Ma réponse "coronavirusienne" à la propagande de la peur
En ces temps orwelliens de pensée unique idéologiquement vide, où la pensée critique n’a guère de place, parmi les maîtres mots pour garder l'ascendant et les mots de maître de la pipolisation, celui de peur est le plus moteur. La peur ne fait que prendre les cerveaux en otage, elle altère le jugement. En abaissant les défenses immunitaires, elle rend vulnérable et malléable Elle détruit le discernement, maintient dans la soumission et le contrôle et engendre la violence. Elle sert de blanc-seing pour rogner les libertés et quand celles-ci se font exception, les interdictions deviennent la norme. Franklin Roosevelt n’a-t’il pas dit: « Nous n’avons rien à craindre à part la peur elle-même ». Là où la peur supplante l’espoir, elle tient les gens en laisse et ils ne se préoccupent plus que d’eux-mêmes en se repliant dans leur bulle.
Les contorsions mentales des discours stigmatisant s’adressent plus au cortex qu’au cerveau; ils se servent de l’instinct de conservation primaire pour éluder le questionnement de l’intelligence et du cœur sur le sens de la vie. Mais la vie c'est la vie ! Je fais partie des personnes à HAUT risque (Âge, cancer, AVC, fibrillation cardiaque, obésité) mais je préfère mourir que d'être une morte-vivante dans un MONDE MORT-VIVANT généralisé par soumission.
“Toute l’histoire du contrôle sur le peuple se résume à cela : isoler les gens les uns des autres, parce que si on peut les maintenir isolés assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi » - Noam Chomsky
Paresse intellectuelle ou formatage idéologique, le matraquage médiatique entretient largement ce cercle vicieux de la peur et de la dégénérescence. Avec la complicité des médias, le pouvoir systémique est un loup dans une bergerie. Il n'hésite pas à mentir ou à dire des vérités sélectives pour culpabiliser son troupeau et lui faire admettre des mesures coercitives qui préservent son hégémonie.
L'engrenage de l'aveuglement émotionnel permet au pouvoir de mieux diviser pour mieux régner, au lieu de s'attaquer aux CAUSES PROFONDES qui, elles, le remettraient en cause. C'st l'éternel amalgame entre causes et conséquences! Quand les élites cultivées n’envisagent l’avenir qu’à travers leur propre incapacité à se remettre en question, quand elles restent enfermées dans leur univers structurel rigide, elles n’assument pas leur responsabilité.
Les non-pensées du système récurrent / Au puissant marketing de la peur,
Dans la caisse du servilisme résonnant / Figent dans une mentale torpeur.
Où est le courage de s’opposer / Aux incohérences imposées?
Pour le meilleur et pour le vivre, je tire mon irrévérence à la volonté consensuelle de mort-vivant !
Coach Formatrice Membre actif chez Centre pour un Leadership Conscient
4 ansL'instinct de survie, ne me semble pas très bien aller avec, porter le masque.. Très probablement les 80 % qui portent le masque passeront le reste de leur vie malades, car le porter toute la journée fiche l'immunité en l'air. Le corps, pour tous ceux qui ont ingurgité des lobbies industriels et pharma, est depuis des décennies déconnecté de ses sensations, de fait. Lorsque nous sommes connectés à nos sensation le corps nous informe de ce qui est bon pour nous, c'est lui que nous écoutons. Non les mainstreams et autres lobotomisation de cerveaux qui n'ont d'autres rôles que de faire de l'homme un produit de production et de consommation. #wakeup 💛🌈
Retails & Systèmes de pesée en milieu COMMERCE ou INDUSTRIEL. Distributeur / Intégrateur
4 ansPeur, culpabilisation, représsion : Imparable !
Directrice conseil / Communication de crise & stratégique / Relations médias / Journaliste
4 ansC’est exactement ça :-(
🎨 Active ton pouvoir d'explorateur pour créer une vie qui te reflète, t'apporte de la Joie et contribue au monde de demain ! 🎨
4 ansMerci pour cette publication. Et la citation de Noam Chomsky mérite vraiment d'être répandue “Toute l’histoire du contrôle sur le peuple se résume à cela : isoler les gens les uns des autres, parce que si on peut les maintenir isolés assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi »