Travailler - Se ressourcer - Se rencontrer ? Promesse tenue

Après 10 ans à accompagner des entrepreneurs dans leur parcours professionnel, je crois avoir enfin compris comment sortir de ma torpeur en un week-end à la Maison des Créateurs de Killian Talin et Laëtitia Talin .

Je m’explique :

📌 Assumer d’être soi au milieu d’Autres

💬 Engager une conversation avec confiance

🍄 Déconstruire les croyances et pensées limitantes avec conviction et enthousiasme

Ce triptyque, c’est à mon sens le combo parfait pour un solopreneur introverti, timide, dont la principale source de recharge énergétique réside dans le fait de se retrouver seul.

Mais ce n’est pas toujours simple d’atteindre ce résultat. On se tourne alors vers des solutions de partage et d’intelligence collective, pour un résultat encore trop souvent mitigé. 

En m’appuyant sur ma propre expérience et les échanges avec mon entourage d’entrepreneurs, j’ai à cœur de démontrer que les communautés de croissance ou les groupes d’entrepreneurs ne sont pas (que) des milieux sectaires ou phagocytants. Au contraire, bien choisis, ils peuvent devenir des environnements puissants de transformation.

Un groupe bienveillant, structuré et en phase avec vos valeurs peut devenir un véritable catalyseur de changement. Il offre un espace dans lequel vous pouvez partager vos doutes, confronter vos idées et recevoir des retours constructifs. Les expériences partagées par les autres membres permettent d’élargir votre champ des possibles et de trouver des solutions auxquelles vous n’auriez peut-être pas pensé seul.

Contrairement à l’image négative que certains peuvent avoir, ces communautés ne cherchent pas systématiquement à formater les individus. Elles favorisent l’émergence d’une version plus en phase avec soi-même. On y apprend à mieux se connaître, à affiner sa vision et à prendre des décisions avec plus de clarté et de confiance.

C’est cette puissance collective qui m’a aidée à progresser là où j’avais l’impression de stagner depuis des années. Lorsque l’on choisit le bon groupe, ce soutien devient un levier puissant pour transformer sa pratique professionnelle et personnelle.

Je travaille avec des entreprises et des entrepreneurs. La plupart des personnes qui me suivent ou interagissent avec moi sont à leur compte ou envisagent de le devenir. Nombre d’entre elles commencent à s’ouvrir à la prévention en santé mentale au travail, mais restent souvent méfiantes à l’idée de rejoindre un groupe. Pourtant, se faire sa propre idée, tout en s’appuyant sur les avis de pairs, est une ressource précieuse.

Ma “secret sauce” du moment ? 🍄

• Beaucoup d’eau glacée
• Autant de siestes que possible chaque jour
• 20 minutes au soleil quotidiennement
• Un coup de fil au partenaire de responsabilité
• Et surtout… 3 jours à la Maison des Créateurs

Ce dernier point fait toute la différence.

Bien sûr, c’est ma recette personnelle, et elle ne conviendra pas à tout le monde. 😅 Mais au fond, l’essentiel réside dans le choix des personnes qui nous entourent et dans la création d’un environnement qui nous correspond.

En intégrant l’Anti Business Club de Toulouse, je connaissais les grandes lignes, mais je ne pensais pas qu’en moins d’un trimestre, le travail de groupe réussirait là où j’avais échoué seule depuis plus de quatre ans : me remettre sur les rails de ce qui me fait vibrer dans ma pratique.

J’avais les ingrédients et la recette, mais il me manquait les bons outils. Et c’est exactement ce que j’ai trouvé dans ce groupe de croissance. (merci Charlotte Anglade 🙏🏾)

De votre côté, si vous traversez une période de doute ou que vous avez l’impression de stagner en cette fin d’année, voici ce que je vous encourage à faire :

♦️ Repérez ce qu’il vous manque dans votre pratique

♦️ Identifiez un groupe qui partage vos centres d’intérêt et vos valeurs

♦️ Lancez-vous, même avec un peu d’appréhension

Je suis certaine que vous verrez rapidement la torpeur s’éloigner et l’énergie revenir pour attaquer 2025 du bon pied !

💡 Et sinon, dites-moi quel environnement de groupe vous a aidé à avancer en 2024 ? Ça pourrait donner des idées !