UN TOURISME EMBRYONNAIRE AU CAMEROUN

           Le Cameroun, tout comme les pays en voies de développement sont des états trop jeunes d’une cinquantaine d’années d’indépendance. Mais malgré sa situation retardataire, le Cameroun ne manque pas d’ambition noble dans cette course au salon mondial de la culture qu’est la mondialisation. C’est la raison pour laquelle les politiques d’émergence du pays, ont fixées dans le cadre du tourisme de promouvoir le tourisme de façon a atteindre les 1 millions d’arrivée touristiques en 2020.

           L’objet de cette rédaction est d’aider les « citoyens du monde », les visiteurs, a mieux comprendre la situation du tourisme au Cameroun afin de se débarrasser des préjugés et du trop de message de menaces sécuritaires qui planent sur le pays.

           Le terme embryonnaire est en soit le meilleur qualificatif qui convient à la désignation de la situation du tourisme au Cameroun. Les raisons sont multiples qui le justifient à dessein.

-         Tandis que les 2 offices de tourisme de la régions de l’Ouest sont en plein essor, les projets d’ouverture d’offices de tourisme sont en pleine gestation dans les maires du pays qui ne tarderont pas de mettre en valeur les potentiel et le dynamisme des populations du Cameroun qui vivent sans choc dans métissage aux couleurs mélodieuses de l’art en ciel.

-         L’état, dans la matérialisation de sa politique de développement touristique permet aux entrepreneurs de s’investir dans l’industrie du tourisme. Une nouvelle loi portant législation de secteur du tourisme a été votée en Avril 2016 et la loi d’application est effective depuis le 16 Avril 2017. L’intérêt de cette manœuvre réside dans la standardisation de l’industrie afin de s’inscrire pleinement dans les critères universels du tourisme.

-         Les entrepreneurs de l’industrie de tourisme sont nombreux qui font de gros chiffres d’affaires malgré qu’ils ne soient pas toujours des professionnels du tourisme. Les entrepreneurs de l’industrie du tourisme, lorsqu’ils ne sont pas de simples commerçants, sont bien de fois des professionnels de l’hôtellerie et de la restauration. Très peu sont diplômées d’un certificat d’études supérieures en tourisme.

-         Toutefois, l’état encourage la création des centres de formation en tourisme dans les Universités et les Instituent Supérieures. C’est ainsi qu’on peut découvrir avec beaucoup de surprise que l’Université de Dschang possède dans sa faculté de Lettres et Sciences Humaines, au seins de son département de Géographie, une filière professionnelle de formation en Tourisme Professionnel. on retrouve ces filières au sein de l’Université de Yaoundé I, à l’Institut Supérieur du Sahel de Maroua.

Voici présenté en quelques lignes le substrat de l’activité touristique au Cameroun qui ne tardera pas à prendre de l’ampleur et de pages tel un « Gargantua » lors de notre prochaine rédaction sur la situation politique du Tourisme au Cameroun.

                                                                                               kendby green tourism