Retraite Québec contre les prestataires invalides de 65 ans et plus ....Mais l'enfer ne s'arrête pas là!
Le 8 septembre 2023, Me Sophie Mongeon a accordé une entrevue à Mario Dumont sur les ondes du réseau LCN.
Un régime à saveur communiste et fasciste
Cette entrevue est la preuve que leurs cotisations ne leur appartiennent pas à 100 %.
Cette entrevue démontre aussi que leur argent devient l’argent du gouvernement et qu’il en dispose à sa guise. De fait, leur argent devient notre argent collectivement.
Cotiser au bénéfice des étrangers et des générations futures — sans pouvoir s’y soustraire
En outre, j’ai entendu Me Sophie Mongeon affirmer que le PGQ allèguerait que les pénalités sont appliquées pour assurer la pérennité du régime. Wow, payer des DAS et des impôts durant toute sa vie active ou professionnelle pour assurer l’avenir de tierces personnes et des générations futures parce que le malheur a voulu que les personnes concernées deviennent invalides.
Voilà une preuve caractérisée à l’effet que ce régime est de nature fasciste, communiste et qu’il est non viable. D’autant que les travailleurs y cotisent sans libre consentement et sans avoir un mot à dire réellement. Lorsqu’un travailleur paie des DAS et précisément les cotisations de Retraite Québec, celui-ci devrait le faire exclusivement pour le compte de sa famille et pour lui-même. Le tout en cas d’invalidité et en prévision de sa retraite à 65 ans.
Qui plus est, pourquoi un travailleur québécois doit-il payer pour assumer des étrangers et les générations futures outre l’impôt qu’il paie en sus chaque année notamment par le truchement des acomptes provisionnels ?
Au demeurant, chaque travailleur devrait pouvoir jouir de son argent librement (de chaque dollar $). Or, ce régime apparemment ne serait pas viable sans ce détournement de fonds vers des étrangers et les générations futures et personne ne dénonce le fait de devoir y cotiser sans jamais pouvoir s’y soustraire. L’art d’actualiser la présence de l’État dans tout et partout.
Le gouvernement de François Legault abuse toujours des plus faibles
Le gouvernement de François Legault respecte tellement les aînés concernés qu’il précarise leur quotidien alors que ceux-ci sont diminués physiquement ou cognitivement. Un gouvernement responsable ne devrait jamais s’attaquer à des personnes vulnérables afin de préserver le filet social. De fait, la réponse du PGQ et son argumentaire sont le fondement ou le creuset de l’indignité. En cela, pourquoi les demandeurs abondent-ils dans le sens de l’État qui veut à tout prix assurer la pérennité dudit régime qui du reste n’existait pas en 1965 et qui pourrait ne plus exister en 2027 sans que par ailleurs le Québec sombre dans le chaos.
Les compagnies d’assurance se déresponsabilisent et réduisent leurs versements lorsque Retraite Québec commence à verser des prestations — payer pour du vent
Du reste, plaît-il de préciser qu’au Québec les compagnies d’assurance qui offrent des régimes en cas d’invalidité peuvent exiger qu’un client devenu invalide avant l’âge de 65 fasse une demande de prise en charge auprès de Retraite Québec afin que ce régime étatique assume en partie le prestataire ayant cotisé. Or, lorsque Retraite Québec reconnait aussi l’invalidité du cotisant et bien les assureurs des régimes privés réduisent leurs versements en proportionnalité c’est-à-dire de 1 dollar pour 1 dollar.
Néanmoins, le gouvernement du Québec n’a jamais légiféré pour faire cesser cette pratique de la part des assureurs privés. De plus, aucun assuré n’a jamais saisi les tribunaux ou du moins aucun jugement ne semble avoir été rendu à cet égard.
Les perdants et les gagnants du RRQ
« Daniel Germain | Journal de Montréal
Publié initialement le 28 janvier 2022 à 0 h — Mis à jour le 28 janvier 2022 à 5 h 19
Le sujet du Régime de rentes du Québec (RRQ) ne manque jamais de faire réagir, j’ai droit à un abondant courrier chaque fois que j’aborde la question ici, comme samedi dernier.
Parmi les messages reçus dans la foulée de cette chronique, celui de la lectrice Colette qui trouve que les bénéficiaires célibataires du RRQ sont traités injustement en comparaison des couples.
De quoi il en retourne ?
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Les célibataires
Au décès d’un conjoint, l’autre peut se qualifier pour la “rente de conjoint survivant”. Un célibataire ne peut espérer recevoir une telle compensation ni en faire profiter un autre après son départ.
La prestation en question est plus généreuse avant les 65 ans du conjoint survivant, plus encore lorsqu’il y a des enfants à charge. À partir de 65 ans, le montant peut baisser substantiellement, le RRQ tient compte de la rente de retraite du bénéficiaire pour déterminer la rente de conjoint survivant à laquelle il a droit. Les deux prestations combinées sont plafonnées.
Au 31 décembre 2020, plus de 375 000 personnes touchaient la rente de conjoint survivant, dont plus de 300 000 femmes. Montant mensuel moyen : 383,27 $. Total : plus de 1,7 milliard de dollars.
Rien de pareil chez les solitaires qui ne contribuent pas moins au régime que les personnes en couple. Pour eux, le potentiel des montants cotisés est donc moindre, car une prestation ne leur survivra pas. “Au moment du décès, ne pourrait-on pas au moins offrir au célibataire un montant forfaitaire plus important que la prestation de décès habituelle [2500 $] ?” s’interroge Colette.
Elle a raison de soulever ce point. Toutefois, pour bonifier la prestation de décès des célibataires, on doit prendre l’argent quelque part, en augmentant les primes ou en réduisant les rentes ou encore en coupant une partie des rentes de conjoint survivant.
L’idée est lancée.
Les autres perdants
Dans un régime de retraite public comme le RRQ, il se trouvera toujours des participants à en profiter davantage au bout du compte. Le système fonctionne sur le principe de la mise en commun où les moins chanceux finissent par subventionner les veinards. Des bénéficiaires récupèrent leurs billes, certains un peu plus que ce qu’ils ont mis, et d’autres un peu moins. C’est la game.
On sait toutefois d’avance que certaines catégories de personnes risquent de payer plus que d’autres pour ce qu’ils déposent dans la cagnotte. Les célibataires sont de ceux-là, mais il y en a d’autres.
Par exemple, les hommes sont aussi “désavantagés” par rapport aux femmes. Les primes sont les mêmes pour les deux sexes, mais les femmes retraitées retirent plus longtemps des revenus du régime en raison de leur espérance de vie plus élevée. Les régimes de retraite à prestations déterminées fonctionnent aussi de cette manière. Je ne suggère pas qu’on doive changer quoi que ce soit.
En assurance cependant, une femme paiera plus cher qu’un homme pour acheter une rente viagère.
Phénomène similaire chez les moins nantis, bien que les contours soient plus flous. Plusieurs études démontrent une espérance de vie moins grande chez les personnes à faible revenu. On en déduit qu’elles toucheront moins longtemps les prestations du RRQ que les groupes plus aisés.
Les travailleurs autonomes de plus de 65 ans
Je pourrais parler de tous les salariés de plus 65 ans, mais comme les travailleurs autonomes cotisent en double, insistons sur ceux-là. Les contributions réalisées tardivement ne sont pas rentables pour les participants qui travaillent à leur compte.
Encore récemment, dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre aiguë, Eric Girard fermait la porte à la proposition d’offrir aux travailleurs de plus de 65 ans la possibilité de prendre un congé de cotisations RRQ. Raison évoquée par le ministre des Finances pour ce refus : Leurs contributions sont nécessaires au maintien du régime.
Il serait surprenant que l’idée lancée plus haut se rende bien loin ».
En conclusion, le régime des rentes du Québec et d’invalidité de Retraite Québec n’e sont nullement équitables et respectueux des personnes devenues invalides ou ayant plus de 65 ans.