Urbanisation et globalisation, une dualité contemporaine !

Urbanisation et globalisation, deux notions qui se distinguent par leur configuration. Distinctes au départ certes, mais complémentaires par la suite. Nous sommes ainsi arrivés à un niveau où il n’est point superflu d’appréhender objectivement l’interdépendance qui lie aujourd’hui l’urbanisation à la globalisation, et vice versa. Il ne s’agit pas d’une illusion mais d’un phénomène plus ou moins complexe qui se construit progressivement.

Cette propension connait par ailleurs une ampleur significative dans un contexte paradigmatique, à la fois technologique et durable. L’urbanisation qui se conçoit par une importante concentration des personnes sur un périmètre géographique donné, s’accompagne également d’une prise en compte objective des paramètres utiles à la conception et à la modélisation des espaces. C’est donc à travers des concepts novateurs qu’affleurent des modèles de villes pensés suivant des réalités intrinsèques et globales.

Quant à la globalisation, elle s’identifie par plusieurs approches. Ces dernières sont entre autres la vulgarisation et la disponibilité des sciences ainsi que le transfert de compétences.

Au-delà de leur mode d’usage, les avis pourraient être favorables pour le fait que ces acceptions constituent deux phénomènes appréciables sur trois plans : d’où leur tridimensionnalité. Ils sont ainsi observables, qualifiables et quantifiables. Outre sa dynamique statistique et le fait qu’elle soit observable, l’urbanisation peut être qualifiée de soutenue, d’accélérée et d’incontrôlée ; selon les critères et le cas.