Vu Record historique pour le lancement de la saison 19 de "𝐋𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚 𝐮𝐧 𝐈𝐧𝐜𝐫𝐨𝐲𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐓𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭" hier soir sur M6 ☄ ⭐️ Meilleure performance historique en -50ans ⭐️ Programme le + regardé de la TV par les -50ans hier ⭐️ M6 très large leader auprès du public familial et des -50 ⭐️ M6 leader auprès de l’ensemble du public 3.2M° sur la 1ère partie (pic à 3.5M°) Sur l’ensemble de la soirée : - 28% 25-49 ans - 36% 15-34 ans - 41% 4-14 ans - 17% en 4+ Bruno Fallot Déborah Huet Benoit Monnin William Lebugle Ashley Bensimhon Berangere Thibaudeau Guillaume Proudhom Romain ROBERT Geoffrey Bruckeler Elodie Toublanc Maxime CHANZY
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Le format qui se renouvelle sans cesse. Clap clap!
Vu Record historique pour le lancement de la saison 19 de "𝐋𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚 𝐮𝐧 𝐈𝐧𝐜𝐫𝐨𝐲𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐓𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭" hier soir sur M6 ☄ ⭐️ Meilleure performance historique en -50ans ⭐️ Programme le + regardé de la TV par les -50ans hier ⭐️ M6 très large leader auprès du public familial et des -50 ⭐️ M6 leader auprès de l’ensemble du public 3.2M° sur la 1ère partie (pic à 3.5M°) Sur l’ensemble de la soirée : - 28% 25-49 ans - 36% 15-34 ans - 41% 4-14 ans - 17% en 4+ Bruno Fallot Déborah Huet Benoit Monnin William Lebugle Ashley Bensimhon Berangere Thibaudeau Guillaume Proudhom Romain ROBERT Geoffrey Bruckeler Elodie Toublanc Maxime CHANZY
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Droits TV et Ligue de football professionnel : comment faire baisser la fièvre ? La tension monte à la LFP faute de signature d'un nouveau contrat, désormais quinquennal, de cession des droits TV pour diffuser le championnat de France de Football de première division alors que le championnat reprend à la mi-août. Depuis plusieurs mois, la LFP fait miroiter à ses membres un pactole d'un milliard d'euros pour diffuser le championnat, avec l'arrivée de CVC PARTNERS et la création d'une filiale Médiaco, montage destiné à mieux valoriser encore les droits TV du championnat. Sauf que l'appel d'offres s'est révélé infructueux et que les discussions de gré à gré n'avancent pas vers le milliard, mais plus sûrement vers une petite moitié de cette somme, moins divers coûts annexes révélés par l'Equipe hier, ce qui donnerait dans le pire des scénarii, toujours selon le journal l'Equipe des droits TV à redistribuer aux clubs d'un montant d'environ 300 millions d'euros. Il se joue entre la LFP et les diffuseurs potentiels un petit jeu à fleuret moucheté depuis plusieurs mois qui montre qu'un certain nombre de points de litige n'arrivent pas à être résolus. Vu d'ici, la discussion n'apparait pas vraiment franche et loyale. Il serait sans doute temps que les choses soient dites pour être entendues, mais dans un climat bienveillant et respectueux. Comment faire ? Alors que pour résoudre le différend avec Médiapro, la LFP s'est trouvée embarquée dans un mandat ad hoc par son diffuseur, n'est-il pas temps d'anticiper aujourd'hui en organisant avec toutes les parties prenantes, et évidemment Canal +, qui parait jouer le coin du bois, une médiation ? Ce processus structuré présente de nombreux avantages. Avec l'aide d'un tiers indépendant, le médiateur, les différents acteurs pourraient échanger dans un cadre apaisé, le processus favorisant les échanges et la réflexion. Il est possible de tout se dire sous le sceau de la confidentialité, et rechercher ensemble une solution pour bâtir le contrat de diffusion des droits TV des cinq prochaines saisons. Encore faut-il que chaque partie accepte de venir car chacun est libre d'entrer en médiation mais aussi d'en sortir. Y venir serait sans doute un premier pas important vers un nouvel accord de diffusion. Mais le temps est désormais compté.
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Au mois de mars 2024, RMC Découverte a enregistré la plus forte progression de la télévision en un mois avec +24% sur les 25-49 ans par rapport à février. Parmi les réussites : - Niveaux énormes pour #Jiraisdormirchezvous avec l'épisode Algérie qui a signé le record de la franchise sur la chaîne - Nouveaux records pour #SOSGarage sur l'ensemble des cibles et notamment les plus jeunes (5,7% PdA 15-34 ans, 5e chaîne nationale lors du dernier épisode de la saison) - Record pour #VintageMecanic en gain à J+7 (et record d'audience depuis novembre 2022 avec 596 000 tlsp en moyenne) - Carton historique pour #TopGearFrance en linéaire (meilleure performance 25-49 de toute l'histoire de la chaîne en prime-time) mais aussi en différé avec un cumul qui est monté à 829.000 tlsp de moyenne pour l'épisode 1 (pic à 1M°)
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Mise en lumière de notre métier de documentaliste audiovisuel. 📣 #recherche #archivage #indexation 💼 #documentalisteaudiovisuel #iconographe #recherchiste 🎓 IUT Dijon-Auxerre-Nevers 🎓 Master Journalisme - Dijon
🎒SEMAINE DE LA PRESSE ET DES MÉDIAS DANS L'ÉCOLE CLEMI 🎙️Marquette Morgane, cheffe des services documentation de BFMTV RMC SPORT et BFM PARIS ÎLE-DE-FRANCE, dévoile son parcours ✏️Les chaînes #BFM s'engagent dans le cadre du programme L'Info en Vrai
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Suis-je le seul à en conclure que l'appel d'offres pour les droits TV de la Ligue 1 ne constitue plus une histoire de sport business, mais bien de géopolitique et de politique internationale ? A 3 mois de la reprise de la saison 2024-25 du championnat de France de football, on ne connait toujours pas le nom du diffuseur. Et quand je dis nous, je parle des observateurs et des fans. Mais nous ne sommes pas les seuls, puisque les présidents de clubs, les premiers concernés, n'en savent pas plus que nous. On ne connait donc pas le nom et l'identité du futur acquéreur des droits TV de la Ligue 1, mais on n'en connait pas non plus le montant. De la DNCG jusqu'aux cellules de recrutement des clubs, les jours et semaines qui viennent vont donc s'organiser à l'aveugle. Pourtant, le modèle économique des clubs de football professionnels étant un modèle de dépenses, il va bien falloir que ces acteurs prennent des décisions et fassent des choix. Mais bon, ce n'est pas ce que je voulais évoquer avec vous. Car finalement, lorsque la LFP aura trouvé acquéreur pour ses droits TV et aura signé un accord, le plus intéressant ne sera pas de connaître le nom de l'acquéreur ni le montant qu'il aura concédé pour son acquisition. L'important, c'est tout ce qu'on ne saura pas et notamment tout ce qui aura été promis, concédé et accordé à ce futur acquéreur. A tous les niveaux. A ce titre, cet appel d'offre n'est plus une question de sport business. C'est un sujet de géopolitique et de politique internationale. Et avec cela, d'indépendance. On ne sait encore rien du dénouement de cet appel d'offres qui aura fait couler beaucoup d'encre et qui, j'en suis certain, en fera couler encore beaucoup. Tout ce dont je suis quasiment certain, c'est qu'il y aura un avant et un après. Et qu'on étudiera cet appel d'offres dans les écoles. Comme une étude de cas. Les journalistes aussi reviendront dans quelques années sur ce sujet. Pour le traiter avec le recul nécessaire. J'espère une seule chose : c'est que les futurs acteurs de la vie politique française, quels qu'ils soient, n'ouvriront pas une enquête à posteriori. Pas que je sois contre ce genre d'enquêtes, mais parce que cela signifierait que les décisions qui vont être prises bientôt seront les mauvaises et auront des conséquences qui justifient une telle action. L'histoire du football français s'écrit devant nos yeux. Et elle pourrait bien dépasser les seules limites du sport et du sport business. N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez. #HelloSportsBiz #SportsBusiness #SoftPower #droitstv #football
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La Ligue de football professionnel (LFP) a récemment attribué les droits de diffusion télévisuelle à DAZN (malgré les pertes substantielles accumulées depuis sa fondation en 2016, estimées à 6 milliards de dollars) et beIN pour près de 500 millions d'euros par saison, un montant bien en dessous des attentes initiales. Cette décision, loin de l'objectif d'un milliard d'euros espéré, a suscité de vives réactions parmi les présidents des clubs, notamment Vincent Labrune, Jean-Pierre Caillot (président du Collège Ligue 1 et du Stade de Reims), Jean-Pierre Rivère (vice-président du Collège Ligue 1 et président de l'OGC Nice) et Laurent Nicollin (président du syndicat Foot Unis et du Montpellier HSC). Ces derniers ont même lancé un audit au sein de la LFP et de sa société commerciale LFP Media face à des résultats jugés « pas au niveau » des investissements réalisés. Joseph O. Oughourlian, patron du fonds Amber et propriétaire du RC Lens, a exprimé son mécontentement sur LinkedIn, soulignant que les clubs de Ligue 1 n'avaient jamais reçu aussi peu de revenus issus des droits télévisuels, avec seulement 9 millions d'euros alloués au RC Lens. La stratégie de négociation adoptée par la LFP a été critiquée par Pierre Maes, consultant en droits TV. Il rappelle que l'appel d'offres lancé très tardivement par la Ligue, avec une mise à prix plutôt qu'un prix de réserve, n'a initialement attiré aucune offre. Une première proposition de DAZN, à hauteur de 500 millions d'euros, avait été rejetée dans l'espoir de maintenir beIN, un opérateur qui ne souhaitait pas continuer de partenariat avec la LFP. L'incapacité de nouer une relation durable avec Canal+, l’échec de l'appel d'offres de février 2021, l'attribution des droits à Amazon, et la création d'une société commerciale sont le signe des échecs répétés de la LFP, qui a n’a pas su voir la stagnation et le déclin des droits TV de la Ligue 1 depuis la fin des années 2010. Dans ce climat tendu, Cyril Linette, ancien patron des sports de Canal+, recommande de garder son sang-froid et de se concentrer sur les économies nécessaires, étant donné que les revenus sont inférieurs de 25 à 30% aux prévisions. Il suggère également de bien intégrer DAZN, le nouveau partenaire, tout en préparant les arbitrages budgétaires sans compromettre les projets de développement futurs. Concernant la potentialité de lancer une plateforme propriétaire pour diffuser les matchs dès cette saison, tant Cyril Linette que Pierre Maes s'accordent à dire que cela aurait été une décision précipitée. Avec des droits TV nets de 500 millions d'euros, les clubs français demeurent nettement en retrait par rapport à leurs concurrents du Big 5, impactant ainsi la qualité des joueurs présents dans les compétitions françaises.
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Intéressante la stratégie des petits pas du #rugby à comparer avec la stratégie maximaliste et risquée du #football, qui est dans une autre dimension Canal+ prolonge les droits TV du Top 14 et la Pro D2 jusqu'en 2032 https://lnkd.in/e_prQ7Kq
Droits TV : Canal+ prolonge les droits TV du Top 14 et la Pro D2 jusqu'en 2032
lequipe.fr
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Voici en quelques chiffres les audiences TV du Grand Prix de Denain - Porte du Hainaut. Des audiences une nouvelle fois en progression qui confirment la montée en puissance de la course. 🚴♂️
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https://lnkd.in/gPfcnQMq A vouloir être trop gourmands, les dirigeants de la Ligue de football ont frôlé la catastrophe. Ils ont fini par trouver un accord avec des diffuseurs qui sécurise, certainement provisoirement, certains clubs de Ligue 1 dépendant énormément des droits TV. Certes, le montant du contrat n’est pas nul. Il est cependant très loin des ambitions affichées en 2023 et en baisse significative par rapport au contrat précédent. L’encre du contrat à peine sèche, certains présidents incriminent la Ligue et son président, lui demandent des comptes et de faire des économies sur son train de vie ainsi que sur celui de l’institution. Ils n’ont pas tort. Ils oublient juste un peu vite qu’ils ont été impliqués dans le processus depuis le début et ont validé tous les choix. D’un point de vue managérial, cela me choque et pour plusieurs raisons : · Ils n’assument que très peu les conséquences des décisions qu’ils ont validées · Ils incriminent leur « partenaire » sur sa politique et en particulier ses dépenses alors qu’ils étaient au courant. · Ils ne se posent pas la question de savoir si le montant obtenu n’est pas le juste prix du spectacle que leurs équipes proposent tous les weekends. Aucune remise en question. Le patron de la DNCG, le gendarme financier du sport français, a démontré, chiffres et indicateurs à l’appui, que le football français vivait au-dessus de ses moyens. Et surtout surpayait ses joueurs au vu des résultats obtenus, en comparaison de certains pays européens. Il y a un principe que j’ai appris lors de mon passage au sein du groupe TREVES : faire de toute contrainte une opportunité. J’ai appliqué cette maxime tout au long de mon parcours professionnel et l’ai transmise à mes équipes successives: que la contrainte viennent de l’extérieur de l’entreprise, clients ou concurrents, de l’intérieur, hiérarchie/équipe ou fonction transverse. La contrainte est une grande source de progrès et d’innovation. Donc de transformation pour une entreprise Si on applique ce principe à la Ligue 1 de Football, le résultat de cet appel d’offres est une formidable occasion pour le foot français et ses acteurs de se remettre en question. Ils ont toutes contraintes possibles : · Des revenus en baisse significative · Des couts internes trop élevés. · Une satisfaction client moyenne au vu du spectacle proposé · Des concurrents en Europe qui font mieux avec moins Est-ce que les acteurs du foot français vont saisir l’opportunité de se transformer ? Ou vont-ils simplement continuer comme ils l’ont fait depuis des années en criant sur les toits que les charges sont trop élevées et les droits télé insuffisants pour garder leurs meilleurs joueurs ? Je souhaite qu’ils profitent de l’occasion pour se remettre en question mais j’en doute Et vous, qu’en pensez-vous ? #transformation
« On n'avait pas beaucoup de choix » : 500 millions d'euros pour les droits télé de la Ligue 1, un moindre mal (Droits TV)
lequipe.fr
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L'affaire des droits TV de la Ligue 1 n'est pas une affaire de personnes. C'est une affaire de stratégie et de business model. Attention à ne pas faire de raccourcis ni de conclusions hâtives. L'affaire des droits TV de la Ligue 1 est ce qu'elle est. Son dénouement est proche. Toujours un peu plus proche chaque jour en tous cas. Mais quoi qu'il arrive, il faudra en tirer des leçons. Et non, il ne s'agit pas d'une histoire de personne. En tout cas, pas que. Entre 400 et 500 millions d'euros. C'est ce que la Ligue 1 devrait obtenir de cet appel d'offres. Ce n'est pas ce que les clubs toucheront, pour les raisons qu'on connait (accord CVC). Mais entre 400 et 500 millions d'euros, c'est tout de même une somme. Bien moins importante qu'espéré, certes, mais le football français n'en mourra pas. Il s'adaptera et devra évoluer. Je l'ai dit et j'en suis toujours convaincu. Le football français a donc 5 ans. Pas question de faire le dos rond pendant ces 5 années pour revenir ensuite sur le même schéma. Évoluer, innover, ça ne consistera pas en la création d'un appel d'offres avec un seul package au lieu de trois ou dix au lieu de cinq. Pas plus d'ailleurs que de dire ou se dire qu'il faut tout miser sur le streaming et l'OTT au détriment de la "TV traditionnelle". Non ! Il n'y aura aucune sorte d'innovation ou d'évolution en ça. Juste la volonté de continuer à faire pareil, mais soit en streaming, soit en plus ou moins découpé. Mais au final, ça sera pareil. Alors quoi ? Alors il va falloir profiter de ces cinq ans pour inventer un nouveau modèle. Un modèle adapté aux forces et aux faiblesses de notre Ligue 1. Un modèle qui n'en fera peut-être pas la meilleure ligue au monde. Sûrement pas même. Mais un modèle qui, au moins, la distinguera des autres pour la rendre unique. Il va falloir apprendre à voir et à faire différemment. Pas mieux ou moins bien. Juste différemment. #HelloSportsBiz #Football #DroitsTV #Marketing #SportBusiness
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