PAUL BIYA, UN PRÉSIDENT MODERNE NE DOIT PAS SE FÂCHER AVEC L’INTELLIGENCE
Dans ces conditions, comment voulez-vous que je me taise ?
Par le Docteur Mathieu Mbarga-Abéga, Journaliste Politiques, Écrivain et Éditorialiste de la Politique Internationale - Paris
Le président Paul Biya, sans peut-être le vouloir, vient si on tient compte de la récente déclaration de la Responsable du Commeneweld, en visite au Cameroun « nous encourageons le président Paul Biya, à renouer le dialogue avec les Camerounais », de donner un espoir au peuple Camerounais en souffrance.
Seules les circonstances politiques exceptionnelles, poussent certains dirigeants politiques monde, de changer à un laps de temps leur position politique en temps de crise, comme c'est le cas au Cameroun.
L’avenir nous le dira, si Paul Biya est devenu un président moderne qui ne se fâche plus avec l’intelligence, c’est à dire pour l’intérêt supérieur de son pays, il prend les bonnes idées d’avenir d’où quelles viennent, comme le font déjà les chefs d’État des grandes puissances.
Si le président Paul Biya, cette fois accepter d’écouter et de dialoguer avec son peuple, qu’il s’agisse des responsables Boko Haram voire des responsables de la crise anglophone. Nous disons, c’est une bonne décision.
Longtemps, depuis 2010 à ce jour et à avant les autres, nous avons multiplié de milliers d’articles d’interpellations, des posts, des interviews spéciales, des billets à Radio France internationale, à France Télévision, à BFM-RMC, à la CRTV, À Télésud, Africa1, afin d’éviter une guerre civile au Cameroun.
Aussi, depuis 2010 aussi, à ce jour, nous n’avons pas eu de cesse de appeler avec force au président Paul Biya, à travers nos milliers d’articles, papiers de fond, billets et interviews diffusés dans les médias français, africains et sur nos pages wed, la nécessité de faire du Cameroun un pays uni, dans lequel il fait bon vivre.
Pour y parvenir nous avons fait savoir à Paul Biya, d’opérer nombre de gestes à d'apaisement pour l’intérêt du pays :
le retour de la dépouille du président Ahmadou Ahidjo, au pays, la grâce présidentielle aux prisonniers politiques, en l’occurrence le confrère de RFI qui vient d'être libéré.
Parce que, j’estime que entre Camerounais de bonne volonté, il n’y a pas un seul problème qui ne puisse pas être réglé par les Camerounais eux-mêmes.
Si en tous points, le paysage politique camerounais d’aujourd’hui est encombré, il appartient au président Paul Biya, de prendre des mesures courageuses et urgentes pour l’intérêt du Cameroun.
Si tel n’est pas le cas, le pays ne se remettra pas d’aussitôt, d’une guerre civile, que je ne souhaite pas pour mon pays.
Pour notre part, « nous disons depuis trop déjà, que ce n’est pas en divisant les Camerounais, qu’on va construire le Cameroun ». IL faut un peu plus de créativité et c’est le moment.
Bonne fêtes à toutes et à tous.
Dans ces conditions, comment voulez-vous que je me taise ?
Par le Docteur Mathieu Mbarga-Abéga, Journaliste Politiques, Écrivain et Éditorialiste de la Politique Internationale - Paris.
Une image traitée avec les calques par MBARGA-ABEGAJR, pour la fête de noël.