SIMPLICISTE» QUAND LES TIC S'EN MELENT ... NOUVEL POST CE 04/09/2016.

LE MIRACLE DANOIS GRACE A LA REVOLUTION « SIMPLICISTE»

LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE, AU CŒUR DE NOS PREOCCUPATIONS AU JOUR, LE JOUR ; LES OBJECTIFS DU DEVELOPPEMENT DURABLE, en sigle, LES ODD.

Ile s’appelleraient « ALARANCHE-T’IRE », les médecins qui auraient convaincu et déclaré un jour, que les sœurs jumelles « EWAKADJOLA » et « LINVODJOGBE » seraient malades d’une affection pathologique dont eux seuls, détiendraient les remèdes. Jamais les deux sœurs, n’avaient prises conscience de leur mal, (sans)que celui-ci ne puisse les inquiéter outre mesure.

Alors, médecins dans la médecine moderne sont-ils aussi doués dans cet art de charmeur et de persuasion. D’habitude, c’est le malade qui  coure derrière son médecin. De nos jours, une race de médecins a plutôt bien compris sa profession et se dit que les malades d’aujourd’hui, non seulement sont ignorants de ce dont ils sont malades, mais en plus, faut-il qu’ils goutent d’abord à la prophylaxie, pour qu’ils puissent se convaincre effectivement de leur mal. S’il faut donner un nom aux deux catégories professionnelles, les unes s’appelleraient « pauvres » tout court, les autres, «  Pauvres médecins humanistes ». Ce cas-ci, comme un autre, toujours en Europe, interpelle la conscience collective. Car les jeunes filles, ou du moins des filles à la fleur de l’âge doivent pouvoir comprendre, que ce n’est jamais la faute de ces jeunes garçons, qui les rodent souvent autour, c’est plutôt ce besoin qu’ils pressentent tout le temps, que les filles à la fleur de l’âge, ont plus besoin de soins et davantage, pour que l’humanité se sente plus rayonnante dans toute sa composante. Les femmes à la fleur de l’âge, sont comme dans notre récit-ci, nos deux sœurs jumelles alors que les jeunes garçons, sont la nouvelle race de « Pauvres médecins humaniste ».  

LA SITUATION GEOGRAPHIQUE DES DEUX PARTIES :

De tout temps, quand on pense à la pauvreté (état de), on lorgne l’Afrique. D’hypocrites se demanderaient pourquoi faut-il lorgner l’Afrique, s’il en est ainsi, pour le pauvre tout court ;

 qu’en dirait-on des « Pauvres médecins humaniste » ?

Du simple fait que l’Afrique ne cache jamais sa pauvreté, elle se trouve être dans la même dynamique que « Simplesite ». Là, notre Afrique est aussi simple, honnête et tout. C’est un simple fait, qui mérite d’être constaté. Mais pour que les deux, ne se confondent pas sur le terrain d’actions sociales, il va falloir opérer une division du travail. Qui fait quoi, et pour quelles retombées économico-sociales ? Toutes ces préoccupations, nous amènent à faire la remarque suivante : Les « Pauvres médecins humanistes », se trouveraient-ils en Afrique aussi ? Ce n’est pas pour insinuer que l’Afrique, est le continent de prédilection de la pauvreté. Non, aucunement, c’est le contraire même, elle serait le continent le plus riche d’ailleurs même, s’il avait existé une prise de conscience de part et d’autre, lors de l’avènement des rencontres impromptues.

Pour revenir à notre récit, à un moment donné, les jumelles ont éprouvé le besoin de voir in vivo et d’échanger avec leurs médecins pendant que ceux-ci, seraient entrain de les consulter,  mais elles n’y sont pas parvenues car entre eux, il se trouverait un mur, les séparant les unes, des autres. Ce mur, c’est le mur du paradoxe, auquel la science apportera sa réponse fut-elle approximative ou non. Les deux jeunes « dames » jumelles vont se lancer dans cet effort, consistant à forcer la barrière, puisque pour la ôter cette barrière, ceci dépendra de leur dynamisme, et surtout de leur volonté à aller de l’avant, car nos fameux « Pauvres médecins humanistes », ne feraient que ce qui est en leur pouvoir, tout en respectant les textes, et surtout à l’international.

Sommes-nous, en nous mettant à la place de nos deux jumelles, entrain de chercher à obtenir le fameux sésame, permettant de bénéficier des soins à la limite gratuitement, mais en même temps, se créer une brèche (ouverture) de débouchées pour que d’autres malades puissent aussi venir se faire soigner, ou alors comme tous, des malades sensés cohabiter ensemble par magie, voir même par le miracle de la technologie, réussir à transférer de la guérison aux autres malades, juste en procédant comme les « Pauvres médecins humanistes », par mimétisme ;

Ou faire aussi des dons, presque du sang neuf aux autres malades pour qu’ils guérissent de leur maladie, maladie qui ne serait rien d’autre que l’analphabétisme apparu vers la fin du vingtième siècle, la maitrise, dans l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, le leadership.  Et comme le font les chinois ces dernier temps dans les rues des capitales africaines, par le biais d’une mallette vous révélant toute votre insuffisance en matière de santé, qu’il faudra en faire de la même manière désormais, en abordant à la sauvette dans la rue, nos pauvres compatriotes africains préoccupés en priorité dans la journée de ce qu’ils trouveront à manger, que de vouer leur sort à un lap top ressemblant bien entendu à une cuisinière, mais incapable même de te chauffer ne fusse que de l’eau rapidement pour te faire un Piron utile pour accompagner un « wéssisso ». C’est le poisson frit en langue fon ou goun du Bénin.

Voyez-vous que derrière la préoccupation en Afrique de guérir d’une maladie « de dieu », on n’échappe pas à celle dite naturelle c'est-à-dire « manger ». Tout le monde à droit de manger ne fusse que quelque chose dans la journée pour pouvoir donner le meilleur de lui-même, son rendement. De là, à s’en préoccuper au point de vouloir même incomber ce manque d’organisation en Afrique, à une insuffisance des technologies de l’information et de communication, il y a du « venez-voir ». Certes que les TIC (les Technologies de l’information et de la communication), apporterons leur part de solution, mais la réponse en correction de cette préoccupation, se trouverait dans notre organisation à se produire plus en agriculture de vivres abondantes ou bon marché en faisant « du tous à la production agricole » ou en important de façon responsable quand on manque de la main d’œuvre suffisante pour en consacrer, qu’à cette activité. Oui qu’on peut en importer, s’agissant des pays qui ont des ressources financières suffisantes pour en acheter à très bon prix. C’était l’un des aspects à aborder, dans notre précédent post qui interpellait même Mrs Bill Gates sur la question. La suite du développement de ce dernier post sur LinkdIn, nous situera davantage, que c’est vrai que notre organisation, privilégierait volontiers plutôt les ressources humaines « Il n’y a de richesse que d’homme », avait aussi écrit Maitre Adrien Houngbédji, actuel Président de l’Assemblée Béninoise. C’est plutôt l’homme qui commande la machine.

Pour information au passage de notre récit, par ce principe humanitaire, que c’est plutôt l’homme qui commande la machine et inspire être solidaire de son semblable quand il n’est pas égocentrique. Ainsi nos vaillantes jumelles ont-elles réussi à s’intégrer dans la marche vers la mondialisation (un village planétaire). elles forçassent toutes les barrières en réussissant à obtenir leur fameux carnet de consultation, qui se trouve être en même temps, leur carnet de soins.

LE PARADOXE DE L’EVOLUTION RAPIDE DE LA TECHNOLOGIE DANS LA MATIERE DE LA SCIENCE TECHNIQUE:

 Révélions-nous que nos « Pauvres » jumelles en Afrique, étaient habituées à regarder  en face, leurs « Pauvres médecins » traitants tout en lui expliquant, ce dont elles souffrent réellement. Se trouvant devant un cas pour lequel, elles cherchent délibérément à se trouver en face de leurs médecins pour échanger avec lui, tout en lui exposant de façon claire, leur préoccupation au demeurant sérieux, surtout qu’il s’agissait d’une maladie dite de la pauvreté, le matériel pour s’exercer dans les technologies de l’information et de la communication, était-il performant ? L’ordinateur ou en anglais, le computer.

C’est dire que le carnet de soins ou de consultation en lui-même, est de fortune et comme pour  des « pauvres médecins humanistes », il leur faut juste des signaux de minuscules ondes pour se mettre à diagnostiquer, la vieille machine de nos « Pauvres jumelles », leur en ont produite le peu, mais nécessaire. Ainsi, les « Pauvres médecins humanistes» ont-ils pu déceler ce dont les « Pauvres jumelles » souffraient réellement, pour leur en proposer de la solution relevant des TIC (les Technologies de l’information et de la communication).

Les TIC (les Technologies de l’information et de la communication), sont-elles alors réellement une solution à la pauvreté ? Et comment procèdent-elles ? Sont-elles capables de nous valoriser dans la société à ce point, qu’on peut-être servi de son petit déjeuner alors qu’on est encore au lit ?

Sans ambages, Oui et pour vous en convaincre, nous aurons étape par étape, à faire le parcours ensemble : D’abord une action de solidarité à engager par tous les africains épris dune certaine détermination par conviction, que notre Afrique peut se développer très rapidement, en n’utilisant que son propre génie. Il s’agira d’une campagne de solidarité qui permettra à des professionnels africains établis ou non, et aussi pour certains apprenants catégorisés dont l’outil indispensable de travail, se trouverait être un Site Internet, de pouvoir en bénéficier gratuitement

, grâce à notre partenariat avec cette structure spécialisée en Technologies de l’Information et de la Communication.

Pour ce faire, il vous suffit d’aller sur le site venonviculturalarts.simplesite.com et à la rubrique COUP D’ŒIL & REALITES Le Titre c’est : T comme Technologies, I comme Information, et C comme Communication. Les Technologies de l’Information et de la communication, Les TIC ;

Pour ce message-ci : (Confère le site sur lequel vous êtes sensés être déjà).

Ainsi s’ouvre, de nouvelles autres séries de post sur les Technologies de l’Information et de la Communication, (les TIC).

Merci et gardons de meilleurs contacts.  

 

 

 

 

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