Vivre par procuration: nos ressentis
Nos maux du passé, présent et futur ; seraient ils logiques de l’imputer à une personne ou à un petit groupe d’individu.
Notre monde dérive vers des croyances à multiples facettes, où la portée de la pureté manipule les sens mêmes de nos repères. Ces obsessions brutales qui contournent les distinctions de nos réflexions, objets et souvenirs, par les dominations des pensées irrespirables d’affirmations non assumées.
Sont-ils nos modèles appréciables du faire valoir?
Malgré ces échecs, ces démarches fondées à la fois sur des facteurs déstructurant, conditionnent notre « moi » très englobant du « nous » et qui de l’autre côté envahie par ses faiblesses, cherche à fédérer une dynamique d’interventions dans une sélection de connaissance, d’un savoir qui sont: « êtres et se faire connaitre ». Sans conviction, les résidences de nos frontières poreuses d’une lecture historique uniforme, ne se repose que sur la puissance et la forme d’un univers sans issue, piégé par son manque de courage et de volonté. Le temps qui passe nous montre nos limites.
La nature nous rappelle qu’elle a un rôle de régulateur et de gendarme de nos consciences. Les séquelles dans nos vies, nous préviennent qu’à chaque fois qu’on se croit capable et utile d’accomplir le travail d’amélioration d’un monde insaisissable, la confrontation et la résolution se heurtent à des interprétations d’analyses de dimensions bifaces, privilégiant des responsabilités de groupe plutôt qu’individuel. Nos comportements répétitifs nous conduisent dans une pente raide. Qu’elle chute pouvons-nous envisager?
Ce monde meilleur souvent décrit dans des livres, est-il utopique? Visages floutés, nos masques de suggestions peu convaincants deviennent immédiatement obsolètes.