Reconfinement, chapitre 2 : l’engouement de la pratique sportive en extérieur va-t-il perdurer ?
À l’heure où nous vivons une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent, le moral des Français est au plus bas. Pourtant, lors du dernier confinement, le sport s’est particulièrement démarqué et généralisé.
La crise semblant durer, et si nous participions au niveau de nos territoires et entreprises à développer la pratique sportive comme vecteur de bien-être et de lutte contre la sédentarité ?
Les Français et le sport depuis le confinement
Selon une étude Urban Sport, 89 % des Français estiment qu’avoir une activité physique favorise le bien-être et améliore le moral. Et la crise de la Covid-19 aurait particulièrement renforcé ce sentiment. D’ailleurs, durant le premier confinement 43 % des Français ont eu une activité physique plus importante.
En termes d’attente, après l'épisode du printemps dernier on constate que 34 % des Français envisagent par exemple d’exploiter davantage les équipements sportifs à disposition contre 16 % avant le premier confinement. Aussi, on remarque une plus grande attente en matière de liberté dans la pratique sportive avec des demandes de type abonnement unique permettant d’accéder à un ensemble d’équipements sur tous formats (en ligne, en salle, à l’extérieur). Avec les nouvelles mesures prises par le Gouvernement au mois d'octobre qui ont engendré la fermeture des lieux culturels, de restaurations et des salles de sport, la tendance du sport outdoor va-t-elle perdurer ? Les Français vont-ils poursuivre cette bonne pratique acquise en printemps ?
Ouvrir le champ des possibles en matière de sport outdoor
Ainsi, si nous tirons un enseignement du mois de mars dernier et de la période actuelle, il semble temps d’aller vers une autre façon de pratiquer le sport. À l’heure où la santé est au cœur de nos préoccupations, faciliter la pratique sportive est essentiel. Encore plus quand le moral n’est pas à son beau fixe, en ce temps morose…
Et si les mesures gouvernementales nous le permettent, le jogging peut être aussi l’occasion de profiter d’équipements plus spécifiques à d’autres entraînements. Il serait alors nécessaire de généraliser dans les villes l’installation d’équipements de sport outdoor, accessibles à tous niveaux et tous les âges, pour le bien-être de tous.
Pour permettre au plus grand nombre de pratiquer une activité sportive, KOMPAN aménage des agrès de fitness en plein air, et ce, sur un budget adapté à celui de la collectivité. L’aménagement d’un équipement sportif d’extérieur contribue activement à lutter contre la sédentarité grâce à un accès libre et gratuit ne nécessitant pas d’abonnement à une salle de sport. Sans oublier que c’est un excellent moyen de créer du lien social, de renforcer le sentiment d’appartenance à un territoire et un quartier ainsi que de favoriser le vivre ensemble.
Repenser le sport pour répondre aux attentes grandissantes des Français
Vous l’aurez compris, en quelques mois notre pratique du sport a profondément évolué vers une plus grande pratique au quotidien. À condition que l’offre sportive gagne en souplesse dans son usage et s’adapte davantage à nos comportements avec des solutions digitales, mais aussi en outdoor.
Pour cela, KOMPAN accompagne vos collectivités et vos entreprises du secteur privé pour vous aider à lutter contre la sédentarité et favoriser le bien-être de la population avec ses équipements sportifs d’extérieur en libre accès pour tous, sportifs amateurs et aguerris.
Aménager une aire de fitness dans une ville permet de lutter contre la sédentarité, favoriser les interactions sociales et de booster la dynamique de la ville. Installer une station de fitness plein air en entreprise est une stratégie win win car cela permet d’améliorer les conditions de travail des salariés et par conséquence de booster leur productivité et l’économie de l’entreprise.
En somme, faire le choix d’aménager une station de fitness n’enregistre que des points positifs et permet de favoriser le bien-être de tous et de rendre les sociétés plus actives et heureuses.
Éric Daligault