Post de Christophe DUBOIS-DAMIEN

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Crise à Sciences-po Paris Pour obtenir le retour au calme vendredi 26 avril, deuxième jour d’occupation après le 13 mars 2024, la pseudo direction de l’Ecole, puisqu’il s’agit d’un administrateur provisoire, a conclu un accord qualifié par un grand nombre de responsables politiques, économiques et d’anciens élèves « accord de la honte ». D’après eux « L’administrateur provisoire de Sciences Po Paris, Jean Bassères, aurait en effet obtenu la fin des blocages des étudiants pro-palestiniens qui perturbent son université depuis des semaines en accédant à toutes leurs revendications et en faisant un pas de plus vers l'antisionisme et l'antisémitisme qu'il charrie. Par un message transmis aux étudiants et aux professeurs, la direction provisoire de Sciences Po, non seulement cède au chantage et à la violence, mais donne satisfaction à ses étudiants d'extrême gauche. Sciences Po s’engage à organiser un débat interne et à suspendre les procédures disciplinaires lancées contre certains étudiants. Des procédures suite à des violences, parfois de nature antisémites, rappelons-le. » L’accord prévoit la suspension de procédures disciplinaires à l’encontre des étudiants à l’origine de l’occupation de l’amphithéâtre Émile Boutmy le 13 mars puis des deux campus Saint Guillaume et Saint Thomas le 26 avril. L’accord contient t’il une lever des sanctions pour antisemitisme ? En effet, il n’y a plus de direction à l’école. Mathias Vicheras, le directeur traduit en justice pour violence conjugale réciproque a été contraint de démissionner. Mais quelle est la position de la présidente de la Fondation des sciences politiques ?

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