Post de ESIS

Libido et lutte des classes. Le titre est de MK2.

🎧 N'hésitez pas à écouter la série très intéressante de podcasts, proposée par Le Lab Femmes De Cinéma qui met en avant et donne la parole à des Femmes qui occupent des métiers dans le secteur du #cinéma et de l'audiovisuel. 🎧 Je continue à partager la série des podcasts de la saison 4 qui sont proposés par Le Lab Femmes De Cinéma. Ils mettent en lumière les métiers du #cinéma à travers les témoignages en donnant la parole à des Femmes passionnées qui façonnent ce secteur. #parité #mixité 👇

📢 LES TECHNICIEN·NE·S NE SERONT PAS LA VARIABLE D’AJUSTEMENT DES DIFFICULTÉS DE FINAN­CE­MENTS DU CINÉMA DOCU­MEN­TAIRE En novembre 2023, dans un rapport consacré au docu­men­taire, l’Inspection générale des affaires culturelles confirmait ce que la plupart des professionnel·les concerné·es consta­taient de manière empirique : une pré­ca­ri­sa­tion croissante du secteur et des docu­men­ta­ristes. À la suite de ce rapport, l’Acid, l’Addoc et la SRF publiaient un communiqué dans lequel elles demandaient aux partenaires sociaux « d’aménager […] la possibilité pour les productions de films docu­men­taires de déroger aux annexes sous certaines conditions, comme cela existe pour les films de fiction. » Les Monteurs associés réagis­saient publi­que­ment en se demandant s’il fallait « lutter contre la précarité… par plus de précarité ?» Au printemps 2024, les trois asso­cia­tions de cinéastes rassemblées au sein de La Boucle docu­men­taire ren­con­traient suc­ces­si­ve­ment l’Union des chefs opérateurs et LMA pour leur exposer ce projet de « hors-annexes » pour le cinéma docu­men­taire. Tout en soutenant les réa­li­sa­teurs et réa­li­sa­trices dans leur légitime combat pour de meilleures rému­né­ra­tions et conditions de production, tout en partageant leur désir de défendre les films les plus fragiles, LMA et l’UCO faisaient part de leur opposition à un tel projet, qui affai­bli­rait des équipes elles aussi éprouvées par les réductions croissantes de budget. Cela ne semble cependant pas avoir entamé la déter­mi­na­tion des promoteurs de ce projet à le porter auprès des partenaires sociaux à l’occasion de la rené­go­cia­tion du renou­vel­le­ment de l’annexe III de la convention collective nationale de la production ciné­ma­to­gra­phique. Afin d’éviter tout malentendu, les asso­cia­tions signataires prin­ci­pa­le­ment concernées (image, son, montage) rappellent que les discussions engagées avec certaines d’entre elles ne sauraient valoir approbation et réaffirment col­lec­ti­ve­ment leur opposition à ce projet. AFC | Association française des directrices et directeurs de la pho­to­gra­phie ciné­ma­to­gra­phique AFSI | Association française du son à l’image LMA | Les Monteurs associés UCO | L’Union des chefs opérateurs — L'Union des Chefs Opérateurs #UnionDesChefsOperateurs #UCO #UnitedCinematographers #20pourcentpourtous #mobilisationsalaires #inflation

Pour changer le monde il faut le comprendre et pour le comprendre il est nécessaire d'avoir autour de la table différentes perspectives. Dans cette série d'articles de Christelle Murhula que je vous recommande nous retrouvons le parcours difficile d'Euzhan Palcy en France versus son parcours a l'étranger. La question posée ici est le danger que représente pour toute démocratie la reproduction sociale de l'élite que ce soit dans le domaine politique, économique ou culturel. Ouverture d'esprit et bon sens. Bravo pour ce travail.

🎥📚 Quand le cinéma rencontre la littérature : Les séances BNP Paribas “CinéCULTE” ! BNP Paribas invite à redécouvrir l’émotion des grands romans adaptés au cinéma avec ses séances exclusives CinéCULTE. Une expérience unique pour célébrer le lien intemporel entre deux arts majeurs : la littérature et le 7e art. 💡 Pourquoi c’est remarquable ? • Un hommage aux chefs-d’œuvre littéraires : Ces séances mettent en lumière des récits intemporels, portés à l’écran avec puissance et sensibilité. • Une approche culturelle accessible : Une initiative qui rapproche le grand public des œuvres marquantes en offrant un moment de partage et d’évasion. • Un engagement pour la culture : BNP Paribas, fidèle à son rôle de mécène, continue de soutenir le cinéma et les arts en leur offrant une plateforme pour rayonner. 🎬 Ces séances ne sont pas qu’un simple divertissement, mais une invitation à replonger dans les grandes émotions des récits qui nous touchent et nous inspirent. 💬 Quelle œuvre littéraire aimeriez-vous voir portée ou revisitée sur grand écran ? #Culture #Cinéma #Littérature #Engagement #CinéCULTE

Pourquoi aimons-nous voir des films ? Parce que nous acceptons de croire ce qui nous est montré à l'écran. "Le cinéma, c'est le mensonge 24 fois par seconde" disait Brian De Palma. Chez Kinémantis, nous sommes conscients du caractère artificiel d'une œuvre audiovisuelle. Nous savons aussi que c'est par ce conglomérat de visions artistiques, de techniques et une forme d'artisanat proche du système-D qu'une vérité émotionnelle est susceptible d'émerger. La notion de croyance est centrale dans notre activité. Croire aux scénarios qui nous sont proposés, croire aux films que nous défendons... de cette foi initiale survient l'étincelle nécessaire à la mise en chantier de tout projet. Croire, c'est aussi ce qui nous permet d'encaisser tous les coups durs, de continuer d'avancer malgré la fatigue et le blues. Enfin, il y a une forme de courage dans le fait de vouloir croire, car croire, c'est accepter d'espérer. Il y a tant de colère, tant de haine tout autour de nous. La division a le vent en poupe. C'est elle qui fait commerce, qui est valorisée, notamment politiquement. Pourtant, plus la situation est ténébreuse, plus il faut rester intègre, positif et passionné. C'est un devoir, un engagement presque militant. Le cinéma, s'il est conçu de façon sincère, impliquante et tournée vers le spectateur, peut offrir une respiration à un public qui aimera toujours les belles histoires. Dans l'obscurité d'une salle, toute personne peut y puiser du réconfort pour l'éclairer dans le chaos de sa propre vie. Il n'y a qu'une chose qui importe finalement : c'est que le film soit bon. "Je ne rêve pas la nuit, je rêve le jour, je rêve toute la journée. Je rêve pour vivre." Steven Spielberg

Cher réseau 💬 Vous avez déjà ressenti cette anxiété de devoir répondre au téléphone, de faire face à une foule, ou de simplement entamer une conversation ? Vous redoutez le regard des autres et vous vous demandez souvent " Qu'est-ce qu'ils pensent de moi ? Et si je disais quelque chose de mal ?" Beaucoup de gens connaissent l'anxiété sociale de près, mais souvent, le grand public ignore de quoi il s'agit. Aujourd'hui, je vous propose d'aborder ces thématiques d'une autre manière. Laissez-moi vous présenter notre court métrage de fin d'étude réalisé par Julotte Willems (éternelle anxieuse et introvertie) 😊 Ce film c'est l'occasion pour elle et pour nous de briser les stigmates et de sensibiliser le public autour des phobies sociales. Ce court-métrage n'est pas seulement un projet académique mais plutôt une expression de notre vision artistique et de notre engagement envers le monde du cinéma. C'est le fruit de notre persévérance, notre passion et notre détermination. C'est la passerelle entre la fin de nos études et le début de notre carrière professionnelle. Cependant, la concrétisation de ce court-métrage nécessite des ressources financières qui vont au-delà de nos moyens habituels. Réunir les fonds requis constitue un défi majeur pour notre équipe. C'est pourquoi nous sollicitons votre soutien pour franchir cette dernière étape cruciale ! Imaginez l'impact positif que ce court métrage pourrait avoir sur ceux qui se sentent isolés et incompris 🤝 Si l'idée de soutenir notre projet et de contribuer à réaliser ce rêve vous inspire, vous pouvez faire un don sur notre plateforme de collecte de fonds : https://lnkd.in/e5PwuJRN Merci du fond du cœur pour votre soutien précieux. 3iS Education - Julotte Willems - Victoire Frébot - Tristan Salles - Aenora Lefevre - Romane Spampinato - Camille Vincens de Tapol - Antonin Mathé - Leïla Laudeho - Léa Colin - Ninon Desclaux - Angelo Chauveau - Marjorie Spinnhirny - Teo BURGUION - Manon Martin - Vincent Toujas

Le cinéma est-il politique ? Ou, en d'autres termes, quel est le poids du cinéma sur l’opinion des individus ? Le temps d’une séance, le cinéma réunit des personnes de tout bord. Par son pouvoir d’immersion, il nous invite à adopter un point de vue potentiellement différent, compréhensible au-delà des mots, par la simple transmission d’émotions. Ainsi, peu importe notre avis initial sur tel ou tel sujet, le cinéma peut nous aider à nourrir une réflexion, voire à amorcer un changement de paradigme intellectuel. Chez Kinémantis, nous avons conscience de cette potentialité. C'est pour cette raison que nous développons nos histoires avec une vraie vigilance, souhaitant que les films que nous produisons, peu importe leur genre, participent à l’addition des pensées plutôt qu’à leur annihilation. Pour ce faire, notre mode d’action sera toujours le même : faire le meilleur film possible. C’est en respectant ce crédo, en nous mettant au service des films et des histoires, que nous continuerons à faire du cinéma un formidable générateur d’empathie. C’est par ce biais que nous raviverons l’idée qu’un personnage « étranger », même s'il semble être le plus éloigné de nous, peut finalement nous ressembler. Cependant, in fine, fort de son ressenti et de son expérience de vie, c’est le spectateur – et lui seul - qui choisira le type d'imaginaire auquel il souhaite adhérer. Ce choix pourrait paraître secondaire mais il influe sur notre perception de la réalité et, en conséquence, sur nos actions. Au final, cinéma ou pas, quand la réalité nous rattrape, on se retrouve toutes et tous face à un vertige existentiel et effrayant : celui de devoir prendre nos responsabilités.

"Ce que le cinéma m'a appris sur le leadership et l'audace d'aimer sans compromis" 🎬❤️ Peu de personnes dans mon réseau savent que ma première passion a été le cinéma. Mon parcours a commencé avec un baccalauréat littéraire en option cinéma audiovisuel, et mon rêve ultime était de devenir réalisatrice. J'ai même eu la chance incroyable de participer à des festivals prestigieux, comme celui de Cannes, où j'ai rédigé une critique pour La Provence lors de la Quinzaine des réalisateurs. 🌟 Ces expériences ont nourri en moi un amour profond et intemporel pour le septième art. 🎥 Saviez-vous qu'on compare souvent un réalisateur à un leader ? Un réalisateur, comme un leader, guide une équipe, défend une vision et inspire à travers l’intensité de sa passion. D’ailleurs, certains personnages féminins deviennent eux-mêmes des modèles de leadership. Pensons à Erin Brockovich, cette figure de courage et de responsabilité éthique qui incarne la persévérance et l'impact social. 💪 La semaine dernière, j’ai retrouvé cette intensité en découvrant L'Amour ouf de Gilles Lellouche. Ce film est un hommage vibrant au cinéma d’antan, aux grands maîtres comme Scorsese, Tarantino, Danny Boyle, et bien d’autres. Les références sont saisissantes, la bande-son envoûtante, et chaque personnage est incarné avec une sincérité qui vous touche en plein cœur. En un mot : foncez ! Ce film ravive l’envie d’aimer et de créer, car ici, comme le montre Lellouche, "bien n'est pas suffisant" — une devise que je fais mienne, tant au cinéma que dans le quotidien professionnel. #Cinéma #Leadership #Inspiration #Luxe #Ecommerce #Amour

Aujourd’hui sortent deux films au cinéma qui ont particulièrement retenu mon attention d’interculturaliste ! 🍿 🇮🇷 Les Graines du figuier sauvage. De Mohammad Rasoulof. Une fiction avec comme toile de fond les protestations populaires du peuple iranien et l’émancipation des femmes, notamment des plus jeunes. 🤐 Primé cette année au festival de Cannes avec le Prix des Cinémas Art et Essai, le film est interdit de diffusion en Iran. Mohammad Rasoulof, son réalisateur, a été condamné à plusieurs reprises pour "propagande contre le régime" avec d’autres cinéastes iraniens, comme Jafar Panahi (dont j’adore tous les films). ➤ Un film que je vais m’empresser d’aller voir dès cette semaine ! 🇫🇷 🇲🇺 Ni Chaînes Ni Maîtres. De Simon Moutaïrou. Une autre fiction qui pourrait faire beaucoup parler d’elle tant le sujet est brûlant ! On y suit le destin d’esclaves noirs sur l’île de l’actuelle île Maurice, alors exploitée par l’Etat français. ➤ L’histoire esclavagiste et coloniale française est encore tellement tue en France que je suis curieuse de la manière dont le sujet est amené par le réalisateur. Un frein tout à fait subjectif pour moi : la présence de deux acteur·ices célèbres, Camille Cottin et Benoît Magimel (que je ne peux pas voir en peinture, oups 🫣) au casting, qui lors du visionnage de la bande annonce, rendent pour moi moins crédible la narration. Et vous, pensez-vous aller voir l’une de ces sorties cinés ? ～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～ 👀 Au fait, demain sortira mon premier post sur la différence entre l’approche interculturelle et l’approche interculturelle critique. Pour ne pas passer à côté de celui-ci et des prochains, active la 🔔 en haut de mon profil.